@V_Parlier
Bonjour et merci pour votre commentaire.
Il ne s’agit pour le principal que de citations.
Le fond parle de lui-même.
En langage de police judiciaire on assiste à ce que l’on appelle un « travail », mise en place et déclenchement d’une machine dans laquelle l’individu concerné ne bénéficie d’aucun droit réel., le but étant de « l’attendrir » après une garde à vue éprouvante et de l’amener à « composer » après présentation à un juge d’instruction et ordonnance de mise en détention, sans compter la perspective d’une libération moyennant versement d’une caution qui s’apparente plus au racket qu’à la supposée garantie de représentation de la personne mise en cause.
Ci-après un texte intéressant relatif aux lettres de cachet qui relevaient de la Justice Retenue" exercée par le souverain :
https://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2011/05/21/01006-20110521ARTFIG00599-mythe-et-realites-des-lettres-de-cachet.php
Rien n’a vraiment changé, dirait-on.
Bien à vous,
RB
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