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Concernant l’absence de démocratie avec un parti unique dominé par le parti baas qui cautionnait le régime présidentiel, vu du fauteuil d’un bon resto parisien c’était insupportable.
Vu d’un intellectuel syrien entre le souk et la mosquée des Omeyyade, c’était une nécessité pour un peuple dont le niveau d’éducation ne permettait pas d’accéder aux exigences de nos démocraties
Comme mon interlocuteur était musulman il n’a pas mentionné l’islam comme premier obstacle.
La Syrie a mis la marche arrière.
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