« Par exemple, Google et Yahoo ! cités plus haut sont des multinationales. Ils répertorient les sites qu’ils veulent, placent au premier plan ce qu’ils veulent mettre en avant et font la pub de qui ils veulent. »
C’est en parti vrai sur certains critères. Mais si vous avez un nom de site particulier et que vous souhaitez le faire apparaître dans « la première page » de Google en un clin d’oeil, il n’est pas nécessaire de débourser un centime, il faut juste avoir les bonnes lignes de codes. Ces lignes de code ne sont pas disponibles partout sur le net et elle témoignent de multiples expérimentations fait par des professionnels sur le fonctionnement des crawlers...
En résumé, la censure peut être « électroniquement » contourné par l’exploitation de ce que certains appelle des failles techniques, alors que c’est lié à l’architecture du système et la temporisation des éléments qui sont venu se greffer petit à petit et qu’il faut coordonner pour faire communiquer suivant des protocoles décidés en « réunion » (voir w3c).
Bon, autant dire que c’est un travail d’artiste...
