« L’esperanto est à la communication des idées, ce que le sushi industriel est à la gastronomie. C’est-à-dire un bidouillage artificiel à base d’ingrédients par forcément identifiables. », qu’il a dit. Voilà qui devrait m’éclairer. La gastronomie serait donc, par opposition, un bidouillage « naturel » dont il convient de pouvoir identifier les composants. Fichtre ! Il me semble possible d’identifier les composants du bidouillage somme toute naturel de ma fosse sceptique. L’espéranto, ce ne serait donc pas ça. Finalement, ça me rassure un peu.
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