La croissance, ça marche à coup de bonnes nouvelles, économiques surtout. Or, les bonnes nouvelles, ça devient rare chez nous. En libérant les TPE et en lançant par exemple sans attendre le small business act, on devrait pouvoir s’offrir assez vite quelques bonnes nouvelles.
Faillite, pas encore, mais on est dans le tunnel qui y mène. Pour en sortir du bon côté, rien de mieux qu’une bonne cure d’austérité, vente des bijoux de famille, retourner à l’établi, fermer sa gueule si ça fait mal et attendre....
Pas de lapsus, le contraire même de la langue de bois. Fillon pense certainement ce qu’il dit. Faillite, c’est juste un mot pour dire qu’on est grave dans le rouge à la fin de chaque mois. le patient : C’est grave docteur ?. Le bon docteur : c’est assez grave mais bien soigné, on peut s’en sortir Le patient : est-ce qu’on en meurt ? Le bon docteur : On n’en meurt pas, mais on y laisse des plumes Le patient : Combien vous dois-je docteur ? Le bon docteur : Vu votre situation, c’est gratuit pour vous Le patient : Ne vous inquiétez pas de cela, mon pays est riche
La montée du célibat va de pair avec la montée des égoïsmes et la peur du risque. Le prix à payer pour le sentiment de liberté qu’il donne, c’est la solitude, la malbouffe au restaurant, les week-ends qu’il faut remplir d’activités. Mais il y a bien sûr des avantages, sans quoi, il y aurait aussi moins de célibataires. Quant au célibat des femmes, c’est autre chose. Elles savent qu’elles ont plus à perdre au train train de la vie de couple, elles ont de ce fait de nouvelles exigences pour accepter la vie à deux. Et comme bcp de mecs ne l’ont pas encore compris (qui veulent bobonne à la maison), bcp sont célibataires malgré eux.
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