@moderatus
"J’ai
regardé votre vidéo . des manifestation répétées qui comptent jusqu’à 11000
personnes ne sont pas des manifestations nazis..."
Ceux qu’on
entend ici, sont des braves gens ordinaires qui racontent ce qu’ils vivent et
ce qu’ils ressentent, simplement avec des mots simples, et la pétasse
médiatique en est toute déconcertée. Elle n’a pas d’arguments, et elle en
aurait eu moins encore si l’un de ses interlocuteurs lui parlait de #MeToo et des
féministes qui ne dénoncent pas le harcèlement des allogènes, pour ne pas faire
le jeu de l’extrême droite et des xénophobes
« …je
parlais de Mélenchon qui veut transformer les Européennes en référendum anti
Macron. »
Maintenant que
vous le dites, ça me revient, mais c’est ridicule comme intention parce que, au
final, pour mesurer l’impact du « référendum », il sera bien obligé
de comptabiliser les voix de ceux dont il ne veut pas entendre parler.
« …en
ressortant l’épouvantail des extrêmes racistes et xénophobes , lui et Wauquiez
font encore le jeu de Macron. »
Ca prend de moins en moins, et
ceux qui sont contre l’Europe selon Macron voteront ipso facto m contre
Macron, et ceux qui sont pour l’Europe selon Macron, voteront ipso facto pour
Macron.
« …si
les politiciens ne s’en rendent pas compte , on va dans plusieurs pays vers la
guerre civile. »
Je ne crois pas que les
populistes soient des gens violents. Il y a, au sein des foules qui
manifestent, des éléments extrémistes prêts à en découdre, mais ils sont
groupusculaires et il n’y a rien à en craindre.
Il n’en va pas de même de la
gauche, plus ou moins extrême, parce qu’elle ne respecte pas, ou plus, les
verdicts des urnes (c’est encore une fois flagrant en Italie). Valls, premier ministre, avait évoqué la possibilité d’une
guerre civile en cas de victoire du FN lors d’une élection présidentielle.
Et si j’ai toujours pensé que Marine
Le Pen serait battue en raison de sa calamiteuse intention de sortir de l’U.E.
et de l’euro – l’opinion n’étant de loin pas prête, et elle ne l’est toujours pas
- , je n’aurais en aucun cas souhaité sa victoire, parce qu’avec 51 ou 52 % des
voix, on ne l’aurait pas laissé gouverner.
Les pouvoirs forts se seraient
ligués contre elle, à commencer par ceux que l’on appelle les « grands
commis de l’Etat » issus de l’ENA ou de Polytechnique, sponsorisés par le
Grand Orient de France, qui n’auraient jamais cessé de lui glisser des peaux de
banane, sans compter les « mouvements sociaux » et un possible
soulèvement des banlieues.
Le fait d’avoir de son côté l’armée et les forces de
l’ordre n’aurait peut-être pas suffi à rétablir la situation et à contenir les
éléments subversifs.