Bonsoir le chat. je ne savais pas être le 205ème.
Cordialement
Merci pour la qualité de votre commentaire. Vous développez avec pertinence des arguments que j’avais à peine esquissés.
Cordialement
Plutôt que d’organiser des manifestations, vous pouvez soutenir un autre candidat. Il y en a 11 au total ! Il est encore temps de distribuer des tracts, de participer au débat, comme vous l’avez fait ici, mais aussi dans votre famille, dans votre milieu professionnel ou tout simplement dans la rue. Cordialement.
Non. Avez-vous vraiment lu l’article ? Cordialement.
Bon, je ne vous ai pas convaincu. Merci tout de même d’avoir essayé de me lire. Cordialement.
Merci de m’avoir lu, merci pour votre commentaire bien argumenté et riche.
Je ne suis pas, je n’ai jamais été, et je ne crois pas que je serais jamais un jour Marxiste, encore moins Marxiste-Léniniste, même si j’apprécie beaucoup les instruments d’analyse et l’appareil critique de Marx.
Je m’efforce simplement d’être Chrétien, et, à ce titre, suis profondément attaché à la notion de libre-arbitre et de responsabilité individuelle.
Certes, si les gènes déterminent ce que nous sommes à la naissance, c’est l’éducation, l’expérience et la volonté qui feront ce que nous sommes à la maturité, avec aussi, bien sûr, la chance ou la malchance d’un destin favorable ou opposé, d’un milieu bienveillant ou hostile.
Combien d’enfants peu doués en apparence, à force de travail et d’obstination vont dépasser leurs camarades plus brillants mais moins endurants. Quel traitement administrer au petit Albert(*), qui ne parle pas à 3 ans ?
Réduire un être humain à ses gènes, c’est nier la nature extraordinairement complexe de ce qui fait un homme, et dénier toute possibilité de transcendance.
Je ne veux pas que l’on fabrique demain des petits humains, comme on fabrique aujourd’hui les poulets et les cochons, parce que ce sont des hommes.
C’est pour cela que je suis très opposé au point de vue exprimé par Nicolas Sarkozy sur le déterminisme génétique.
Cordialement.
(*) : Einstein
Merci pour votre merci. Cordialement.
Bravo pour l’intelligence et la drôlerie de votre commentaire. Cordialement.
Détrompez-vous, certains aspects de la personnalité de Sarkozy me sont sympathiques : il est dynamique, jeune d’esprit, il secoue la poussière des ronds de cuir. Mais je pense, et je ne suis pas le seul, qu’il est très dangereux et qu’il n’a pas les qualités d’homme d’Etat que requiert la fonction de Président de la République. Cordialement.
Je vous renvoie à une de mes précédentes réponses. L’avortement n’est pas l’eugénisme, mais il pose aussi des questions éthiques.
Merci pour la qualité de votre commentaire, tant par son ton que par son contenu, il montre que l’on peut ne pas être d’accord et débattre.
Qu’un candidat à la Présidence de la République s’intéresse aux pulsions sexuelles des citoyens me parait passablement décalé, au regard des vraies questions de politique étrangère et intérieure qu’il conviendarit d’aborder. Passons.
La pédophilie en tant que pulsion n’a rien à faire dans le champ du politique, pas plus que le goût pour les fromages à pâte molle ou à pâte cuite. D’ailleurs, le terme de pédophilie n’apparaît pas dans le Code Pénal.
Par contre, le droit pénal défini les délits et crimes que sont l’atteinte sexuelle, l’agression sexuelle, le viol à l’encontre de mineurs. C’est autour de la définition, de la répression et de la prévention des crimes et délits que peut et doit s’organiser le débat public, et que chacun des trois pouvoirs, législatif, exécutif et judiciaire doit manifester son autorité.
Une politique de répression et de prévention des crimes et délits à l’encontre des mineurs est tout à fait légitime. Elle n’a rien à voir avec la médecine, sauf pour la recherche de l’excuse d’irresponsabilité pénale pour démence au moment des faits.
Mon point de vue doit vous paître brutal, tranché. Et bien il l’est effectivement parce que le principe de l’Etat de Droit, c’est que les pouvoirs publics s’occupent de la conduite des affaires publiques, un point c’est tout.
Le politique n’a pas à dire le vrai en matière éthique ou scientifique, comme cela a été le cas à l’époque soviétique par exemple, mais aussi dans un temps plus reculé, en Occident, quand il fallait répondre de ses idées devant le Saint-Office.
Convenons que la question de l’inné et de l’acquis est complexe, qu’elle a donné lieu et qu’elle donnera lieu encore à des débats pasionnants entre spécailistes et non spécialistes.
Le suicide Permettez-moi d’être plus court sur ce sujet, et de me référer au plus drôle des commentaires que j’ai reçu, et qui place le caractère héréditaire du scuicide des adolescents à côté du crâne de Napoléon enfant... Un remarque tout de même : le suicide peut, lui, être un acte politique : de Socrate à Jean Moulin, les héros ont préféré la mort à l’asservissement. Notons qu’en France, le suicide n’est ni un délit ni un crime, et les questions qu’il pose ressortent de la sphère privée.
Plutôt que de sa recherche d’une improbable vérité scientifique d’Etat, il serait intéressant que le candidat Nicolas Sarkozy, mais d’ailleurs aussi les autres, nous entretienne de ses intentions au regard des compétences du chef de l’Etat, telles qu’elles sont définies par la Constitution de la République Française :
Le Président de la République nomme le Premier Ministre, il est le chef de la diplomatie et des armées. A mon humble avis, il n’a pas vocation à se transformer en expert sociétal, de type père fouettard-Sarkozy ou bonne d’enfants-Ségolène Royal.
Cordialement.
Mon article conteste la pensée exprimée par Sarkozy, et non pas sa personnalité. Cordialement.
Merci de votre commentaire très fin, Thierry. Je n’ai pas le temps à la seconde d’y apporter la réponse qu’il mérite. Juste un mot, cependant : ce n’est pas parce qu’un combat semble perdu d’avance qu’il ne faut pas le mener.
Cordialement
Je n’ai pas la chance de connaître sa pensée philosophique, je me contente de réagir à ses propos politiques.
Certes, dans cette campagne, Nicolas Sarkozy impose ses thèmes. Il bénéficie d’ailleurs d’une large couverture médiatique. Le sujet qui nous intéresse dépasse largement l’anecdote de campagne, convenez-en.
L’avortement pose aussi une question d’ethique, et peut s’inscrire dans une perspective eugéniste. mais ce n’est pas l’eugénisme.
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