S’il est vrai que Mélenchon a pris la mesure de ses nombreuses et grossières erreurs (le soutien à Maastricht est à ce titre emblématique, et loin d’être le seul), la question se pose par conséquent quant à sa compétence intellectuelle et hauteur de vue politique (et géopolitique), surtout lorsqu’il est question ici de briguer la Présidence de la République.
Car je l’affirme : il n’y avait aucunement de fatalité à se fourvoyer dans l’eurolibéralisme maastritchien, tel que voulu par ses promoteurs parfaitement identifiés, comme de sombrer dans les chimères idéologiques d’eurocrates à la solde des groupes de pression et autres multinationales.
Kazame,
Si l’on se fit aux résultats électoraux de ses trente dernières années, la France n’appartient surtout pas aux gauchistes attardés type Mélenchon...
Pauvre(s) dinde(s) inculte(s) qui, par conséquent, ne savent pas que le Parti communiste avait été assurément collabo dans toute la première partie de la guerre, du pacte germano-soviétique à l’opération Barbarossa.
La démoralisation de l’armée et les sabotages (usines de canons antichars et de moteurs d’aviation notamment) entrepris par le PCF au cours de cette période sur ordre de Moscou, relayés sur le terrain par le zèle de partisans internationalistes fanatisés (déjà à l’époque...), ont participé activement à la défaite de l’armée française dans les mois qui ont suivi.
Je rappelle à toute fin utile que le PCF avait été dissout dès le début de la drôle de guerre pour fait de pactiser avec l’ennemi (par fidélité à l’Urss et sous prétexte que le conflit était une guerre à visée impérialiste), l’Humanité interdite de parution, et Thorez, premier secrétaire du Parti et qui en était alors la figure emblématique, DESERTA pour l’Urss (où il y restera tout au long de la guerre) les rangs de son régiment où il avait été mobilisé.
Tout cela sont des faits étayés indiscutables qui relativisent - pour le moins - le rôle du PCF au début de cette guerre.
Et ce sont les mêmes qui aujourd’hui délivreraient des brevets d’honnêteté et de courage ?Non mais de qui se moque-t-on !
Zemmour et Epstein se chargent de revisiter l’Histoire réelle, non celle fantasmé par des générations de dégénérés congénitaux manipulateurs et autres éducateurs gauchistes de l’Education nationale, cette machine à décérébrer :
http://www.youtube.com/watch?v=WGmW9UXLUlE
Vous y apprendrez, pauvres dindes incultes, que les grands noms de la collaboration, je veux parler de Déat, Doriot, Laval, Papon, entre autres, furent tous - je dis bien TOUS - issus des rangs de la gauche radicale et socialiste (voire communiste pour Doriot).
N’est-ce pas l’Assemblée nationale du mythique Front populaire, majoritairement de gôche, qui confia les pleins pouvoirs à Pétain le 10 Juillet 1940 ?
Quel ex-Président de la République, de gôche n’est-ce pas, fut récipiendaire de la francisque n°2202 déjà ? Hâ oui !
http://www.youtube.com/watch?v=V2b1CQVAYcc
Chers moralistes de gôche à deux francs six sous, un conseil : lavez le fond de votre culotte avant de chercher à renifler celle des autres, elle pue !
Qu’attends donc le Front de « gauche » de monsieur Mélenchon pour proposer d’abroger les statuts de la fonction publique, lesquels font apparaitre une discrimination intolérable, clairement assimilable à la proposition du Front national d’établir une préférence nationale ?!
Il a bruissé depuis quelques jours dans le microcosme politico-médiatique, le petit cénacle du parisianisme mondain à la solde des intérêts de la ploutocratie, que la sophiste Lapix (nous saurons bientôt grâce à l’article d’OU parle cette belle personne) aurait mis KO, dit-on, MLP sur son programme économique, notamment en ce qui concerne l’une de ses nombreuses mesures qui s’inscrivent dans un projet financé et d’une extrême cohérence, lui-même rompant avec 30 années de libéralisme délétère (et dont nous pouvons constater chaque jours les effets désastreux), et qui consiste à rehausser les petits salaires (jusqu’à 1,4 fois le Smic) de 200€, ces derniers seraient intégralement pris en charge par l’Etat - et non par les entreprises (surtout PME/PMI, premiers employeurs de France) pour ne pas les impacter et ruiner un peu peu qu’elle ne l’est déjà notre compétitivité globale.
Ainsi donc j’invite chaudement chacun à lire cet article remarquablement exhaustif qui déconstruit avec maestria la vulgate de la classe dominante au pouvoir, et de son porte-voix servile Lapix, comme également la vidéo entretien avec Florian Philippot qui détaille très précisément le chiffrage et le financement des mesures préconisées :
http://www.prechi-precha.fr/2012/01/21/clash-anne-sophie-lapixmarine-le-pen-le-journalisme-en-nuisette-au-service-de-la-caste-video/#more-4521
Il a bruissé depuis quelques jours dans le microcosme politico-médiatique, le petit cénacle du parisianisme mondain à la solde des intérêts de la ploutocratie, que la sophiste Lapix (nous saurons bientôt grâce à l’article d’OU parle cette belle personne) aurait mis KO, dit-on, MLP sur son programme économique, notamment en ce qui concerne l’une de ses nombreuses mesures qui s’inscrivent dans un projet financé et d’une extrême cohérence, lui-même rompant avec 30 années de libéralisme délétère (et dont nous pouvons constater chaque jours les effets désastreux), et qui consiste à rehausser les petits salaires (jusqu’à 1,4 fois le Smic) de 200€, ces derniers seraient intégralement pris en charge par l’Etat - et non par les entreprises (surtout PME/PMI, premiers employeurs de France) pour ne pas les impacter et ruiner un peu peu qu’elle ne l’est déjà notre compétitivité globale.
Absolument.
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