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Les commentaires de Jean Keim



  • Jean Keim Jean Keim 15 septembre 2013 08:58

    Dans une guerre matérielle et/ou idéologique, il n’y a ni gagnant, ni perdant, seulement du profit pour ceux qui les trament et avant tout des victimes et des souffrances. Les opinions de truc ou de machin ne sont que des réponses formulées sur la base de croyances puisées dans la mémoires et n’ont aucun lien avec la réalité qui est que le monde est à l’image de l’homme y compris ceux qui ergottent. Une chose simple à comprendre : il ne pourrait y avoir de guerres sans guerriers, les puissants décideurs peuvent toujours décider d’en faire une, si personne ne suit, il n’auront plus qu’une solution, y aller eux-mêmes.



  • Jean Keim Jean Keim 12 septembre 2013 15:39

    Vouloir résoudre le problème de l’évasion fiscale, c’est vouloir résoudre un problème lié à l’argent donc le problème est identifié c’est l’argent et le résoudre est somme toute assez simple, L’argent n’existe pas concrètement, il a la réalité qu’on lui accorde, une réalité virtuelle et rien d’autre alors faisant le pas logique suivant, supprimons le et ainsi faisons la nique aux riches mais soyons charitables, donnons leur des mouchoirs pour étancher leurs larmes, larmes inévitables quand on a perdu un être cher, quasiment un dieu.



  • Jean Keim Jean Keim 2 août 2013 15:17

    Ce sont deux récits imaginaires, comme le sont les commentaires dont certains contenus sont finalement à l’image de notre monde. Nous sommes le monde et le monde est ce que nous en pensons. On peut réagir à un article jugé sirupeux, débile ou inutile avec passion, virulence voire insolence mais la grossièreté sans esprit n’apporte rien de constructif.



  • Jean Keim Jean Keim 20 juillet 2013 12:03

    Texte intéressant mais difficile à lire sans un dico encyclopédique, l’auteur a une grande culture et la montre à plaisir, la lecture m’a inspiré un « p’tit poèmeu » sans prétention aucune.

    Si l’Homme témoigne que les hommes sont frères
    Alors ! Comment pourrions-nous nous faire la guerre ?
    Pour dieu, pour diable, pour l’honneur, le drapeau
    Pour des idées, des songes, une idéologie, le tombeau
    Non ! Les affrontements sont fomentés par des profiteurs
    Qui vendent à chaque belligérant des champs d’horreurs
    Les armes, les hôpitaux, les uniformes, les cercueils
    Les larmes s’ils le pouvaient tant est cupide leur orgueil
    Après la bataille sans vaincu ni vainqueur ni honte ni gloire
    Il y a la liste des morts et ce qu’en écrira l’histoire
    Mais l’homme dans son psychotique aveuglement oublie
    Que sans guerriers prenant les armes il n’y a pas de conflits.



  • Jean Keim Jean Keim 19 juillet 2013 14:10

    Par le biais des mécanismes socio-économiques, l’argent conditionne notre vie. On peut désirer un peu d’argent pour survivre, un peu plus d’argent pour améliorer son ordinaire, plus d’argent pour des tas de bonnes raisons comme le plaisir de posséder. Un monde sans argent serait-il la panacée ? Bien évidemment que non mais aérerait nos esprits et permettrait d’autres perspectives.
    Que faut-il pour construire une école ? De l’argent ? Pas du tout ! il faut une volonté, un savoir faire, des bras, éventuellement de l’énergie, des matériaux pris localement dans l’environnement. Les bras seront ceux de personnes disponibles qui de toute façon ont reçu de l’aide dans le cadre d’une autre action, l’énergie est produite par le travail de tous c’est-à-dire la communauté, les matériaux sont fournis gratuitement par notre mère nature, en être propriétaire est un non-sens, un dol, une vue de l’esprit ; et parmi ceux qui travaillent sur le chantier, il y a sûrement des parents qui enverront leurs enfants dans l’école. En organisant ainsi la société il est possible d’éradiquer ‘’ le fric ‘’.



  • Jean Keim Jean Keim 18 juillet 2013 15:05

    Si tout le monde désirait vraiment un monde sans argent , il existerait, ce qui est incoyable est l’importance que l’argent a prise dans la société et dans chacune de nos têtes (c’est le même mouvement) et ce qui est utopique est de croire qu’avec quelques mesures de changement, le monde continuera cahin-caha.