Le referendum irlandais a été lancé parce que la réponse était évidente, pas comme en France.
Le peuple irlandais a beaucoup souffert au fil des siècles - invasions, misère par la main-mise de la toute-puissante Angleterre -, avant de devenir une république parlementaire et indépendante, et maintenant un des pays les plus pauvres et les plus alcooliques de l’UE :
un sentiment de liberté, un souffle d’air pour ce peuple irlandais qui s’est rué sur l’appât qu’on lui tendait.
Ne nous leurrons pas. Le sens de ce referendum fut pour les Irlandais de se prouver combien ils étaient LIBRES, pris en compte, consultés, et c’est juste une velléité de mettre en exergue leur soif de liberté « retrouvée », alors qu’ils ne font qu’aller dans le sens du vent.
Comme l’a dit justement l’auteur, le droit au divorce, un vrai grand pas vers la liberté quant à lui, n’a été accordé que récemment, c’est vous dire la pression subie, aussi maintenant c’est le grand défoulement.
Dans la « libre pensée » dont semble se gargariser l’auteur, je ne vois quant à moi qu’une manifestation de la « pensée unique ».
Ne perdons pas de vue que l’Irlande est à 85 % catholique..