• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de scampine



  • scampine 23 novembre 2007 12:25

    Les turcs n’ont en général jamais fait confiance aux pays arabes, c’est un fait.

    En effet, le peuple arabe n’a jamais pu parler d’une même voix et l’on est en droit de se demander si la ligue arabe sert vraiment à quelquechose.

    Les perses eux sont différents des arabes, dans le sens ou ils sont un peuple homogène et solidaire tout comme les turcs.

    Au delà des différences religieuses, je pense que ce fait a une grande importance dans la vision que ces peuples du moyen orient ont vis à vis de chacun.

    Mon avis personnel est que les affinités ethniques dépassent les proximités religieuses.





  • scampine 8 novembre 2007 12:29

    @ Gazi Borat

     smiley

    ça devient de l’acharnement..



  • scampine 7 novembre 2007 17:39

    @ Welat

    Toute votre argumentation repose sur un non sens. En effet, qu’est ce que le « Kurdistan » dont vous parlez ?

    Commencez par dire cette vérité que personne ne nie :

    Le peuple kurde vit sur ces terres depuis des siècles. Que cette région s’étend actuellement des confins montagneux du sud-est de la Turquie, au nord-est de l’Irak, au nord-ouest de l’Iran et sur deux petites régions au nord-est et au nord-ouest de la Syrie.

    Par contre, le « Kurdistan » en tant qu’Etat n’a jamais existé, mis à part sur papier et ce pendant 3 années !

    En effet, vous prenez 1920 comme date de début d’« occupation » en référence au Traité de Sèvres, consacrant le démentèlement de l’Empire ottoman. Ce traité n’a jamais été reconnu par les turcs. (Je ne vais pas m’étaler sur le sursaut national turc et la guerre d’indépendance menée par Atatürk.)

    Suite à la guerre d’indépendance, le traité de Sèvres est révisé par le traité de Kars puis par le traité de Lausanne du 24 juillet 1923, conclu avec la Turquie moderne d’Atatürk.

    Le « Kurdistan » état fictif crée de toute pièce par les puissances occidentales n’a en quelques sorte, jamais vu le jour. Commencer une argumentation en affirmant « L’occupation du kurdistan » n’a donc aucun sens mon cher Welat.



  • scampine 7 novembre 2007 17:30

    @ Welat

    Encore une fois, mon cher Welat, le peuple kurde de Turquie ne réclame pas d’indépendance !!

    Le PKK ne représente pas les kurdes de Turquie...Que quelqu’un me prouve le contraire.



  • scampine 7 novembre 2007 17:26

    « Ce qui gêne la Turquie, c’est de voir la réussite économique kurde... » FAUX

    Je signale que l’essor économique de cette région est au contraire le fait d’investissements turc.

    L’essentiel des investissements dans cette région provient de Turquie. La gêne turque n’est nullement économique, bien au contraire, puisque les entreprises turques sont gagnantes, tout comme les kurdes d’Irak.



  • scampine 7 novembre 2007 12:51

    Si l’on comprends bien vos propos, les gouvrnements « chrétiens » occidentaux veulent déstabiliser les gouvernements « islamistes » moyen orientaux afin de s’accaparer le pétrole, et ce en utilisant les kurdes « islamistes ». smiley



  • scampine 7 novembre 2007 12:32

    @Mr Garroté

    Vous qualifiez régulièrement le premier ministre turc d’« islamiste », pourquoi ne faites vous pas de même avec le président Bush ?

    Mr Bush est connu pour ses convictions religieuses très prononcées et sa conception conservatrice et chrétienne du monde.



  • scampine 5 novembre 2007 15:09

    @ Welat

    « La Turquie occupe le Kurdistan depuis 1920 »

    Toute votre argumentation repose sur un non sens. En effet, qu’est ce que le « Kurdistan » dont vous parlez ?

    Commencez par dire cette vérité que personne ne nie :

    Le peuple kurde vit sur ces terres depuis des siècles. Que cette région s’étend actuellement des confins montagneux du sud-est de la Turquie, au nord-est de l’Irak, au nord-ouest de l’Iran et sur deux petites régions au nord-est et au nord-ouest de la Syrie.

    Par contre, le « Kurdistan » en tant qu’Etat n’a jamais existé, mis à part sur papier et ce pendant 3 années !

    En effet, vous prenez 1920 comme date de début d’« occupation » en référence au Traité de Sèvres, consacrant le démentèlement de l’Empire ottoman. Ce traité n’a jamais été reconnu par les turcs. (Je ne vais pas m’étaler sur le sursaut national turc et la guerre d’indépendance menée par Atatürk.)

    Suite à la guerre d’indépendance, le traité de Sèvres est révisé par le traité de Kars puis par le traité de Lausanne du 24 juillet 1923, conclu avec la Turquie moderne d’Atatürk.

    Le « Kurdistan » état fictif crée de toute pièce par les puissances occidentales n’a en quelques sorte, jamais vu le jour. Commencer une argumentation en affirmant « L’occupation du kurdistan » n’a donc aucun sens mon cher Welat.



  • scampine 5 novembre 2007 11:11

    @ Sebou

     smiley

    Comme vous le dites, les extrémistes de tout bord cherchent à poluer chaque débat sur la Turquie.

    « Toute tentative en vue de diviser quoi que se soit par deux devrait, a priori, nous inspirer une extrême méfiance. » Charles Percy Snow Extrait de : Les Deux Cultures



  • scampine 4 novembre 2007 21:01

    Etes vous déjà allé en Turquie ? Connaissez vous des turcs autour de vous ? Si oui, vous aurez remarqué que la population turque est cosmopolite. Vous trouverez en turquie un mélange extraordinaire de population, de culture, de religion.

    C’est d’ailleurs à mon gout la principale facette de ce pays et qui fait son charme.

    Discutez avec un arménien, un turc, un kurde ou un grec et vous constaterez qu’ils se ressemblent énormément en beaucoup de points !

    Vous trouverez cette ambiance si particulière et cette chaleur dans aucun autre endroit au monde. Croyez moi smiley

    Cette ambiance est la somme de toutes les populations qui ont composés et qui composent cette région du monde. Des populations culturellement très riches. En commencant par les hittites, en passant par les grecs, romains, arméniens, kurdes, turcs etc..

    Par ailleurs, historiquement le premier lieu ou des hommes ont décidés de se rassembler et de cohabiter ensemble fut en Anatolie, un village du nom de Alaca Höyük. Tout un symbole.

    Cette terre est une terre de fraternité.

    Les turcs étant héritier de cette terre doivent se conduire en conséquence et préserver cette richesse si rare en donnant plus de valeur et de respect à ses minorités dans le cadre de la démocratie.

    Arméniens, kurdes, grecs et turcs ont tant en commun pour ne pas dire l’essentiel, leurs racines.



  • scampine 2 novembre 2007 20:53

    De Gaulle...Indochine..Algérie.. smiley



  • scampine 2 novembre 2007 20:51

    @ T. Frings

    Tes réactions sont stupides et témoignent d’un complexe.

    Si tu penses qu’avec les propos que tu tiens, tu prétends défendre la cause turque quelle qu’elle soit..tu te plantes amigo !  smiley



  • scampine 2 novembre 2007 19:02

    Pessimiste sur le sujet smiley

    Cette citation s’applique de mon point de vue au PKK et aux Loups gris.

    « Le fanatisme est aveugle, il rend sourd et aveugle. Le fanatique ne se pose pas de questions, il ne connaît pas le doute : il sait, il pense qu’il sait » Elie Wiesel.





  • scampine 2 novembre 2007 17:53

    @Gazi Borat

    Les loups gris véhiculent comme vous le dites, à la fois des idées fascistes nauséabondes mais sont également des gangsters. Les liens de politiques et de mafieux turcs ne sont pas à mettre en doute. L’affaire de Susurluk en dit long sur le sujet. Je dirais même que ce fascisme turc, incarné par les loups gris est le cancer qui ronge ce pays depuis des décennies. Il faut à ce pays une bonne chimiothérapie pour s’en débarraser smiley

    Toutefois, je maintiens la comparaison avec le PKK dans l’extrémisme de son idéologie qui puise sa force dans l’ignorance des membres qui les composent, les financements par voies mafieuses, la terreur qu’ils font régner, etc...

    Qui compose le PKK ?

    Les fondateurs du PKK décidèrent de s’implanter dans les couches sociales les plus défavorisées, notamment les paysans, assurés que ces gens ne poseraient pas trop de questions. En effet, il suffisait d’évoquer la résistance de leurs pères et grands-pères qu’ils avaient encore tous à l’esprit. La peur de l’Etat était dans tous les coeurs, mais les actions que le PKK lancera avec succès contre l’extrême droite, contre les propriétaires terriens et contre la police leur donneront confiance rapidement.

    Cependant, le coup d’Etat militaire de 1980 a semé de nouveau la peur parmi la population et il devint plus difficile de recruter des militants d’un certain niveau.

    Le PKK décida alors de changer de politique de recrutement après le début de la lutte armée en 1984, et d’accorder la priorité au recrutement de jeunes, le plus souvent mineurs. En effet, ceux-ci posaient peu de problèmes du fait de leur inexpérience aussi bien politique que de la vie et il était bien plus facile de les contrôler. Par ailleurs, vu leur jeune âge, le problème d’une famille et d’un éventuel conjoint qui auraient pu disperser leur attention ne se posait pas.

    Encore aujourd’hui, la grande majorité des recrues du PKK a entre 15 et 20 ans. Ces jeunes garçons et filles qui ont rejoint l’organisation souvent à cause de problèmes courants (échec scolaire, parents violents ou tout simplement ennui), et qui ont sans doute la volonté de servir une cause noble, sont très vite déçus. Si la plupart d’entre eux restent tout de même au parti, c’est qu’il est beaucoup plus facile d’y entrer que d’en sortir.

    En effet, la formation initiale leur répète incessamment : « Maintenant que vous savez la réalité vous serez des traîtres si vous partez ». Au cas où le lavage de cerveau ne serait pas suffisant, l’organisation agit en conséquence : quiconque tente de partir est passé à tabac, quand ce n’est pas l’exécution pure et simple. Si malgré tout le dissident arrive à s’en sortir, lui et sa famille sont isolés de la communauté par l’organisation et ses sympathisants. Le parti par ses méthodes de « formation » a développé la sacralisation de l’organisation. Les membres exécutés sur simple doute se comptent par centaines et au PKK il n’y a pas de numéro deux.

    Le financement du PKK ?

    Le financement et les sources de financement du PKK sont deux sujets qui soulèvent beaucoup de curiosité vu les sommes considérables dont l’organisation dispose et dont personne n’a jamais su exactement quelle était l’importance.

    Selon le parti qui se garde bien de révéler le montant des sommes perçues, les sources de financement sont : les revenus des campagnes annuelles de dons, les cotisations mensuelles des sympathisants, la “taxe révolutionnaire” perçue sur les commerces et entreprises, les produits des ventes de journaux, cassettes etc., et les amendes perçues sur les “fautifs” (en fait, le racket).

    Mais dans la pratique, les choses ne sont pas aussi simples et on force souvent la main pour l’obtention des dons et des cotisations. Il n’est pas rare que des commerçants soient passés à tabac s’ils ne veulent pas payer la somme demandée, non pas parce que les recettes ainsi obtenues représentent des grosses sommes, mais surtout pour qu’ils ne servent pas de mauvais exemples. Dans les métropoles turques, ça peut aller jusqu’à des attaques armées et exécutions

    Le montant d’autres sources de financement du parti, comme le trafic de drogue pourtant très conséquent, est plus difficile à évaluer, l’organisation ne mélangeant pas les activités politiques aux différents trafics. Elle dispose pour cela d’un réseau spécifique « d’hommes d’affaires ». Cette branche distincte de l’organisation reste très secrète et est parfaitement dissimulée aux cadres et militants pour ne pas que ces activités nuisent à l’image du parti auprès de certains de ses alliés et de l’opinion publique occidentale nécessaire à l’implantation européenne.

    Ces « hommes d’affaires » ne sont pas ou très peu en relation avec le reste de l’organisation, afin d’empêcher tous risques de fuite. Tout passeur travaillant pour le parti signe d’ailleurs son arrêt de mort s’il évoque publiquement un lien quelconque avec lui et plus encore devant un tribunal pour assurer sa défense en cas d’arrestation.

    A ce trafic rémunérateur s’ajoutent des trafics annexes comme la contrebande de cigarettes rendue de plus en plus rémunératrice par l’augmentation des taxes prélevées par les pays européens.



  • scampine 2 novembre 2007 13:08

    bon post.. smiley



  • scampine 2 novembre 2007 12:41

    tout à fait..pour un kurdistan libre..que les américains restituent les terres aux indiens d’Amérique..que israel n’existe plus..que Christophe Colomb rentre chez lui...etc...etc.. smiley smiley



  • scampine 2 novembre 2007 12:27

    @ Torsten frings

    Les loups gris ne valent pas mieux que le PKK.



  • scampine 2 novembre 2007 12:24

    @ Gazi Borat

    Vous avez raison cher Gazi Borat, pour ce qui concerne les loups gris et le PKK. Leurs motivations fanatiques semblent les mêmes tout en ayant des idéologies complètement opposées. En effet, les loups gris sont des terroristes fascistes d’extrême droite. Et le PKK terroristes marxiste-léniniste d’extrême gauche.

    Nous le savons tous, aucune solution n’est à attendre de ses deux protagonistes sinon violence et haine.

    ces deux idéologies sont puantes en conviendrez vous avec moi ?