Les commentaires de Rodriguez
-
Croire avoir lu un texte en lisant uniquement le titre ? Visiblement, c’est possible pour certains.
-
Merci Monsieur,
Ce passage peut, peut-être, vous êtes utile, à la lecture de votre commentaire :« Cette situation doit cesser. Mais elle ne pourra l’être que si un nouvel ordre naît en Afrique à la suite d’une destruction du désordre à lui imposé comme un ordre établi. Ceci demande une masse réunie, formée, informée et structurée dans des cadres organisés pilotés par un leadership muni d’un tableau de bord bien élaboré à partir d’une parfaite connaissance de l’Afrique, de son histoire ainsi que de la parfaite maîtrise des lois qui gouvernent l’ordre mondial actuel et futur prévisible. Car, il ne va pas suffire de déconstruire cet ordre cannibale qui, nul part, ne s’est jamais laissé abattre facilement, mais il faudra savoir ce par quoi il sera remplacé et les instruments à mettre en œuvre pour sanctuariser définitivement cette nouvelle édifice africaine tournée prioritairement vers la satisfaction des besoins de ses propres enfants. » -
On a supprimé mes commentaires.
-
Parce qu’un livre ne se pond pas en une journée, il ne peut être une oeuvre de manipulation et de désinformation ?
Est-ce que c’est aujourd’hui seulement qu’on sait qu’Al Qaeda oeuvre en Libye ? On le savait depuis. L’ancien directeur de la DST, Yves Bonnet l’avait écrit dans un rapport public. Le commandant des opérations de l’OTAN en Europe l’avait dit à l’époque. Mais, selon le jeu des alliances, on avait fait comme si de rien n’était. Après la prise du pouvoir, la charia comme base du droit, le retour des femmes à la cuisine, il fallait « blanchir » cette sale Guerre en enfonçant davantage Kadhafi. -
Ce qui est magnifique avec l’OTAN et ses alliés aussi bien objectifs que subjectifs c’est qu’ils énoncent très souvent des mensonges pour fonder leurs agressions impérialistes. Il faut avant toute guerre désigner l’ennemi, lui attribuer tous les attributs les plus négatifs qui soient et mobiliser l’opinion en faveur du projet de mainmise sur les ressources du pays victime. Tous les arguments évoqués par la victime à ce moment là sont tout de suite neutralisés et dénoncés comme de la « Propagande ». Il en fut ainsi avec Kadhafi qui à l’époque avait annoncé publiquement qu’il n’avait pas en face de lui UNE REVOLUTION POPULAIRE, mais Al Qaeda. Aujourd’hui, on s’aperçoit (sinon on le savait pertinemment mais il fallait faire alliance avec Al Qaeda pour renverser l’ennemi du moment) qu’Al Qaeda est là et a frappé notamment des Americains à Benghazi où l’ambassadeur des USA fut tué. Et là, pafff, on dit oui mais tout de même Kadhafi fut un obsédé sexuel, un violeur impénitent. Donc, Al Qaeda ou pas, Islamistes intégristes ou pas, nous avions bien fait d’y avoir été. Car, en définitive, on s’est débarrassé d’un monstre ; d’un monstre sexuel. Une antienne que les spécialistes du type Collin Powell agitant « les armes de destruction massive disposées par l’Irak » vont nous ressasser pour longtemps.
-
Attentats de Lockerbie : la vérité vous affranchira.Pour discréditer une version autre que celle officielle, les médias du mainstream parlent toujours de THEORIE DU COMPLOT. Mais, c’est déjà assez courageux d’oser parler de ce sujet sur Arte.La connaissance de la vérité vous rendra libre.
-
« ON » sollicitait Obama ou du moins l’ONU ?, « ON » accuse l’inefficacité de celle-ci ? Monsieur le Camerounais qui est ce ON ? On c’est qui ?
« Il vient et sauve le peuple », aie aie aie, vous devez avoir certainement des maux de ventre pour avoir bu jusqu’à la lie la propagande. A ce point, je ne pense pas qu’ici quelqu’un puisse grand-chose pour vous. Vous seul pouvez-vous désintoxiquez pour avoir un début d’esprit critique face à des évènements comme ceux-ci. Et ce début de désintoxication doit être fait de lecture de l’histoire par vous-même, de réflexion par vous-même et de mise en perspective de certains faits par vous-même. Le tout accompagné d’une décision faisant de vous, moins accros aux médias officiels en commençant par la télé et la radio.Je ne peux pas aller plus loin.Merci. -
La vérité factuelle est qu’on n’a pas pris cette résolution au conseil de sécurité pour s’arrêter là. Il va falloir y aller. C’est à dire qu’on ne s’est pas mis d’accord sur le partage du butin pour ne pas entamer la conquête. Rien ne l’arrêtera. Mieux, tout sera fait pour démontrer que l’Occident est dans le vrai et qu’il relève de la justice naturelle d’aller buter le « méchant » qui « massacre le peuple » et non qui répond à une rébellion armée.
Outre l’accord sur le partage, l’autre élément ayant certainement et lourdement payé dans cette expéditive condamnation à mort, c’est que contrairement aux dictateurs en délicatesse avec l’Occident qui gardent le silence, Kadhafi et ses enfants/ « son clan » ne se taisent pas. Ils avaient décidé, en tous les cas, menacé de parler. Surtout de ce qu’ils avaient donné de l’argent à l’un ou à l’autre. Même Saddam Hussein n’avait pas parlé alors que s’il l’avait ouvert un peu seulement, combien n’aurions pas su pas qui est qui. Bref, ce « fou » là, il n’est pas n’importe lequel, il a menacé de parler et de faire des « révélations » ; enfin des révélations que beaucoup d’entre nous subodoraient depuis. Ce ne seront là que des confirmations de sources. Mais cette menace a été retournée contre les Kadhafi. Sinon, on tue au Bahrein, au Yémen, au Togo, au Burkina Faso, en Centrafique, au Gabon, au Cameroun...les populations civiles. Mais dans ces pays là, les dictateurs sont très dociles et obéissants. TotalFinaElf, Texaco, Exxon, BP, Bolloré, Bouygues, EDF, GDF-Suez, Coca-Cola...y font de bonnes affaires.
Mais là où l’espoir est permis c’est que les peuples -ceux qui veulent vraiment faire le changement et construire une nation démocratique- finissent toujours par recouvrer la mémoire. Et là, lorsque va débuter la résistance populaire contre les occupants ou les pilleurs étrangers, l’Occident nous parlera du terrorisme islamique. -
Cher monsieur, merci de vous soucier de mes facultés de discernement. J’ai un médecin qui me suis, je suis certain qu’au moindre signe, il n’hésitera pas à m’envoyer consulter un psy ou un un spécialiste. - :)
Pour le reste, je vous laisse à vos sophismes cachés sous les questions que vous formulez. En les formulant, vous avez vous-même les réponses.Ce que je puis vous dire, à propos des élections, c’est qu’elles seules ne suffisent pas à faire d’un pays une démocratie. Vous savez comment les élections sont régulièrement organisées dans de nombreux pays sans que cela apporte quelque changement que ce soit. Une des dictatures que la France soutient mordicus, par exemple en Afrique, dans un silence assourdissant, la Centrafrique vient d’organiser une mascarade électorale. Je ne vous rappelle pas le Togo où le fils d’Eyadéma a succédé à son père avec la bénédiction de la France qui a déployé en 2005, un détachement des forces Licornes basées en Côte d’Ivoire pour protéger les militaires dans la destruction des urnes http://www.youtube.com/watch?v=h7HvKEktg0U. Après ceci Faure Eyadéma est reçu à l’Elysée et dans d’autres capitales. Que direz-vous du Cameroun de Paul Biya qui vient dépenser des millions d’euro en France http://www.rue89.com/2009/08/28/43-chambres-et-42-000-par-jour-pour-les-vacances-de-paul-biya.  ;42 ans, c’est trop, oui je suis d’accord avec vous. Mais qui décide de mettre fin à ceci ? Eyadéma est mort au pouvoir après 40 ans de règne. Bongo, même chose. Biya et bien d’autres sont dans ce schéma. Que dire de Idriss Déby du Tchad maintes fois sauvé par la France ?Pour les crimes de Kadhafi, j’en ai déjà parlé ici même, la semaine passée. Renseignez-vous un peu avant d’avancer. -
Cher Monsieur, excusez-moi, que la surnatalité constitue pour ce professeur Aboubakar Namoda le problème de l’Afrique, c’est son opinion. Que cette opinion emporte votre adhésion, c’est votre droit. Le professeur a choisi de parler de cela, je le respecte. Mais, moi, j’ai choisi de parler d’autres choses.
Quant à votre liberté de vous exprimer, je ne peux l’étouffer. Simplement, comme vous l’avez dit dans votre précédent commentaire, vous avez déjà vu et commenté ce texte « délirant ». Je m’en suis dès lors aperçu que vous en souffrez et que je n’ai d’autre devoir que de compatir à votre douleur. -
« Article proprement délirant » : pourquoi le commentez-vous alors ?
« déjà vu et commenté ailleurs » : n’êtes-vous donc pas exténué de le pourchasser et venir le rattraper ici pour le commenter ?
Le terme « peuple africain » vous choque ? C’est votre problème. Bien sûr, je ne peux que vous témoigner ma sensibilité, puisque je vous ai créé un problème.
Quant à vos propos sur la surnatalité africaine, vous n’avez qu’à aller chaster les Africains. -
D’où la nécessité pour les Africains de se réapproprier leur histoire, leur environnement, leur espace et de comprendre le monde (c’est-à-dire comment les autres opèrent pour les piller et posséder leur terre, puis de les maintenir en état de servitude).
Les Africains ne pourront prendre les rênes des choses en mains que si ceux qui sont appelés à reconstruire l’Afrique sont outillés en dehors de l’école coloniale qui est gigantesque machine à déprogrammation puis de re-programmation mentales. Cette formation, à mon humble avis, ne peut être reçue que dans des écoles alternatives. -
Georges Yang
C’est votre façon de percevoir les choses. Je la respecte. -
Georges Yang
Vous avez raison de ne pas être d’accord sur la question de la paresse. Je parle bien de la PARESSE INTELLECTUELLE, celle qui fait que lorsqu’on organise des colloques, conférences, séminaires, formations alternatives pour la communauté, les Africains ne viennent pas ou les personnes qui viennent, ne se donnent pas à fond. C’est de cette paresse là dont je parle.
Voici comment cette PARESSE INTELLECTUELLE opère : " Celle-ci augmente le risque puisque lorsqu’on organise colloques, conférences ou écoles alternatives pour fournir des armes théoriques, idéologiques, matérielles voire spirituelles aux Africains dans un monde sans pitié, peu sont celles et ceux qui arrivent et se donnent les moyens pour atteindre leurs objectifs. En revanche, dès qu’il est question de célébration de fêtes, d’anniversaires, de mariages où il y a à manger, à boire, et à danser, les lieux sont pris d’assaut avec une ponctualité qui tranche avec ce qui est imbécilement appelé « l’horaire africain » à d’autres occasions.Ce refus de tout effort de réflexion autonome et organisé consolide l’incapacité pour nombre d’Africains de revisiter l’histoire de leur continent aux fins de mieux la saisir pour pouvoir ensuite la réécrire. C’est donc en toute logique qu’on s’accroche à la version falsifiée de notre histoire écrite par les maîtres et vulgarisée par les canaux de l’école coloniale, de l’église et des médias. "
Je ne parle pas d’improductivité de la population. -
Sauvage
Votre commentaire remplit de vérités, mais ce n’est pas à moi qu’il faut dire que je tombe dans des pièges des clichés. Je n ’ai pas besoin de me référer aux clichés éculées sur les Africains pour savoir ce qui est et ce qui n’est pas.
Ma très très modeste expérience de militant me suffit de savoir ce qui se passe à l’intérieur de notre peuple.
Les quelques livres que vous citez en fin de commentaire, combien de personnes les ont lus ? La guerre au Kamerun, on a en parlé à plusieurs reprises, on a organisé des conférences dessus, l’assassinat de Lumumba, Sylvanus Olympio, Cabral, Sankara et autres, je ne peux que vous dire ce que notre organisation a fait (http://lajuda.blogspot.com), nous sommes souvent invités dans quelques pays pour donner des conférences sur différentes questions concernant notre peuple, combien de personnes - bien qu’informés et ayant du temps - se sentent concernées ?
Quelques écoles alternatives sont mises sur pied ( Anibwé à Paris, Université populaire africaine à Genève...), qui y vont ? -
Ne vous en faites pas, nous savons ce pillage, nous. Puisque nous l’avons toujours décrit, dénoncé et nous tentons de nous organiser contre tout ceci. Allez sur notre blog (http://lajuda.blogspot.com) et lisez, regardez nos vidéos (http://www.dailymotion.com/relevance/search/kpogli). Ce qui nous préoccupe le plus, à présent, c’est la majorité d’Africains qui refuse de se réveiller, de comprendre et d’agir.
Quant à votre histoire de la communauté internationale, cela fait environ une dizaine d’années que nus disons qu’elle n’existe pas. Il s’agit d’une autoproclamation des 5 pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU, voire 2 ou 3 pays notamment les USA, la France et l’Angleterre. Donc, ne nous amener pas sur ce terrain. -
Indignez-vous ! C’est bien normal. Méprisez, si vous voulez bien ! C’est tout à fait possible. Seulement, la paresse intellectuelle dont il est question ici n’est pas celle que les d’autres peuples ont fabriqué pour justifier l’injustifiable commis sur les Africains.
Pour plus de clarté, j’ai bien expliqué ce que j’entends par là :
"Un autre élément qui fait peser sur les Africains le risque d’un retour dans les fers est la paresse intellectuelle. Celle-ci augmente le risque puisque lorsqu’on organise colloques, conférences ou écoles alternatives pour fournir des armes théoriques, idéologiques, matérielles voire spirituelles aux Africains dans un monde sans pitié, peu sont celles et ceux qui arrivent et se donnent les moyens pour atteindre leurs objectifs. En revanche, dès qu’il est question de célébration de fêtes, d’anniversaires, de mariages où il y a à manger, à boire, et à danser, les lieux sont pris d’assaut avec une ponctualité qui tranche avec ce qui est imbécilement appelé « l’horaire africain » à d’autres occasions.Ce refus de tout effort de réflexion autonome et organisé consolide l’incapacité pour nombre d’Africains de revisiter l’histoire de leur continent aux fins de mieux la saisir pour pouvoir ensuite la réécrire. C’est donc en toute logique qu’on s’accroche à la version falsifiée de notre histoire écrite par les maîtres et vulgarisée par les canaux de l’école coloniale, de l’église et des médias. "
Pour d’autres détails, http://lajuda.blogspot.com/ -
Merci pour votre commentaire.
Comme vous pouvez le constater dans deuxième paragraphe du texte, les africains n’ont jamais quitté les chaînes. Ces chaînes sont là dans les têtes et dans d’autres éléments que vous citez notamment la dette, le choix des dirigeants, une agriculture d’exportation au détriment de celle de subsistance...etc.
Pour ce qui est des pantins de dirigeants africains, veuillez lire ceci ( L’Afrique est-elle condamnée à être perpétuellement violée par l’Occident ? ici http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/l-afrique-est-elle-condamnee-a-44385) et écouter quelques unes de ces conférences http://www.dailymotion.com/relevance/search/kpogli).
Merci -
Eh ben, vous n’avez qu’à relire « le pangermanisme national-socialiste ». Demander à l’Afrique de s’occuper de ses enfants a un lein avec le pangermanisme national-socialiste. Je suis attéré par cette comparaison. Ne dit-on finalement que comparaison n’est pas raison ?
Dire que les pays qui se jettent aujourd’hui sont les mêmes qui factuellement et historiquement l’ont méprisé, appauvri et soumis à des dictatures les plus retrogrades, c’est du pangermanisme .......etc..... Comme quoi les français sont incapables de supporter la critique surtout celle venant des citoyens de pays que la France autoproclamée « pays des droits de l’homme » humilie et méprise. Ce nationalisme qui frise le chauvinisme ne s’apparente pas justement à ce pangermanisme national-socialiste., n’est-ce pas ? -
Pathétique sa petite francitude. Son raisonnement à deux balles réflète sa petitesse. Je n’ai pas écrit un appel aux dons. Cela montre qu’il n’a rien compris du texte qui prétend commenter.
Contrairement à ce qu’il croit, ce site est fréquenté pas que par les français. Et mon appel à l’action en direction d’Haïti ne s’adresse pas du tout à ceux qu’il croit. Visiblement il ne sait pas lire.
Projet ??? De quel projet, il parle ?? Parcequ’il croit que quand on écrit un texte sur Haïti - en ce moment- on le fait pour un projet ?? D’où sort-il ?
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération