@tashrin
Accrochez-vous à ce que vous pouvez trouver pour avoir le dernier mot.
Si c’est cela votre préoccupation intellectuelle, alors soyez rassuré, car je vous laisse non seulement le dernier mot, mais aussi le pénultième et l’antépénultième. Vous êtes royalement comblé là ... !
@tashrin
Visiblement, vous n’avez pas compris le sens de la phrase, en raison du fait que des mots comme « d’aucuns », « exhaussement » et « inhérente » ne font pas partie de votre capital lexical.
À cet égard, l’on se demande comment vous faites pour juger ce que vous ne comprenez pas.
Mais, vous avez raison de parler de termes alambiqués et de vous abstenir de consulter un dictionnaire. À quoi bon ? De toute façon, pour satisfaire votre pitance intellectuelle, je vais de ce pas plaider auprès de l’académie française la conjurant de supprimer tous les mots alambiqués de tous les dictionnaires. Ce langage ne sert à rien, in fine, à part importuner le vulgum pecus (pardon, je veux dire l’homme ordinaire) dans sa quiétude mentale et dans le confort de sa simplicité.
La phrase dit que pour certains chercheurs, c’est l’organisation de l’enseignement selon différents niveaux (primaire, secondaire, etc.) qui engendre la difficulté scolaire. Plus on grimpe dans les niveaux de scolarité plus l’apprentissage devient difficile (le programme de la terminale est plus difficile que celui de la dernière année du collège, le collège plus compliqué que l’enseignement élémentaire, etc.).
Ça vous va maintenant comme platitude de l’expression, puisque vous avez l’air de ne pas supporter un langage universitaire ?
Visiblement, vous n’avez pas compris le sens de la phrase, en raison du fait que des mots comme « d’aucuns », « exhaussement » et « inhérente » ne font pas partie de votre capital lexical.
À cet égard, l’on se demande comment vous faites pour juger ce que vous ne comprenez pas.
Mais, vous avez raison de parler de termes alambiqués et de vous abstenir de consulter un dictionnaire. À quoi bon ? De toute façon, pour satisfaire votre pitance intellectuelle, je vais de ce pas plaider auprès de l’académie française la conjurant de supprimer tous les mots alambiqués de tous les dictionnaires. Ce langage ne sert à rien, in fine, à part importuner le vulgum pecus (pardon, je veux dire l’homme ordinaire) dans sa quiétude mentale et dans le confort de sa simplicité.
La phrase dit que pour certains chercheurs, c’est l’organisation de l’enseignement selon différents niveaux (primaire, secondaire, etc.) qui engendre la difficulté scolaire. Plus on grimpe dans les niveaux de scolarité plus l’apprentissage devient difficile (le programme de la terminale est plus difficile que celui de la dernière année du collège, le collège plus compliqué que l’enseignement élémentaire, etc.).
Ça vous va maintenant comme platitude de l’expression, puisque vous avez l’air de ne pas supporter un langage universitaire ?
@Seth
Je ne sais pas pourquoi le mot « producteur » porte un « s ». Vous n’avez écrit que très peu de mots, et déjà une erreur...
Mais bon, ce n’est pas bien grave : c’est une coquille qui arrive à tout le monde. N’est-ce pas ?
Au fait qu’avez-vous à dire sur le sujet ? Car, quand bien même le style rédactionnel vous serait inaccessible, vous n’allez tout de même pas soutenir que le titre est lui aussi abscons ? Ne voyez-vous pas que sa clarté est éclatante ? Alors que pensez-vous de cette problématique ? Il faut bien reconnaître que votre commentaire nous laisse sur notre faim.
Par ailleurs, s’attendre à des avis élogieux ne fait pas partie des
préoccupations de l’auteur. Ce qu’il souhaite c’est un échange intelligent avec
des interlocuteurs qui ont un niveau d’instruction au moins du second cycle
universitaire ou, à défaut, une culture autodidacte de bon aloi.
@Eric F
En toute honnêteté, je ne dispose d’aucune statistique sur la tendance relative à ces capacités en fonction du milieu socio-culturel. Au demeurant, je ne pense même pas qu’elle existe.
Mais, si l’on se fie à l’analyse de P. Bourdieu, la classe favorisée véhicule le contenu culturel que le système scolaire rend légitime en l’institutionnalisant. Dès lors, on peut estimer (sans être franchement catégorique)
qu’il y peut y avoir une forte corrélation entre la culture des milieux aisés et la fréquence d’un potentiel intellectuel au-dessus de la moyenne.
Enfin, il va de soi que lorsqu’un potentiel cognitif rencontre un environnement stimulant et donc favorable, ce dernier constitue un ferment particulièrement actif et influent quant l’efficience de ces capacités naturelles. Et voilà qui finit par donner l’impression qu’un potentiel cognitif de bon aloi a plus de chance d’apparaître dans un milieu favorisé.
@Eric F
Bonsoir et merci pour votre commentaire.
En réponse à votre apostrophe, il n’est pas si compliqué de deviner cette propension à reconnaître la prééminence de l’inné dans cette affaire de la cognition (capacité de connaître et d’apprendre), comme le fait -au demeurant- la science elle-même. Sinon, comment expliquer la réussite scolaire de certaines élèves issus des classes populaires, malgré l’impact de leur environnement économique, social et culturel ? Enfin, il y a plus de détails dans le texte.
Bien à vous.
@ilias
Encore une fois, je vous
remercie infiniment. Et cette fois c’est pour saluer l’effort de vulgarisation que vous avez fourni. Il a
le mérite de redire en très peu de mots l’essentiel d’une réflexion de 10
pages.
Par ailleurs, je trouve votre remarque concernant ce « pour qui veut le lire attentivement » (sic) d’un raffinement particulièrement exquis. En effet, beaucoup de gens sont dans cet état d’esprit. En général, brillants par une capacité de lecture excédant rarement une demi-page, ils préfèrent, pour masquer leur inculture et leur indigence intellectuelle, recourir à la critique impertinente, où le hors-sujet le dispute à la médiocrité langagière, et à l’attaque ad hominem. Que voulez-vous ? Ainsi va le monde.
Amicalement.
@C BARRATIER
Je ne sais pas comment qualifier votre propos à part de dire qu’il est complètement décousu. Vous parlez de plusieurs choses à la fois, sans que l’on aperçoive ne serait-ce qu’un semblant de ligne directrice ou le début du commencement d’un lien logique entre les différentes digressions, où l’à-peu-près le dispute à l’inconsistance intellectuelle et à l’indigence culturelle.
Quant à la médiocrité de votre expression (L’enfant en classe n’ay est pas venu de son propre gré, au départ, il se trouvait bien chez lui. Surtout avec la télé. (Sic)), elle suscite, si ce n’est l’hilarité, à coup sûr condescendance et commisération. Ça vous arrive de vous relire ?
Et que dire de ce salmigondis « Auxiliaire du maïtre : sa méthode pédagogique. Freinet l’avait compris » (sic) ? Que vient faire ici Freinet et Montessori ? Les connaissez-vous réellement ? Savez-vous ce que c’est le mouvement d’Éducation nouvelle ? Connaissez-vous ses protagonistes ? Et quand bien même vous en auriez quelques approximations épistémiques, qu’est-ce qui justifie leur invocation hic et nunc ?
Je ne sais pas quel est votre niveau d’instruction, mais -visiblement- vous avez beaucoup de chemin à parcourir. Et d’abord, prenez un peu soin de vous informer avant de débiter inepties et autres calembredaines. Il n’est pas très difficile, par exemple, de savoir que c’est L. Jospin qui a crée les IUFM, par une loi éponyme en 1989, et non M. Daniel Bancel qui n’était qu’un simple recteur. À cet égard, WIKIPEDIA vous aurait été d’un grand secours, au demeurant.
Par conséquent, qu’avez-vous compris à ce texte ? Êtes-vous bien armé intellectuellement pour saisir sa sémantique et accéder au substrat de son contenu ?
Bonjour et merci pour la finesse de votre propos.
En effet, vous êtes, pour l’instant, le seul qui a vraiment fait un commentaire sur le sujet et rien que le sujet.
@averoes
Mea culpa. Voici la correction :
« ... celle-ci s’adresse peut-être à une autre catégorie de personnes, dont vous ne faites probablement pas partie... ».
Bonne journée.
@eau-mission
Bonjour.
Je tiens d’abord à vous remercier pour la finesse de votre remarque.
En effet, comme on peut le constater souvent, nombreux sont les profanes qui osent émettre un jugement dans un domaine de la pensée où ils n’ont pas la moindre formation, ni n’en maîtrisent le moindre concept.
D’où leur vient cette outrecuidance ? Selon ma modeste opinion, leur impudence naît en général du fait que le sujet dans lequel ils osent fourrer leur nez relève d’une science humaine (sociologie, psychologie, économie...). Le problème c’est qu’ils ne s’intéressent pas au sujet en demandeurs d’informations, mais en experts. En revanche, l’hermétisme d’une science exacte (surtout les mathématiques ou la physique) constitue une barrière naturelle contre les entreprenants infatués.
@SilentArrow
Désolé si la profondeur sémantique et la construction rédactionnelle du texte vous paraissent impénétrables. En fait vous n’avez même besoin de vous en plaindre : la qualité de votre expression le dit sans ambages.
Par ailleurs, vous avez tout à fait le droit de penser ce que vous voulez d’une production intellectuelle ; mais ayez au moins la circonspection minimale pour comprendre que celle-ci s’adresse peut-être à une autre catégorie de personnes, à laquelle vous ne faites probablement pas partie, eu égard à la valeur de votre réaction.
Bon courage..
Bonsoir.
Et merci pour votre commentaire.
Pour revenir au sujet, il va de soi qu’il ne s’agit nullement de prétendre énoncer une règle statutaire, une loi générale ou un principe de fonctionnement figé qui s’appliquerait sur toute sorte de plateforme de discussion sur Internet. Il s’agit simplement de dire que ce concept bourdieusien (l’habitus) permet, à certains égards, de faire une lecture sociologique du phénomène.
Bien à vous.
@SilentArrow
Bonjour.
D’abord, merci pour votre intervention.
Ensuite, pour répondre à votre question, j’aimerais apporter une considération lexicale pour rester précis : dans cette modeste réflexion, je ne parle pas de professeurs médiocres (l’épithète n’ayant jamais été utilisée), mais de techniciens de l’apprentissage ; c’est -à-dire des personnes qui ont vision pratico-pratique (terre-à-terre) du métier, dans la mesure où ils ne considèrent jamais la connaissance pour elle-même.
Pour vous en apercevoir, il suffit de fréquenter leurs plateformes d’échanges et vous verrez quels sujets constituent leurs principales préoccupations.
Par ailleurs, le texte ne parle pas non plus de relativité, mais de relativisme. À ma connaissance, ce n’est pas le pendant conceptuel de la relativité d’Einstein, mais simplement une posture intellectuelle qui consiste à penser qu’il n’y a pas de vérité universelle et que tous les discours se valent.
Bien à vous.
@SilentArrow
Bonjour.
En réponse à votre question, j’ai appris les principes et les règles de la grammaire de texte pendant ma formation d’enseignant. Et, pour combattre l’oubli, je continue toujours de mettre le nez dedans, notamment quand j’entreprends le projet de rédiger un billet de blog ou un livre.
Bien à vous.
@averoes
Désolé, il faut lire : « Avez-vous lu... »
@beo111
Bonjour.
Avez-vu lu le texte dans son entièreté pour comprendre ce que cette exigence implique comme complications et contraintes ? Est-ce à la portée d’un enfant de 10 ans de produire un texte cohérent et structuré chaque semaine ?
Bien à vous.
@Com une outre
Bonjour.
Je ne sais pas si vous avez lu le texte dans sa totalité (je reconnais bien le caractère fastidieux de sa longueur), mais il ne s’agit pas de la grammaire traditionnelle (grammaire de phrase), mais de la grammaire de texte (elle est expliquée dans l’article), celle qu’il faut maîtriser pour prétendre pouvoir écrire... Ensuite, la phrase que vous avez citée n’est pas une affirmation, puisqu’elle commence par « si ».
Bien à vous.
@SilentArrow
Bonjour.
Merci pour avoir signalé la coquille. En effet, quand on est attentif, on doit écrire « le ver ».
Ceci dit, je ne pense pas que le qualificatif « querelle de profs » soit une désignation appropriée pour qualifier le propos. Il s’agit simplement de dénoncer une sorte d’obstruction à l’élévation intellectuelle. Et le fait que celle-ci soit l’œuvre d’une petite clique de modérateurs d’un forum pour enseignants rend la situation encore plus incongruente.
Bien à vous
Bonjour.
Merci pour l’intérêt porté à cette modeste réflexion. Mais, je me demande un peu si la lecture est allée au bout du texte.
Bien à vous.
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