Oui, je n’adhère en effet à aucun parti pris définitif.
Je me moque donc de savoir que l’association politisée soit étiquetée de gauche, de droite, du dessus, du dessous, du devant ou... du derrière...
De surcroît, l’étiquette est souvent contradictoire, que ce soit d’ailleurs celui qui est qui se la mette ou si que ce soit celui qui se revendique ne pas en être qui la lui mette...
Par exemple à propose de l’auto-proclamée « ligue des droits de l’homme » de cujus, je n’adhère pas davantage à l’idée qu’elle s’est mise de représenter les droits de l’homme qu’à l’idée qu’elle soit de gôche, comme vous la lui mettez.
Quand le dernier dualiste, ayant ainsi mis fin à sa souffrante contradiction, aura cessé de se mettre des étiquettes à ce qu’il croyait être et d’en coller à ce qu’il rejetait, le jugement dernier (dernier collage d’étiquettes) aura ainsi été accompli.