Un immense parti ou plutôt un immense... imparti ?
La question ne pourrait-t-elle pas être, précisément, de prendre conscience qu’il y aurait autre chose, une (autre) Vue - qui ne serait pas rien - au-delà de la pensée limitée - et donc illusoire - des partis pris se chamaillant les uns contre les autres jusqu’à... leur mort à tous ?
Si le mort n’existe pas, si la morte n’existe pas... la mort existe-t-elle ?
L’initiative « démocratie réelle » est tout sauf un emplâtre sur une jambe de bois.
Les candidats semblent en effet être les seuls à avoir presque parfaitement compris leur rôle de représentation.
Par l’exercice du mandat qu’ils proposent, ils annuleraient complètement toute la perversité imputée au système alors qu’elle ne réside que dans l’esprit et l’usage qu’en ont et qu’en font les uns (électeurs et abstentionnistes) aussi bien que les autres (candidats et députés)...