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L’origine de la Peur

Nous sommes séparés les uns des autres, séparés de l’Esprit d’Unité par le sentiment d’Individualisme qui est propice à l’élévation individuelle des talents et des forces mais qui conduit chaque personne à garder ses forces pour elle-même au lieu de la mettre au service de l’élévation collective comme c’est le cas des autres espèces sociales.

L’individualisme se pose d’abord sur le chakra Manipura mais il peut teinter les autres chakras et créer une membrane mentale et énergétique attirant l’énergie des autres sur soi afin de maintenir un haut degré de luminosité. Cette fausse lumière est le reflet de l’énergie d’admiration et d’envie envoyée par les milliers d’autres, c’est le but des stars et des gourous qui accaparent l’attention afin de conserver un degré élevé d’énergie et de bénédictions. Dés que l’énergie est altérée, qu’elle manque ou se trouve désalignée, la confiance en soi est immédiatement affaiblie, ce qui déstructure la volonté.

La peur est issue du manque de confiance en nos propres forces : soit que l’on soit vraiment dévitalisé (malade) soit que l’on ne se sente pas capable de surmonter les obstacles (déprime mentale).

Quoi qu’il en soit toutes les peurs sont parentes ; elles naissent de la vibration d’inquiétude, une « mise sur le qui-vive » servant à rester alerte. C’est un résidu de l’instinct de survie, pour ne pas être surpris et avoir un temps d’avance sur les évènements.

Le véritable problème est que l’individualisme de quelques uns n’a pas effacé l’instinct grégaire de la population. Ainsi, nous choisissons pour nous représenter des hommes ou des femmes qui se montrent psychologiquement stables et confiants même en période de stress ; cependant en déléguant notre pouvoir aux autres nous sommes dépendants de la confiance que nous leur accordons. Sachant que l’ensemble des drames vient de la trahison de la confiance, on comprend qu’il est difficile de véritablement donner sans risquer des déceptions.

Tandis que l’on renforce les institutions et les administrations dans le but avoué de simplifier les relations entre les Etats et les populations, un sentiment d’enfermement et d’insécurité grandit

Car avec le vieillissement de la population européenne, les forces énergétiques qui servent à s’adapter sont diminuées et le besoin d’une sécurisation venant de la société se renforce.

Nous vivons un temps de paix où tous les risques ont été diminués, la vie est plus sécuritaire, organisée et contrôlée que jamais auparavant malgré tout cela la peur n’a pas disparue car le pouvoir personnel est proportionnellement restreint par l’organisation collective.

Nous avons créée une société où tous les échanges sont basés sur l’argent –y compris au sein des familles- le prisme de l’argent défini la valeur que l’on attribue à l’Amour.

Au départ, nos institutions s’appuyaient sur l’Idéal, sur la conscience des Droits et sur le développement des valeurs humanistes. Aujourd’hui aucun état n’est en mesure de défendre cet Idéal puisque le pouvoir est transmis aux banques privées et aux fonds internationaux donc trans-constitutionnels (n’appartenant à aucune constitution particulière donc non soumise aux Droits des Etats) Nous sommes donc prisonniers de nos besoins fondamentaux, prisonniers sans prisons, mais avec des droits subtilement effacés par la coutume de l’argent.

Dans 20 ans, à ce rythme-là nous souviendrons- nous d’avoir connu un temps sans carte de crédit ?

Pourrons-nous nous déplacer sans être filmés, marqués par des puces informatiques sous la peau ou bien sur notre carte bancaire, ne servira-t-elle pas de carte d’identité et donc de badge d’entrée parfaitement profilée et sélective ?

Voulons-nous vraiment faire partie de ce monde ?

Aujourd’hui est le jour pour choisir autre chose !

Aujourd’hui nous devons prendre les institutions comme Principe de sauvegarde des Libertés avant de rentrer définitivement dans la dictature totalitaire de l’Argent pour lui-même.

Aucune dette ne vaut plus chère qu’un seul être humain. Lila


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5 réactions à cet article    



    • Yurf_coco Yurf_coco 17 août 2011 11:15

      L’humain n’est pas une marchandise comme les autres.

      Nicolas Sarkozy

    • Winston Smith 17 août 2011 11:19

      Le TRAVAIL humain n’est pas une marchandise comme les autre.

      -Nicolas SARKOZY


      (Il avait tort, bien sur)

    • interlibre 17 août 2011 10:44

      « Aucune dette ne vaut plus chère qu’un seul être humain »

      Il faudra faire rentrer cette idée dans le crane de nos dirigeants qui pensent à 80% le contraire ,avec des mots ou avec des pierres, le choix leur appartient encore avant qu’ils ne déclarent définitivement la guerre à leur propre peuple et leur envoi l’armée.

      • Gargantua 17 août 2011 11:36

        J’ai crue avec l’effet d’annonce de votre titre affaire à un article profond, en réalité votre diapason vibratoire des chakras est bien perturbé, je ne sais où vous voulez en venir en tout cas ce que vous dite de la peur est très superficielle et votre article finie en que de poisson. 

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