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La devise de l’Union européenne : « L’union dans la diversité » … pour rester poli … mon Q !!!

La devise de l’Union européenne : « L’union dans la diversité » … pour rester poli … mon Q !!!

Ouais ! La devise de l’Union européenne : « L’union dans la diversité » … pour rester poli … mon Q ! Je signe et je persiste.

Quelques définitions … histoire de comprendre un peu !

J’ai essayé de voir un peu clair dans cette usine à gaz qu’est l’Europe :

1 — C’est quoi le Conseil européen ?  « Le Conseil européen est une institution qui réunit les chefs d'État ou chefs de gouvernement des vingt-huit (27 vu que l’Angleterre ne fait plus partie) états membres de l'Union européenne, sous la tutelle d'un président chargé de faciliter l'apparition d'un compromis. » [1]

2 — Comment est nommé le président du Conseil européen ? Autrement dit celui qui va remplacer l’inénarrable Junker.

« [2] L'article 17 du traité sur l'Union européenne, amendé par le traité de Lisbonne, détermine la procédure de nomination du président et de son équipe : dans un premier temps, le Conseil européen désigne, à la majorité qualifiée, un candidat à la présidence de la Commission « en tenant compte des élections au Parlement européen, et après avoir procédé aux consultations appropriées ». Le Parlement européen doit ensuite élire ce candidat « à la majorité des membres qui le composent » (soit 376 voix sur 750 membres). Le Conseil doit ensuite adopter, en accord avec le président, une liste de candidats aux postes de commissaire (un par État membre). Le candidat doit alors faire approuver, en accord avec le Conseil, son équipe et son programme par le Parlement. Enfin, le président et son équipe sont nommés à la majorité qualifiée par le Conseil."

Si je ne suis pas trop largué, cela veut dire qu’actuellement, le Conseil européen avec sa ribambelle de chefs d’État et Jupiter ou « Jupy-t’es-rien » en personne discutaillent en se crêpant le chignon pour élire ce président du Conseil :

En lice, pour le Plan « A » quatre noms sont sortis pour le moment du chapeau :

— L’allemand Manfred Weber.

— Le néerlandais Frans Timmermans.

— La danoise Margrethe Vestager.

— Le français Michel Barnier.

Notons des plans : « B, C, D, […] X, Y, Z » qui seraient prêts à sortir d’autres chapeaux.

[3] Les bruits de couloir :

— Christine Lagarde : Directrice générale du Fonds monétaire international depuis 2011, elle ferait partie des personnalités régulièrement évoquées.

— Angela Merkel : Elle a dit ne pas briguer un cinquième mandat à la tête de l'Allemagne. Il semblerait toutefois irréaliste que la chancelière allemande passe directement de Berlin à Bruxelles.

Pour les libéraux : trois Premiers ministres : le Néerlandais Mark Rutte , le Belge Charles Michel et le Danois Lars Lokke Rasmussen.

Pour les socialistes : le Premier ministre portugais Antonio Costa.

Pour les conservateurs : La présidente lituanienne, Dalia Grybauskaite.

Et d’autres encore et encore : l'ancienne Première ministre danoise Helle Thorning- Schmidt, la directrice de la Banque mondiale Kristalina Gueorguieva, le ministre des Affaires étrangères espagnol Josep Borrell.

Et…cerise sur le gâteau, notre ministre de l'Économie français : Bruno Le Maire. Vous savez, ce ministre de l’Agriculture qui ne savait pas combien 1 hectare fait de mètres carrés. Ouais ! Je ne déconne pas ! Et re-ouais, parce qu’en ce moment vous êtes en train de vous gratter la tête et vous dire :

— Mais, ce n’est pas possible, ce mec est ministre du Budget ; notre budget !

Bonjour les dégâts, n’est-ce pas !? On comprend tout ; pas besoin de FREE !

Quand je dis qu’en huis clos ça discutaille et ça se crêpe le chignon je n’exagère pas. Notre bien-aimé « Timonier », ce lundi premier juillet 2019, l’exprime on ne peut mieux en termes diplomatiques :

« Nous avons terminé cette journée sur un échec, c'est une très mauvaise image pour le Conseil et l'Europe. » […] « Cet échec est lié aux divisions et parfois à des ambitions personnelles qui n'avaient pas lieu d'être autour de la table. Il faut avoir des réunions mieux préparées. Tout ce processus a été mal pensé. »

Connaissant Macron, il doit avoir « les boules ». Lui qui pensait être « l’homme providentiel de l’Europe ». Celui qui allait prendre par la menotte Poutine, la Merkel et Trump et les amener dans un EHPAD pour VIP. Lui qui pensait, après s’être débarrassé de ces antiquités, prendre la direction de la START-UP EUROPE et pourquoi pas MONDIALE ? Oui, pourquoi pas ; j’ai bien dit « MONDIALE » ?! N’a-t-il pas été élu « Champion de la Terre » et « Champion du climat » !

Paraît-il que « … c'est à ce moment-là d'ailleurs qu'il réalisa un joli coup et marqua les esprits en lançant son célèbre « Make our planet great again » (rendons notre planète plus grande) en imitant le slogan de campagne de Trump « Make America great again » ». Vous voyez bien que je ne dis pas des conneries !

Parlons de quelqu’un qui parlait sérieusement et pas comme Macron…

Il s’agit de De Gaulle qui, quand il s’agissait de l’ONU, il disait : « Le machin. » Et, il précisait :

« L'ONU est une arme dans la main des grandes puissances qui s'en servent pour maintenir les plus faibles dans la servitude ».

Pour De Gaulle, l’OTAN, comme l’ONU était aussi « Le machin ». Il était encore plus précis sur l’Europe :

« C'est bien sur l'Europe qu'il vous faut compter, pour vous, vos enfants, pour les leurs. À cet égard, me permettrez-vous une dernière confidence ? Je suis conduit à penser que l'Europe n'est pas encore née. C'est bien certain au moment où j'écris ces lignes, mais ce sera également vrai lorsque vous les lirez. L'Europe ne pourra naître et se développer que lorsqu'elle se sera affranchie de sa tutelle américaine. Il sera nécessaire, un jour, qu'un dirigeant européen désolidarise sans ambiguïté son pays du mortifère convoi de Washington. Les autres suivront, pardi ! Il remettra l'OTAN en cause, ce machin ô combien inutile, et même dangereux  ! Il annoncera une ère nouvelle, où l'Europe, en matière diplomatique et militaire, parlera d'une seule voix : la sienne, que la chambre capitulaire des affaires du monde accueillera enfin, au côté de celle des États-Unis, qui, pour ne pas être remise en cause, ne doit pas demeurer la seule audible. »

On voit bien que dans cette déclaration, De Gaulle met dans le même sac :

— L’union européenne,

— l’OTAN,

— Et les Américains.

Parlons de Mitterrand au sujet des Américains…

Voici les dernières paroles de Mitterrand, après 14 années passées à l’Élysée, et quelques semaines avant de mourir. Paroles où il livra son testament politique aux Français :

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »

Parlons de quelqu’un d’autre qui parle comme De Gaulle et Mitterrand dans ses derniers jours… Donnons-lui la parole, bon sang !

François Asselineau

« La construction européenne et l’OTAN sont les 2 faces d’une même médaille : la face civile et la face militaire qui est la médaille de l’asservissement et de la colonisation par la grande puissance américaine. »

Il s’est passé ce que nous constatons maintenant. C’est-à-dire une tour de Babel ingérable devenue un glacis géopolitique américain. Et nous sommes en route vers le désastre absolu de notre nation. À cause de cette guerre invisible, cette guerre inconnue dont parlait Mitterrand ; une guerre nouvelle de type totalement inconnu.

En 1962, nous avions l’Europe des 6 où la France était au centre des opérations

En 1973, c’est l’Europe des 9, avec l’entrée du Royaume-Uni, de l’Irlande et du Danemark où le centre européen se déplace vers le Nord.

En 1981, c’est l’Europe des 12, avec l’entrée de la Grèce, de l’Espagne, du Portugal, le centre se rééquilibre vers le sud.

Et chaque fois, la France pèse de moins en moins dans la balance européenne.

En 1995, c’est l’Europe des 15, avec la Suède, la Finlande et l’Autriche. Insensiblement, les pays anglophones ou ayant recours facilement à la langue anglaise se substituent à la France et à la langue française.

En 2004, c’est l’Europe des 25 avec 10 nouveaux pays de l’Est. En 2007, c’est l’Europe des 27 avec l’entrée de la Bulgarie et de la Roumanie.

À chaque fois, les E-U sont là pour faire entrer de plus en plus d’États. Vous comprenez à quel point le bobard que l’on vous raconte sur le fait que l’Union européenne fait la force est une monstruosité.

C’est facile à comprendre mathématiquement. Pourquoi ? Avec 27 pays, l’UE comprend 500 millions d’habitants. Les États-Unis 308 millions. Si, effectivement, il fallait avoir le plus grand nombre d’habitants possible pour peser, alors les Américains feraient tout pour empêcher le développement de l’UE. Ils feraient entrer dare-dare le Canada, le Mexique, le Venezuela, le Panama, le Costa Rica dans les États-Unis d’Amérique. Ce n’est pas du tout ce qu’ils font ! Le long du Rio Grande dans la frontière, entre les États-Unis et le Mexique, ils tirent à vue sur les Chicanos qui veulent entrer aux États-Unis. C’est une des frontières les plus dangereuses du monde ! S’ils imposent à l’Europe ce qu’ils se gardent de faire pour eux, cela prouve la stratégie d’affaiblissement et de vassalisation de l’Europe à leur profit.

[…] Pourquoi est-ce que j’ai créé ce mouvement politique le 25 mars 2007, le jour même du 50ième anniversaire du traité de Rome ? C’est pour appeler les Français à en sortir et pour imposer qu’on ait le droit d’en reparler, qu’on ait le droit de débattre parce que nous sommes dans une démocratie où on a le droit de parler de tout, de toutes les idées politiques et de les combattre s’il le faut.

Oui, donnons-lui SVP la parole !

 

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10 réactions à cet article    


  • Séraphin Lampion Séraphin Lampion 2 juillet 2019 14:07

    la devise de l’UE, c’est l’Euro

    la devise des USA, c’est le dollar

    bientôt, la devise du monde unifié par le N.O.M., ce sera le Libra

    tout le reste n’est que bavardage, péripéties et stratagèmes pour y arriver


    • Séraphin Lampion Séraphin Lampion 2 juillet 2019 19:21

      @Positronique

      eh non, ma devise n’est pas TPMG, mais MOC : mort aux cons !


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 3 juillet 2019 01:09

      @Séraphin Lampion
      « eh non, ma devise n’est pas TPMG, mais MOC : mort aux cons ! »

      Resiste !
       smiley


    • BA 2 juillet 2019 19:29

      Raymond Barre a passé sa vie à donner des leçons de morale aux Français. Raymond Barre était un européiste, vice-président de la Commission Européenne de 1967 à 1973, puis premier ministre de la France. Raymond Barre a toujours fait campagne en disant qu’il était sérieux, intègre, honnête. Aujourd’hui, le Canard Enchaîné révèle que ce professeur de morale avait caché 6,78 millions d’euros en Suisse. Les hommes politiques français sont les plus pourris d’Europe. Mais ça, on le savait déjà. Quand un européiste vous donnera une leçon de morale, fusillez-le.


      https://www.estrepublicain.fr/france-monde/2019/07/02/raymond-barre-aurait-cache-de-l-argent-en-suisse


      • BA 2 juillet 2019 23:20

        Deux questions se posent, qui pourraient faire exploser les partis politiques du centre et de la droite.

        Raymond Barre est mort en 2007. Où avait-il trouvé les 7 millions d’euros qu’il avait cachés en Suisse ?


        Dans Le Canard Enchaîné, cette phrase ahurissante datant de la fin 2013 : « Il y a une personnalité toujours en vie qui pourrait être éclaboussée par cette affaire si l’existence du compte suisse était révélée. »


        C’est qui ?


        Hein, c’est qui ?


        Selon l’hebdomadaire satirique, à la fin de l’année 2013, l’avocat des enfants de Raymond Barre est entré en contact avec les services fiscaux affirmant que ses clients souhaitaient régulariser leur situation en échange d’une promesse de n’engager aucune poursuite pénale. Son argument : « Il y a une personnalité toujours en vie qui pourrait être éclaboussée par cette affaire si l’existence du compte suisse était révélée. »


        https://www.lepoint.fr/politique/la-fortune-secrete-de-raymond-barre-decouverte-en-suisse-02-07-2019-2322290_20.php



        • dr.jambon-beurre dr.jambon-beurre 3 juillet 2019 00:06

          Je n’aime pas trop le personnage mais j’avoue que pour un gaulliste, c’est lui le plus proche des idées du général, bien qu’il soit à des années lumières d’en avoir la carrure.

          Je trouve FA trop anglolâtre, il fait souvent référence aux anglais comme si c’était pour se dédouaner de taper sur le gouvernement ricain. Mais ses conférences sont vraiment extra. Heureusement qu’il est là quand même, il a fait progresser certaines idées même s’il est invisible pour les téléspectateurs, et notamment au sein de la FI et du FN. C’est un empêcheur de tourner en rond, merci à lui.


          • L'Astronome L’Astronome 3 juillet 2019 07:30

             

            La devise de l’Union européenne : « L’union dans la diversité »

             

            Réponse : La connaissance conduit à l’unité comme l’ignorance mène à la diversité (Râmakrishna).

             


            • VOMCANDIDE VOMCANDIDE 3 juillet 2019 08:52

              @L’Astronome
              Merci, je note la citation, très intéressante : je la resservirais...


            • BA 3 juillet 2019 09:48

              1974 – 2019 : pendant 45 ans, la propagande européiste nous a menti au sujet de trois personnalités politiques « honnêtes ».


              A partir de 1974, la propagande européiste nous a expliqué que les partis politiques centristes étaient dirigés par trois personnalités exceptionnelles : l’honnête Raymond Barre, l’honnête Valéry Giscard d’Estaing, l’honnête Simone Veil. Or, aujourd’hui, un article historique du Canard Enchaîné nous révèle que les valises remplies de billets de banque circulaient discrètement à l’intérieur de ces partis centristes. La question est maintenant la suivante : avec quel argent Valéry Giscard d’Estaing a-t-il acheté le magnifique château d’Estaing, dans le département de l’Aveyron, en 2005 ?


              Nous, à l’UPR, nous allons devoir tirer sur le fil du mensonge, et tout va venir. Tous les mensonges seront révélés dans les années qui viennent. Trois « honnêtes » personnalités politiques étaient en réalité corrompues, pourries.


              L’européiste Raymond Barre, vice-président de la Commission Européenne de 1967 à 1973, premier ministre de la France en 1976, avait caché 7 millions d’euros en Suisse.


              https://www.estrepublicain.fr/france-monde/2019/07/02/raymond-barre-aurait-cache-de-l-argent-en-suisse


              • lala rhetorique lala rhetorique 3 juillet 2019 11:48

                L’europe avait pour but d’être une force en cas de conflit extérieur donc de guerres... et on voit bien que même les guerres sont du pipo servant uniquement les dirigeants quand les conflits internes deviennent dangereux pour eux. Mais en réalité, il s’agit plutôt de voler les peuples, de façon officielle et moralisatrice, sans être réellement élus. Bref, tous ces gens jouent à la marchande, mais à la marchande voleuse et en prime nous infligent un génocide en nous faisant bouffer des ignominies dignes du régime de Hitler (pire qu’Hitler, car lui c’était par idéologie, mais là il ne s’agit que de commerce)

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