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Accueil du site > Actualités > Citoyenneté > Les femmes sont en enfer, les hommes au paradis

Les femmes sont en enfer, les hommes au paradis

« Sans être un phallocrate, un macho, on peut vivre sa vie sans soupçonner un moment la dureté au quotidien de l'existence pour une femme. Parce qu'on est un homme dans un monde d'hommes fait pour les hommes. » C’est la parole d’un homme sur le site des EAT Ecrivains Associés du Théâtre. C’est par hasard que je cite celle-là. Vous trouvez ce récit partout. Beaucoup d’hommes se mettent à le propager, les hommes ont un grand intérêt à montrer qu’ils partagent ce point de vue parce qu’il n’y a pas de discussion possible : ou vous voyez les choses comme ça, ou vous êtes… un moins-que-rien, un nul, un masculiniste, enfin, vous devez infréquentable, ça n’existe même pas, ce n’est pas envisageable… honteux. Du coup, des hommes parlent comme ça et vantent le récit d’un homme tout puissant dans un monde d’hommes et d’une femme toute impuissante et malheureuse dans un monde où les hommes organisent qu’il n’y ait rien pour elle. C’est comme ça depuis la nuit des temps, c’est comme ça dans tous les milieux (rien ne retient les hommes de cette violence qu’ils exercent envers les femmes, ni la richesse, qui doit tout de même apporter quelques satisfactions, ni la culture). C’est comme ça partout et on n’en savait rien. Ce n’est que maintenant qu’on le dit et comme on le dit, on le voit.

Moi qui vous parle, je ne suis pas un citoyen comme vous. J’ai perdu tous mes droits, mêmes les droits écrits dans les Droits Humains, au tribunal aux affaires familiales. Les juges et leurs experts ont fait de moi un portrait en coupable. Et avec quoi je brimais ma femme ? avec mes muscles ? vous n’y êtes pas, je lui « volais son rôle de mère ». Je lui imposais et à mes enfants aussi, une « confusion de rôles parentaux ». Vous ne saviez pas ? il y a des rôles parentaux dans la loi française, les femmes s’occupent des enfants et les hommes non. S’ils le font c’est coupable. C’est l’homme qui est coupable et seulement lui ; la femme est victime.

Les juges s’y sont pris comme ça : un expert-psychiatre a « postulé » que ma mère était dépressive. Les juges savent qu’il ne l’a pas examiné et qu’il ne sait pas si elle est dépressive ou non. Selon ce psy, je suis identifié à ma mère postulée dépressive et je veux réparer ma mère postulée dépressive en donnant à mes enfants une bonne mère : moi. D’où si tout le monde voit que la mère de mes enfants s’intéresse peu à eux, c’est moi qui l’en empêche. Et c’est ma domination masculine.

Autrement dit, la loi est : l’homme a toujours tort. L’homme est toujours le bourreau de la femme. Si c’est pas par tout ce qu’on connait et dont on parle tout le temps, c’est par leurs contraires.

Je suis un homme féministe, bien que ça ne m’ai jamais intéressé de me voir comme ça. Je me suis trouvé avec une femme qui, dès le premier enfant, s’en est occupé moins que moi. Jamais je ne lui ai dit que ce n’était pas normal. Au deuxième, encore moins, plus les années passaient moins elle s’occupait des enfants. Tout cela attesté par une trentaine de citoyens, qui disent des choses précises avec dates et lieux, photocopient leur carte d’identité, sont donc susceptibles d’être accusés de faux témoignage et que les juges, ni une ni deux, ont considéré comme nul et non avenu, préférant le mensonge du psychiatre, bien que celui-ci ait bien fait savoir qu’il inventait.

D’entendre sans arrêt, le récit de femmes victimes des hommes dans toutes les circonstances et de toutes les manières augmente ma souffrance.

On est traumatisé quand, à un moment donné, on n’a pas été pris pour un être humain. J’ai vécu cela au tribunal aux affaires familiales. C’est une agression judiciaire. Ce n’est pas une erreur de la justice qui comme toute activité humaine est imparfaite. Je n’étais pas un être humain. Je parlais, je n’étais pas cru. La femme parlait et sa parole faisait preuve. Je montrais des choses, ils ne voulaient pas les regarder. Ils m’ont même fait dire des choses que je n’ai jamais pensées et jamais dites bien sûr, qui font de moi un être minable. Ça rend fou. Je suis envahi par la pensée de ces abominations. Je leur parle. « Mais pourquoi m’avez-vous fait ça ? Pourquoi avez-vous fait ça à mes enfants ? Quel mal vous avais-je fait en m’occupant des enfants ? »

Je voudrais qu’il y eut une « domination masculine ». Je ne serais pas et mes enfants ne seraient pas, dans cette privation de mes droits humains, de leurs droits humains (deux ont écrit aux juges pour dire la violence de leur mère : poubelle direct).

Je consigne les actes de ma lutte pour bénéficier de la loi française, que nous soyons libérés de la violence des décisions prises par le mensonge, évident mensonge, et que les coupables soient sanctionnés, la diffamation est en principe interdite. Dans ma vie les juges (1 en première instance, 3 en appel), les experts, l’enquêtrice sociale m’ont diffamé 100 fois, je l’ai largement prouvé, je l’ai prouvé à eux, mais ils font ce qu’ils veulent. Ils ont menti pour rendre l’homme coupable de faire ce qu’on reproche aux hommes de ne pas faire d’habitude.

Mon blog « autopsie d’une famille »

Pareil, peu de rapport avec l'article. Excuses. {JPEG}


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26 réactions à cet article    


  • Rantanplan Pink Marilyn 12 mars 2019 10:53

    Il y a plus inconnu que le Soldat inconnu : sa femme !


    • JC_Lavau JC_Lavau 12 mars 2019 12:26

      @Pink Marilyn. Il avait une femme ? Quelqu’un l’attendait ?
      Vous prouvez ça comment ?


    • troletbuse troletbuse 12 mars 2019 15:11

      @Pink Marilyn
      Et si elle était naturiste c’était vraiment un con nu.  smiley


    • Étirév 12 mars 2019 11:16

      Afin de comprendre un peu mieux l’Histoire des Femmes, rappelons rapidement les bases de l’ancien régime, c’est-à-dire celui qui existait avant le règne de l’homme  : Le régime social actuel est un dérivé lointain et une altération monstrueuse de l’ancien régime gynécocratique, qui donnait à la Femme, la direction spirituelle et morale de la Société.

      Aussi, il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.

      Il est curieux d’étudier comment cet ordre de choses a commencé, quels ont été les mobiles des premières erreurs voulues, et quels hommes, les premiers, ont eu l’audace de les écrire.

      A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants de la splendeur du régime féminin : la destruction et l’altération des textes.

      L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.

      Un roi de Babylone nommé Nabou-Assar, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire. Et cette idée devait triompher ; l’histoire antérieure au régime masculin devait, pendant longtemps, être effacée.

      Nous savons qu’une semblable idée était venue aux Romains, qui, après l’établissement d’une république qui ne laissait aucune place à la Femme, firent détruire les livres de Numa qui contenaient certainement des faits qui faisaient connaître le régime gynécocratique, encore existant à son époque.

      Il paraît également certain qu’on fit aussi détruire les monuments et les écrits des Thraces et des Volsques.

      Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne.

      Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.

      N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.

      Nous allons étudier, avec ceux qui le veulent, l’histoire cachée, falsifiée, dénaturée, afin de chercher la source lointaine de nos croyances, de nos traditions, de nos préjugés ; nous allons nous efforcer d’éclairer les hommes sur les erreurs du passé, de les rectifier et de rétablir partout le rôle glorieux de la Femme, effacé par les Prêtres de toutes les religions et les misogynes de tous les pays.

      Nous nous appliquerons surtout à révéler aux hommes de bonne foi les œuvres de l’esprit féminin, nous essaierons de leur faire connaître la science cachée, les livres condamnés. Nous sortirons de l’oubli les vérités étouffées et nous mettrons en pleine lumière l’histoire si attachante des Mystères de l’antiquité.


      • Fergus Fergus 12 mars 2019 13:14

        Bonjour à tous

        Allez, rions un peu avec MissTic qui a signé le pochoir qui illustre cet article. Parmi ses oeuvres murales, on a pu lire ceci « Mieux vaut être belle et rebelle que moche et remoche ! »

        Ô combien vrai, n’est-ce pas ?  smiley


        • Fergus Fergus 13 mars 2019 11:53

          Bonjour, Julien S

          Peut-être ne savez-vous pas que MissTic est une femme d’origine tunisienne de son véritable nom Radhia Novat —, une artiste plutôt engagée dans le féminisme ! 

          Peut-être ne savez-vous pas non plus que cette fameuse boutade est plébiscitée par les femmes qui, à juste titre, n’y voient pas la moindre allusion misogyne !


        • Fergus Fergus 12 mars 2019 13:21

          Bonjour, rpplbis

          Vous avez sans doute de bonnes raisons d’avoir écrit cet article et choisi ce titre provocateur. Et il n’est pas question pour moi de mettre en cause votre bonne foi

          A cet égard, je reconnais que s’il y a un lieu où les femmes tirent leur épingle du jeu face aux hommes, c’est dans le traitement des affaires familiales dès lors qu’interviennent des décisions relatives aux gardes d’enfants. 

          Cela dit, non, les hommes ne sont en général pas des victimes relativement aux femmes. Notre société, quoi qu’on en dise, reste très machiste, et les femmes sont encore très loin de pouvoir bénéficier d’une parité de traitement dans la plupart des cas, et notamment en entreprise.


          • troletbuse troletbuse 12 mars 2019 15:02

            @Fergus
            Parité = fumisterie
            On ne force pas une femme à prendre un métier d’homme, ni un homme un métier de femme, c’est ça la liberté. L’homme où la femme sont prédisposés à certains métiers. Je vois mal un homme avec ses grosses mains s’occuper d’un nouveau-né dans une maternité. Que faites-vous de l’instinct maternel ?
            Le seul problème entre les deux sexes est la rémurération de leurs activités. Point barre.


          • JC_Lavau JC_Lavau 12 mars 2019 15:36

            @Fergus. Il y a quelques années, une nuit d’été, ils ont refait tout le revêtement de l’avenue. Et là scandale : pas une femme à pousser les pelles d’enrobé ! Pas une femme sur les engins !

            Avant, ils avaient pavé les trottoirs. Scandale ! Pas une femme à genoux sur le pavé !

            Dans la finition de l’immeuble, pas une femme à porter les sacs de 40 kg à l’épaule dans les escaliers ! Etc.

            Vous voyez bien que Nous les femmes, on est toutes des victimes, et Nous les femmes, il faut toutes qu’on se venge !


          • troletbuse troletbuse 12 mars 2019 16:23

            @JC_Lavau
            Une femme à genoux sur le trottoir : mais elle s serait fait embarquer par les flics. Le prostitution est interdite non ?  smiley


          • Fergus Fergus 12 mars 2019 20:49

            Bonsoir, troletbuse

            Où ai-je parlé de « parité » dans les différents métiers ???

            Nulle part. Et pour cause : il est des métiers qui sont beaucoup mieux exercés par des femmes que par des hommes, et vice-versa. Simple question de bon sens.

            Je faisais juste allusion au fait que, dans de nombreuses entreprises, à qualification égale, les femmes sont de facto moins bien traitées que leurs collègues masculins.


          • troletbuse troletbuse 12 mars 2019 21:59

            @Fergus
            Faux ; Dans l’entreprise où je travaillais, les femmes étaient au même indice que les hommes avec un salaire équivalent. En revanche dans les sociétés de nettoyage où il y avaient plus de 90% de femmes, elle avaient le même salaire mais très mal payées


          • Fergus Fergus 12 mars 2019 23:53

            @ troletbuse

            Je n’ai rien dit de « faux », c’est vous qui avez des problèmes de lecture car j’ai « dans la plupart » des entreprises, ce qui ne veut évidemment pas dire toutes.
            J’ajoute à ce propos que les salaires sont égaux également dans le public à niveau de responsabilités identiques.


          • troletbuse troletbuse 13 mars 2019 12:05

            @Fergus
            Donc vous dîtes qu’il y a des hommes bons mais aussi des hommes mauvais. Vous dîtes qu’il y a des femmes bien payées et des femmes mal payées. On peut passer toute la série d’adjectifs existant dans le dictionnaire et après ?
            Pourtant, on a plutôt l’impression qu’il y a des hommes très mal payés ainsi que des femmes très mal payées. Voila la vraie égalité.


          • JC_Lavau JC_Lavau 14 mars 2019 09:28

            @Fergus J’oubliais la grande pêche. Pas une femme à bord pour ce métier de misère, exténuant. Ça prouve combien Nous les femmes, on est toutes des victimes, et qu’il faut qu’on se venge !


          • rpplbis rpplbis 15 mars 2019 16:03

            @Fergus
            « tirent leur épingle du jeu »
            Mon ex épouse n’a pas tiré son épingle du jeu. Les juges ont menti et m’ont sali pendant trente pages. ça n’a rien à voir. Ils ont violé la loi. Ils m’ont diffamé, ils ont permis à mon ex épouse de me voler 80 000 euros (en euros d’aujourd’hui) : ils ont fait semblant de ne pas savoir qu’elle avait loué en cachette de moi une chambre de bonne qui nous appartenait à tous les deux et qu’elle en encaissait le loyer seule. Ces juges sont complices d’un vol. Ils ont violé la loi, voilà e qu’ils ont fait.


          • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 12 mars 2019 21:36

            Chez certaines femmes, c’est comme les artichauts ; le cœur est sous les poils  smiley


            • JC_Lavau JC_Lavau 13 mars 2019 08:03

              Ton expert psychiatre sera toujours riche sans beaucoup travailler tant qu’il saura flagorner les préjugés de l’injuge-et-partie. L’un d’eux s’est vanté devant Pascal Dazin : « De toute façon, je conclurai dans le sens demandé par le juge ».

               

              S’il était médecin et chargé d’affirmer que tu as une maladie de foie, il serait vulnérable à une contre-expertise, mais un psychiatre est invulnérable à aucune contre-expertise : commercialement il est aux ordres, et favorisé justement parce qu’il est en pratique infalsifiable au sens de Popper, irréfutable et invulnérable en langage plus courant.

               

              Des rectorats aussi utilisent de ces calomniateurs à gages, pour disqualifier des témoins gênants et protéger des prévaricateurs et leurs réseaux. Si dans un rapport secret ils te déclarent fou dans ta tête  conformément aux ordres reçus , tu n’as aucun recours. Secret. L’EN est exorbitante et du Code du travail et du Code de la santé.

               

              Les véritables maîtres de l’appareil judiciaire sont les avocats, l’Honorable Monopole d’avocats. Eux, ils ne perdent jamais. Jamais ils ne dénoncent les fraudes d’un honorable confrère ou d’une honorable connesoeur : ils en attendent un confraternel ou un consororal retour d’ascenseur. Un client ruiné et perdu ? Pfft ! Le monopole leur en renouvelle plein d’autres, tous pieds et poings liés. Leur Ordre, juge-et-partie sait les protéger contre les clients furieux d’être escroqués.

              Voir par exemple l’avocate qui dès le premier quart d’heure ment contre son client.

              De toutes les avocates du Barreau de Valence qui ont trempé dans ce déni de justice automatisé d’avance, pas une qui n’ait menti.

               

              De toute façon, le Temple de Grande Inexactitude (TGI pour les intimes) n’est que l’abattoir final en bout de chaîne, d’une criminalité préparée largement en amont, à travers tout le Féministan médiatique, l’industrie de la calomnie misandre, qui détient aussi les ministères. Voir par exemple la propagande féminazie au gouvernement.

               

              J’oubliais : sur Gorgonavox, tous mes articles sur ce sujet sont barrés : les gorgones Méduse veillent. Je suis étonné que tu parviennes à en faire passer parfois.


              • Le Gaïagénaire 5 avril 2019 23:12

                @JC_Lavau 13 mars 08:03

                http://www.lenfantdabord.org/wp-content/uploads/2011/02/Avis-de-Berger.pdf

                Deuxième paragraphe de la page 13 de 17 :
                "Chez les pères aussi. Nous avons remarqué que chez tous les pères que nous avons reçus en expertise et qui exigeaient une garde alternée pour leur bébé, existait une pathologie plus ou moins importante : risque de dépression paternelle qui fait que l’enfant est l’objet d’un investissement « narcissique » particulier, déni de ce qu’une mère peut apporter à un enfant petit, désir de soumettre le nourrisson à un forçage éducatif précoce car « la personnalité se forme très tôt », père sous la coupe de ses propres parents qui le poussent à augmenter le temps de droit de garde paternelle au delà de ce qui est souhaitable, parfois même traits de caractère franchement pathologiques, etc. (...) Chaque fois qu’à propos d’un enfant de moins de six ans, un père exige d’avoir sa part égale d’enfant, du lieu de contacts réguliers et suffisamment fréquents pour être signifiants, il y a de fortes chances pour qu’il soit ou dans la haine, ou dans une idéologie déconnectée de la réalité. "


              • JC_Lavau JC_Lavau 6 avril 2019 19:15

                @Le Gaïagénaire. Berger est un militant sous la coupe des féminazies, dont Jacqueline Phélip. Ça m’a surpris, car il est aussi un bon prof, avec quelques aveuglements fanatiques.
                Il ignore tout de la discipline de réflexivité, et de ses transferts.


              • Le Gaïagénaire 7 avril 2019 01:43

                @JC_Lavau 6 avril 19:15

                Je suis en accord avec ce que vous écrivez.
                Il me semble, pour la « guérison » de l’auteur, qu’il doive perdre une dernière illusion.
                Berger parle au second degré, ce n’est pas encore un Pierre Mailloux.
                J’ai beaucoup d’empathie pour l’auteur.


              • Jonas Jonas 13 mars 2019 08:04

                « Les femmes sont en enfer, les hommes au paradis »

                Vous êtes musulmans ?

                L’imam Al-Bukhari (1/583) a dit : « [...] Usamah rapporte du Prophète -sal Allahou ’alayhi wa salam- qu’il a dit : “ Je me suis posté à la porte du Paradis et j’ai vu que la majorité de ceux qui y entraient étaient des pauvres. Quant aux personnes opulentes, elles furent empêchées d’entrer [et devaient attendre que tous les pauvres s’y introduisent]. Lorsque les gens de l’enfer furent jetés dans le feu, je vis que la majorité d’entre eux étaient des femmes. ”
                Rapporté aussi par Muslim (4/2236)


                • rpplbis rpplbis 15 mars 2019 16:06

                  @Jonas J’ai écrit à partir de ce texte : « la dureté au quotidien de l’existence pour une femme. Parce qu’on est un homme dans un monde d’hommes fait pour les hommes. » parce que je vois ça et j’entends ça partout et qu’un homme naïf l’a écrit crument.
                  J’ai écrit à partir de là et de rien d’autre.


                • Le Gaïagénaire 5 avril 2019 23:27

                  @l’auteur rpplbis,
                  « Les juges s’y sont pris comme ça : un expert-psychiatre a « postulé » que ma mère était dépressive. Les juges savent qu’il ne l’a pas examiné et qu’il ne sait pas si elle est dépressive ou non. Selon ce psy, je suis identifié à ma mère postulée dépressive et je veux réparer ma mère postulée dépressive en donnant à mes enfants une bonne mère : moi.  »

                  Voir mon commentaire plus bas sous JC Lavau à propos du psychiatre Berger.

                  Vous devrez admettre que les juges ont raisons, l’amont de vos problèmes c’est votre mère que vous semblez idéaliser.

                  Cordialement 



                  • rpplbis rpplbis 28 septembre 2022 17:22

                    Lettre ouverte à Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau




                    A propos de leur livre Par-delà l’androcène. Si ce que vous écrivez était vrai, je ne vivrais pas dans la misère juridique, politique, morale, dans laquelle des auxiliaires de justice me font vivre, je ne vivrais pas sous les mensonges et les insultes des juges et de leurs envoyés, psychiatre, psychologue et assistante sociale. J’aurais été au contraire encensé comme ne participant pas, au plus profond de mon âme à ce que vous nommez « virilisme », « androcentré » et d’autres façons semblables.



                    Voilà l’agression que j’ai subie de la part des juges à l’occasion de mon divorce, et dont les conséquences désastreuses s’appliquent tous les jours : Un psychiatre a postulé que ma mère était dépressive. Ce faisant, il viole le serment d’Hippocrate. Il prétend que je suis identifié à ma mère ! En moins d’une heure de temps, dans laquelle il a plus parlé que moi, il ne peut rien savoir de cela. Selon lui, je devrais m’interroger sur mon homosexualité ! Selon son postulat, je pratique une « confusion des rôles parentaux ».

                    Or, c’est bien le cœur de votre livre.

                    Je suis un homme déconstruit, selon vos dires, et c’était coupable au tribunal. Je vous cite : « Elle (la sensibilité) nous permet d’accepter l’altérité, de nous y confronter sans crainte et de nous penser au-delà des construits sociaux. Notre sensibilité nous retient aussi d’exercer notre pouvoir aux dépens d’autrui. » Je me suis bien pensé et conduit « au-delà des construits sociaux ». J’ai bien laissé la mère de mes enfants mener sa vie à sa guise, je n’ai pas exercé « mon pouvoir », pour reprendre vos mots, à ses dépens.

                    Les juges ont su et feint d’ignorer que mon ex-épouse cachait son argent, ce qui est contraire à la loi du mariage qui stipule que les époux concourent au ménage au prorata de leurs revenus. Comment pouvez-vous voir un pouvoir masculin dans cette attitude des juges qui cassent les faits en inventent selon leur fantaisie et nient l’idée même de justice ?

                    Les juges ont suivi cet avis, rompant les lois qui soi-disant les commandent en de nombreux points : 1/ l’invention d’une dépression à ma mère, invention calomnieuse, diffamatoire 2/ Je vais rajouter une information : les deux frères de la mère de mes enfants étaient incapables d’organiser leur vie et vivaient au crochet de la société, de pensions d’invalidité (j’écris un imparfait parce que l’un est décédé depuis) 3/ l’invention de rôles genrés qui s’appliqueraient à tous et seraient indiscutables (dans la lettre que j’envoie nommément à ces trois femmes, je nomme les juges qui ont écrit cela, qui l’ont daté et signé au nom du peuple français).

                    Pour moi, ils ont fabriqué, construit comme vous diriez un dossier de complaisance pour honorer cette idée ignoble, selon laquelle l’homme est coupable et la femme victime. Comme ils ne trouvaient rien dans le réel, ils se sont arrangés avec le réel pour rebâtir cette idée socialement bien portée dans certains milieux.

                    Je vous demande de prendre contact avec moi afin que je puisse reprendre pied dans ma vie et dans ma dignité de citoyen qui doit bénéficier de la loi de la République. Je souhaite participer au débat public que vous animez car j’ai largement montré que je ne correspondais pas au modèle viriliste que vous combattez. Sans le vouloir, les juges et leurs experts l’ont bien fait apparaître puisque c’est précisément cela qu’ils ont estimé « devoir corriger » (en toutes lettres dans leurs textes).

                    Dans l’attente de votre collaboration à la valorisation des hommes déconstruits, je vous adresse mes meilleures salutations.

                    Article refusé.

                    Je leur ai envoyé la lettre. Je vous dirai leur réponse s’il y en a une.

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