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Place !

pour Mervis Nocteau. C'est toujours mieux à plusieurs.

Quand nous espérons pour les autres, nous sommes invariablement déçus. Nos rêves n'ont juridiction que sur nous-mêmes.

Barbe-grise, Brian Aldiss, 1966

 

Ce que je trouve admirable dans l'ensemble des programmes politiques c'est justement le terme : programme. C'est vrai que personne ou presque ne fait d’étymologie pour le plaisir ou pour faire iehc le monde. Moi j'aime bien (les deux). Du coup, programme, ça vient du grec et ça veut dire ordre du jour.... En démocratie, les élites, qui viennent du haut, se battent pour imposer l'ordre du jour aux ilotes, qui sont en bas, par des moyens coercitifs variés et divers : la police, la famine, le ban, l'humiliation sexuelle ou non... Et comme la merde obéit aux lois newtoniennes, en 3000 ans, ça n'a franchement pas avancé. Les concernés sont toujours les derniers consultés : un loi sur Uber sans parler avec les acteurs du transports, une loi sur le glyphosate sans consulter les insectes, des lois sur la pauvreté sans entendre les pauvres.... Et c'est valable dans tous les régimes, de banane ou non...

Les 40 prochaines années seront quand même, que cela plaise ou non aux donneurs de leçons, les années de ceux qui ont 18 ans aujourd'hui. Du coup, qui et par quels droits peut se permettre de présager de leur avenir ? Autrement dit, comment des vieux de plus de 40 ans peuvent-ils encore avoir leurs places dans les décisions impliquant le devenir de ce monde boiteux que nous laisserons derrière nous ?

En fait, nous, les déjà presque gâteux, les plus de 50 ans, nous devrions retirer nos souliers et quitter les lieux sur la pointe des pieds pour laisser se dévider un lendemain qui ne sera pas le notre. L'animalité avait cela de positif que nous nous serions tous fait défoncer la gueule par une bande de jeunes mâles et que le groupe, formé principalement de femelles, aurait été tenu par une vieille guenon très sage... ou en tout cas moins ignorante.

La démocratie, c'est laisser le pouvoir à celui qui est élu et d'obéir à cette personne issu de la collégialité dans la mesure où elle n’excède pas aux droits et devoirs afférant à son poste et que ses choix puissent être acceptés et compris par la majorité... Cela fonctionne-t-il ??? Avec ce cynisme accroché à ma malséance, je dois bien écrire que j'ai une forte envie d'en rire mais, avec ce qui me reste de désespoir, j'ai bien peur de connaître la réponse. Trop de manipulateurs guidés par leurs ambitions de marquer l'histoire s'empilent les uns sur les autres dans une vaste partouze médisante pour dévorer une charogne pourtant fraîche... "Nous sommes en train d’écrire l'histoire" est, aujourd’hui, leur credo alors que, réellement, ceux qui écrivent l'histoire sont invisibles :

C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères.
La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.
Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves.
Ici, nous vois-tu, nous on marche et nous on tue... ou on crève...

et la mort, leur compagne,les épargnant non pour en faire des élus mais des bibliothèques qu'on s'empresse d'ignorer.

C'est une affaire de choix car si l'histoire enseigne, l'histoire se répète. Nous voilà revenus à la pulsation qui a précédé 1936. La guerre mondiale précédente s'étant concentrée sur les champs pétrolifères du Moyen-Orient avec tout se que ça peut impliquer en terme de rancœur de la part des victimes, brisées sur leurs territoires par la puissance rapace occidentale et capitaliste et de leurs sympathisants, coreligionnaires ou non, celle qui vient n'est jamais que l'expression de cette lutte des classes tant méprisé par ceux qui, justement (quoique plutôt injustement), défendent la leurs avec force acharnement et LBD. Ils ne sont pas seulement les possédants de la matière mais aussi l'excrétion la plus putride d'un ordre moral qui ne possède qu'une seule vérité : l'hypocrisie.

Il serait séant ici d’énumérer la liste de ces matamores mais il vous suffit de chercher la liste, par exemple celle des 1000 personnes les plus riches au monde, celle des personnes qui comptent dans le who's who, en fait, tout ceux que les torchons, servant de nourriture aux toilettes des cabinets dentaires, peuvent mettre en exergue et dont, malgré nous, nous partageons la vie, de la dent de lait aux soubresauts du dernier asticot...

Pourtant l'humanité a besoin de gens réactifs dynamiques, motivés et, subsidiairement, jeunes et intelligents, pas de gens caparaçonnés dans les structures délétères d'un état pyramidal qui s'effondre sur sa géronto-tyrannie. Nous avons besoin d'idées neuves, pas d'une absorption de la pensée par des vampires en fin de vie qui s'attribuent gloire et mérite et que ces idées soient portées et réalisées par ceux qui les ont... Et nous n'avons certainement plus besoin de ces gens qui vivent dans l'apparat et la « pureté » pour des raisons exclusivement électorales, qu'elles soient civiles ou religieuses !....

Ce dont nous aurions besoin, c'est d'un nouveau Valmy, de son acclamation par la bravoure et de femmes et d'hommes qui n'ont pas peur de se salir au « propre » comme au défiguré. On en a quoi à braire d'un responsable qui vient expliquer comment remonter un carbu ou élaguer une branche alors qu'avec ses mains manucurées la seule chose qu'il ait manié, c'est son clavier. Qu'est-ce qu'on a à cirer de la chef qui vient dire d'économiser l'électricité et qui prône le sapin de Noël et la ville éclairée toute la nuit... On n'en a rien à foutre des paradoxaux qui, pour avoir un bon point, s'arrogent des idées qu'ils ont pillées à d'autres pour se faire mousser sous la douche médiatique mais qui, demeurés qu'ils sont, sont incapables d'en assurer la mise en pratique.

Notre monde est mort, le nouveau ne vivra pas, il est déjà enfermé dans la virtualité et une grande partie des gamins de cette terre ont le cerveau broyé précocement par l’afflux toujours plus violent d'images et de sons et ne rêvent qu'être une de ces images mouvantes sur l'écran. En bien ou en mal !.... Mais, là, presque personne ne lutte contre. Personne n'en parle. Personne ne dit rien parce que c'est le progrès. Oui, c'est progrès et on s'en fout si la liberté l'égalité et la fraternité sont en train d'y dépérir...

Les seules invectives sont encore et toujours ces radotages à la con, éternels et perpétuels, fustigeant la jeunesse incapable, sans qu'à aucun moment le vieux con qui bave n'arrive à comprendre que si les jeunes sont comme ça c'est par l'éducation qu'ils ont reçue, brutale bornée et agressive, qui ne fait pas d'eux des humains mais des rouages et, chose oh combien compréhensible, la plupart d'entre eux préfèrent dire merde et mort aux cons plutôt que d'être un larbin d'usine ou une soumise de bureau. Évidemment, toutes tentatives de faire émerger la béance collective en terme d'éducation se soldent immédiatement par des accusations de jeunisme de la part de guignols qui n'ont jamais su l'être.

Ce que la science sait sur la modernité médiatique et ses moyens de transmission, nos hobereaux crottés de suffisance, même si ils en comprennent les méfaits profonds, en usent pour leurs ambitions de pouvoir. Émissions débilitantes, artistes à la limite minimale requise pour ne pas être en CAT, journalistes, pardon, présentateurs de mensonges désinformatifs à l’usage des décérébrés, utilisation inconsidéré de la pornographie comportementale et de la pornographie tout court, et myriades de travers sociologiques prônés comme exemplarités absolues... Voilà ce que l'outil audiovisuel utilise, avec l'assentiment tacite et complices des mêmes vieux radoteurs oligarques qui se rincent l’œil et s'astiquent le manche en regardant les chties, les marseillaises ou la petite thaï sur le hamster de Youpornhubxxx.

Se servant de l’idolâtrie institutionnalisée par les médias, ils ont la prétention d'affirmer qu'un programme a besoin d’être habité alors que le propre même d'un programme est de pouvoir être suivi par tous, sans distinction, puisque écrit il n'a pas besoin de répétiteur. Mais, à la foule en délire, ils offrent un bellâtre blafard et sa vieille éromène satisfaisant en plein aux monades urbaines et leurs penseurs déliquescents prêt à fustiger le moindre écart de langage après avoir passé un WE SM à la Fistinière.(non, pas dans le Finistère... !). Soyez fier Staline vous regarde et que loué soit Ford ! Nous vivons dans ce monde que nos ancêtres ont façonné pour nous sans nous donner voix au chapitre et, pour la gloire du III° Riche, nous continuons de perpétuer cette tradition imbécile exigeant la soumission abêtie de nos descendants...

Nous n'avons pas le droit de façonner les jeunes parce que, au réel, l'exemple que nous laissons n'a eu que peu de reflet et je ne suis pas non plus, en aucun cas et avec certitude, un exemple comportemental viable... L'enseignement que certains restent fiers d'avoir reçu n'est qu'accumulations de fausses vérités matraquées, d'approximations scientifiques et autres calembredaines et billevesées... Et comme on ne nous a pas appris non plus à interroger le savoir pour ce qu'il est, c'est-à-dire un océan en tempête perpétuelle, nous nous accrochons aux épaves d’espoirs et de rêves brisés pour continuer de croire que nous sommes, quelque part, valeureux sans jamais remettre, ou si peu, en question la parole d'autorité qui reste, par l'opération des malsains esprits, celle du père. Ne nous y trompons pas, la sacralisation de la bêtise n'a pas commencé aujourd'hui, elle est endémique où que ce soit, en n'importe quel temps et la pire de toutes est bien celle du sang...

On peut aimer ses enfants et comprendre qu'ils n'ont pas forcement la lumière à tous les étages. Contrairement à l'adage, bon sang n'apporte rien sans éducation et ouverture d'esprit. Le second terme importe d'ailleurs bien plus que le premier : sans ouverture d'esprit, pas d'avancée, pas d'amélioration juste les bûchers, les autodafés et les chasses aux sorcières ! Face à cet aveuglement volontaire né de la jalousie des uns et du mépris des autres, comment espérer offrir l'élévation nécessaire à nos descendants qu'ils soient cognatiques agnatiques ou parfaitement étrangers à nos copulations pour qu'ils puissent enfin s'affranchir de nos petitesses ?

Le refus systémique d'accepter que l'enfant puisse avoir un avis sur le monde qui l'entoure conduit aux mêmes fanges de la tyrannie qui consiste à le conditionner méthodiquement, dés le plus jeune âge, à l’obéissance bornée, quitte, pour cela, à utiliser la violence pour en faire non des citoyens libres et indépendants mais des rouages d'une machine sociale aliénante et exclusive..

Joie de l'enseignement catholique par tes abus sexuels et tes punitions corporelles, je te remercie d’avoir fait de moi un taré !!! Gloire soit donné au surveillant général et à ses complices silencieux et complaisants... Gloire à l'éducation nationale et sa bêlante inaptitude à recevoir la différence. Gloire à nos ancêtres gaulois, moi, martiniquais, kanak, guyanais... Gloire à la Terre plate et au géocentrisme, et au bûcher qui va avec. Gloire aux abrutis qui ne regardent la science que quand elle les sert ! Gloire à la planification éducationnelle qui ne regarde pas l'autre dans ses capacités, ses aptitudes ou ses espoirs mais dans sa capacité à se soumettre aux diktats d'une guerre sainte contre l'intelligence. Gloire aux aficionados du pouvoir qui formatent les besoins préliminaires en matière d'emplois sur ces décennies qu'ils ne verront jamais. Gloire à ce patriotisme foireux qui hurle comme vierge effarouché quand on touche à Jeanne la sainte lorraine qui a fini quiche, violée par les soldats anglais aux ordres d'un Cochon français. Gloire au négationnisme qui ne reconnaît pas un cadavre sur le pas de sa porte et, encore moins, des milliers au bout de son histoire... Gloire, enfin, à tous ces bobos étriqués du bulbe qui consomment la science avec le même intérêt dément que les pires tyrans, du moment, qu'un instant, ils puissent tirer ce ¼ d'heure de gloire promis par la très sainte Factory. Oui, gloire à la boboïsation sociale de ces pseudos penseurs du monde, abrités dans des lofts collectifs, tellement polis, aimables et accueillants tant que tu ne poses aucune question qui fâche, que tu ne remets pas en question la ligne. Gloire à ce NKVD de la pensée occidentale qui étale sa suffisance sur les réseaux sociaux, sans jamais s'interroger sur les usines indiennes ou ukrainiennes de mères porteuses, pour qui, du moment qu'on a de l'argent, on peut s'acheter le corps de deux humains … Gloire à cette nouvelle vision de l'humanité qui devient le meilleur des monde... Gloire à l'horreur qui vient.

Nous devrions laisser aux jeunes, qui subiront les restes d'un monde que nous avons laisser agonir, la possibilité de trouver leurs propres solutions parce que presque toutes les nôtres sont absconses. Beaucoup d'entre eux ont bien plus conscience du monde que nous ne pouvons l'avoir. Évidemment, ils ne sont pas présentables et ils sont même méchants puisqu'ils désobéissent aux diktats d'états, sans se soucier de respecter des lois obsolètes et aliénantes que ce soit en matière de santé ou d'écologie, de culture ou d'agriculture mais ils le font pour pouvoir vivre dans un monde si ce n'est propre mais au moins supportable, leur monde.

Mais, encore une fois parés comme saints à foire d’empoigne, les mêmes avares avec leurs dents toujours aussi affûtés s'affrontent pour se partager la dépouille, sans jamais voir plus loin qu'eux-mêmes. Tas de vieilles merdes qui pour la plupart ont mon âge et qui fustigent la jeunesse qu'ils ont abandonnée pour aller se faire sucer sur les plages de Phuket, Cap Skirring ou sur une quelconque île paradisiaque par des ados à peine ou pas majeurs, ils portent sur eux la puanteur charognarde de cette ignorance crasse qui ne se satisfait que de la domination. Ils ne sont qu'eux-mêmes pour eux-mêmes par eux-mêmes. Cette incapacité à la sublimation conduit à la solidification... Extrême droite et extrême gauche n'ont rien en commun et l’extrême centre est pire. Pour ceux que la conscience guide, le salut de l'esprit est dans l'acceptation de la vie, de ses bouleversements, du moment où notre place n'est plus essentielle que comme consultant et pour la finalité commune...

Alors que les vents mauvais se relevant sur l'Europe, comme la pestilence d'aujourd'hui le laisse, malheureusement, augurer, ce sont ces jeunes manipulés par la gérontocratie mérdiatique qui mourront aux champs perdus de je ne sais quel honneur qui sera oublié des hommes et des dieux. Face aux miroirs, aucune alouette ne résiste et le tain de cette psyché est fait de peurs et de crimes lointains, de mensonges et de parures mondaines où les plus affamés se présentent comme les plus sages, déguises en dieux, ils s'inscrivent aux cœurs des fragiles esprits enfantins comme les sauveurs du monde. La terre doit leur appartenir. L'alternative offerte est de conduire les jeunes à peine marchant vers une nouvelle forme de soumission qui rendra inopérante toute formes de pensées individuelles. La science programme les cyborgs de demain au prétexte d'améliorer ce qu'elle peine à comprendre : le corps et le cerveau humain. Une ruche est en train de naître, une ruche destructrice et aliénée aux vieux cons botoxés, toutes tendances confondus, qui n'ont rien d'autres à offrir qu'un ego surdimensionné servi par une capacité de séduction moisie.

Plutôt que de leur offrir le monde par des lois ouvrant à un meilleur devenir, les tenants de l'hypocrisie pose des menottes sur les poignets du futur : loi sur la bioéthique qui ne sont qu'en faveur des laboratoires mais jamais en faveur de l’éthique justement, loi sur les semences (catalogue officiel français des espèces et variétés végétales), sur la gestions de l'eau (établissement public de gestion des bassins fluviaux, entités si facilement privatisables) et comme ça par milliers pendues aux fluctuations des intérêts immédiats. Ce ne sont que des outils pour empêcher toutes formes de remise en question et, (in)justement, excuses à la répression la plus violente. Doutez-vous un seul instant que chacune des lois liberticides émises ces 50 dernières années, qu'elles soient sous l'égide européenne ou nationales (nos enculeurs n'ont pas besoin qu'on leur tienne le vit), l'aient été au profit de ceux qui vont nous suivre ? Non, il s'agit encore, sous couvert d'une légitimité qui ne doit son existence qu'à l’extrême financement des moyens de répression au détriment de ceux de l'éducation de la santé en fait du bien être collectif, d'assurer la pérennité tyrannique de quelques groupes familiaux qui dominent le monde en alternance depuis des siècles. Pour s'en persuader il suffit juste de faire un tout petit peu de généalogie nobiliaire et bourgeoise.

Seulement voilà, il y a une limite à la connerie et elle est largement dépassée. L'effondrement inéluctable des structures d'états actuelles n'engendreront que l'horreur.

Il est donc peut-être temps d'avoir un tout petit peu le sens des responsabilités et de faire en sorte de n'être plus que des exécutants pour le devenir de ceux qui paieront le loyer après nous.

Laissons-les reconstruire leur monde en ayant la décence, puisque que nous n'en avons pas l'humilité, de mourir pour eux !
 

L'utopie est le lieu où les espoirs que l'on conçoit pour le monde à l'âge de 17 ans ne paraissent pas ridicules, dangereux ou tout simplement démodés quand on atteint l'âge de 40 ans

Brian Adliss Un dollar, ça vaut combien ?, 1975


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4 réactions à cet article    


  • Lynwec 13 novembre 2022 11:37

    Quand on intègre ceci "La démocratie, c’est laisser le pouvoir à celui qui est élu et d’obéir à cette personne issu de la collégialité dans la mesure où elle n’excède pas aux droits et devoirs afférant à son poste et que ses choix puissent être acceptés et compris par la majorité..." dans un texte, on peut déjà dire que le discours est voué à l’échec ...

    Fonder son raisonnement sur une prémisse mensongère ne mène jamais bien loin, sauf en présence d’incultes ou de personnes inaptes à réfléchir . De fait, ça discrédite tout le reste .

    L’argumentaire aurait pu être pertinent (mais l’aboutissement pas forcément plus profitable au peuple) si en lieu et place de démocratie, vous aviez rédigé parlementarisme par exemple puisque le système représentatif est conçu précisément pour tromper le peuple .


    • charclot charclot 13 novembre 2022 13:37

      @Lynwec
      non par essence la finalité de la démocratie est de designer un tyran pour contrôler les ilotes. Je ne fait pas l’erreur de confondre la publicité et la réalité. De part son origine et sémantique et ethnique la démocratie désigne la représentativité des pères de la cité et est donc en plus patriarcale... Ce dont tu veux parler est sans aucun doute la collégialité participative sans désignation préalable face aux problèmes rencontrées par la communauté et ce à l’exclusion de toute forme de racisme sexisme ou identification de classe. C’est ce à quoi nous aurions du éduquer nos descendants mais c’est ce à quoi les changements perpétuels de direction d’une gauche embourgeoisée que ce soit intellectuellement ou économiquement ont contribué à détruire mais dont le germe qui subsiste dans les écoles autogérées par exemple.
      Pour finir, si je ne faisais pas de maladresses on viendrait me prier tout les dimanches dans les odeurs d’encens et de vielle urine d’une vielle bâtisse qui tombe en ruine... Je suis un vieux crestin qui s’assume et merci en tout cas pour ce commentaire qui n’en reste pas moins édifiant.


    • charlyposte charlyposte 13 novembre 2022 13:59

      En fin de compte il n’y a qu’un petit pont de bois entre le gourou d’une secte et un président choisi par des z’élites lobotomisées à outrance ! smiley ça nous retombe sur nous et ce n’est sûrement pas un hasard conjoncturel smiley


      • charclot charclot 13 novembre 2022 16:56

        @charlyposte
        oui par Spippy, aidons les saintes personnes qui prennent le risque de nous guider vers la grande lumière au bout du tunnel... Pour toutes élévations vers la grande évanescence vous pouvez déposer sur 666 458 236 gr5 6hr u65 4416 32 ou faites un cheque à mon ordre que je transmettrais au tout puissant Skippy... Comme ça nous pourrons ensemble et dans la joie réparer ce si joli petit pont de bois... Et un peu de respect pour ce si gentil garçon qui risque chaque jour de s’enrhumer en union soviétique, heureusement que BriBri lui tricote des caches nez à col roulé...

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