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Accueil du site > Actualités > Citoyenneté > Richard Millet ou l’indicible questionnement identitaire

Richard Millet ou l’indicible questionnement identitaire

Ce soir ou jamais, émission dont la liberté n'est pas à mettre en doute, par l'invitation de l'écrivain Richard Millet, jette un pavé dans la mare du bien pensant et des non dits.

"Je suis un Français de souche, quelle horreur, catholique, quelle horreur, hétérosexuel, quelle horreur, j'ai tout contre moi...je suis hanté par la question de l'identité, non seulement de mon identité, mais de l'identité nationale, quelle horreur."

Faut-il, de facto, éteindre la télévision, pour faire disparaître de la lucarne, ce réactionnaire aux questionnements passéistes et nauséabonds, à l'heure du multiculturalisme devenu règle et dogme ?

Faut-il interdire d'antenne cet écrivain habitué au politiquement incorrect ?
"Simplement j'ai une douleur, je ne me reconnais plus, je ne supporte pas les mosquées en France..."

A t'il le droit de se poser ces questions ouvertement et publiquement ? Il est pourtant certain qu'une part importante de la population Française se pose ces mêmes questions, et n'a finalement aucune réponse claire et simple à ce profond malaise identitaire. Ne pas y répondre, c'est finalement laisser grande ouverte la porte au populisme frontiste, seul à prendre idéologiquement par la main ces égarés.

Ne faudrait-il pas au contraire discuter réellement de ces questions et ne pas partir du fait qu'il s'agit de problèmes en soit, d'horreurs fascistes ou nazis par le simple fait d'oser y songer. Or aujourd'hui le peuple n'attend pas le politique pour se trouver des réponses seul, pour trouver des boucs émissaires à ses problèmes ; A l'heure du libéralisme, de la mondialisation et de la globalisation, il devient si facile de montrer du doigt le voisin qui serait seul responsable de sa misérable existence.

Laisser en friche ce possible débat c'est mettre en danger la nation car rien n'est pire qu'un peuple laissé sans réponse et sans réelle possibilité de s'exprimer. Le simple fait de dire comme M. Millet qu'on ne se reconnaît plus dans la société Française, qu'on a le sentiment profond de voir son identité se dissoudre dans la masse est pris par les biens pensant et par les fervants défenseurs du multiculturalisme pour un repli identitaire raciste et le rejet de l'autre. Or si le multiculturalisme c'est le simple fait de reconnaître la coexistence de différentes cultures (ethniques, religieuses etc..) au sein d'un même pays, il n'est pas une obligation que cette dernière soit nécessairement pacifiste et non coercitive.

Reconnaître un état de fait n'est pas en accepter toutes les contraintes et tous les problèmes inhérents à cet état. Se parer d'un optimisme béat dans les relations humaines c'est faire fi du passé et de la nécessaire histoire qu'il nous enseigne.

Ne laissons donc pas les seuls extrèmes répondrent à des questions qui sont, au demeurant, profondément enracinées, dans l'esprit des gens.


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18 réactions à cet article    


  • Robert GIL ROBERT GIL 11 février 2012 12:08

    Il existe deux phénomènes qui poussent l’être humain vers l’irrationnel : la religion et le nationalisme ; et lorsque les deux se rencontrent, elles donnent naissance à une sorte d’intégrisme.....
    http://2ccr.unblog.fr/2011/11/21/patriotisme-et-nationalisme/


    • gordon71 gordon71 11 février 2012 13:36

      amen


      What else.... ?

      • Vista Vista 11 février 2012 16:03

        « A t’il le droit de se poser ces questions ouvertement et publiquement ? Il est pourtant certain qu’une part importante de la population Française se pose ces mêmes questions, et n’a finalement aucune réponse claire et simple à ce profond malaise identitaire. »

        Vous vous foutez du monde ou quoi ? Millet a parfaitement le droit de dire ce qu’il pense. Depuis quand une nation doit accepter l’invasion migratoire au risque de disparaître.
        Sarkozy a dit un jour dans un discours à l’école polytechnique qu’il fallait que les Français se métissent naturellement avec les non-européens et que s’ils ne le faisaient pas alors l’état devra se résoudre a utiliser des méthodes plus contraignantes". Oui il a dit cela et ce n’est ni plus ni moins qu’un appel à un génocide génétique programmé.
        Dans quel pays au monde peut on entendre un discours pareil ? Nulle part, même dans les pays à forte migration comme les US. Quoique certains sonnent déjà l’alarme.
        Vous êtes une personne dangereuse et pour que vous osiez dire des choses pareilles...probablement mâtiné cochon d’Inde.

        • Milanini Emmanuel Milanini Emmanuel 11 février 2012 21:26

          Il est assez agréable de se faire traiter de bâtard par un inconnu...
          Mais je vais vous répondre cher anonyme Vistaqui aura peut être la prochaine fois la décence et le courage de se nommer. Je ne me positionne aucunement sur le fait qu’il soit bien ou mal que M. Millet développe publiquement ce genre de propos, je pense même qu’il est plutôt intéressant d’entendre des sons de cloches différents de la bien pensance. Je me pose simplement la question. Sur votre développement plutôt haineux de l’étranger, je vous laisserai la liberté de pouvoir haïr qui vous voudrez, mais par contre je ne vous permet pas de me qualifier de batard, même sous couvert d’une expression peu usitée.
          Le débat d’idée n’appelle en rien cette médiocrité dont vous faites preuve.


        •  C BARRATIER C BARRATIER 11 février 2012 16:11

          On peut avoir horreur de quoi que ce soit : minarets, clochers d’églises, blasons de franc maçons, tee shirts « Ni dieu ni maître » ...quand on n’est pas laïque et qu’on pense que sa propre philosophie est la seule valable, ce qui est stupide.

          Cela va très loin aujourd’hui quand on entre dans le débat politicien : des imbéciles considèrent que la France ne serait pas la même chose que l’ensemble des Français avec leurs différences, et qu’ainsi une gauche au pouvoir serait une usurpation. La démocratie ne connaît pas l’usurpation, les usurpateurs furent ceux qui prirent le pouvoir sans être élus par le peuple tout entier.

          Pour vivre ensemble différents il faut relativiser nos propres certitudes, et surtout ne jamais chercher à les imposer aux autres !
          Voir dans la table des news :

          « Laïcité de notre République et de chacun »

            http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=196

           


          • baska 11 février 2012 16:49

            Ce Richard Millet est un névrosé au passé douteux, il a confessé s’être engagé auprès des forces phalangistes chrétiens libanais (chrétiens maronites) proches de la mouvance extrémiste israélienne. Ces phalangistes ont participé entre autres sous le commandement du criminel sharon au  massacre de Sabra et Chatila, une boucherie sans nom. Le névrosé n’a certes pas assisté à ce massacre mais il a révélé dans « confession négative » son passé de mercenaire au Liban : "J’ai dû tuer des hommes, autrefois, et des femmes, des vieillards, peut être des enfants" s’est-il confié. La place de cet énergumène est dans un asile psychiatrique.

             Les propos nauséabonds que ce gus a tenus dans cette émission, les auditeurs de France Culture les ont déjà entendu en juin dernier. Ce jour là, ce névrosé présentait son livre « fatigue du sens« et pendant près d’une heure dans l’émission du sioniste finkelcrotte, il a débité les mêmes propos orduriers :

            « Je vis, lorsque je suis en ville, notamment dans des espaces comme le RER, dans une situation d’apartheid volontaire, je m’exclus moi-même d’un territoire et de groupements humains où je ne me sens plus moi-même. (...) Parce que quand je suis le seul Blanc, ça me pose de telles questions que je ne peux que m’exclure. Je n’ai pas de réponse à ça. Et quand cette population dans laquelle je me trouve est fortement maghrébine, alors là je suis encore moins... ».

            Le lien de l’émission en question :

            http://www.franceculture.fr/emission-repliques-au-coeur-de-la-france-2011-06-11.html 

            Voici un autre extrait, tiré de son livre «  L’opprobre » où il expose son amour pour son prochain :

            « Dans le métro, il ne reste plus qu’un siège dans un carré de quatre places : je m’y assois près d’un Pakistanais qui pue les épices, d’un vigile caucasien dont le chien empeste le mouillé, d’une fillasse en chaussures de sport qui sent des pieds et d’un type, debout près de moi, qui exhale une haleine chargée de tabac froid. Je me lève, cherche une autre place : il n’y en a pas. Je reste donc debout, entre un Noir sentant un mélange de haschich et de transpiration et une ménagère qui écoute si fort son mp3 qu’à elle seule, en oscillant la tête de droite à gauche et inversement, elle résume l’ilotisme contemporain. » (p. 132).

            Il est utile de rappeler à ce raciste que « les immigrés de l’intérieur » d’hier étaient ses ancêtres venus du Limousin pour construire les immeubles haussmanniens. Ces braves maçons étaient à l’époque victimes de quolibets, les parisiens les traitaient de « mangeurs de châtaigne ».


            • gordon71 gordon71 11 février 2012 17:28

              tout ce qui n’est pas 

              de gôche, multicul et laïque

              est douteux, suspect 

              une question pour les adeptes de la société arc en ciel, 

              quand toutes nos couleurs seront mélangées, qu’est ce qu’on obtient ?
              ....
              du brun

            • Spip Spip 11 février 2012 20:46

              « Simplement j’ai une douleur, je ne me reconnais plus, je ne supporte pas les mosquées en France... » Moi qui suis athée, ce devrait être plutôt les clochers, il y en a plein, mais c’est curieux je ne me sens pas agressé... Serais-je atteint de cette pathologie qui s’appelle la tolérance ?

              Bon, vu le pedigree de l’individu, j’hésite entre une névrose grave et une paranoïa, (les deux avec passage à l’acte criminel). J’apprécie beaucoup Ce Soir Ou Jamais, mais quel était l’intérêt d’inviter ce psychopathe ?


              • Mariposa 12 février 2012 02:29

                En réaction au message de Spip : « Serais-je atteint de cette pathologie qui s’appelle la tolérance ? »,c’est l’hôpital qui se moque de la charité !,je constate qu’il existe de plus en plus d’intégristes chez les Bobos qui dès qu’un avis diverge du leur,stigmatisent à outrance, au nom d’un politiquement correct et de pseudo discrimination,ce que des milliers de personne tel que Mr Millet pensent sur les dérives identitaires islamistes et communautaristes qui ont conduit,intentionnellement,au déclin d’une Identité Occidentale fondamentalement judéo chrétienne (prônant elle d’autres valeurs que charia etc : ) ) culturellement et socialement ,et ce depuis des millénaires...Je préfère et de loin, entendre le raisonnement (raisonné et non névrosé !)d’un Richard Millet que celui de véritables négationnistes,pseudo démocrates et attentistes,aveugles ou aveuglés ?,qui facilitent insidieusement la montée d’une Réelle Idéologie antidémocratique,Totalitaire.


              • Mariposa 12 février 2012 02:36

                En réaction au message de Spip : « Serais-je atteint de cette pathologie qui s’appelle la tolérance ? », tolérance ? laissez-moi rire ! Je constate qu’une fois de plus chez les Vrais intégristes se multiplient chez les bobos !,Belle tolérance,en effet,que de ne pas accepter par la Voix de Richard Millet ce que pensent des milliers de citoyens français républicains.Aveugles ou aveuglés ?,vous participez à cette montée d’une Réelle montée de l’Idéologie islamiste,Intolérante,Totalitaire.Sous une pseudo tolérance à sens unique.


              • artarmarn 6 avril 2012 20:33

                D’accord avec mariposa.

                Les rodomontades d’athées infatués de leur science, leur tolérance facile et pas chère qui n’est qu’une condescendance bourgeoise, le don toujours moralisateur de ces petites ames confortables, c’est bon,on a déjà vu, c’est un classique.

                Ou est le courage d’aller se battre contre des clocher aujourd’hui ? Voilà des moulins contre lesquels se dressent certains qui n’ont mème pas une once du panache de Don Quichotte, des couilles molles adoubés en batteleurs de la bien pensance.


              • fkarakaya 11 février 2012 22:35

                Donc si une personne de « renommée » peut dire que quelque chose qu’il ne lui appartient pas, ile ne supporte plus, qu’est ce qui empêche une autre de ne plus supporter cette personne ?


                Le vivre ensemble suppose qu’on accepte l’autre même si ça ne nous plaît pas ??
                Peut-il affirmer qu’il ne supporte plus les synagogues ? Non et en quoi sont-elles différentes des mosquées ??

                • jak2pad 12 février 2012 03:13

                  lorsqu’on lit les contributions de M ; « baska », et de M.« spip », l’une et l’autre pauvrement argumentées, mais remplies de termes péjoratifs et d’appellations méprisantes, on est bien forcé de constater une fois de plus que ces prises de position gauchos, ultra connues et tellement banales, prouvent deux choses, toujours et encore :


                  la première, c’est que cette pensée-là, c’est vraiment le kit de survie du pauvre d’esprit : pas d’idées, pas d’arguments, pas de culture, mais des affirmations assez infantiles et une propension à l’insulte.

                  la seconde, et c’est un vrai étonnement, c’est qu’il se trouvera toujours un volontaire pour tartiner cette prose affligeante et répétitive.
                  On ne s’en lasse pas !


                  • Milanini Emmanuel Milanini Emmanuel 12 février 2012 10:49

                    Il est bien entendu primordial que toutes les voix puissent être écoutées et entendues, discordantes ou non. Libre à chacun de se faire sa propre réflexion selon ses idées, sa moralité et sa vision du monde et des choses. Les religions ont en cela et portent en elles même le possible diktat de la parole donnée et non remise en cause. C’est la réflexion qui compte.


                    • Spip Spip 12 février 2012 22:38

                      @ Mariposa

                      Donc, suite à mon (très) bref message, vous savez tout sur moi. Quelle fulgurante clairvoyance !

                      1) Je serais donc un bobo (sais toujours pas trop ce que ce mot fourre-tout définit exactement , mais vous allez probablement m’éclairer)
                      2) Intégriste. Notion aux antipodes de la tolérance.
                      3) Qui stigmatise à outrance : là, ça s’appelle de la projection (attribuer à l’autre sa propre démarche)

                      Pour le reste, c’est votre droit de développer toute une théorie mais assumez-là, sans embarquer dedans des gens que vous ne connaissez pas et qui ne vous ont rien demandé.

                      @ jak2pad

                      Si mon intervention n’était pas très argumentée, parce que brève, il n’en va pas de même de celle de baska, à moins de ne pas vouloir/pouvoir lire.

                      En ce qui concerne ce que je suis censé être comme personne, mêmes remarques qu’à Mariposa.

                      Termes péjoratifs, appellations méprisantes... Oui, dans quoi classeriez-vous votre deuxième paragraphe ?


                      • jak2pad 13 février 2012 03:28

                        @ monsieur « spip » :


                        vous êtes bien indulgent pour vous-même, quand vous dites « pas très argumentée ».
                        Je relis, et je ne trouve aucun argument, vraiment aucun,le vide,intégral.
                        Pourtant j’aurais préféré qu’il y ait une idée, au moins une.
                        Et à mon sens, la brièveté n’a rien à y voir, c’est plutôt la pauvreté d’esprit que je signalais ci-dessus.

                        Vous hésitez entre la névrose et la paranoïa....rien que ça.
                        L’utilisation incontrôlée de mots de provenance freudienne est fort répandue dans les cours des Lycées, par des gens qui veulent à peu de frais avoir l’air d’intellectuels.
                        Plus tard, certains lisent les ouvrages de ce monsieur, et finissent par comprendre la différence.

                        Dans mon second paragraphe, qui a l’air de vous rester en travers de la gorge, je n’emploie ni termes péjoratifs, ni méprisants, je me borne à énoncer des évidences que votre réaction confirme abondamment, s’il en était besoin.

                        • Aïssade 13 février 2012 07:18

                          Voilà un homme qui a l’honnêteté de poser une question qui dérange parce qu’elle n’est pas dans les clous du politiquement correct. Et on sait qu’il pose des questions que beaucoup, beaucoup de gens se posent. Ensuite il ne les pose pas sur un plan politique, il les pose sur un plan intellectuel et humain, il ne roule pas pour lui, il sait ce qu’il risque, il ne roule pas pour un parti, il se fout des partis... C’est commode, comme ça tout le monde peut lui tomber dessus à bras raccourcis, et on n’est pas à court d’épithètes : fasciste, nazi, paranoïaque, psychopathe...
                          C’est exactement pour cela que M. Millet n’a jamais eu de prix littéraire, me semble-t-il. Car c’est un écrivain de première grandeur, comme Giono, Céline, etc... vous savez ? Les politiquement incorrects...
                          J’ai vu la totalité de l’émission, et le seul qui, m’a paru comprendre ce que Millet voulait dire c’est le metteur en scène dont j’ai oublié le nom.
                          J’ajoute qu’à mon très humble avis, nous sommes le seul pays du monde à avoir piétiné ainsi nos valeurs de façon à ce que de nos jours, elles n’existent plus. Nous sommes intellectuellement morts, nous pensons avec les valeurs exogènes dont nous sommes systématiquement envahis. La France n’existe plus comme état. La parenthèse De Gaulle est finie. Grace aux Général, nous avons survécu comme nation pendant quarante ans. En fait sans lui nous serions anglais ou allemands, et ça ne serait peut-être pas plus mal, car aujourd’hui nous ne sommes plus rien.
                          Monsieu Millet pose les questions qui tracassent les hommes de ma génération. Elles trouveront un écho encore quelques années, soyez patients, le temps que nous disparaissions. Après, cela ressemblera à du hiéroglyphique pour nos descendants dont la notion de passé se limitera à quelques lustres.
                          Salut Monsieur Millet, morituri te salutant.


                          • Spip Spip 13 février 2012 13:16

                            @ jak2pad - Reprenons au début.

                            Je suis parti d’une phrase de Mr Millet, qui ne supportait pas les mosquées pour évoquer une idée : la tolérance. A partir de là j’ai dû déclencher, chez certains, des réactions...d’intolérance. Avec cette tournure d’esprit curieuse qui consiste (j’insiste) à attribuer à l’autre ce que l’on fait soi-même (jugements de valeur à la louche et vocabulaire qui va avec)

                            Pour ce qui est de « l’utilisation incontrôlée de mots de provenance freudienne, etc. » vous tombez mal. Si j’ai largement dépassé l’âge du lycée, c’est aussi parce que j’ai passé plus de 30 ans à travailler dans le champ de la psychiatrie. Quand je parle de névrose ou de paranoïa, je sais, moi, de quoi je parle.

                            Pour le reste, je veux bien échanger des idées, pas des anathèmes basés sur l’image qu’on se fait de l’autre. Finalement, nous sommes en plein dans le nouveau point Godwin, (immigration, etc.) qui stérilise toute tentative de raisonnement. C’est pourquoi j’arrêterais là, il n’en sortirait rien d’enrichissant, ni pour l’un ni pour l’autre. C’est dommage.

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