Crises financières : les résultats économiques de Sarkozy sont désastreux pour la France
À la fin de l'année de 2006 la dette était de 1152,2 milliards d'euros, soit 64,1 % du PIB.
À la fin mars 2011 la dette était de 1646,1 milliards d'euros, soit 84,5 % du PIB.
À aujourd'hui la dette de la France vient de dépasser les 1708 milliards d'euros.
Pendant le mandat de Sarkozy la dette française aura augmenté de plus de 700 milliards d'euros.
Déficit du commerce extérieur français :
En 2006 il était de 29 milliards d'euros.
En 2007 il était de 42 milliards d'euros.
En 2008 il était de 56 milliards d'euros.
En 2009 il était de 44 milliards d'euros.
En 2010 il était de 51 milliards d'euros.
Sur les 12 derniers mois il est de 67 milliards d'euros et atteindra les 75 milliards d'euros en 2011.
L'augmentation de la dette publique de plus de 700 milliards d'euros et un déficit du commerce extérieur de 75 milliards d'euros sont deux paramètres majeurs qui montrent une France sur le déclin, incapable de maîtriser ses budgets auxquels vient s'ajouter une perte de compétitivité sans précédent.
La France n'est plus gouvernée puisqu'elle subit de plein fouet les éléments extérieurs, mais elle n'est aussi plus gérée au regard de ces chiffres dégradation.
Sarkozy ne maîtrise plus rien, il ne tient plus la barre et nous allons à la dérive. Les résultats de la Bourse de ces derniers jours montrent bien que les mesures prises n’ont pas rassuré les marchés
Gérard Doiteau
Adhérent UMP
HANDICAP ET CITOYENNETE
5 réactions à cet article
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Euh... Tout ça on le sait depuis longtemps !
On en sait même beaucoup plus que ça sur les crimes et l’échec total des partisans du libéralisme après 4 décennies de pouvoir (y compris lorsque la fausse gauche était au « pouvoir » dans un environnement déjà très libéral et qui s’est alors déculottée...).
Et tout ce que vous trouvez à redire, c’est de demander simplement la séparation des 2 types de banques ?!
C’est du cynisme et de l’hypocrisie calculés ou vous faites semblant de n’avoir rien compris ?
Savez-vous ce qu’est un dark pool, un flash notes, une mezzanine, le trading haute fréquence... en matière financière ?
Autant de raisons pour ressortir les piques et les faux !!!-
il est classé dans le livre des records..COMME PRESIDENT LE PLUS NOCIF DEPUIS 1789... (pas pour les riches...du fouquet4 du cac 40 ou du medef )
il a particpé dans sa carriere a presque 70 grosses affaires avec morts d hommes comme
KARACHI ET MEDIATOR/2000 MORTS
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En frappant très fort sur le plus petit de la classe, l’Allemagne envoie un message indirect aux plus grands, parmi lesquels la France. En effet, Nicolas Sarkozy ne cesse d’invoquer la crise financière pour justifier les très lourds déficits budgétaires que la France à connu en 2009 et qu’elle va connaître dans les années qui viennent. Or la crise financière a bon dos. Sur le graphique ci-dessous, on peut observer que la dette publique française en pourcentage du PIB est sur une pente bien plus forte que celle de l’Allemagne. Sur ce graphique, j’ai représenté les dettes publiques sur PIB en logarithme. Par conséquent, la pente des courbes indique le taux de croissance. Entre 1991 et 2007, les taux de croissance du ratio « dette publique sur PIB » sont remarquablement identiques entre les deux pays. Depuis 2007, on observe une très forte divergence entre les deux pays. Or, la France n’est pas davantage touchée que l’Allemagne par la crise financière. C’est donc bien la politique budgétaire de Sarkozy qui est responsable de la divergence naissante entre les deux pays.
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Vous retrouverez la courbe ici :
http://blogs.mediapart.fr/blog/lartige/190510/dette-publique-france-allemagne
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Je ne voudrais pas me faire l’avocat du diable, mais tous ceux qui suivent l’actualité depuis quelques décennies doivent savoir que l’explosion de la dette publique de la France, remonte précisément au début de l’ère Mitterrand.
Dette pubique française
C’est Maurois qui a donné le (mauvais) exemple et ensuite, quelles que soient les alternances on a continué gaiement.
Donc dans cette affaire, comme tant d’autres, Sarko c’est ’business as usual’, il n’est ni meilleur ni pire que les autres. Dans le genre le recordman reste François Mitterrand et les socialistes ont la mémoire courte.
Pour revenir à Sarko, le côté plus inquiétant du personnage c’est son aventurisme et son suivisme atlantique aveugle qui a déjà entraîné la France dans des aventures risquées et peu glorieuses. On a aussi le droit de s’en faire à l’intérieur pour ses conceptions de la démocratie, son utilisation de la presse et des médias (à la Berlusconi), les restrictions progressives des libertés publiques.
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