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Accueil du site > Actualités > Economie > L’Apocalypse économique : une option possible pour l’Amérique...

L’Apocalypse économique : une option possible pour l’Amérique...

Nous entendons parler de la dette des Etats-Unis, et d’un possible jugement dernier économique.

Depuis le 15 septembre dernier, la banque Lehman Brothers a lancé un cycle de cracks boursiers d'ampleur planétaire qui a duré jusqu'à la mi-octobre, la dette américaine atteint en 2008, 10566 milliards de dollars, un montant colossal, jamais atteint dans le monde. 

Nous avons tous vu les effets de la crise dont l’origine se trouve être les banksters que l’on a nourris d’hydromel afin qu’ils puissent encore jouer les démons et répandre leurs maléfices. Depuis l'été 2007, la baisse du marché immobilier ajoutée aux nombreuses fermetures d'entreprises a mis à mal l’économie américaine. Cependant, ce ne sont pas les seules causes de l'alourdissement de la dette et du déficit américains. La présence des Américains en Irak et en Afghanistan, ainsi que les budgets présentés par le Président George W. Bush, sont aussi des facteurs qui ont accentué le déficit américain, ce qui influence directement la dette fédérale. Celle-ci atteint maintenant un tel niveau que des inquiétudes se font entendre de plus en plus souvent. 

Mais que se passerai-t-il si les américains ne pouvaient plus rembourser, s’il n’était plus solvable… ??

Que se passerait-il si l’emprunteur de ses sommes n'est plus en mesure de rembourser ?

C’est le doomsday la faillite d’une Nation et là on entre dans une autre dimension car la faillite d’une nation n’a rien à voir avec celle d’une entreprise…

L'Amérique d'aujourd'hui n'est plus solvable : elle finance sa dette par l'inflation et par le rôle de monnaie de réserve mondiale joué par le dollar. De Gaulle parlait à ce propos du "privilège exorbitant de l'Amérique" (cf. film sur De Gaulle et l'étalon or).

Jusqu'à quand les Nations accepteront-elles ce jeu au profit de l'Amérique ? Des groupes de Nations, commencent à comprendre que leur intérêt serait de sortir de la dépendance au dollar ; l'idée d'une monnaie unique dans les pays pétroliers du Moyen Orient fait lentement son chemin. Des Nations telles que la Russie ou la Chine ont manifesté récemment leur intention de commercer sans dollars. Le monde semble s'acheminer vers une multipolarité l'élection de Barack Obama ne pourra pas changer la situation de l'Amérique à court terme (cf. page Obama président des Etats-Unis).

Barack Obama a fixé mercredi l'objectif de réduire le déficit de 4000 milliards de dollars cumulés sur 12 ans. Lors d'un discours sur la situation budgétaire des Etats-Unis, il a éreinté les plans des républicains. Le sujet est brûlant alors que débute la campagne présidentielle de 2012.

Le gouvernement emprunte désormais environ 42 cents de chaque dollar qu'il dépense. Imaginez qu'un jour, bientôt, l'emprunt atteigne ce plafond limite de 14,3 trillion de dollars de dette et que le Congrès ne parviennent plus à honnorer sa dette... Les dommages entraineraient l’ensemble de l'économie, pour finalement toucher presque tous les Américains, et en faisant tous les marchés mondiaux dans le processus dans le cas où le gouvernement fait défaut et manque à une obligation financière, y compris le remboursement d'un prêt où des intérêts sur ce prêt. Le gouvernement emprunte principalement en vendant des obligations aux particuliers et aux gouvernements, avec la promesse de rembourser le montant de la caution dans un certain délai et en acceptant de payer des intérêts réguliers sur ce lien, dans l'intervalle.

L'agence de notation Standard and Poor's a abaissé la perspective d'évolution de la note de la dette des Etats-Unis. En cause, un déficit budgétaire très important et un niveau d'endettement gouvernemental en hausse. Les marchés financiers ont très mal réagi.

Standard and Poor's a abaissé lundi à "négative" la perspective d'évolution de la note de la dette des Etats-Unis. L'agence de notation explique sa décision par les déficits budgétaires "très importants" et le niveau d'endettement du pays, ainsi que par l'absence d'une politique claire pour y remédier.

L'agence a affirmé qu'il y avait une chance sur trois qu'elle abaisse la note des Etats-Unis au cours des deux prochaines années. Cela pourrait signifier le début d'une crise de l'endettement des Etats-Unis, c'est en tous les cas un avertissement « clair », a déclaré un courtier. Pour l'instant, la dette à long terme des Etats-Unis reste notée 'AAA', soit la meilleure note possible réservée aux émetteurs présentant les meilleures garanties.

Nous laisserons là, le soin d’apprécier à chacun le pouvoir absolument incroyable que l’on laisse aux agences de notations dont personnes ne connait les critères opaques, et dont nous connaissons déjà les impacts dans des pays comme la Grèce, le Portugal etc…Donner un tel pouvoir à une simple agence relèvent d’une inconscience incompréhensible.

Finalement le défaut de paiement, déclencherait probablement une autre panique financière comme celle en 2008 et plongerai une économie encore sous le choc du chômage élevé et un marché du immobilier plongé dans la récession. Le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke, parle d’un échec à plafonner la dette et d'un "a recovery-ending event."

Il est évident qu’après un rappel à l’ordre du FMI, un autre organisme connu pour être les « bienfaiteurs des peuples », l’Amérique, pourrait connaitre si elle ne réforme pas le système financier lui-même, un destin economique apocalyptique.

 

Source

http://www.whec.com/news/stories/S2078686.shtml?cat=10036

http://www.sacra-moneta.com/Crise-financiere/dette-americaine-10000-milliards-de-dollars-de-dette.html

http://www.tsr.ch/info/economie/3088373-menace-sur-la-dette-americaine.html


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15 réactions à cet article    


  • Robert GIL ROBERT GIL 26 avril 2011 10:38

    les gros problemes ont commencé avec Reagan et sa reforme fiscales :

    http://2ccr.unblog.fr/2010/11/21/modele-americain/

    et suite logique a ses mesures de tout dereglementer les subprimes, voir ce PPS :

    http://2ccr.unblog.fr/2011/01/09/pps-les-subprimes/


    • Kalki Kalki 26 avril 2011 12:45

      Les carriéristes de la destruction de l’homme , sont mathématiquement dans l’erreur

      ils vont y passer , en grand nombre comme

      les autres.

      L’idéologie de l’auto destruction de l’homme est intérressante, mais ca reste de la pure folie, comme le XXeme siecle nous l’a montré

      Le technocrate capitalistes va avoir un problème qu’est ce qu’il fait des gens , il nourrit, il les met dans des camp de travail (appelé prison : 1%"de personne en prison aux usa, des millions de personnes ) et sans les nourrir , comme les camps de la mort.

      Il se croient finalement supérieur sauf que en fait : il ne l’est pas, le technocrate qui se prend pour le roi de l’oligarchie est inutile et remplaçable

      Le technocrate ( ala con ) ne doit oublier de se compter, parmis les hommes, dans la Société

      Culture de nourriture, ère industrielle, dans la singularité
      Révolution Robotique : L’industrie 100% automatisée

      Non parceque un technocrate a part gérer son réseau d’amis et savoir a peine faire de la compta sous excel
      c’est pas une lumière

      il fait quoi de son cerveau ? de ses mains ? de sa conscience ?

      j’ai beau cherché , je ne trouve pas




    • FAUT GUILLOTINER MADOFF ET LEHMAN BROTHERS...ET OBLIGER LES BANQUIERS A NE PAS FAIRE PAYER LES FRAIS DES PETITS COMPTES.....(moins de 1800 euros mois)
      .
      TOUTENSEMBLE


      • Assurancetourix Assurancetourix 26 avril 2011 11:32
        Mars 2011 : 1 dollar entre dans les caisses pour 7 dollars qui en sortent !

        Le problème, c’est que l’Etat américain vit très au-dessus de ses moyens. En mars dernier, l’administration américaine a perçu 150,9 milliards de dollars d’impôts et de taxes. Mais elle a dépensé sur la même période 339 milliards de dollars. Si on y ajoute le rachat des bons du Trésor arrivés à échéance sur le mois, on atteint même les 1.052,8 milliards de dollars de dépenses. Pour un dollar qui rentre dans la poche de l’Etat, sept en sortent. En 2011, le déficit américain officiel devrait atteindre près de 10% du PIB.

        Avec la crise, les recettes de l’Etat américain ont chuté de 18% à environ 15% du PIB, tandis que les dépenses explosaient, passant de 20% à 24% du PIB.

        Les autorités américaines n’ont plus le choix. Elles doivent équilibrer le budget fédéral par l’adoption d’un plan de rigueur sans précédent en augmentant les impôts et/ou en réduisant les dépenses. Il y aurait alors une hausse des impôts combinée à une baisse des dépenses. Mais rien n’est encore fait et les Américains ont plutôt l’habitude d’emprunter de l’argent que de se serrer la ceinture. C’est bien plus facile. Trop d’électeurs attendent plus de la part du gouvernement que ce qu’ils ont payé. Les Etats-Unis préfèrent généralement taxer la génération suivante. Après tout, elle ne vote pas encore.

        Comme l’écrit Myret Zaki (l’un des écrivains économiques les plus réputés de Suisse) dans son dernier livre « La fin du dollar » :




        En termes simples, le monde va maintenant s’éloigner très rapidement du dollar américain. La Russie et la Chine ne veulent plus utiliser le dollar pour le commerce entre leurs deux pays. L’Arabie saoudite a envoyé des représentants en Chine et en Russie pour renforcer les liens commerciaux (ce qui laisse entendre que le pétrole ne sera peut-être plus vendu en dollars dans les années à venir). Et les « BRIC » (Brésil, Russie, Inde, Chine et maintenant Afrique du Sud) ont récemment organisés une conférence dans le sud de la Chine pour discuter de négociation en monnaies nationales plutôt qu’en dollar américain.

        La fin de l’hégémonie du dollar et sa chute est d’ores et déjà acté ! 



        • xbrossard 27 avril 2011 00:01

          et comme les américains ne l’accepterons jamais, nous aurons donc la guerre


        • oj 26 avril 2011 13:06

          comprends rien a ces choses complexes.............. a analyser et interpréter

          cependant face a ces crises effondrements...etc..... qui considere les choses du point de vue de la réalité a laquelle personne n’échappe :

          - Une population de 65 millions d’habitants crée la seule richesse réelle , chaque jour, par son savoir-faire et les produits qu’elle realise et transforme afin de se les échanger.

          a partir de la, c’est le reste qui est factice , donc si demain ces 65 millions de personnes decident de reprendre en main tous les biens et infrastructures du pays (resultat de leur travail) et redefinir des regles d’echanges au sein de la communaute que se passe-t-il ?


          • ali8 26 avril 2011 13:11

            les yankees se portent bien, regardez leurs grosses tripes déborder de leurs ceinture alors que des pauvres crèvent de faimm et de soif

            leur dette sera payée par les + pauvres ; ils se payent en pétrole gratuit et gare à ceux qui montrent les dents

            ils commandent l’ONU e t’OTAN leur bras armé les sert pour corriger les irréductibles

            ils n’ont pas de criminels de guerre, ils n’ont que des redresseurs de torts

            c’est en spoliant et massacrant que ces ignobles combleront leur dette ;; mais le vent tourne, lentement, mais il tourne ; regardez le BRIC (Brésil Russie Indes Chine) qui dans qq années sera opérationnel

            pour l’instant, ils fanfaronnent, s’occupe de tout, de la Syrie de l’Afghanistan de la Côte d’Ivoire de la Lybie ou il fleure bon le pétrole ainsi que de l’Iran ou se trouve le meilleur crude du monde ; j’oublie le Vénézuéla

             


            • Assurancetourix Assurancetourix 26 avril 2011 15:42

              Aujourd’hui (après 145 jours d’abstinence) « La pompe à phynance » de Frédéric Lordon vient de se réamorcer :
              Partie 1 : après les « PIGS », le tour des Etats-Unis et du Royaume-Uni ?
              Les deux gros cochons

              Ainsi donc il va falloir envisager d’agrandir la porcherie… Car deux fameux gorets tapent du groin à la porte.

              Au commencement, ils étaient trois petits – les cochons. Grèce, Portugal, Espagne. Et comme il fallait un « I » (pour bien faire PIGS), on eut d’abord l’idée de l’Italie – puisque les crottés sont nécessairement les Méditerranéens. Sauf que ce fut l’Irlande. Et la théorie financière des types et des climats connut un premier accident. La pauvre se prépare des lendemains scientifiques difficiles. Car voici que les Etats-Unis – et bientôt sans doute le Royaume-Uni – commencent à faire parler d’eux. Evénement dans le landerneau des marchés, Standard & Poor’s, le 18 avril, a confirmé le triple-A de la dette souveraine étasunienne, mais en la plaçant sous surveillance négative (outlook negative), avec probabilité d’un tiers d’une dégradation ferme à horizon de deux ans. Se peut-il que la race des seigneurs finisse se roulant dans le purin et poussant grognements ? 

              ...


              • Aldous Romios 26 avril 2011 16:09

                La dette souveraine des USA est une dette sans valeur garantie.

                C’est à dire que l’US$ n’est adossé sur rien sinon la confiance qu’on a en lui.

                Sa seule « garantie » de valeur résulte de l’obligation qui est faite au marché international et en particulier au marché pétrolier de se traiter en $.

                Ainsi le $ est donc un rouage indispensable à l’économie, ce qui garanti à moyen terme sa pérennité, mais rien ne garantie sa valeur.

                Il n’a même plus la garantie de valoir le métal des pièces ou le papier des billets qui le composent car la monnaie fiduciaire (les pièces et les billets) ne représentent qu’une part infime des dollars scripturaux (les lignes de comptes numériques) et des bons du trésor US (qui sont des promesses de versements à terme échu).

                Dans ces conditions, la dette des USA peut continuer à croitre autant qu’il y aura preneur pour des dollars et plus précisément pour des bons du trésor US.

                Meme si la FED continue de prêter des quantités astronomiques de $ à l’état fédéral le seul résultat sera que chaque $ de part le monde vaudra un peu moins ce qui a trois avantages pour les USA :

                1) rendre l’économie Américaine plus compétitive en dévaluant les salaires et les couts de production US.

                2) dévaloriser la dette souveraine des USA et ses intérêts.

                3) dévaloriser les fonds souverains massivement constitués de $ ou de bons au trésor US (en particulier ceux de la Chine, des Emirats Arabes Unis et de l’Arabie Saoudite).

                Évidemment pour le travailleur américain ou le rentier en $ cette inflation l’appauvrit chaque jour d’avantage. Sauf s’il a des crédits à taux fixe à rembourser, auquel cas les futures échéances perdent de leur poids.

                C’est la même chose pour les états :

                La chute du $ ne sera donc pas une si mauvaise nouvelle pour les USA car elle va affecter davantage ceux qui sont riches de milliards de $ que ceux qui sont perclus de dettes en $.

                Le problème est que les partenaires internationaux des USA, en particuliers les BRICS (Brésil, Russie,Inde,Chine et Saoudiens) commence à se douter de quelque chose d’autant que le remplaçant du $ comme monnaie mondiale surnommé DEY (pour Dollar Euro Yen) est sur les rails et que leurs monnaies ne fait pas partie du panier servant à l’évaluer.

                Aussi les voilà qui commencent à se débarrasser de leurs avoirs en $ et refusent d’acheter d’avantages de bons du trésor US.

                Mais ils en ont tellement qu’il n’y a pas moyen de s’en débarrasser rapidement.

                Tout ce qu’ils peuvent faire c’est commencer à baser leurs échanges internationaux en d’autres devises que le $ en espérant que les USA acceptent ce fait accomplis pour intégrer le Rouble ou le Yuan dans la future monnaie mondiale.

                Faute de mieux, le président a au moins pu choisir la devise gravée sur la future monnaie :

                Unity in diversity.

                http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/07/12/b5a66531c6d41b17833a5f94 fe8f556e.html

                Mais c’est ironique, la devise est gravée en anglais et on en russe !
                 smiley
                 


                • BA 26 avril 2011 21:18

                  Mardi 26 avril 2011 :

                   

                  L’Etat fédéral US est en faillite. Tout le monde le sait. Mais en Europe ? En Europe, plus personne ne contrôle la situation.

                   

                  La situation européenne est devenue totalement incontrôlable.

                   

                  Irlande : taux des obligations à 2 ans : 12,093 %.

                   

                  Irlande : taux des obligations à 3 ans : 12,688 %.

                   

                  Irlande : taux des obligations à 5 ans : 11,902 %.

                   

                  Irlande : taux des obligations à 10 ans : 10,456 %.

                   

                  Portugal : taux des obligations à 2 ans : 11,679 %.

                   

                  Portugal : taux des obligations à 3 ans : 11,589 %.

                   

                  Portugal : taux des obligations à 5 ans : 11,916 %.

                   

                  Portugal : taux des obligations à 10 ans : 9,601 %.

                   

                  Grèce : taux des obligations à 2 ans : 24,243 %.

                   

                  http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=GGGB2YR:IND

                   

                  Grèce : taux des obligations à 3 ans : 23,882 %.

                   

                  Grèce : taux des obligations à 5 ans : 17,485 %.

                   

                  Grèce : taux des obligations à 10 ans : 15,327 %.


                  • Lorelei Lorelei 26 avril 2011 23:05

                    En fait l’europe c’est ça, et rien d’autre ils ont trahis les peuples d’europe au profit des banksters et des groupes pharmaceutiques


                  • thomthom 26 avril 2011 21:38

                    La situation des USA est très grave, voire désespéré, mais n’oubliez pas que les USA ne sont pas le seul pays du monde à vivre au dessus de ses moyens
                    « Le gouvernement emprunte désormais environ 42 cents de chaque dollar qu’il dépense »
                    En France, on en est à combien ? 20 pour cent ? 30 pour cent ? .... petit joueur, mais pas brillant que même... vraiment pas brillant.
                    Il nous faudra juste un peu plus de temps, mais si on ne se secoue pas méchamment, le résultat sera au final le même : s’écraser à pleine vitesse dans le mur de la ruine généralisée.


                    • acceleration 26 avril 2011 23:05

                      Et si le « big » tremblement de terre de Californie tant redouté survenait, dans un tel contexte, les États-Unis d’Amérique s’en remettraient-ils ?


                      • guest222 guest222 27 avril 2011 09:25

                        La crise risque avant tout d’être sociale aux Etats-Unis : c’est le peuple américain qui va souffrir d’un chômage en augmentation croissante et d’une inflation durable sur les matières premières et l’énergie.

                        Côté financier, il n’y a pas vraiment de raisons que le système s’écroule : la FED peut continuer d’acheter la dette américaine (directement ou indirectement), et les importantes réserves de change détenues en dollar par les créanciers étrangers (notamment la Chine), condamnent ces derniers à prévenir une chute brutale de la valeur du billet vert. On peut donc s’attendre à un déclin en pente douce...


                        • Mohad Dib Mohad Dib 27 avril 2011 10:23

                          La force des leaders est dans le fait que nous sommes..........pareils.
                          Tout humain qui donne une valeur a un autre humain,et ce des l’ecole, ce que nous faisons tous et tout le temps ne peut produire que ce qui se deroule devant nos yeux.
                          Alors certes ca fait du bien de pointer l’autre du doigt , encore et toujours le bouc emissaire...

                          et si le probleme etait nous tous donc global...vous y avez reflechi a cela ?

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