L’inéluctable faillite de l’Europe
La faillite de l'Europe....peut en cacher une autre !
Un train qui en cache un autre :
C'est le secret de polichinelle que le ban et l'arrière ban de la finance de Wall Street tire a boulet rouge sur l'Europe pour masquer sa propre défaillance :
http://liesidotorg.wordpress.com/2011/07/05/grece-la-manipulation-a-un-cout/
La Grèce n’étant que le hors-d’œuvre :
http://liesidotorg.wordpress.com/2011/07/05/leuro-au-tapis-grace-a-moodys/
Alors qu'au parlement Européen les bons a rien de Bruxelles n'ont pas de plan B :
Comme l'explique P Roussel dans cette intervention, inéluctablement les dettes souveraines des pays occidentaux sont ou seront TOUTES mises a mal, et peut être encore plus celles des États-Unis. Heureusement que le bail de la FED se termine en Décembre 2012, elle pourra fermer boutique les tiroirs pleins de bons US, invendables. ce n'est pas par hasard qu'ils sont obligés de se racheter discrètement leur propre dettes par la planche a billet. d'ici la fin du mois d'aout , ce n'est pas moins de 500 milliards qu'il va falloir trouver, autant dire que le QE3 , qui portera certainement un autre nom, sera englouti avant même d'être annoncé :
http://eurasianfinance.com/2011/07/le-4-juillet-2011-une-journee-charniere-dans-lactualite-economique-grecque-et-americaine/
Quelles conséquences en cas de Défaillances ?
Tous ceux qui seront en cash, via les multiples support financiers comme les assurances vies vont se faire plumer, ce sont toutes les banques européennes qui vont boire le bouillon, c'est un Lehman puissance 10 qui pourrait s'ouvrir sous nos pieds.................L'or, l' argent, la terre, la forêt........dans une mesure différente l'immobilier rural sont des refuges..........au sens propre et au sens figuré. Les français peuvent regarder avec dédains la situation du peuple Grec vendu en esclavage par les swaps pourris de Goldman Sachs, ou avec passion le tour de France, inéluctablement leur tour viendra.
Denissto
Pour ceux qui ont la mémoire courte, voici un article que je posais déjà en février 2010, alors que nos crétins de Bruxelles qui dépensent sans vergogne notre argent et sont surpayés pour ne rien voir venir, continue de prétendre qu’ils vont réussir à remplir le tonneau des Danaïdes ! Mieux encore, ils viennent d’introniser un sherpa de Goldman Sachs à la tête de la BCE, décision aussi dramatique que de confier la garde de ses enfants a un pédophile…………….
Denissto le 06/02/2010
Mensonges, vices et corruptions……..
N’ont désormais d’égale que la cécité collective. Il n’y a guère plus d’un an nos guignolesques gouvernants du G20 décidaient dans l’urgence d’interdire tous les dérivés a la baisse sur les banques, tout en octroyant des crédits quasi illimités et gratuits a ces dernières ! Une telle gratification relevait de fiers et grands services, car ce n’est ni plus ni moins qu’un champ de ruine économique que les spéculations des banksters avaient établies en un temps record. En moins d’un an ce sont des dizaines de millions de personnes qui se sont retrouvés a la soupe populaire, chômeurs, et sans abris. Il parait que les chiens les plus dévoués, le sont a leurs maitres les plus indignes, mais en la matière l’homo erectus du XXI éme siècle à surpassé nos canidés domestiques. Fort de ces privilèges inégalés dans l’histoire des civilisations, c’est dorénavant le pillage et la ruine des états que ces messieurs sont en train de s’offrir dans l’indifférence générale. La spéculation sur la monnaie européenne a dépassé les frontières de l’imagination, et ce ne sont pas moins de 8 milliards en une semaine qui ont été engagé contre l’euro a la baisse, suite de la crise grecque orchestrée par Goldman sachs !
La chute de la monnaie unique n’est qu’un insigne détail dans la spéculation en cours, car Pour gagner de l'argent, les spéculateurs achètent en quantité des CDS, des credit default swaps, qui permettent de s'assurer contre le risque de défaut de paiement d'un Etat, pour les revendre plus chers ensuite, en faisant le pari que leur valeur va augmenter avec la montée du risque grec.
"Le marché des CDS sur les emprunts grecs a explosé ces derniers jours" a confirmé à l'AFP sous couvert d'anonymat un gestionnaire d'obligations d'une grande banque française.
Les détenteurs de la dette grecque, à 75% des investisseurs étrangers, profitent de cette crise et gagnent beaucoup d'argent, confie un opérateur de marché. Au rang des accusés : les hedge funds, les fonds de gestion spéculatifs. Mais impossible de savoir précisément qui et dans quelle proportion ces opérateurs achètent des CDS puisque le marché se réalise de gré-à-gré, sans contrôle ni chambre de compensation.
La ruine des particuliers étant consommé avec la bénédiction de nos gouvernants, personne ne s’étonnera que ce soit dans un silence assourdissant qu’ils laissent dorénavant les spéculateurs dépouiller l’Europe…………. Ils furent prompt a interdire le short des bancaires, ne comptez pas qu’ils en fassent de même pour le bien commun. La liste des méfaits de la pire des banques en est la preuve accablante :
Goldman Sachs à :
-tentée de couler AIG, qui entrainerait une crise systémique mondiale
-Participée activement à la chute de Lehmann Brothers (1)
-spéculée sur les bons du trésor américain, après avoir coulé par les bons soins de Mr Paulson ses concurrents (2)
-pillée les marchés par le flash trading (3)
-pillée les richesses mondiales a travers les marchés parallèles (4)
-Organisée une dictature financière mondiale, en imposant ses représentants aux postes clefs du trésor américains (5)
Etc., etc., etc.………………….
On pourrait égrener pendant des dizaines de pages les méfaits de cette banque, qui cache dans ses placards la quintessence de tous les vices bancaires, et ce ne serait plus un article qu’il conviendrait d’écrire, mais une encyclopédie. Si Les pillages et les meurtres des hordes d’Attila se brisèrent sur l’épée de Mérovée aux champs catalauniques, il ne faut attendre de nos jours aucuns secours contre les banksters rastaquouères (6), nos chefs sont leurs obligés !
Le dernier exploit de Goldman Sachs
Plusieurs banques de Wall Street, et notamment Goldman Sachs, sont au cœur d'une nouvelle affaire. Par des techniques similaires à celles qui ont entraîné la crise des subprimes, elles auraient aidé la Grèce à dissimuler l'ampleur de sa dette, rapportait ce week-end le New York Times.
Déjà soupçonné d'avoir accéléré la chute de l'assureur AIG, Goldman Sachs essuie donc un nouveau scandale.
Instruments miracles
En 2001, juste après l'adhésion d'Athènes à l'Union monétaire européenne, un montage financier de la banque d'affaires a notamment permis au gouvernement grec d'emprunter des milliards d'euros, selon le journal.
Le dispositif prenait la forme d'une transaction sur devises, plutôt que d'un prêt. La Grèce a ainsi pu respecter les règles édictées par Bruxelles en matière de finances publiques, tout en continuant, dans les faits, à vivre bien au-dessus de ses moyens.
En échange de ce petit coup de pouce, Goldman Sachs a reçu 300 millions de dollars de commission, selon le NYT citant "plusieurs banquiers au courant de la transaction".
Grâce à ce stratagème, la Grèce a pu tromper bon nombre de régulateurs et d'investisseurs : comme les transactions n'étaient pas enregistrées comme des dettes, le niveau réel d'endettement du pays n'était pas connu, d'après le journal.
Début novembre 2009, quelques mois avant que la crise budgétaire actuelle ne soit révélée, une équipe de Goldman Sachs est arrivée à Athènes avec un nouvel instrument financier dans ses bagages. La banque proposait un dispositif pour repousser dans le temps le poids de la dette sociale grecque. Mais le mécanisme n'a finalement pas été retenu.
Crise budgétaire
La Grèce traverse aujourd'hui une crise budgétaire sans précédent. Avec un déficit et une dette publique qui s'envolaient à 12,75% et 112,6% du PIB en 2009, le pays subit l'inquiétude des marchés.
Les attaques spéculatives se multiplient depuis plusieurs semaines et déstabilisent toute la zone euro : plusieurs hedge funds parient sur la faillite de l'Etat et sur son incapacité à assurer ses paiements.
Pour éviter que cela ne se produise et que la crise se propage à d'autres pays, l'Union européenne a affiché officiellement son soutient à la Grèce la semaine dernière. Réunis ce lundi à Bruxelles, les ministres des Finances de l'UE devraient proposer des mesures concrètes pour aider le pays.
(1) Un an après, la vraie raison du refus de sauver Lehmann taraude toujours les anciens employés de la banque. « Lehmann s'est mis dans une mauvaise passe toute seule, mais la banque n'était pas la seule à avoir fait des erreurs, Merrill Lynch avait enregistré des pertes beaucoup plus colossales. Le gouvernement a refusé de sauver Lehmann avec quatre milliards de pertes au troisième trimestre, résultat, il a dû dépenser quelques jours plus tard 110 milliards pour se porter au secours de Merrill et AIG ! », souligne Dan Bauer, spécialiste des dérivés chez Lehmann, persuadé, comme beaucoup, que l'inimitié de Henry Paulson envers Dick Fuld, connu pour son arrogance, a joué un rôle dans sa décision. Pour Lawrence Mac Donald, Goldman Sachs a aussi joué un rôle crucial dans la chute de Lehmann. « Depuis, il est carrément devenu un oligopole », fait-il valoir. L'auteur souligne les liens entre le PDG de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, Henry Paulson, ancien de Goldman Sachs, et John Thain, lui aussi ancien de la banque mais aussi patron de Merill Lynch, qui sera finalement rachetée, au lieu de Lehmann, par Bank of America.
Denissto
15 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON