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Accueil du site > Actualités > Economie > Non à la spéculation sur les denrées alimentaires

Non à la spéculation sur les denrées alimentaires


Acceptons notre système - Modérons le - Limitons le - Un seul But - Réduire les inégalités - A travers le capitalisme humain.

En 2007, l’ONU parlait de Tsunami Silencieux
2 ans après, NOUS, nous en faisons notre refuge face aux titres financiers.

A la base les marchés des matières premières ont été crée pour se protéger du risque climatique.
Aujourd’hui, ils suscitent l’intérêt des spéculateurs par rapport aux valeurs très exposées aux risques.
En effet, cela permettait de prendre peu de risque pendant des périodes de crise. Cela a donc provoqué la hausse des cours des denrées alimentaires.
Ce qui a engendré des émeutes de la faim dans les années 2000 et aujourd’hui.

Nous avons crée le capitalisme, aujourd’hui la vague du néolibéralisme met en péril l’équilibre alimentaire de notre planète.


Ce groupe n’a pas vocation à tomber dans des opinions politiques extrême ou non, bien au contraire cherchons à humaniser notre mode de vie, de management, d’investissements.
Il ne s’agit donc pas de changer un système mais de limiter ses effets "pervers".
Cessons d’accroitre les inégalités, il nous faut limiter ce phénomène.

Tout système à ses limites, la crise nous l’a rappelé et les grands défis humanitaires sont là pour le rappeler.

Que pourrait être le capitalisme HUMAIN ?

Que l’ENTREPRISE prenne le leadership aux politiques :

Tant d’années que les politiques se réunissent et ne se mettent pas d’accord pour réduire la faim dans le monde, ou font des promesses non tenues.
Nous l’avons vu avec le climat ; Si pour leur propre peuple, les dirigeants des pays les plus riches ne trouvent pas de consensus alors oublions celui pour ceux qui meurent de faim.

Dans notre système capitaliste, les entreprises réalisent de gros profits, fabrication à bas coût, forte valeur ajoutée et souvent au détriment des pays pauvres.

A travers la dette, l’Afrique Noire versent 25 000$ aux pays riches chaque minute ! (Susan Georges, transnational Institute).

Il faut donc humaniser notre capitalisme à travers les entreprises.
Les Propositions :


- Suppressions des dettes des pays du Sud, sous la condition d’une bonne gestion budgétaire et de la lutte contre la corruption.


- OUI a la - Taxe Solidaire - ( Proposition personnelle) :
Une auto taxe, sous supervision gouvernementale, sur les bénéfices ( et/ou sur l’EBE) des entreprises à l’égard de financements de projets humanitaires.
5% pour les entreprises ayant des revenus supérieures à 30 millions d’euros et 3% si ils sont inférieures.
Une petite baisse de l’impôt sur les sociétés pourrait compenser cette taxe. A noter qu’aux États-Unis les entreprises sont plus taxées qu’en France !
Pourquoi auto taxe ? les entreprises doivent en faire la démarche.

Une solution intermédiaire peut être trouvé PAR SECTEUR

Exemple : Secteur financier : Une taxe Solidaire plus importante sur les sociétés financières qui spéculent excessivement sur le marché des denrées alimentaires.
Enlever au préalable, sur les bonus des traders, un pourcentage (10%) pour des actions humanitaires, d’investissements à but non lucratifs.


- OUI à la taxe Tobin (Tobin, Stiglitz) sur les transactions monétaire pour diminuer la spéculation.

Ces 2 taxes auraient plus d’impact qu’une taxe Carbone.


- OUI à des bonus pour les entreprises les plus généreuses et actives.


- Interdisons la vente ou la location de terres agricoles, comme le fait la Chine en Afrique.


- Il faut que chaque pays puisse mener sa politique agricole, il faut que la question de la souveraineté alimentaire soit posé.


- Ces démarches pour limiter les inégalités ne sont pas que des inconvénients pour les entreprises.
Regardons attentivement la question sur le climat, les entreprises se sont ruées sur ce sujet en multipliant les publicités destinées à montrer leur respect de l’environnement et de l’importance qu’ils y consacrent.

Pourquoi ne serait ce pas la même chose pour la faim dans le monde ?
Participer, investir, créer des fonds d’aides, monter des projets humanitaires ne peuvent que accentuer l’image responsable d’une marque.
D’où le bien fondé en quelque sorte de notre système capitaliste, où les branches du marketing peut à partir d’une cause humaine permettre à l’entreprise d’attirer de nouveaux clients et donc de dégager du profit.

Dernier point :


- Donnez accès aux pays pauvres des techniques de productions qui leur permettraient de ne plus dépendre du Nord au cycle du produit fini.
Le néo-libéralisme se base sur cette dépendance, et permet aux entreprises du Nord de limiter la croissance des pays pauvres. Il faudrait donc limiter cette nouvelle donne.

A travers ce constat, j’espère que beaucoup d’entre vous s’y retrouveront. Ce constat et ces propositions sont dénués de toutes pensées politique et ne sont à prendre que sous l’aspect humanitaire.
Néanmoins de fortes décisions, de fortes réflexions de la part des entreprises, des gouvernements, de la population sont attendues.

Certains diront qu’en ce moment le cours des denrées alimentaires est bas, puisqu’elles ne servent plus de valeurs refuges ; les investisseurs se sont retournés sur des valeurs à fort rendement.
Que les cours soient haut ou bas, cela ne change rien, une régulation est nécessaire sur des biens de nécessités.
 
 

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17 réactions à cet article    


  • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 15 février 2010 11:06

    « Que pourrait être le capitalisme HUMAIN ? »

    Pourrait-ce être un capitalisme anthropocentrique, philanthropique ?
    Pour un Nouvel Ordre Économique Français Équitable !


    • MarcDS MarcDS 15 février 2010 12:41

      C’est une blague ? Non, sans rire, vous croyez à ce que vous avez écrit ??

      Pour rappel, le capitalisme a pour vocation l’augmentation du capital. Le facteur humain n’y sera jamais qu’un alibi.

      La question du climat est précisément le parfait contre-exemple de votre argumentation : les problèmes écologiques sont maintenant vus par le capitalisme comme une nouvelle source de profits, et tous les mécanismes mis en place visent à sauver le « business as usual », pas à sauver la planète.

      Et comment imaginez-vous de lancer une taxe solidaire ou d’imposer une taxe Tobin dans un monde dirigé par les entreprises ?

      « Il faut donc humaniser notre capitalisme à travers les entreprises. » Hallucinant !

      En fait votre raisonnement (si on peut appeler ça ainsi) colle parfaitement à la société de consommation, dont l’aptitude première est de tout récupérer à son profit.


      • Candide 15 février 2010 13:52

        MarcDS (xxx.xxx.xxx.146) 15 février 12:41 

        « Pour rappel, le capitalisme a pour vocation l’augmentation du capital. Le facteur humain n’y sera jamais qu’un alibi ».

        Et si vous lisiez le texte proposé dans le commentaire précédant le vôtre ?
        Demeuriez-vous aussi péremptoire ?


      • MarcDS MarcDS 15 février 2010 14:31

        Candide, ce n’est pas la première fois que Jean-Pierre Llabrès place sa marchandise ; j’ai donc déjà eu l’occasion d’y faire un tour, pour me rendre compte qu’il s’agit d’une xième tentative désespérée des afficionados du capitalisme de sauver leur Titanic. Je n’y crois pas pour deux raisons : le capitalisme est naturellement immoral et naturellement productiviste, deux tares incompatibles avec les contraintes sociales et environnementales et avec la finitude de notre planète.

        Maintenant, si vous me démontrez que le capitalisme n’est pas fondé sur la cupidité et n’a pas besoin de croître, on pourra en rediscuter...


      • Croa Croa 15 février 2010 18:20

        Tout à fait Marc, sauf un détail : « dans un monde dirigé par les entreprises »

        C’est pire que ça !
        Le monde n’est pas dirigé par les entreprises, généralement endettées (comme les états smiley ) et plus ou moins mises en concurrence forcée entre elles et ce faisant également asservies !

        Le monde est bien dirigé par quelques patrons mais très peu nombreux, essentiellement de la haute finance.


      • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 16 février 2010 12:23

        MarcDS (xxx.xxx.xxx.146) 15 février 14:31 

        "il s’agit d’une xième tentative désespérée des afficionados du capitalisme de sauver leur Titanic".

        Voilà une pure affirmation qui mériterait une rigoureuse démonstration argumentée dans un de ces articles dont vous avez le secret ...


      • MarcDS MarcDS 15 février 2010 12:44

        J’ajoute que le capitalisme doit croître sans cesse ou mourir. Trouvez-moi un moyen de concilier ça avec des principes moraux, éthiques ou environnementaux.


        • JBasini 15 février 2010 13:32

          Bonjour,

          J’attendais ce genre de réaction, et il est intéressant d’en débattre.
          Tout d’abord ne caricaturez pas mes propos, je ne prône pas un monde sous la houlette des entreprises qui seraient les fées de l’égalité dans le monde.

          Bien sur, le capitalisme a pour vocation l’augmentation de capital, je ne remets pas en cause les principes même du capitalisme, mais ses dérives.
          Vous semblez résigner à laisser « croître » ce capitalisme, je ne remet pas en cause les échanges de capitaux, les biens faits économiques, culturels, les mouvements des peuples qu’a incité le capitalisme.
          Là où je ne vous rejoints donc pas, c’est cette forme de résignation ; Ce n’est pas parce que ce système a vocation à faire fructifier un capital qu’il peut le faire de toutes les manières sans que l’on s’en interpelle. Les dérives du néo libéralisme à travers l’étranglement des pays du Sud, qui ont aussi leur fautes, d’où la proposition d’une suppression de la dette sous contrôle) en est une preuve.

          Au sujet du capital humain, vous hallucinez en me citant. Je défends un certain humanisme, qui à mon avis, peut très bien être compatible avec notre société.
          Au sujet du climat, le fait que cela soit devenu un business, ne s’apparente pas du tout à un contre exemple. Vous nous avez donné la définition du capitalisme, je ne la remets pas en cause par rapport au climat. Bien au contraire, c’est complémentaire. On ne peut empêcher les hommes de faire du business mais la sensibilisation de la population mondiale à travers ce business a été colossal ! Et les retombées fut aussi positives.

          D’où l’importance du rôle des entreprises. Sensibilisons à plus grande échelle la population mondiale à travers une action forte des entreprises ; que cela devienne un business ou non, là n’est pas la question, nous sommes dans une sphère capitaliste, mais cherchons à en tirer des profits humains.

          C’est pour cela que je pense ardemment que la facteur humain peut servir de levier d’action même si il est considéré, comme vous le dites, comme un alibi
          Je suis d’accord, il ne faut pas rêver à une conciliation de principes moraux, éthiques ou environnementaux mais nous pouvons profiter de ce système pour le rendre moins inégalitaire.

          Le but ici est financier, une vingtaine de milliards de dollars est nécessaire aujourd’hui. Je ne défends pas une thèse où les entreprises doivent devenir des anges, mais où leur pouvoir financiers pourraient permettre de régler en partie la faim dans le monde, même si les raisons sont seulement par stratégie marketing.
          Que cela colle ou non à la société de consommation, le but est de faire des avancées sur un sujet important et urgent.

          Ensuite, je pense que l’application d’une taxe tobin, au moins au niveau européen est faisable. Au sujet d’une taxe solidaire, en effet, cela demande une mobilisation, une sensibilisation à grande échelle. Cela semble difficile aujourd’hui. Mais je vous rappelle qu’au niveau climatique, des taxes existent et d’autres sont à l’étude, je pense donc qu’avec une prise de conscience globale à cause des évènements, malheureusement, inévitables aujourd’hui (émeutes de la faim), c’est réalisable.

          Vous allez me dire que je ne suis pas pragmatique, je prône la volonté de voir plus loin et je vous laisse avec des paroles d’Henri Lefevbre :

          Un journaliste l’interroge : « Je ne voudrais pas vous vexer...mais on dit que vous êtes utopiste... »

          - " Au contraire, vous m’honorez, je revendique cette qualité... Ceux qui peuvent arrêter leur regard sur l’horizon et se bornent à regarder ce qu’on voit, ceux qui revendiquent le pragmatisme et tentent de faire seulement avec ce qu’on a, n’ont aucune chance de changer le monde..
          Seuls ceux qui regardent au-delà de l’horizon sont réalistes. Ceux-là ont une chance de changer le monde..L’Utopie c’est ce qui est au delà de l’horizon..
          Notre raison analytique sait avec précision ce que nous ne voulons pas, ce qu’il faut absolument changer.
          Mais ce qui doit venir, ce que nous voulons, le monde totalement autre, nouveau, seul notre regard intérieur, seule l’utopie en nous, nous le montrent."


          • MarcDS MarcDS 15 février 2010 14:20

            « Tout d’abord ne caricaturez pas mes propos, je ne prône pas un monde sous la houlette des entreprises » ; alors que voulez-vous dire en écrivant « Que l’ENTREPRISE prenne le leadership aux politiques » ? Leadership qui soit dit en passant, est déjà passé aux mains du capitalisme financier.

            « Vous semblez résigner à laisser »croître« ce capitalisme » : je ne suis pas résigné du tout, je le combat parce qu’il ne peut que croître et que cette exigence naturelle s’oppose de facto aux impératifs sociaux et écologiques. Car ce que vous appelez dérives du capitalisme ne sont que son aboutissement logique, et elles ne feront que se renforcer dans un monde devenu trop exigu pour satisfaire les besoins de croissance du capital. Si celui-ci s’est massivement déplacé vers la sphère financière, c’est parce que d’une part, les facteurs de rentabilité de la production de biens se sont détériorés (améliorer la productivité coûte de plus en plus cher, et les marchés sont de plus en plus saturés) et d’autre part, parce que tout a été mis en place pour que la finance puisse s’auto-alimenter en n’ayant comme seule et unique fonction que de créer de l’argent. Cette dérive (en espérant que vous la considérez effectivement comme telle) n’est pas un hasard, elle répond à la nécessité du capital de continuer à croître dans un monde fini. Il faudrait donc que le capitalisme accepte de se priver de ce qui lui sert de bouée de sauvetage, mais aussi qu’il se soumette à des normes sociales et environnementales ? Ce n’est pas de l’utopie, c’est de l’aveuglement.

            Pour en revenir au business du climat, j’attends toujours les retombées positives dont vous parlez. La sensibilisation du public n’est pas due au business mais à la médiatisation d’un problème (parmi d’autres), et ce ne sont pas les mécanismes de marché mis en place à cette occasion qui vont permettre de résoudre quoi que ce soit. C’est toute la logique productiviste qu’il faut remettre en cause : c’est là que se trouve l’utopie, pas dans la réforme d’un système qui a atteint ses limites et qui ne peut plus se sauver qu’en fabriquant de plus en plus d’exclusion.


            • JBasini 15 février 2010 14:39

              Lorsque je parle de leadership, je ne fais que constater l’échec des négociations politiques sur une aide collective, massive, gouvernementale au sujet de la faim dans le monde. Et les entreprises ont une grosse part de responsabilités dans ces inégalités et doivent donc prendre le relais avec l’aide des états.

              Vous dites que le système capitaliste ne peut se sauver qu’en aggravant les inégalités, en fabriquant de plus en plus d’exclusion.
              Je ne partage pas cet avis, pour moi ceci est de l’aveuglement, le rejet d’une dose d’humanisme, de n’importe quel initiative qui pourrait non réformer mais limiter les inégalités m’interpelle.
              Chacun sa vision, néanmoins la votre ressemble à une résignation des valeurs humaines au sujet d’un système que nous avons nous-même crée. 


            • MarcDS MarcDS 15 février 2010 15:14

              Je constate qu’après avoir affirmé ’il est intéressant d’en débattre", vous n’avez plus à m’opposer qu’un dénigrement sans fondement. Peut-être est-ce dû au fait que là où vous vous contentez d’une dose d’humanisme, je pose celui-ci en tant que principe fondateur ?

              Vous me dites résigné, je vous vois soumis et enfermé dans une pensée étriquée. Pas étonnant dès lors que votre conception de l’utopie se limite à la réforme d’un système dont la concordance d’intérêts avec le progrès social et la démocratie touche à sa fin.

              Comme vous dites, chacun sa vision.


            • JBasini 15 février 2010 15:33

              Vous l’avez pris comme une attaque, ou un dénigrement, cela n’était pas du tout mon intention. Il est en effet intéressant de débattre, et de donnez l’avis sur chacune de nos visions. Vous avez exprimez votre avis, et votre incompréhension moi je vous explique la mienne à propos de la votre. Inutile de rentrer dans un petit jeu inutile.


              • MarcDS MarcDS 15 février 2010 16:15

                Répondez alors à mes remarques au lieu d’user de faux-fuyants (car écrire « Que l’ENTREPRISE prenne le leadership aux politiques : » est bien autre chose qu’un simple constat, c’est une exigence qui conditionne la suite de votre texte) :
                - Comment envisagez-vous la survie d’un système à croissance infinie dans un monde fini ?
                - Comment envisagez-vous de moraliser un système fondé sur la cupidité et l’avidité ? A moins que vous ne considériez pas l’appropriation et l’accumulation des richesses comme résultant de ces défauts humains ?
                - Comment envisagez-vous la survie du capitalisme sans sa bouée financière ? A moins que celle-ci ne vous dérange pas, ou qu’il suffirait pour vous de « moraliser le capitalisme financier » ?
                - Comment envisagez-vous une réduction drastique des émissions de GES dans un système dont la croissance (indispensable au capitalisme, je vous le rappelle) anéantit systématiquement les progrès réalisés en matière de rendement ? Et même, comment envisagez-vous que le système puisse s’accomoder du principe d’une réduction de la demande énergétique, principe en opposition avec son besoin de croissance ?
                - Comment envisagez-vous que le système puisse redistribuer les richesses alors que la consommation des pays occidentaux est déjà insupportable, et qu’il faudra donc soit interdire l’accès à ces richesses à la plus grande partie de l’humanité, soit réduire notre propre consommation, c’est-à-dire... décroître ?

                Vous allez me répondre : grâce à la technologie. Mais la technologie est un outil, et tout dépend de la manière dont on l’utilise. Dans un système productiviste, la technologie est donc mise au service de la production, au lieu d’être mise au service du bien commun.

                Au plaisir de vous lire smiley


              • JBasini 15 février 2010 16:32

                Des faux fuyants ? Il n’y en a aucun.

                Concernant vos interrogations, il y a eu je pense un malentendu. Vous n’arrêtez pas de me parler de reforme, de refonte du capitalisme etc mais je n’ai pas dit ça ! Je parle d’un problème précis qui ait la famine dans le monde et qu’elles solutions pouvons nous trouver.
                Alors vous me sortez vos questions générales sur un ordre nouveau ( que je ne veux pas ! ). Et je le voie à travers vos autres commentaires, je ne suis pas pour une reforme du capitalisme mais simplement une limitation de ces effets néfastes.

                Mais je rentre dans votre jeu et discutons de toutes ces questions, je pense que pour beaucoup nous serons d’accord.
                J’y répondrais très prochainement, et j’attends aussi que vous y mettiez du votre et qu’enfin vous donniez votre réel opinion et les PRÉCONISATIONS que vous pensez valable sur ces questions.

                A très vite sur ce sujet


                • Croa Croa 15 février 2010 18:10

                  « Suppressions des dettes des pays du Sud »

                  Pourquoi seulement les pays du sud ???

                  L’arnaque ploutocrate est générale,

                   smiley tout est à revoir ! smiley


                  • fifilafiloche fifilafiloche 15 février 2010 23:35

                    Les pays « du Sud » ne traitent pas forcément les pays du Sud avec générosité. Par exemple, les prix des matières alimentaires produites en Argentine à destination des Argentins sont égaux, voire supérieurs aux prix pratiqués en Europe, alors que les salaires y sont 5 fois inférieurs. Les pays du Sud sont en général gouvernés par des corrompus qui ne se préoccupent guère de la souffrance de leur population. Annuler la dette ne bénéfiera aucunement aux populations et poussera les maffias politiques locales à toujours plus d opacité.


                    • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 17 février 2010 09:40

                      à l’auteur

                      "Le but ici est financier, une vingtaine de milliards de dollars est nécessaire aujourd’hui. Je ne défends pas une thèse où les entreprises doivent devenir des anges, mais où leur pouvoir financiers pourraient permettre de régler en partie la faim dans le monde, même si les raisons sont seulement par stratégie marketing".

                      Et si l’on commençait par utliser de manière rationnelle les 50 à 60 milliards d’Euros payés, annuellement, par les pays développés au titre de l’Aide Publique au Développement (économique ?) ?...

                      Émeutes de la faim : incontournable et « éternel » recommencement

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JBasini


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