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Accueil du site > Actualités > Economie > Ruptures conventionnelles à Peugeot le PRCF dénonce l’accompagnement (...)

Ruptures conventionnelles à Peugeot le PRCF dénonce l’accompagnement de la casse de l’industrie automobile en France

A PSA Mulhouse, l’hémorragie se poursuit. La direction prévoit la suppression de 177 emplois dans le cadre des « ruptures conventionnelles » si chères à Macron, à la CFDT et au MEDEF.

Voici plusieurs années, que PSA « dégraisse » sur le site de Mulhouse. De 8 400 salariés en CDI début 2011, il n’y en a plus que 5 200. Le but poursuivi est clair : après avoir quelque temps penché pour le « produire en France », PSA – bien que partiellement détenu par l’Etat – veut imiter Renault et délocaliser largement la production.

Quand au sait que le groupe PSA a engendré 4,5 milliards d’euros de bénéfices* en deux ans et demi, comment accepter la suppression de centaines d’emplois alors qu’il y à des centaines de milliers de chômeurs à la recherche d’un emploi ? Et comment accepter la nouvelle vague de désindustrialisation en vue de notre pays qui accompagnera inévitablement la grande braderie à l’étranger d’Alsthom, de STX ou d’Airbus ? Casse de la classe ouvrière, casse de la nation, « en marche » vers la régression du pays !

Comment accepter que des organisations syndicales FO, CFDT, CFTC et GSEA, qui ont pour mission le défense de l’emploi, trahissent la classe ouvrière sous la promesse d’embauches futures. Ces gens ont-ils jamais entendu le dicton qui dit, et c’est encore plus vrai avec le patronat rapace et menteur que nous avons, « un bon tiens vaut mieux que cent tu l’auras ! » ?

En cautionnant l’application de la « loi travail », ces syndicats déjà très rosâtres virent carrément au jaune, dupent les travailleurs et font honte au mouvement syndical. On l’avait déjà vu avec leur totale absence de solidarité avec les travailleurs CGT de GM&S venus solliciter l’appui des syndicats de PSA : ils sont restés à la porte de l’entreprise alors que la police réprimait durement les pères de famille cégétistes venus de la Creuse ! Honneur en revanche à la CGT de PSA qui a courageusement refusé la mascarade. Les travailleurs peuvent voir ce qu’il en coûte de retirer la majorité à la CGT aux élections professionnelles !

Pour le PRCF, il faut nationaliser à 100% PSA et renationaliser totalement Renault (sans indemnités pour les grands actionnaires qui se sont assez gobergés), et pour cela, il faut sortir de l’UE et de l’Euro qui interdisent de fait les nationalisations au titre de la « concurrence libre et non faussée » et du libre-échangisme mondial, cette pompe permanente à délocalisation. Sans cela, il ne pourra pas y avoir de plan de sauvegarde de notre industrie automobile avec des projets innovants relançant les synergies franco-françaises (Renault, PSA, équipementiers français en lourde difficulté). Donc, comme nous le demandons pour d’autres grandes entreprises, il y a urgence à nationaliser pleinement les deux grandes entreprises automobiles françaises à savoir PSA et Renault tout en conservant leurs spécificités productives et commerciales et en garantissant l’emploi chez les équipementiers. La création d’un pôle industriel public concernant toutes les grandes entreprises du secteur est d’une actualité flagrante pour sauvegarder non seulement des milliers d’emplois mais aussi en créer des milliers d’autres.

Comme ce fut le cas à la Libération, sous l’impulsion des communistes, fer de lance de la mise en œuvre du programme du Conseil National de la Résistance, l’Etat doit jouer son rôle pour relever notre pays du désert industriel et économique au lieu d’être le premier, avec les Sarkozy, Hollande et Macron, à désosser le produire en France. C’est pourquoi nous appelons aussi les travailleurs de l’automobile à aider le PRCF à reconstruire en France un vrai parti communiste totalement émancipé de la tutelle du PS et de la croyance absurde à l’ « Europe sociale », un grand syndicalisme de classe rompant avec les journées d’action alibi (il faut aller au bras de fer tous ensemble et en même temps si nous ne voulons pas que nos enfants redeviennent des ESCLAVES), un large Front antifasciste, patriotique, populaire et écologiste pour sortir la France de l’UE, cette prison des peuples.

Le PRCF sera aux côtés des travailleurs de PSA et soutiendra les actions pour défendre et développer l’emploi et l’avenir industriel du constructeur français en France.

 La commission luttes du PRCF

*exercice 2015,2016 et 1er trimestre 2017

https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/ruptures-conventionnelles-a-peugeot-p-r-c-f-denonce-trahison-syndicats-accompagnent-casse-de-lemploi-de-lindustrie/


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17 réactions à cet article    


  • zygzornifle zygzornifle 22 janvier 2018 17:06

    PSA fait parti des premiers , viendra carrouf , fnac-darty et bien d’autres la grande distribution va s’en donner a cœur joie .....


    • pipiou 22 janvier 2018 18:16

      Ah parce l’industrie automobile française est en ruine ?
      Renault-Nissan premier constructeur mondial ; qu’est-ce que ce serait si le gouvernement ne l’avait pas cassé smiley

      Au PRCF c’est la casse de l’intelligence tous les jours !


      • jean sans terre 9 mars 2018 17:14

        @pipiou

        Source 2017 DGE :
        Années 70, l’industrie représentent 25 % du PIB (produit intérieur bru).
        Aujourd’hui : 10 % seulement.

        Ce n’est pas l’intelligence du PRCF qu’il faut critiquer mais son intelligence REVOLUTIONNAIRE.
        Le PRCF nous ressort les recettes du PCF qui ont failli. Nostalgiques d’une situation (l’après libération) qui ne peut être reproduite. URSS inexistante et bourgeoisie plus forte que jamais avec la relance de son néo-colonialisme.
        La position du PRCF est attentiste car cette organisation renvoie à l’après UE et à la sortie de l’euro.
        Nationaliser ou renationaliser des monopoles licencieurs dans un système capitaliste ne sont pas des garanties suffisantes pour sauver l’emploi (voir USINOR SACILOR). Une monnaie nationale sans le contrôle des banques et sans contrôle de l’activité des monopoles qui créent de la monnaie par leurs échanges et le crédit qui leur est alloué, sans le contrôle du commerce extérieur, sans l’évasion des capitaux ne sont pas des conditions suffisantes pour garantir l’emploi. Il faut en finir avec le capitalisme.

        Toutefois le PRCF a raison d’exiger la nationalisation sans indemnisation. Dommage qu’il ne demande pas le contrôle ouvrière de la gestion pour contrarier son inévitable orientation capitalistique, sans garantie puisque l’Etat capitaliste soutiendra toujours le profit capitaliste.


      • Clouz0 Clouz0 22 janvier 2018 18:29

        Donc, je résume :


        - Honte à PSA et au Gouvernement.
        - Honte aux syndicats-caca (FO, CFDT, CFTC et GSEA)
        - Gloire à la CGT, toujours aux côtés des « travailleurs-travailleuses ».
        - Gloire au PRCF, toujours aux côtés des « travailleurs-travailleuses ».
        - Il faut nationaliser d’urgence à 100% (voire plus) PSA et Renault comme le dit si bien le PRCF.

        J’ai bien résumé ?

        Et sinon, une question en passant : 
        Puisque le PRCF est si performant dans le domaine de la gestion des entreprises ainsi que dans la production et la commercialisation de voitures, pourquoi ne créérait-il pas une nouvelle entreprise de fabrication d’automobiles, où il pourrait mettre en oeuvre toutes ses excellentes solutions ? 
        Cela prouverait par l’exemple la pertinence des solutions proposées par le PRCF et contraindrait ainsi tout le secteur industriel mondial à adopter ces mesures de bon sens.
        Y a plus qu’à !  smiley

        • PRCF PRCF 23 janvier 2018 09:33

          @Clouz0

          1°) ce sont les travailleurs et exclusivement eux qui font le succès d’une entreprise et assurent 100% de sa production. Que les travailleurs se mettent en grève et plus une renault ne sera fabriqué. Que les actionnaires fassent grève et les usines continueront de tourner.

          2°) c’est bien le programme du PRCF que de faire en sorte de changer le système de façon à ce que les revenus du travail reviennent aux travailleurs et non pas à une classe d’oisifs qui accaparent la richesse en exploitant les travailleurs. En confiant aux travailleurs et à eux seuls la direction des entreprises. Il n’échappera à personne que le principe même du système capitaliste et de permettre à une toute petite classe détenant l’essentiel des capitaux de détenir la quasi totalité des entreprises et cela sans réellement travailler.


        • Petit Lait 23 janvier 2018 10:48

          @PRCF

          Ah ! ah ! ah ! ......ah mince ! vous étiez sérieux ?

        • Clouz0 Clouz0 23 janvier 2018 14:21

          @PRCF
          1°) ce sont les travailleurs et exclusivement eux qui font le succès d’une entreprise et assurent 100% de sa production. Que les travailleurs se mettent en grève et plus une renault ne sera fabriqué. Que les actionnaires fassent grève et les usines continueront de tourner.

          Limpide !

          2°) c’est bien le programme du PRCF que de faire en sorte de changer le système de façon à ce que les revenus du travail reviennent aux travailleurs et non pas à une classe d’oisifs qui accaparent la richesse en exploitant les travailleurs. En confiant aux travailleurs et à eux seuls la direction des entreprises. Il n’échappera à personne que le principe même du système capitaliste et de permettre à une toute petite classe détenant l’essentiel des capitaux de détenir la quasi totalité des entreprises et cela sans réellement travailler.
          Encore plus Limpide !

          D’où ma question : 
          Mais pourquoi diable ces « travailleurs-travailleuses » dotés de tous les savoir faire et d’une énergie débordante (ce que n’ont pas les affreux actionnaires - oisifs), ne montent pas leurs entreprises tout seuls ? Ça serait pourtant simple et cela règlerait tous les problèmes à la base. 
          Et de plus, le PRCF pourrait leur prodiguer d’excellents conseils !!!

          Ne serait-ce pas la solution la plus rapide pour changer le système ?
          Vous vous y mettez quand ?

        • Petit Lait 24 janvier 2018 09:23

          @Clouz0
          En fait, ça arrive souvent... mais le problème, c’est que ce faisant, ils passent, aux yeux du PRCF, du côté obscure de la force... Dans leur monde, il y a d’un côté quelques actionnaires, portant haut-de-forme et fumant le cigare, qui exploitent outrageusement une marée d’ouvriers sous payé. Les PME, les petits patrons, les entreprises de services ou il n’y a pas d’ouvrier etc etc, dans leur monde, ça n’existe pas... et dans leur monde, le fait que chacun de nous soit actionnaire, à travers des caisses de pension, des assurances ou autre épargne, cela n’existe pas... Bref, leur monde est binaire, un peu l’image du monde du FN.... Sans nuance, ni couleur. 


        • jean sans terre 9 mars 2018 17:58

          @PRCF

          Vous parlez de « CHANGER LE SYSTEME » mais vous ne parlez pas de révolution. (? ??)

          Vous vous situez seulement dans le cadre du capitalisme qui ne vous laissera pas faire.

          L’impossibilité de nationaliser ne réside par dans les traités européens qui effectivement l’interdisent mais dans la logique même du capitalisme qui possède tous les moyens de résister et surtout de neutraliser tout contenu progressiste imposé par la lutte.
          Les travailleurs feront leur expérience, certes, mais votre stratégie ne leur permettra pas d’en tirer la leçon de l’échec annoncé et de passer à l’étape du socialisme que votre économisme renvoie aux calendes grecques.

          Oui, nationalisation sans indemnisation pour délégitimer la propriété privée des moyens de production dans les luttes mais de grâce sans créer d’illusions dans un système capitaliste.
           
          Les nationalisations dans un régime bourgeois sont des nationalisations bourgeoises. Et même renforce le système capitaliste. Donc nationalisations momentanées, juste le temps de RECAPITALISER, de NATIONALISER LES PERTES (voir USINOR 90 Milliards pour éponger les dettes de l’entreprise).

          Quant à votre argumentation sur les usines qui continueront de tourner pendant la grève, vous oubliez que nous avons affaire à une classe organisée nationalement et internationalement et pas seulement des actionnaires. Vous réduisez le combat de classe à sa dimension syndicale, position bizarre pour une organisation politique.

          Vous oubliez la division internationale du travail. Une classe qui fait sa police en son sein.

          Regardez ce qui se passe au Venezuela, rappelez vous ce qui s’est passé au Chili. Qui va empêcher les capitalistes de boycotter leurs échanges en direction de la France ? Votre gentillesse comme celle des communards en 1870 ?

           


        • jean sans terre 9 mars 2018 21:06

          @PRCF confusionniste, réformiste, baratineur, phraseur

          Vous parlez de « CHANGER LE SYSTEME ».

          Vous ne parlez pas de révolution pourtant inévitable « POUR QUE LES REVENUS DU TRAVAIL REVIENNENT AUX TRAVAILLEURS ET NON A UNE CLASSE D’OISIFS »

           


        • BA 22 janvier 2018 19:28

          Lundi 22 janvier 2018 :


          France : les très riches toujours plus riches.


          « L’an dernier, les 10 % des Français les plus riches détenaient plus de la moitié des richesses, alors que les 50 % les plus pauvres se partageaient à peine 5 % du gâteau. Tout en haut de la pyramide, le 1 % des ultra-riches détenait 22 % de la richesse, contre 17 % en 2007 », pointe l’ONG Oxfam dans son rapport « Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent », publié ce lundi, à la veille de l’ouverture de la 48e édition du WEF.


          Le tableau pour la France est très contrasté aux extrêmes. En vingt ans, la fortune cumulée des dix plus grandes fortunes françaises a été multipliée par 12, parallèlement 1,2 million de personnes supplémentaires ont grossi les rangs de la population pauvre.


          Dans ce contexte, les 38 milliardaires recensés dans l’Hexagone possèdent désormais autant que les 40 % les plus pauvres de la population.


          Et en haut de la pyramide, tout va plus vite. Le nombre de milliardaires français en dollars est ainsi passé de 15 à 38 en onze ans et leur richesse a triplé, par rapport à 2009, pour atteindre 245 milliards d’euros l’an passé.


          Ce boom des milliardaires est-il le signe d’une économie florissante ? « C’est d’abord le symptôme d’un système économique défaillant qui enferme les plus vulnérables dans la pauvreté et porte aussi atteinte à la prospérité économique de toutes et tous, comme le reconnaissent de plus en plus d’institutions comme le Fonds monétaire international (FMI) ou l’OCDE », commente Manon Aubry, la porte-parole d’Oxfam France.


          Comment expliquer ce phénomène ? En partie, et en partie seulement, par le rôle moteur des entreprises. Plus de 44,3 milliards d’euros ont été reversés l’an passé aux actionnaires par les sociétés cotées sur le CAC 40, c’est trois fois plus qu’il y a quinze ans et un record en Europe, mais 4,1 % de moins qu’en 2016.


          « Le taux de redistribution de ces entreprises dépasse désormais les 50 %, contre 33 % au début des années 2000. Dans le même temps, le salaire moyen n’a augmenté que de 14 % en France », note l’étude.


          A la Bourse de Paris, trois valeurs se distinguent particulièrement : Total, Sanofi et BNP qui, à elles seules, ont versé le tiers des dividendes du CAC 40 en 2017. Sanofi et Total figuraient déjà dans le top 10 des entreprises mondiales qui ont distribué le plus de dividendes en 2016.


          Ces géants de la cote ne se montrent pas généreux qu’avec leurs actionnaires, elles le sont aussi avec leur PDG. Le n° 1 de Sanofi « gagne ainsi en moins d’une journée le revenu annuel moyen d’un français. Il faudrait 11.674 années à un salarié du textile au Bangladesh pour gagner ce que gagne en une année le PDG de Carrefour, où sa marque Tex produit une partie de ses vêtements », note l’étude.


          https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/0301179932410-france-les-tres-riches-toujours-plus-riches-2146955.php



            • Alren Alren 23 janvier 2018 13:03

              @Novae

              En France, comme le dénoncent les Pinçon-Charlot, il y a une haine profonde, irrationnelle, des super-riches pour les autres Français.
              Cela les conduit à préférer tout aussi irrationnellement l’étranger, la langue anglaise, plutôt que ce qui est français.

              Cette phobie n’existe pas chez les investisseurs étrangers qui font de la France une destination privilégiée pour placer des capitaux, et ce après des études rationnelles.

              Les Japonais de Toyota ont constaté que les travailleurs de leur usine de Valenciennes produisait des voitures d’une qualité comparable sinon supérieur à celles qui étaient fabriquées au Japon et en Asie : le taux de pannes des Toyota France est parmi les plus faibles de toutes les marques.

              En conséquence ils investissent pour lancer à Valenciennes un nouveau modèle, sans doute hybride et très équipé, qui n’aura guère de concurrents en Europe.
              (Ce qui serait comique c’est que la voiture soit exportée au Japon !)

              Ce que font les Japonais avec les ingénieurs et travailleurs français pourrait être fait avec le patronat français s’il était moins c..., disons plus rationnel.


            • Buzzcocks 23 janvier 2018 11:36

              Ce que je ne comprends pas très bien avec l’idéologie communiste, c’est que d’une part, le travail est vu comme une aliénation qui soumet l’homme à des méchants patrons. Mais quand l’histoire va vers la destruction de tous les jobs usants comme le travail à la chaine, et bien, ça ne va pas également.
              On a à Seattle, l’ouverture de la première superette Amazon sans personne en caisse. Et on aura surement aussi des robots pour réapprovisionner les rayons. Bref, bientôt des magasins sans personnel du tout ou presque.
              J’ai vu un reportage sur une usine Lego au Danemark, où on avait 4 employés pour produire des milliards de briques.

              Vous devriez plutôt penser à comment partager la richesse avec de moins en moins d’emplois, car que Peugeot vire des gens, ça parait inéluctable. Et est ce valorisant pour un homme de serrer des écrous toute une vie ?


              • generation désenchantée 23 janvier 2018 13:03


                si plus personne n’ a d’ emplois
                 puisque toutes les usines vont être automatisées , robotisées , informatisées en réseaux et que le fondement du système est la consommations de produit fabriqués a des coûts toujours moindre et que avec l ’ IA , il va même plus avoir besoins de « créatifs » ou de cadres

                comment les actionnaires , fond spéculatifs vont faire quand plus personnes ne pourra travailler et gagner de l’ argent , pour pouvoir acheter ce que ces usines produisent ?


                • Lugsama Lugsama 23 janvier 2018 15:41

                  La CGT s’est ce truc bloqué dans le passé qui s’éteind peu à peu ?


                  • Dzan 23 janvier 2018 16:50

                    Toujours la faucille et le marteau, c’est dire. Nous en sommes Kamarade à la Moissonneuse Batteuse pilotée par GPS et à la Machine outil à commandes numérique.
                    Ah ; on me dit dans l’oreillette que ça ne peut pas loger sur un drapeau.

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