« Notre liberté repose sur notre capacité à accéder à la vérité. » (Barak Obama, en 2005)
Le « billet de banque » qui suit est gratuit et ne réclame pas d’argent. Il n’émane d’aucun parti. Normal : Riches ou Pauvres, l’argent concerne tout le monde.
Le système monétaire est une invention humaine (et non pas naturelle ou divine), il est donc transformable par des volontés réunies.
L’action collective est incontournable, car le système actuel n’hésite pas à faire « descendre » par la mafia ceux qui, même au haut de l’échelle sociale, l’attaquent de façon trop individuelle cf : Aldo Moro, JF Kennedy et plusieurs présidents US auparavant.
L’argent n’est pas la richesse, mais il la représente. Cette contrainte technique est l’occasion de sa confiscation. La richesse réelle résulte des activités et des travaux de l’ensemble des Humains. Mais l’image de ce bien public qu’est l’argent, est aspirée à sa naissance par quelques big-banques privées (1913, privatisation de la FED par un président US corrompu qui s’est aperçu sur le tard de sa gigantesque bévue). Par ce coup (plus que d’État ! quand on connaît le rôle mondial du dollar), la "haute-banque" dispose des crédits de l’argent naissant, à sa guise, avant les États qu’elle parasite.
Les usurpateurs sont le premier pouvoir, mais ils se cachent et, sans légitimité, pré-gouvernent dans l’ombre. Ils sont, plus que des élus mal-élus-corrompus, des corrupteurs actifs. Après avoir maîtrisé la source monétaire, ils peuvent arroser des complices d’États nécessaires à leur détournement constant. Ils peaufinent de génération en génération des mentalités de soumission liées à la rareté passée des biens et des services (fascination par l’or notamment). Utilisation de circuits bancaires de contournement ("paradis" fiscaux) allongés pour brouiller les pistes mais rapides grâce à l’électronique.
Nos malins s’ingénient à brouiller le problème en le compliquant (Les pros eux-mêmes reconnaissent par moments, n’y plus rien comprendre). Les peuples sont gardés illettrés monétaires au cours de la scolarité obligatoire. Adultes, les médias nous distraient de la question, déversent l’écume des séances de bourse qui masquent le principal. Des experts nous noient sous des explications codées (surtout en anglais) et tournent autour du pot. Les objectifs : diviser à l’infini, décourager le grand nombre ou rendre une minorité violente et donc montrable du doigt.
La haute banque, mafieuse s’il le faut, exploite quasiment tout le monde ; y compris l’industrie et le travail utile des banquiers ordinaires car elle les tient féodalement par le crédit et les dettes... comme les États.
G8, G20 sans résultats probants (et toujours pas de G192 à l’horizon !). On se moque. On s’est moqué de nos pères et de nos mères et on se moque de nos filles et de nos fils en nous faisant croire que les dettes publiques sont réellement dues. Mais à qui s’il vous plaît ?
Cela peut ne plus durer longtemps. Une Masse Critique de personnes informées se forment et votent avec leurs pieds. Ils ne veulent plus un argent censitaire (une action, une voix) mais un argent de suffrage universel, démocratique (un homme, une voix).
Beaucoup de petits ruisseaux deviennent clairs et bientôt il apparaîtra que le barrage à l’embouchure du fleuve est sans fondement. Déjà l’or a volé en éclats en 1971.