Quelques réflexes sont symptomatiques parmi les idéologies et théories admises communément en économie.
Vous comprenez que ceci n'est pas accessible à tout un chacun, cependant, vous pouvez prendre part à une fraction de la compréhension.
Toute théorie économique est produite par un individu, voire un groupe d'individus (ce que l'on nomme vulgairement une classe).
Celle-çi est construite dans l'intérêt de cette entité (ce qui fait du titre de cet article une absurdité) au détriment d'un autre individu ou d'une autre classe.
Sauf que, l'évidence est que nous ne pouvons nous passer d'une autre classe ou d'autres individus, du moins dans une mesure sous-estimée. Vous pouvez vous référer à la théorie du dalaï-lama qui explique l'interdépendance des individus et groupes d'individus afin de considérer l'impuissance de l'euthanasie du rentier, d'une victoire de classe
tel que Warren Buffet le considère, d'une rationalité économique morbide qui nie l'irrationalité ou la contradiction des agents économiques.
Il est également illusoire de considérer toute théorie économique qui se base sur la rareté. La rareté est soit une manipulation, soit une vue de l'esprit, soit un manque d'imagination ou de compréhension.
Les prérogatives cupides de certains individus ou classes ne valent pas les prérogatives morales qui animent et justifient nos existences. Il est évident qu'elles ne justifient évidemment pas le sentiment de rareté qui peut dès lors émerger d'une telle relation. Pour la simple et bonne raison que, des cupides et des immoraux, il y en a plein les cimetières.
Cependant, la nécessité relative de la condition d'agent économicus, une fois pleinement satisfaite, permet d'accéder à d'autres choix du possible, qu'il est évidemment magique d'épanouir.
Tout cela ne nous abrite évidemment pas de la frustration, de la domination, du sentiment que la satisfaction économique est faite pour nous éloigner, neutraliser nos conflits, nos limites.
Mais, de ce fait, l'intérêt ou la nécessité que l'on porte à la chose économique ne nous égare en rien des autres manifestations intéressées dans divers domaines, en fonction des préférences individuelles.
Concernant un système économique, nous pouvons expliciter qu'il s'agit d'une interaction suffisamment complexe entre la volonté, la paresse, la nécessité, l'absurdité, et la créativité.
Il va de soit qu'il intègre différentes idéologies dont l'interaction morbide du XXème siècle ne saurait survivre à notre siècle.
Le XXième a démarré plus prosaïquement entre une lutte entre les institutions et les peuples. Il est nécessaire, aux deux parties, de considérer l'échec, à terme de ces luttes, qui, finalement, sont une reproduction non-féconde des luttes passées. Sauf à considérer que les luttes sont le théatre d'échanges culturels passionnels et nécessaires.
Cependant, il est préférable de se méfier de la nécessité, car, dans de nombreuses circonstances, elle peut être appelée à vous échapper.
Quand au principe de réciprocité , qui domine et la religion, et les mathématiques, il est évident extensible à l'économie, qui permet une relation sociale apaisée.
Dans ses formes primitives, cela peut être appelé du chantage, un rapport de domination gagnant-perdant, ou la nécessité de la lutte des classes. Cependant, du point de vue de l'auteur, il est préférable de se satisfaire d'un sentiment de réciprocité et de privilégier les acteurs qui expriment la même satisfaction relationnelle, quitte, sur l'imprédictible, à laisser s'exprimer la révolte, la jouissance, ou l'impuissance d'autres sphères relationnelles.
La corruption et la concussion, qui développent l'indignation, la complicité, la nécessité de la systématiser, de la généraliser, voire de la combattre ou de l'ignorer, peuvent permettre l'émancipation, le rejet ou le racket par une justice devenue peu fondée sur ses préceptes.
La vie de la monnaie étant ce qu'elle, portez-vous financièrement et matériellement bien.
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pas même les classes sociales sup en perpétuel renouvellement,
la compétition des genres et des espèces appartient à la loi de composition interne du Kapitalism,
& ses diverses déclinaisons
au même titre que la bt%p ou cc,
fatalités inlassablement contournés au fil des temps
l’économie poussée à ses limites (celles que ns observons aujourd’hui, l’histoire n’étant pas encore écrite) ne réalise t elle pas une forme d’équilibre précaire,
en adressant une somme considérable de moyens rationnels (science et techniques, psycho-sociologie du comportement d’achat, formatage social, ressources et passif écologique etc ...) au service de comportements totalement irrationnels
l’histoire serait en définitive affaire de cycle, impliquant des notions de flux, de stocks et des phases de transformation liées par une forme de déterminisme supra-économique ou de causalité positiviste.
à voir
et curieux de savoir comment cela va se boucler
....
la plus grande ruse du diable du Diable ne consiste t elle pas à faire croire qu’il n’existe pas !
Le seul propos censé est celui-ci, (et il n’est pas de l’auteur) ;
’’L’épanouissement personnel ne passe pas par la possession matérielle’’
En effet quand la majorité des gens aura compris cela, nous pourrons commencer à changer ce monde totalement débile,
Le plus drôle est de constater que l’individu en est toujours à penser que la « réussite » passe par la quantité d’argent et le niveau sociale. Mais puisque c’est ce qu’on enseigne aux enfants, il ne faut pas s’étonner plus que cela
Quoi qu’il en soit nous sommes dans une civilisattion materialiste et je vous avoue que si j’etais ne avec un certain patrimoine c’eut change le cours de ma vie L argent bien que vous le meprisiez est le nerf de la guerre Cela m’aurait eviter surtout de subir les cons et de ne pas gaspiller mon temps CQFD
Ce n’est pas l’argent que je déteste mais l’utilisation qu’on en fait, ce n’est pas tout à fait la même chose.
Si celui-ci n’était resté, (comme ce pourquoi il a été conçu) un moyen d’échange et non une fin, le monde n’en serait pas là aujourd’hui
La cupidité est une pathologie grave et qui produit d’autres maladies aussi graves comme la jalousie, le mépris de l’autre...Enfin tout ce qui fait vomir
Ce n’est pas l’argent qui est un poison, c’est l’homme.
Quand au principe de réciprocité , qui domine et la religion, et les
mathématiques, il est évident extensible à l’économie, qui permet une
relation sociale apaisée.
Dans ses formes primitives, cela peut être appelé du chantage, un
rapport de domination gagnant-perdant, ou la nécessité de la lutte des
classes. Cependant, du point de vue de l’auteur, il est préférable de se
satisfaire d’un sentiment de réciprocité et de privilégier les acteurs
qui expriment la même satisfaction relationnelle, quitte, sur
l’imprédictible, à laisser s’exprimer la révolte, la jouissance, ou
l’impuissance d’autres sphères relationnelle
Comme j’ai du mal à comprendre le système que vous défendez, j’ai entrepris de lire vos articles et j’ai commencé par celui-ci.
Et je constate que nous sommes pleinement d’accord sur le principe de réciprocité pour vivre dans une société juste, apaisée et contrôlée. Sachant que l’injustice est lié au déséquilibre dans la relation de réciprocité, qui se traduit au niveau économique par l’impôt prélevé dans chaque échange économique et implique la violence systémique pour imposer cette iniquité.
Vous aurez remarqué que la responsabilité, définit comme la capacité de répondre de ses droits et devoirs, s’appuient exclusivement sur le principe de réciprocité.
Entre parenthèse, au niveau des mathématiques, le principe de réciprocité n’est pas toujours respecté.
Un exemple « bête », l’égalité 1x1xn1 = 1 est fausse, en réalité physique, 1x1xn1 = 1+1+n1 !!!!
La preuve est de niveau élémentaire (je vous laisse essayer de la trouver), ce qui me fait m’interroger sur les raisons qui fait que les plus grands mathématiciens n’aient pas vu cette erreur élémentaire...