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Accueil du site > Actualités > Economie > Une explication simple mais rationnelle de l’état économique

Une explication simple mais rationnelle de l’état économique

Pour que tout le monde comprenne, je vais aller au plus simple en vulgarisant le principe de l'économie pour expliquer entre-autres pourquoi la situation économique est telle qu’elle est aujourd'hui.

Mise en situation avec un exemple :

3 personnes (un boucher, un épicier, un boulanger) qui vont participer au développement économique. Le boulanger a un billet de 20.00€ et va s’acheter 800g de bœuf avec les 20.00€.

Le boucher encaisse les 20.00€ qui sont répartis de la façon suivante : 11.00€ servent à acheter la matière première (la viande de l’abattoir) et une partie des frais du magasin. Les 9.00€ restants contribuent à l’économie de la façon simplifiée suivante :

  • 4€ pour la TVA => création de richesses pour l’état
  • 5€ sont pour le boucher qui va s’en servir pour acheter des fruits et 1L d’eau à l’épicier.

L’épicier encaisse les 5.00€ qui sont répartis de la façon suivante : 2.50€ servent à acheter la matière première (fournisseur d’alimentation) et une partie des frais du magasin. Les 2.50€ restants contribuent à l’économie de la façon simplifiée suivante :

  • 1€ pour la TVA => création de richesses pour l’état
  • 1.50€ sont pour l’épicier qui va s’en servir pour acheter un pain de 600g au boulanger.

Le boulanger encaisse les 1.50€ qui sont répartis de la façon suivante : 0.70€ servent à acheter la matière première (farine, levures, eau, …) et une partie des frais du magasin. Les 0.80€ restants contribuent à l’économie de la façon simplifiée suivante :

  • 0.30€ pour la TVA => création de richesses pour l’état
  • 0.50€ sont pour l’épicier qui s’en servira pour ses achats…

Sur cet exemple simple, 1 billet de 20.00€ a créé 5.30€ de richesse (TVA) et 7.00€ de gains pour les commerçants. La viande + les fruits + l’eau + le pain avaient une valeur d’origine de 14.20€. Hors en utilisant 1 billet de 20.00€, on a créé 5.30€ + 7.00€ = 12.30€ de richesses. Le coût matières premières + la création de richesse = 26.50€ => la valeur du billet de 20.00€ est passée à 26.50€.

Mais si nous voulons aller plus loin, nous pouvons y ajouter le fait que le professionnel de l’abattoir a aussi un bénéfice et donc sur les 11.00€, il y a entre 2.00€ et 5.00€ pour lui. De même pour le producteur de fruits, celui de l’eau, celui de la farine, celui de la levure, … Si on étudiait la question dans le détail, on pourrait s’apercevoir qu’au bout de trois dépenses du même billet, on a plus que doublé sa valeur => c’est une situation d’économie en pleine santé. L’objectif est d’expliquer le plus simplement possible donc je ne vais pas plus loin dans le détail. Cependant, il est facile de voir que plus l’argent circule, plus il y a création de richesses.

Maintenant, lorsqu’on visualise la réalité, on se dit que l’exemple précédent reflète plutôt une période ancienne, avant 1950. Depuis quelques dizaines d’années, le pain n’est pas uniquement acheté chez le boulanger, tout comme la viande chez le boucher, … mais beaucoup de ces produits sont achetés dans des magasins qui vendent l’ensemble. Donc le nombre d’échanges a diminué mais ça ne justifie pas toutes les difficultés économiques. Si les consommateurs décident de ne pas dépenser mais plutôt d’épargner tout alors l’argent qui dort ne créé plus de richesses. Mais c’est une question d’équilibre car l’argent épargné sert aussi à créer des entreprises qui elles-mêmes peuvent créer des richesses. Cependant, des entreprises sans clients, sans consommateurs ne peuvent pas créer de richesses.

L’économie est donc le résultat du comportement de chacun. Plus il y aura d’entreprises qui redistribuent des richesses, plus il y aura une consommation possible plus forte. En France, je pense que les valeurs du travail ont besoin de revenir dans les esprits et les principes des gens. Dans les médias on entend uniquement parler « de la crise économique ». Les personnes qui savent s’adapter et qui n’attendent ni les autres ni le gouvernement pour se bouger et rebondir parlent eux d’opportunité et non de crise. On vie dans une époque où il y a une redistribution des cartes et des richesses. L’économie basée sur les gains du secteur industriel et de l’activité majoritaire du salariat a vue ses limites et voit sa fin pour laisser place aux micro-entreprises et aux travailleurs indépendants. Tant que la majorité des citoyens n’auront pas accepté les faits et remonté leurs manches pour s’adapter à un nouveau modèle économique et à des façons nouvelles de travailler, le sentiment de crise perdurera…


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40 réactions à cet article    


  • foufouille foufouille 18 septembre 2014 11:50

    « L’économie est donc le résultat du comportement de chacun. Plus il y aura d’entreprises qui redistribuent des richesses »

    surtout aux « actionnaires »


    • Antony Inov Antony Inov 18 septembre 2014 14:36

      Cette réponse est pertinente. C’est le cas dans beaucoup d’entreprises classiques où on donne des miettes aux salariés et la grosse part qui reste est partagé « aux actionnaires ». Si vous ne voyez que par ça, alors devenez actionnaire.
      Il existe aussi des groupes d’entreprises qui fonctionnent différemment et où aucun dividendes ne sont versés aux actionnaires. C’est peu connu et plutôt rare mais ça existe et je pense que ce modèle a sa place dans la société.


    • larebil 18 septembre 2014 12:09

      Ca c’est de l’économie de comptoir de bar.

      « 4€ pour la TVA => création de richesses pour l’état »

      Vous confondez revenu et richesse, ça n’a rien à voir. Si l’état dépense ses revenus à creuser des trous et à les reboucher, il n’a créé de richesse pour personne, il aura au mieux créé des revenus pour les personnes qui font le boulot, c’est tout.

      « Plus il y aura d’entreprises qui redistribuent des richesses, plus il y aura une consommation possible plus forte »

      Une seule entreprise qui distribue 100 revenus (à 100 salariés) à autant de potentiel de « création der richesse » que 100 entreprises individuelles. 100 salariés de chez Peugeot créent plus de richesses (par les gains de productivité dus aux quantités produites) que 100 artisans qui essayeraient chacun de construire une voiture.

      « On vie dans une époque où il y a une redistribution des cartes et des richesses »

      Oui, comme toutes les époques tant qu’on est dans une économie libre, quand l’économie va bien, il est facile de faire comme les autres pour gagner sa vie. Quand l’économie va mal, il est facile (il suffit de comprendre qu’il faut se remettre en question) de faire différemment des autres (si l’économie va mal c’est que le modèle ne fonctionne plus) pour gagner sa vie. Une crise n’est qu’une opportunité d’un changement, le plus souvent au final vers du meilleur, dans une économie libre.

      « Tant que la majorité des citoyens n’auront pas accepté les faits et remonté leurs manches pour s’adapter à un nouveau modèle économique et à des façons nouvelles de travailler, le sentiment de crise perdurera »

      Voila, donc en gros, avec un raisonnement complètement faux (à mon avis, mais je suis sur que d’autres le trouveront plus ou moins juste), vous arrivez à la juste conclusion : il faut se remettre en question !


      • foufouille foufouille 18 septembre 2014 12:40

        « vous arrivez à la juste conclusion : il faut se remettre en question ! »

        et bosser pour 5€/h ?


      • larebil 18 septembre 2014 13:55

        Tiens, foufouille, l’homme qui ne se remet surtout jamais en question smiley


      • foufouille foufouille 18 septembre 2014 14:35

        va bosser pour 5€/h 

        ça montrera l’exemple


      • Antony Inov Antony Inov 18 septembre 2014 14:40

        Oui et c’est l’objectif de parler d’un truc qui parait idiot mais qui est le plus simple possible. On pourrait faire des grands discourt sur les valeurs monétaires, les transactions, les investissements, ... et tout un tas de choses mais qui paraissent compliqués.


      • Antony Inov Antony Inov 18 septembre 2014 15:02

        Là c’est une réponse qui est dans l’état d’esprit du salariat. Pas de problème je suis aussi salarié. Alors d’abord, il n’est pas question de taux horaire (qui n’a aucun sens lorsqu’on est indépendant) mais de marge bénéficiaire qui est soit un profit pour l’indépendant soit un bénéfice pour la société. Pour du détail, il faut apprendre à consulter des bilans comptables.
        Ensuite, j’imagine que 5€ c’est pris sur l’exemple du boucher. S’il vend qu’un seul bout de viande dans l’heure, alors effectivement c’est pas très rentable. S’il met une heure pour le vendre sont bout de viande alors il a intérêt à réétudier son marché.
        C’est un sujet intéressent car cet exemple peut démontrer quelque chose :
        Dans une situation normale où il met moins de 10 minutes à vendre sa viande et qu’il ne s’arrête pas alors ça fait 6 x 5€ = 30€/h. Mais si il n’en fait qu’un seul dans l’heure, en fait il n’a travaillé que 10 minutes => s’il est indépendant il gagne mal sa vie ; s’il est salarié il coûte cher à la société qui l’emploie, surtout que les charges patronales sont énormes. L’exemple est peu adapté à l’explication, mais ceci peut expliquer la fermeture des entreprises qui emploient de nombreux salariés (bien qu’on puisse aussi expliquer le manque à gagner « des actionnaires » aussi).


      • foufouille foufouille 18 septembre 2014 16:21

        5€/h c’est la paye de l’ouvrier du BTP espagnol qui bosse en france.

        pour le boucher, c’est plus compliqué.


      • Antony Inov Antony Inov 18 septembre 2014 16:46

         smiley avec l’humour c’est plus sympa.


      • foufouille foufouille 18 septembre 2014 18:47

        c’est pas de l’humour ou noir.

        c’est vrai


      • fg 18 septembre 2014 22:47

        et pour la richesse orthographique, c’est par où ? exemple : vendre sont bout de viande


      • jakin 19 septembre 2014 08:05

        Le ton dedaigneux que vs utilisez pour l’auteur n’est pas digne de vos remarques interessantes.


        Ceci est un petit coup de gueule pour ts les commentaires du site AV (et d’ailleurs ) ou l’humiliation n’est qu’une fourche lancée pour être sûr que l’autre est à terre 
        En quoi l’autre vs fait peur ?

      • julius 1ER 18 septembre 2014 13:57

         On vie dans une époque où il y a une redistribution des cartes et des richesses »

        @l’auteur,
        on voit çà très bien avec les concessions accordées aux sociétés d’autoroutes !!!
        sûr que la redistribution se fait bien......
        Gattaz sort de ce corps !!!!!!!!!!!!!!!

        • trevize trevize 18 septembre 2014 18:31

          Moi, je suis d’accord avec cette proposition. Y’a bien redistribution des cartes, selon de nouvelles règles. Mais si nous on n’accepte pas les règles, personne ne nous forcera à jouer, et donc on ne nous distribue pas de cartes. Du coup, on a l’impression de se faire avoir, alors qu’en fait c’est juste qu’on fait du boudin dans un coin et qu’on veut pas jouer avec les autres.


        • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 18 septembre 2014 14:08

          20.00€ a créé 5.30€ de richesse (TVA) et 7.00€ de gains pour les commerçants

          La monnaie ne crée pas de richesse ! Vous avez simplement observé au microscope un nano épisode de la circulation monétaire. Dans le cadre d’une économie autarcique (pour faire court et définir un périmètre à votre démonstration), les mêmes sommes pourraient tourner en rond indéfiniment sans jamais créer de richesse.


          • Francis, agnotologue JL 18 septembre 2014 14:18

            L’économie racontée à ma fille en maternelle.


            • Antony Inov Antony Inov 18 septembre 2014 15:23

              L’économie n’est pas enseigné en maternelle ni même en primaire. Comme je l’ai dit avant, ce n’est pas un cours d’économie, loin de là.


            • trevize trevize 18 septembre 2014 17:53

              Allez, même si TVA et création de richesse n’ont pas de rapport, j’ai voté oui ; parce que vous avez bien compris ce qui est en train de se produire.
              C’est bien d’essayer d’expliquer les choses, mais vous manquez encore de tact. On ne dit pas à des gens qui triment toute leur vie qu’ils devraient « se retrousser les manches ». Le problème des français n’est pas qu’ils ne travaillent pas, mais qu’ils vivent dans une illusion, et qu’ils ne veulent surtout pas voir la réalité. Ils ne veulent pas changer de point de vue, à cause d’un surplus d’orgueil. Ils ne veulent surtout pas voir leurs contradictions ; celle par exemple qui consiste à réclamer plus de pouvoir démocratique, tout en réclamant un état plus fort. Ou celle qui consiste à râler après les actionnaires qui s’enrichissent, tout en réclamant des hausses de salaire... tant qu’il y aura des salariés, il y aura des patrons et des actionnaires qui s’enrichiront, puisque les salariés sont payés à l’heure, et les actionnaires ramassent le reste.

              A tous les salariés français, si vous voulez plus d’argent, si vous voulez votre juste part, arrêtez de réclamer qu’on renforce le statut de salarié, ça ne marchera pas. Demandez à ce que votre part soit calculée sur la richesse produite. Demandez à devenir actionnaire de votre boîte (ou un truc comme ça)
              Le salariat c’est la loterie, l’entreprise c’est la banque. Quand la boîte gagne de l’argent, beaucoup, vous êtes perdants car vous êtes payés en fixe, à l’heure. Quand la boîte en perd, dans un premier temps vous êtes gagnant puisque vous touchez toujours votre salaire (au contraire des actionnaires qui ne touchent plus de dividendes) ; mais ça dure jamais longtemps. Si la boîte perd trop d’argent, elle fait faillite et vous n’avez plus rien. La banque gagne toujours ; et même quand elle saute, vous, salariés, vous ne gagnez pas un kopeck de plus.

              C’est schizophrénique de dénoncer l’injustice d’un système, tout en continuant à réclamer que ce système perdure. Des hausses de salaire, ou trifouiller les formules de calcul des charges, ou même des primes de participation, tout ça c’est pas un changement de paradigme ; c’est l’illusion du changement tout en restant dans la continuité.


              • Antony Inov Antony Inov 19 septembre 2014 09:31

                Je suis entièrement d’accord avec vos propos


              • philouie 18 septembre 2014 19:43

                Calcul faux.

                Note 0/20.


                • philouie 18 septembre 2014 19:56

                  l’erreur est d’ajouter le gain du commerçant à ce qu’il achète avec.
                  (nonobstant que la tva ne se calcule que sur la valeur ajoutée 0.2*9=1.8 et non 0.2*20=4 - mais cette erreur ne fait qu’amplifier l’erreur de base qui est de compter 2 fois le gain du commerçant)...

                  A votre service.


                  • hunter hunter 18 septembre 2014 20:43

                    Trop fort l’économie !

                    Avec 20 euros, on a en fait une valeur supérieure !

                    Putain demain je vais aller mettre 20 euros de gasoil dans ma bagnole, et je vais brandir l’article, pour expliquer à la caissière qu’en fait, je vais pas mettre 15 litres, mais 23, mais que je vais payer que 20 euros au lieu de 30 !!

                    Je sais pas, mais je sens bien que je vais finir à la gendarmerie

                    Comme quoi l’économie qui ose se baptiser science, c’est du grand n’importe quoi !

                    Abolition de l’économie, du salariat et de la monnaie de singe issue des photocopieuses !
                    Abolition de la dictature de la marchandise !
                    Un réverbère, un banquier : cordes, haches, faux, piques, guns...faisons feu de tout bois !

                    adishatz

                    H/


                    • trevize trevize 18 septembre 2014 21:35

                      « Abolition (...) du salariat » voilà un bon programme ! j’aimerai lire ça plus souvent.
                      Pour abolir l’économie, ça va être chaud. échanger des trucs, c’est tout ce qu’on sait faire.
                      Et la seule sorte de monnaie qui existe, c’est la monnaie de singe ! la monnaie ne vaut rien de plus que ce qu’on décide qu’elle vaut.
                      C’est une bonne nouvelle, parce que du coup notre dette ne vaut rien non plus.

                      Des changements de paradigme, il y en a eu plus d’un au cours de l’histoire, à chaque fois ça se passe mal parce que nos petits esprits faibles ont du mal à se faire à la nouvelle réalité. A chaque fois, à deux doigts de réussir, on perd notre sang-froid, on casse tout, et on repart loin en arrière.
                      Tout ça est un mauvais film de seconde zone. Tout ce qu’on a à faire, c’est souffler un bon coup, se calmer, et écrire un happy end.

                      Un peu de compassion pour une fois ! nos zélites sont juste accrocs au pouvoir et à l’argent ; on n’est pas des sauvages comme eux, les malades mentaux on les met pas en prison, on les brûle pas pour cause de sorcellerie. On les envoie là où ils doivent être : à l’hôpital, en sevrage total et définitif. Plus de pouvoir, plus d’argent !
                      Si c’est l’inconscient collectif qui gagne, si on laisse parler nos bas-instincts de rage et de vengeance, qu’on les bute et qu’on casse tout, bah on n’aura rien appris une fois de plus, et tout ça recommencera encore, dans 10, 100 ou 1000 ans, mais ça recommencera.


                    • Antony Inov Antony Inov 19 septembre 2014 09:32

                      Il ne faut pas confondre collectif et individualisme. Malheureusement, la plupart des gens sont individualistes et c’est ce qui freine beaucoup de choses


                    • ben_voyons_ ! ben_voyons_ ! 18 septembre 2014 21:10

                      Malheureux !

                      La France est un pays de fonctionnaires et assimilés fonctionnaires haïssant les travailleurs indépendants !

                      Pour eux, travail = salariat, obligatoirement.
                      ’Y a pas aut’chose.

                      Et vous osez parler de
                      - boucher (!), épicier (! !), boulanger (! !!) (qui ont d’ailleurs presque disparus du pays - sic !)
                      - « gains pour le commerçant »
                      - « remonté leurs manches »
                      - « travailleurs indépendants »
                      ...

                      Ne vous étonnez pas d’être lynché !


                      • trevize trevize 18 septembre 2014 21:36

                        Ouais et toi t’es toujours là pour jeter de l’huile sur le feu


                      • Antony Inov Antony Inov 19 septembre 2014 09:42

                        Je n’ai pas peur d’être « lynché ». Ce n’est pas parce que le français moyen (qui est majoritaire) pense que le salariat est obligatoire et nécessaire qu’il a raison.
                        Aussi, la situation ne permet plus de fermer les yeux sur des faits. C’est être en voiture et rouler à toute vitesse vers un mur géant et ne pas envisager de s’arrêter.
                        Si le français moyen ne voit que par le salariat, c’est parce que la volonté publique et politique a bien fait son travail avec l’aide des outils comme les médias, ... c’est plus facile de diriger et de manipuler des salariés que des indépendants. Et les rares personnes qui voient autrement sont en haut de la pyramide de la société et ont profité de la situation. On est chaque jour conditionné. Avez vous déjà compté le nombres d’informations négatives qu’on nous donne et nous répète chaque jour ? et combien de positif ?


                      • Enabomber Enabomber 19 septembre 2014 08:15

                        Un grand absent de cet exposé économique : la matière première, son origine, la dégradation du stock que son exploitation suppose généralement. C’est grave au XXIe siècle. L’économie hors-sol est une idéologie et pas une science.


                        • Inquiet 19 septembre 2014 08:45

                          Ce n’est pas au peuple de s’adapter à l’économie, mais à l’économie de s’adapter au peuple.


                          Si les économistes qui ont pignons sur rue, et qui appartiennent la plupart à de grandes entités financières, écrivent les règles économiques, il ne faut pas s’étonner qu’elles avantagent les entités financières.

                          La question à se poser, n’est pas de savoir si nous « rentrons dans les clous » des équations budgétaires et économiques qui nous donnerons le sésame de la bonne compréhension des dogmes libéraux, mais de savoir si c’est UTILE à l’humanité.

                          Le volontariat et la remise en cause des immobilismes appartiennent souvent au discours de nos chers libéraux, je ne demande qu’à voir pour la remise en cause d’un modèle qui ne génère que malheurs dans le monde.

                          Quand dans une entreprise, une méthode échoue dans 95 % des cas, on ne tergiverse pas, on l’abandonne. Il me semble de bon ton de faire de même avec les « idéaux libéraux » :)

                          • Antony Inov Antony Inov 19 septembre 2014 10:50

                            Nous sommes au 21ème siècle. On ne devrait plus parler du « peuple » qui travaille pour le roi et le roi qui gouverne et détermine tout. L’économie n’est ni une chose, ni une personne. Elle n’est qu’une résultante des actions individuelles et collectives de la population.
                            Nous sommes dans un pays d’assistés. J’ai même vu des tableaux comparatifs qui montrent qu’une famille dont les parents sont au chômage a plus de moyens financiers après avoir payé leurs charges que la famille du français moyen au smic qui lui paye tout.
                            Il faut arrêter de penser que c’est la faute des autres, c’est la faute du gouvernement, c’est la faute du réchauffement climatique, c’est la faute du voisin, c’est la faute du chien, ...
                            Le gouvernement est élu, si vous pensez qu’il faut faire mieux et que c’est possible, alors bossez et prenez la place. C’est grâce à cette façon de penser que le pouvoir est abusé et qu’il n’y a pas les résultats tant attendus car dire que c’est à eux de faire le travail, de décider, c’est leur déléguer la décision d’améliorer ou pas les choses. La décision est la même à chaque fois, quelque soit la tendance politique : ils font à leur avantage individuel et ce qui est bon pour eux ne l’ai pas pour le « peuple ». Mais ce sont eux qui décident et le « peuple » a décidé que ce soit eux qui décident comme vous le dites : « Ce n’est pas au peuple de s’adapter à l’économie, mais à l’économie de s’adapter au peuple... ».

                            Le point sur l’utilité à l’humanité c’est très intéressant. Je pense que ce sujet nécessite d’être discuté mais pas écrit. Est-ce normal que la majorité des fonctionnaires et les salariés du privé aient remplacé le souhait : « bonne journée ! » par : « bon courage ! ». On passe 1/3 de notre temps au travail et des fois plus et il faut en plus du courage pour aller travailler ? J’ai rencontré de nombreux travailleurs indépendants et chacun apprécie chaque minute qu’il consacre à son activité. Alors si le l’évolution personnelle, la confiance en soi, le bonheur, la passion, l’entre-aide, le savoir, l’humeur positive, la valeur du travail, utiliser l’échec pour avancer... et la transmission du meilleur de toutes ces valeurs aux enfants n’est UTILE à l’humanité, à quoi ça sert de respirer et de vivre ? Nous pouvons aussi nous comporter comme des animaux, comme des moutons qui suivent le troupeau ou bien comme l’autruche qui garde la tête dans le sable : on m’avait dit que plus de 80% des français refusent de voir la vérité et les chiffres sur cet articles parlent d’eux même 83% gardent la tête dans le sable.
                            Alors évidemment que toutes les activités libérales ne produisent pas toutes les choses évoquées mais ça existe. Les indépendants qui n’ont pas de qualités humaines et n’évoluent pas dans ce sens ne durent pas dans le temps. Dans le monde du salariat (que je connais), c’est chacun pour sa pomme. On déshabille Pierre pour habiller Paul. Depuis quelques temps sont intervenus les RPS (risques psychosociaux). Je pense que le salariat est synonyme de « diviser pour mieux régner ». J’espère qu’il existe aussi des entreprises où la politique RH est prise au sérieux et où il fait bon y vivre en tant que salarié mais je n’ai pas encore eu l’opportunité d’en profiter.


                            • soi même 19 septembre 2014 11:46

                              Nous sommes dans un pays d’assistés, c’est une évidence on veut faire perdure l’idéologie du « peuple » qui travaille pour le roi et le roi qui gouverne et détermine tout.

                              C’est justement pour cela qu’il est intéressant d’avoir un pays d’assistés, cela laisse beaucoup de marche de manœuvre aux l’hyper-entreprises privés via les actionnaires qui vivent de rentes indues !
                              Cela autorise aussi, toute cette cotation boursière artificiel qui ne reflète plus l’économie réel, mais un vaste casino pour initiés de la finance !

                              Maintenant pour renversé la balance ce ce fait, la solution n’est pas à que tous deviennent entrepreneurs, si aussi déraisonnable que tous devienne fonctionnaire, où salarier !

                              Il y a des inégalités des situations des statuts, et ce n’est pas en privilégiant un status vis à vis d’un autres qu’il y la solution .
                              Les syndicats se sont largement fourvoyer sur la question, le seul remède est de repenser l’économie, le rapport du monde du travail et cette fiscalité qui ne veut plus rien dire et qui maintenant paralyse toute initiatives réels de réorganisé autrement !

                              Il a repenser l’économie, et il a suffisamment de livre sur le sujet qui traite de l’économie solidaire, et est qui aborde réellement la question de sortir d’ une économie prédatrice qui légitime l’assistanat économique des plus défavorisés et tente d’apporté une réponse pour aller vers une économie plus humaine où tous en deviennent des acteurs responsables !

                               


                            • trevize trevize 19 septembre 2014 12:49

                              "Maintenant pour renversé la balance ce ce fait, la solution n’est pas à que tous deviennent entrepreneurs, si aussi déraisonnable que tous devienne fonctionnaire, où salarier !

                              Il y a des inégalités des situations des statuts, et ce n’est pas en privilégiant un status vis à vis d’un autres qu’il y la solution ."

                              La clef du problème, c’est justement tous ces statuts qui nous divisent, et font diverger nos intérêts.
                              Il faut tout refondre : salarié fonctionnaire, professions libérales, politicien, entrepreneurs, indépendant, intermittent, éducateur, fonctionnaire, rmiste, chomeur, retraité, (haut) magistrat, etc dans le même creuset pour répartir les rôles sur des bases réellement neuves, pour atteindre une égalité de droits.


                            • Antony Inov Antony Inov 22 septembre 2014 15:20

                              Mon cher pauvre monsieur sampiero, je ne vous permet pas de me juger. Vous ne me connaissez pas et ne savez pas quels sont mes revenus. Surtout que si vous connaissiez mon histoire, votre discours aurait des chances d’être bien différent. Alors je vous prie de bien vouloir mesurer votre langage.
                              Pour votre information, je connais le revenu maximum possible pour un prof de fac et ils sont très loin d’être millionnaires à moins de mettre de côté 100% de leurs revenus pendant 10 ou 15 ans. Alors arrêtez les préjugés et cherchez à comprendre plutôt que de passer votre temps à critiquer et à parler négativement. (Pour information, je ne suis pas prof)
                              Je peux me permettre de dire qu’être au SMIC, ce n’est pas vivre à la rue mais c’est très très loin d’être confortable : c’est bien plus proche de la pauvreté que de la richesse.


                            • hunter hunter 19 septembre 2014 11:19

                              Eh oui, et les fonctionnaires, ces « privilégiés », qui réguièrement « prennent en otage », les pauvres citoyens, et bla bla bla......

                              Toujours les mêmes poncifs, les mêmes antiennes, les mêmes vieilles idées complètement obsolètes, qui datent de Mathusalem mais auxquelles on donne un petit coup de peinture fraîche pour espérer les refourguer !

                              Mais mon pauvre Monsieur, votre système est cuit, ça ne marche plus ! pour faire unemétaphore médicale, le patient est en soins palliatifs, et vous venez, avec votre petit uniforme costard/cravate, votre petit look d’agent du sytème, pour essayer de nous vendre votre camelote pourrie, eh bon, je ne vous en veux pas, vous faites votre boulot, sans doute que dépend de vos interventions, la chute de deux trois petis billets dans votre poche, mais en vérité vous ne croyez même pas à ce que vous dites, et vos démonstrations scabreuses de cet article, je suis désolé de vous le dire, mais c’est à la limite de nous prendre pour des cons !

                              Vous pouvez proner des recettes aussi farfelues les unes que les autres, ça ne fonctionne plus ; les différents gouvernements de ce pays font ça depuis 40 piges, et on voit le résultat !

                              Je ne comprends pas comment de tels « papiers » franchissent encore la modo ! ça n’apporte rien, sinon d’identifier ici les partisans de tel ou tel courant, l’un glorifiant l’approche de « gauche » (si ça existe encore), et l’autre, de droite, voire carrément libéral-libertaire, n’est-ce pas camarade Spartacus ?  smiley , et de les opposer dans des diatribes vaines !

                              L’humanité est face à un choix cornélien, soit elle est capable de changer complètement de paradygme, et dans le calme, soit ça se fera dans le sang et la douleur !

                              L’échange oui, entre les êtres, mais pas l’échange marchand !

                              Vous ne pouvez envisager l’existence humaine, que dans le cadre de l’intégration à un système marchand ! Donc pour vous, les êtres humains ne sont que des rouages de la mégamachine que vous servez !

                              Eh non, l’humanité n’est pas encore complètement formatée selon les désirs de vos maîtres, et certains individus sentent qu’au fond d’eux, il manque quelque chose, et que cette façon de vivre absurde, je dis bien absurde, n’est pas satisfaisante !

                              Quel est l’élément manquant, c’est là un autre débat, mais il est certain, que votre résumé de la vie, votre tryptique sacré ne fonctionne plus (salariat, pognon, consommation).

                              Non la nature humaine ne peut être réduite à l’abomination de l’échange marchand, à la dictature de la marchandise, à l’horreur de « l’avoir » !

                              L’humanité est en train de se rendre compte qu’elle est en fait du domaine de l’être, et ça, vous ne l’avez pas compris, et pire, vous ne pouvez pas le comprendre, car vous êtes trop programmé par votre idéologie !

                              Tant pis pour vous ! vous êtes jeune visiblement, sans doute verrez-vous ce qui se passera .

                              Ca prendra du temps, mais ça viendra ! reste à savoir si l’envirronement suivra, c’est là en fait, la seule question à se poser.

                              Adishatz

                              H /


                              • Antony Inov Antony Inov 19 septembre 2014 12:48

                                Merci mais je ne me sent pas pauvre. Peut-être que mon écriture n’est pas correcte mais l’exemple simplet que j’ai décris n’est qu’une métaphore. Je n’ai pas un look du système et je n’ai rien à vendre. Un chimiste porte une blouse blanche, un mécanicien une cote bleue, un militaire un uniforme kaki et ça ne gène personne. Et on critique les professionnels dans les affaires sur leur état vestimentaire. Vous critiquez les clichés mais vous vous permettez d’en enrichir certains. Je ne fais pas mon boulot car je ne travaille pas pour quelqu’un, en tout cas pas dans ce domaine. Et personne ne travaille pour moi d’ailleurs. Vous pensez que je ne crois pas ce que j’écris parce que vous ne me connaissez pas. C’est vous qui le dites que vous êtes c, o, n ! vous êtes libre de le penser et si ce qui est écrit vous touche au point de vous trouver c, o, n alors peut être qu’il est temps pour vous de mettre votre égo au placard, de remballer votre fierté de « monsieur je sais tout » et d’ouvrir votre esprit au profit de vous et de votre culture.
                                Je ne crois ni à la gauche ni au centre ni aux extrêmes ni .... D’ailleurs je critique le système qui met les citoyens au service de la politique plutôt que la politique au service des citoyens, ce quelque soit le partie politique.
                                J’aime beaucoup cette remarque : « L’échange oui, entre les êtres, mais pas l’échange marchand ! » : l’un n’empêche pas l’autre voire même l’un peut impliquer l’autre. Je pense que c’est vous qui avez des idées pré-conçues. Ce que j’écris, je l’ai entendu et lu de différentes sources qui des fois n’ont rien avoir l’économie, la finance, ... et j’ai forgé mon opinion par l’analyse.
                                Personnellement, je n’ai pas de maître et je ne me sent pas sous l’emprise d’un maître ou autre. Par contre, vous, vue votre discours vous êtes en plein dedans et soumis, ce qui vous a créer des préjugés sur l’échange marchand entre-autres et qui continu de l’enrichir.
                                Je ne suis pas programmé dans une idéologie, j’étudie différents sujets sous différents aspects et je déduis certaines choses... les sujets de l’humain et du commerce en général et le rapprochement des deux est plus qu’envisageable puisqu’il existe déjà et que le résultat est plus que satisfaisant.
                                Vous avez entièrement raison lorsque vous dites : « L’humanité est en train de se rendre compte qu’elle est en fait du domaine de l’être ». Le savoir être est bien plus important que le savoir faire. L’humain dans n’importe quel domaine est une nécessité. Seulement pour ça il faut arrêter de ne penser qu’à soit et plaidoyer pour l’altruisme. L’altruisme est la base même de certaines entreprises mais c’est encore bien peu répandu (lire Plaidoyer pour l’altruisme de Mathieu Rocard). (pour information je ne vend pas le livre mais je l’ai acheté).
                                Ce n’est pas tant pis pour moi mais plutôt dommage pour vous qui restez l’esprit fermé.


                              • hunter hunter 19 septembre 2014 15:24

                                Monsieur,

                                Vous avez un problème avec la langue française visiblement ! Quand j’écris « mon pauvre Monsieur », c’est une figure de style, comme j’aurais écrit « eh con », si j’avais laissé parler mes origines su Sud !

                                Ca ne veut pas dire que je vous considère pauvre ou con !

                                quoique con, si en fait : comme vous m’avez insulté le premier en me traitant de la sorte (je ne verse jamais le premier sang), je vais donc conclure là cet échange : vous êtes un larbin du système, vous êtes un con, vous ne comprenez rien, donc il est inutile que je continue à dialoguer avec vous !

                                Pensez ce que vous voulez, je vous emmerde !

                                Adishatz

                                H/


                                • Antony Inov Antony Inov 19 septembre 2014 16:12

                                  Il ne faut pas se mettre dans un tel état ! « pauvre monsieur » j’avais compris mais je faisais de l’humour. Donc c’est plutôt vous qui avait un problème.
                                  Je n’ai insulté personne, vous vous êtes insulté vous même dans votre première réponse. Ce dernier message de votre part montre que vous ne savez plus quoi dire.
                                  Et le jugement que vous me portez : "vous êtes un larbin du système, vous êtes un con, vous ne comprenez rien, donc il est inutile que je continue à dialoguer avec vous !" n’est pas justifié. Peut-être êtes-vous en train de décrire votre situation ? Si c’est le cas, c’est bien triste et je vous souhaite d’en sortir.

                                  Sans rancunes et bonne continuation à vous


                                • Ruut Ruut 19 septembre 2014 16:11

                                  Sauf que votre analyse est actuellement fausse, puisque tout viens de chine, l’argent est donc délocalisé ce qui appauvris le pays et les travailleurs.

                                  La destruction de la régulation par taxe des produits importés est la première cause de l’état catastrophique actuel du pays.

                                  Pour en sortir 1 seule possibilité :
                                   . Remise en place de l’équilibrage des taxes sur les produits importés afin qu’ils coûtent plus chers que les produits locaux.

                                  Cela forcera une réouverture des usines nationales et créera mécaniquement des emplois et des besoins de services.

                                  Sans ça, rien ne permettra a notre économie de survivre dans le temps faute de client (travailleur rémunéré pour son travail).

                                  Car la délocalisation massive a cause de concurrence déloyale est impossible a endiguée faute de loi adaptées. (le droit international ne permet pas de réguler ce problème)


                                  • Antony Inov Antony Inov 19 septembre 2014 16:39

                                    Je comprends vos arguments et vous n’êtes pas dans le faux. En effet, de nombreux secteurs sont touchés par la délocalisation et c’est bien triste. C’est aussi une raison qui fait que d’autres secteurs se développent avec succès car ils sont insensibles à la délocalisation. La délocalisation est principalement dû au coût de la main-d’œuvre qui est trop élevé en France pour que les entreprises soient rentables. Nous revenons sur le sujet de la fin du salariat. Or, les Chinois et autres exigeront eux aussi des revenus supérieurs et les entreprises auront de moins en moins d’intérêt à délocaliser. C’est une phase transitoire. Que feront les entreprises ensuite ? soit mettre des machine, soit mettre des indépendants à la place de salariés. Le salariat sera réservé à une élite, indispensable pour pas mal de tâches. Parce que quelle est la différence entre un salarié et un indépendant ? un salarié échange des heures de son temps contre de l’argent, un taux horaire, c’est ni plus ni moins qu’un forfait à l’heure. Un indépendant se rémunère au rendement : plus il a de résultats plus il peut se rémunérer mais à l’inverse s’il ne fait rien ou mal et qu’il n’y a pas de résultats alors il ne gagne pas trop bien sa vie. La situation d’un indépendant l’oblige à faire preuve d’autodiscipline, de persévérance, de créativité, ... si un salarié ne fait rien et bien entre le moment où il arrête de travailler et le moment où son supérieur s’en aperçoit il se passe une période qui est une perte pour l’entreprise. Hors la conjoncture économique actuelle ne permet plus de telles gaspillages et dérives sauf peut-être dans la fonction publique et encore car c’est de plus en plus sévère.
                                    Aussi, les labels de fabrications françaises sont un critère important dans le choix de l’achat du client, même si ce n’est pas encore bien visible. Il existe des entreprises qui ne connaissent pas la crises. Cependant, on en parle presque pas dans les médias. Allez faire un tour sur le site de la FEVAD : vous y verrez des chiffres qui montrent que des choses sont possibles. Certes le e-commerce n’est pas forcément un commerce français mais il en existe. Et chacun a sa place. Il suffit de le vouloir, d’être déterminé et de persévérer en allant d’échec en échec sans jamais perdre son enthousiasme et ses objectifs. Il faut juste bien choisir un secteur qui marche et peut-être aussi travailler en réseau car seul on ira jamais loin. Et puis pouvoir s’appuyer sur l’expérience d’autres personnes est constructif et permet d’avancer plus vite, surtout quand on ne connait pas trop le monde de la création d’entreprises.

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