Une « science économique », ou plus exactement « pseudo économique », tellement ringarde !
Une « science économique », ou plus exactement « pseudo économique », tellement ringarde !
Une « science économique », ou plus exactement « pseudo économique », tellement ringarde au regard de nos connaissances actuelles ; celles de la physique quantique, mais aussi, et beaucoup moins récent, du « principe cognitif » de Blaise Pascal qui se révèle être un « écologue » bien avant l’écologie, et un tenant de la physique quantique, de la complexité des choses, ceci, bien avant la l’avènement de cette physique quantique !
Le principe cognitif de Pascal, très légèrement modifié, qui instaure le « principe de complexité » des choses, qu’elles soient « physiques », purement physiques, comme « métaphysiques »… « métaphysiques humaines », nous dit que « « Toutes choses étant causées et causantes, constituées et constituantes, englobées et englobantes (causées et causantes, aidées et aidantes, médiates et immédiates… écrivait Pascal ), et toutes s' entretenant par un lien naturel et insensible (lien écosystémique) qui lie les plus éloignées et les plus différentes, je tiens pour impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus que de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties ». Autrement dit : les parties et le tout sont indissociables !
L’individualisme méthodologique ou atomisme propre à notre science moderne au modernisme, qui, sépare et divise à l’antagonisme, sans jamais relier, qui porte même au paroxysme… à un usage paroxysmique, à la chose pour la chose… à l’abus des choses, à user et abuser des éléments composants sans aucune considération pour l’élément composé, sa finalité ; ces méthodologies sont incomplètes, incertaines, et même impossibles !
Toute pratique, ou toute existence d’un phénomène, qu’il soit physique, purement physique, ou même métaphysique humain comme le fait sociétal, est toujours préexistant au savoir qui entend ou prétend l’étudier… ensuite le posséder ( se rendre maître et possesseur de la nature, des états de nature… selon le vœux cartésien), tout ceci, au point de confondre l‘objet de la science avec la science et les nommer avec un seul et même mot. Ainsi l’économie, le fait économique, et non la science économique, le fait économique précède le savoir qui prétend l’étudier ; un savoir, une science, qui seront toujours « incomplets », « incertains » voire « impossibles » comme nous le précise les acquits intellectuels du XX è siècle ; acquits intellectuels hautement philosophiques qui sont issus de la nouvelle physique, la « quantique », qui auront bientôt un siècles, mais ne sont toujours pas car pas enseignés et donc pas pris en compte ! Une physique quantique, nouvelle physique, qui relègue, au plan de la complexité, à un savoir totalement éculé et même ringard à certains égards, une « ancienne physique » tellement simplificatrice, simplificatrice au simplisme même et sur laquelle est toujours basée notre science économique qui se dit « moderne ».
Principe d’émergence oblige, l’économie, non pas la science économique mais le fait économique, est un phénomène émergent de la masse des individus qui composent une société. Donc, par nature, l’économie est un fait sociétal, par nature l’économie n’est pas de nature « physique », « purement physique » au prétexte qu’il y a des flux, mais sociétale ; en effet, un individu seul ne peut générer le fait économique : ne peut générer une économie !
La logique économique, étymologiquement « logique de la maison », et par extension « logique d’ensemble », est une logique absolument fantastique car toute dépense à un endroit est une recette ailleurs ; pour autant, cette facilité, n’exonère pas d’une bonne gestion économique d’ensemble ! L’économie est un sport d’équipe et non un sport individuel : l’ « individualisme méthodologique » en économie aussi appelé « atomisme »… c’est donner le bâton pour se faire battre en économie !
Baisser les prix… leitmotiv de cette époque sophiste et cynique, lutter contre l’inflation des prix, autrement dit baisser les coûts, qui, à coup sûr, fera baisser les prix… sauf que baisser les coûts fait également baisser les revenus, car les revenus sont une partie des coûts ; faire, ceci, sauf pour un capitaliste, tenant du capitalisme qui entend faire fructifier son capital envers et contre tout le reste : tout ceci relève d’un véritable cercle vicieux et non d’un cercle vertueux comme nous est présenter le capitalisme ! Le capitalisme, usage paroxysmique du capital, et quelle que soit sa nature, industrielle, étatique, même financière au financiarisme : le capitalisme est « crisique » par nature !
Le travail, un travail justement rémunéré dans un pays donné, est le meilleur moyen de répartition dans un système économique de production et de consommation dans lequel un producteur est à la fois un consommateur (logique d’ensemble… on ne peut pas raisonner sur un sans raisonner sur l’autre… sans les lier), bien sûr dans un système économique digne de ce nom ; ce qui n’est pas le cas d’une économie dite capitaliste, ou encore moins financiariste, qui réduit (atomisme) un système complexe, à un des sous-systèmes, qui plus est de seul moyen, qui le composent !
L’économie actuelle détruit plus de richesses qu’elle n’en produit, qui, plus est, des richesses non renouvelables et définitivement détruites ; l’économie actuelle ne doit pas être un système de création de richesses… mais de satisfaction des besoins humains de toute nature, besoins individuels comme collectifs, ceci, dans le respect de la Nature et des états de nature !
C’est pourtant une évidence mais elle échappe à cette époque rationalo économico technoscientiste en diable : un « développement durable » implique une économie qui soit durable et non une économie crisique et sauvage comme l’économie capitaliste !
Le capitalisme a remis au goût du jour le concept de la « sélection naturelle », de la loi du plus fort « capitalistiquement » parlant et non « économiquement » parlant, d’une « sélection naturelle » qui appartient au règne animal… encore que pas l’ensemble de ce règne, mais, qui, désormais, par le truchement du capitalisme, d’un capitalisme dogmatique qui se regarde technoscientifiquement le nombril, un capitalisme tout simplement « sauvage », s’applique désormais à l’humain !
La capital est utile et nécessaire à l’économie, mais le capitalisme, le dogme capitaliste, en est une tare, ceci, au même titre que le communisme (productivisme d’Etat et négation de l’individu) est une tare au regard du sociétal !
6 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON