@ Bobland59 : si quelqu’un avait les clés de la grande distribution qu’on sache pourquoi leurs mangues durs comme du plomb sont effectivement moins chères qu’un bon kilogramme de mirabelles de Lorraine... pour cela avec l’AMAP c’est un bon compromis, même si ça n’est pas « donné », et qu’il faut participer au système (et ne pas simplement venir une fois par mois venir chercher son panier sans dire bonjour)... toute une organisation à revoir !
@eugène : je suis plutôt dans le plastique industrielle, ça me ferait mal de devoir faire des fruits en plastique ! :) cela dit, ça pourrait être presque moins nocifs que certains fruits qui sont arrosés au pesticide (le raison, attention, est l’un des fruits qu’il faut impérativement laver et relaver). Ah, et les pommes... oui, j’ai moi aussi fait une première récolte chez des amis en Auvergne, et j’attends d’y retourner pour les pommes de garde. On peut aussi les conserver (confitures, fruits et légumes en bocaux).
@marie & 1984. C’est étonnant, comme mmarvin avait posté en premier son commentaire, je voulais aussi lui glisser un tacle (en douceur, quand même), mais je m’étais abstenu. En fait il faudrait l’inviter à manger des vrais fruits de saisons pour qu’il ne puisse plus manger la camelote qu’on nous revend le reste de l’année (le raisin Italia, les bananes vertes, merci !)
@ annie & yang : à mon avis les exportations bénéficient assez peu à de « petits producteurs » du Sud. D’ailleurs, même en consommation équitable, le but n’est pas de soutenir les « petits producteurs » (même si c’est le fond de commerce marketing sur leurs paquets), mais plutôt de faire vivre des coopératives à qui il manque un coup de pouce, pour favoriser leurs économies locales. Enfin c’est le discours qui se tient par exemple aux réu d’Artisans du Monde.