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Accueil du site > Actualités > Environnement > La revue « Que Choisir » fait remonter à la surface des cargos de déchets (...)

La revue « Que Choisir » fait remonter à la surface des cargos de déchets toxiques, et les navires bourrés de déchets radioactifs qui ont été coulés en mer Méditerranée il y a 14 ans.

Réponse à la revue « Que Choisir » qui fait remonter à la surface des cargos de déchets toxiques, et les navires bourrés de déchets radioactifs qui ont été coulés en mer méditerranée il y a 14 ans.

 

1) Introduction / Réponse de Marc Filterman à « Que Choisir ».

A ma grande surprise j'ai appris que j'étais cité dans un article rédigé par Erwan Seznec, journaliste économique et non pas scientifique, de la revue « Que Choisir », qui a réussi l'exploit de rouvrir plusieurs boites de Pandore simultanément, au moins cinq, et le tout en une seule phrase. Normalement son article ne devait traiter que des ondes et des électrohypersensibles (EHS). Je n'ai donc pas compris ce que venait faire ici un encart intitulé, « CRIIREM, une expertise qui décoiffe ». Quatre dossiers qui n'ont rien à voir avec les ondes ont été évoqués, et en plus ils datent au moins d'une douzaine d'années. Plus grave, personne ne peut remettre en cause ce que j'ai écrit, car en plus de nouveaux éléments sont venus conforter ce que j'avais déjà écrit par le passé. Mieux, sur la chaîne parlementaire, lors de l'émission « Le Débat » sur « Public Sénat », M. Laurent Bazin demande à M. Erwan Seznec, « en gros vous les traiter de dingues ? » Erwan Seznec de « Que Choisir » a répondu, « lui en l'occurrence, j'ai vu son registre n'était pas celui d'un scientifique ordinaire, et il est pourtant au conseil scientifique du CRIIREM. » Sauf que dans son article il nous explique qu'il ne se « prononce pas sur la validité des thèses de Marc Filterman », on se demande dans ce cas pourquoi il en parle. J'ai donc adressé deux ''doits de réponse/ lettres ouvertes'' à ces deux médias (voir mon sujet 314). Nous n'avons évidemment pas obtenu de droit de réponse de la chaîne parlementaire, pas plus que de la revue « Que Choisir », raison pour laquelle vous trouverez l'article ci-dessous sur les trafics de déchets nucléaires, ce qui à mon avis ne va pas du tout plaire au lobby nucléaire. Personne ne sera surpris en apprenant que M. Krivine du site AFIS Pseudo-Science parrainé par le Dr Aurengo (ex-conseiller de Bouygues Télécom), a repris le même paragraphe que la revue « Que Choisir ». Certains des auteurs du site de l'AFIS écrivent surtout des articles en faveur des intérêts des opérateurs et de l'industrie, en nous expliquant qu'il n'y a aucun danger avec les ondes, ni les OGM, ni les pesticides, ni le BPA, etc...

 

On se demande pourquoi cela dérange ce M. Erwan Seznec que je sois au « conseil scientifique du CRIIREM », il veut peut être ma place, allez savoir. J'ai découvert tout à fait par hasard que même l'animateur télé Cauet (voir aticle) avait lui aussi eu une polémique, et ce dernier pensait que certains devait être jaloux de son audimat. Là moi non plus je ne prononcerai pas, car je ne connait pas le dossier. Il est aussi intéressant de noter que « Public Sénat » à comme partenaire Orange (France télécom), et ça c'est une rélité. Il est évident qu'on a tout simplement essayé de nous faire passer pour des conspirationnistes, tout en évitant d'utiliser le terme.

Depuis 1960 au moins, l'industrie nucléaire internationale utilise la mer comme poubelle, en utilisant des fosses sous-marines appelées officiellement « zone d'immersion ». Elles étaient référencées dans le rapport de 2002 de l'ANDRA qui a été créé en 1979, mais dans celui de 2012, oh surprises, elles ont disparu. Ce que l'on sait moins en revanche, c'est qu'il existe aussi des sites sous-marins clandestins, et là, des navires entiers ont été carrément coulés avec leurs cargaisons radioactives, pharmceutiques et toxiques en mer Méditerranée ou ailleurs, mais ces sites là ne figurent sur aucun rapport officiel ou officieux. Nimporte quel pêcheur peut aller pêcher au-dessus d'un site radioactif ou toxique et manger un poisson radioactif avec sa famille, ou le vendre. Des journalistes bien informés déclareront que l'immersion des déchets radioactifs est interdite depuis 1994, c'est une bonne blague pour rire, car les traités ne tiennent aucun compte de ceux qui les violent volontairement pour s'enrichir encore plus.

 

Vous trouverez 26 vidéos sur le sujet 314 de mon site Filterman, en réponse à la revue « Que Choisir » de janvier 2015, qui en apprendront beaucoup aux internautes et aussi aux adhérents de cette revue, qui a utilisé certaines de mes informations sans les remettre à jour.

 

2) Mafia et Francs-Maçons.

Dans son article Erwan Seznec affirme que j'ai écrit que le « le lobby franc-maçon a participé au sabordage de 50 navires chargés de déchets radioactifs », sauf que cette information à 14 ans d'âge, eh oui, sans parler des déchets pharmaceutiques. Visiblement M. Seznec, la direction et la rédaction de « Que Choisir » n'ont pas remis à jour leurs données, car en réalité, nous en sommes à plus de 150 navires coulés en Méditerrannée, selon le procureur anti-mafia Francesco Neri (voir video). Les estimations tournent plutôt autour de 200 navires. Ensuite ils ne connaissent pas du tous les affaires italiennes. Le 23/05/1992, le juge Giovanni Falcone, sa femme, et son escorte ont été tués dans un attentat. Le 19 juillet 1992 c'est au tour du juge Paolo Borsellino d'être assassiné avec son escorte de 5 hommes, par une voiture piégée, qui endommagera 116 logements. Ces deux assassinats déclencheront un scandale retentissant en Italie, mais aussi travers le monde, un véritable tsunami.

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pollution marine par le lobby nucléaire, réponse de Marc Filterman à Erwan Seznec de la revue Que Choisir, sur les 180 navires de déchets radioactifs et toxiques coulé dans la mer Méditerranée
réponse de Marc Filterman à Erwan Seznec de la revue Que Choisir, carte sur les 180 navires de déchets radioactifs et toxiques coulés dans la mer Méditerranée, pollution marine

En 2006, une enquête baptisée Hiram aboutira le 17 juin 2008 à une déclaration du procureur Francesco Messineo de Palerme (liens) qui annoncera l'arrestation de plusieurs fonctionnaires italiens et francs-maçons qui usaient de leur influence sur des magistrats. En juin 2013, Ferninando Imposimato, Président Honoraire de la cour de cassation italienne (voir vidéo), déclarera « il y a eu des complicités d'état, ou de fraction de l'Etat, le terrorisme et la franc-maçonnerie. Complicités qui ont fusionné au travers d'une organisation dénommée Gladio, ou ''Stay Behind'', une organisation internationale manoeuvrée par la CIA. Toute ceci est maintenant avéré. Avant c'était de la science fiction. Aujourd'hui c'est une réalité, qui perdure. »

Un journaliste italien déclare, « et votre enquête vous a amené au groupe Bilderberg, 30 ans avant que nous apprenions son existence. » Le Procureur répondra : « En vérité, c'est Emilio Alessandrini, qui l'a découvert, dans un document que j'ai trouvé par miracle. J'ai repris ce nom de ce document datant de 1967. »

 

3) Navires Toxiques / Radioactifs.

Lors d'un colloque sur le blanchiment d'argent sale, du 18 au 21 décembre 2000, plusieurs dossiers ont été examinés en présence de magistrats, avocats, procureurs anti-mafia italiens, commissaires anti-mafias d'Interpol/d'Eufopol, douaniers, gendarmes ou ex, banquiers, représentants du GAFI, de TRACFIN, du SICCFIN, a noté aussi le passage à l'époque de M. Montebourg, etc... Si les paradis fiscaux ont été largement cités, leurs divers représentants respectifs sont aussi intervenus. Un certain nombre d'exemples ont aussi été donnés en référence, sur les méthodes de certaines banques et des cartels de la drogue de plusieurs continents. Le dossier sur les déchets chimiques toxiques et radioactifs à des fins de blanchiment, a aussi été cité. Je me suis fait confirmer par un commissaire d'Interpol, si l'exemple en question ne concernait pas aussi les naufrages volontaires d'une quarantaine de navires en mer Méditerranée. C'était en effet le cas, mais cette affaire est peu connue en France, car elle a été peu relatée par la presse française. La seule fois où on en a parlé, c'est lors d'un documentaire télé de Thalassa diffusé en avril 1998, que j'avais retranscrit sur mon site.

 

Dans les années 90, les procureurs anti-mafias découvrent par hasard qu'une société se trouve au milieu d'importants flux financiers. Son objectif prioritaire consistait à dissimuler les destinataires finaux de ces flux financiers, via des off-shores installés dans des paradis fiscaux. C'est une gigantesque opération de blanchiment d'argent qui avait été réalisée via le coulage de déchets radioactifs, toxiques, et pharmaceutiques dans la mer. Les étapes des procureurs antimafia ont été les suivantes :

 

1) Identifier tous les responsables légaux des sociétés anonymes situées au PANAMA, en SUISSE, aux USA, aux îles Vierges Britanniques et dans les autres paradis fiscaux.

2) Perquisition et saisie de tous les documents dans tous les sièges clairement identifiés.

3) Traitement de l'information acquise.

4) Identification des flux financiers principaux.

5) Gel des flux financiers dont les destinataires n'ont pas été identifiés.

Plusieurs paradis fiscaux dont les îles vierges britanniques, des états comme le Panama, avaient refusé de répondre aux commissions rogatoires internationales du Procureur anti-mafia de Palerme. Deux méthodes principales ont été utilisées pour dégager des profits importants.

 

Première Méthode :

Le blanchiment a été réalisé en coulant de vieux navires poubelles bourrés de déchets radioactifs. Signe distinctif, les navires coulaient par temps calme, sans demande d'assistance pour le sauvetage de l'équipage. On sait qu'au moins 40 navires ont été coulés, mais en 2000. Aujourd'hui nous serions plutôt autour de 200 navires poubelles.

 

Deuxième Méthode :

L'autre solution reposait sur celle du pénétrateur. Les déchets radioactifs devaient être stockés dans des containers ayant la forme d'une torpille, qui devaient être propulsées à partir d'une plateforme pour être enterrées au fond de la mer. Des subventions avaient même été demandées aux instances européennes pour valider ce projet. Finalement tout le monde a fait machine arrière.

 

Le mardi 20 décembre 2000 à 10h30, Lorenzo Matassa, Procureur antimafia de Palerme prendra la parole pour nous parler d'une affaire qui impliquait plusieurs pays qui ont des infrastructures nucléaires, et qu'il est donc inutile de nommer, chacun reconnaîtra les siens. Il s'agit d'une opération sur le blanchiment sur des déchets immergés.

« Je vais vous montrer quelque chose d'extraordinaire... Je vais vous montrer une enquête que moi j'ai développé sur un circuit de blanchiment et de trafic de déchets nucléaires. C'est impossible en 10 minutes de vous expliquer cette enquête. Vous voyez au milieu en haut, il y a cette société, ça s'appelle Oceane Disponso Management. Vous voyez les états dans lesquels cette société a opéré. Luxembourg, Suisse, Russie. Vous voyez ces racines là, vont de ODM, ça va bouger sur deux noms. ça c'était la structure générale de l'enquête et ce qu'elle nous a apporté. Hier on a rigolé sur une facture. C'est drôle parce que cette enquête se réduit à cette facture, et c'est le cas, le hasard qui a voulu que l'on puisse grâce à une faute sur cette facture découvrir cette structure si composée, si complexe, que vous avez vu. Là vous avez une société de Panama qui fait la facture à une société de Malte le 30 novembre. C'est une facture de 293.000 dollars pour acheter une petite moto. Cette société s'occupe encore de déchets nucléaires avec un système de pénétrateur. Je ne rêve pas. Vous me dites ça c'est un dessin, même un enfant pourrait le faire.. »

 

Lors du déjeuner, il nous apprendra que lui et son équipe avaient failli être victime d'un attentat dans le restaurant dans lequel ils avaient l'habitude de se rendre. C'est un empêchement de dernière minute qui permettra d'éviter un carnage. En clair, comme exemple, le procureur antimafia Matassa parlait d'une double opération. Le but était de faire blanchir de l'argent et de faire disparaître des milliers de tonnes de déchets nucléaires au fond de la mer Méditerrannée, ni vu, ni connu. Des entreprises françaises, italiennes, russes, allemandes, et autres étaient impliquées. Cette opération a été plus ou moins découverte par le biais d'une facture, dont le coût était incompatible avec le produit vendu. J'apporterai une petite précision complémentaire sur cette affaire. Deux journalistes ont été assassinés en 1994 en Somalie. Un officier de la marine italienne qui enquêtait au pull antimafia de Palerme est aussi décédé, dans des circonstances non définies. Les autorités ne voulaient surtout pas connaître la cause de son décès. Cette affaire a rapporté des centaines de millions de dollars à certains, et fait économiser des centaines de millions de dollars à d'autres, en éliminant les coûts des retraitements.

 

4) Repentis.

Le 21 avril 2006, un repenti avait expliqué au au parquet de Milan qu'il avait participé au sabordage du navire poubelle Cunsky, « nous étions en janvier, il était environ 19h30. Nous avions des détonateurs, mais à courte portée, 300 mètres il me semble. On les a déclenchés depuis notre vedette ». Dans ce cas précis, on a appris que les explosifs à usage militaire, venaient des Pays-Bas, et les déchets nucléaires de Norvège. En bref, on peut parler de collaboration internationale. Suite à des assassinat de procureurs, il y aura un millier d'arrestations.

 

Le repenti expliquera que la mafia, « avait transporté des milliers de fûts radioactifs vers Afrique... En arrivant au port de Bosasso les militaires détournaient le regard ». Des fûts radioactifs seront retrouvés au large de la côte nord de la Sicile. Ils venaient de l'épave du Koraline, qui avait été coulé 1995. Toutes les plaintes déposées dès 1994 par Legambiente, seront classées par le ministère de la justice. L'ex-procureur de Reggio-Calabria Francesco Neri a dénoncé « la légèreté » de l'Etat dans ces dossiers. En 1995, le ministère de la Justice avait refusé un crédit de 50.000 euros pour faire des recherches en mer. Pour M. Venneri, « C'est peut-être de la désinvolture de la part de l'Etat italien, mais il ne faut pas écarter l'hypothèse d'une volonté délibérée d'enterrer ces affaires ». La population peut se dire qu'après tout, les politiciens qui mangent eux aussi du poisson ou des langoustes, seront eux aussi contaminés aux radionucléïdes, mais ils n'y ont sans doute pas pensé, idem pour les journalistes qui protègent les intérêts des industries toxiques. Eh oui, come nous pouvons le voir sur les courbes ci-dessous, il y a des traces de césium et plutonium dans la mer.

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pollution de la mer méditerranée par des navires de déchets radioactifs et toxiques
réponse de marc Filterman à la revue Que Choisir, pollution de la mer méditerranée par des navires de déchets radioactifs et toxiques

Autre exemple : Cosa Nostra a Wall Street :

En décembre 1996, un article de Business Week révélait que la mafia américaine blanchissait l'argent via le marché de la bourse de New York. Si tous les donneurs d'ordres étaient déjà connus du SEC, Securities and Exchange Commission, il n'en était pas de même des intervenants directs. Or en juin 2000, le procureur fédéral de Manhattan révélait qu'une importante fraude boursière venait d'être mise en échec. Le FBI a inculpé 120 personnes. Preuve que la mafia se diversifie en s'impliquant aussi dans le monde des affaires. Il est évident que les traders n'avaient pas intérêt à perdre l'argent qui leur était confié, car leurs commanditaires étaient insensibles aux arguments techniques boursiers. Le GAFI constitué lors d'un sommet du G7 regroupe 29 pays, a réalisé depuis une liste de 25 critères qui s'opposent à la lutte contre le blanchiment.

 

5) Le Sable noir des plage de Camargue

Plus intéressant, dans un très épais rapport de l'ANDRA de 2002, si des cartes sont bien présentes pour signaler les décharges toxiques dans l'océan Atlantique ou la manche au large des côtes françaises, il n'y a par contre aucune donnée pour la zone Méditerranée. La CRIIRAD avait fait des mesures et trouvé à certains endroits sur des plages du côté de la Camargue des taux de radioactivité faibles mais anormalement élevés. Certains comploteurs au service de l'industrie affirmeront que ces du sable naturel (sic) avec des niveaux radioactivité faibles et sans danger, sauf si des enfants en bas âge l'avale. Sauf que cela n'explique pas pourquoi nous trouvons dans ce sable du thorium 232 extrait des minerais comme la monazite et le zircon (Sable de Zircon (ZrSiO4). Le Thorium est aussi nocif que le plutonium sinon plus. La monazite (2400t de déchet en 2010) était utilisé dans les écrans cathodiques et pierres à briquet. Le zirconium est aussi utilisé pour la fabrication des barres de combustibes des réacteurs nucléaires. En 2010 on avait en France 900 tonnes de reliquats de traitement, qu'on appelle aussi sables et farine de zircon. Question, après traitement, où sont passé tous ces déchets depuis. Pour moi la réponse est simple, le sable noir de ces plages ou plutôt ce déchet radioactif vient tout simplement de fûts qui ont été balancés à la mer et éventrés lors des tempêtes, ou de navires qui ont été volontairement sabordés. Sur la carte de la méditerranée, il n'y a qu'environ une centaine de navire dont on connaît le position, mais il faut en rajouter une autre centaine, dont nous ne connaissons pas les positions géographiques. Une technique bien rôdée lors des mesures de l'IRSN consistent à ne faire une recherche que sur un seul radioélément comme le tritium (voir vidéo), en oubliant tous les autres comme le césium, le thorium, le plutonium, etc, ce qui permet de minimiser les taux de radioactivité dans les prélèvement.

 

Le thorium est utilisé depuis 1900, pour les pierres à briquet, dans certains systèmes d'armes, les missiles, pour la soudure au thorium, le contrôle non destructif, l'enseignement, etc... Les spécialistes en médecine se rappelleront des effets délétaires du Thorotrast (dioxyde de thorium, ThO2,) qui a été utilisé dans les années 30 à 70. Il sera interdit par la suite, les spécialistes en radiologie savent pourquoi. Il est cancérigène, alors qu'il n'émettait que des particules Alpha, dont certains spécialistes disent là aussi qu'elles sont inoffensives, ce qui est faux. Pour les particules Alpha, il n'y a pas de seuil non plus, elles peuvent aussi provoquer des cassure sur l'ADN et avoir des effets sur les organes internes comme le foie et autres. Il est préférable de ne pas faire un pic-nis sur ce genre de sable noir, et celui qui affirme le contraire est un véritable criminel.

 

*Parmi les solutions envisagées, il y a celles par l'enfouissement par le mouvement des plaques océaniques, dont certaines plaques plongent sous les plaques terrestres, et par ce moyen, on mettrait les déchets radioactifs à l'endroit où se fait ce mouvement de plaques qui pénétreraient dans la masse en fusion.

 

Il faut rajouter à cela les millions de tonnes d'armes conventionnelles et chimiques que tout le monde s'est empréssé de jeter à la mer à la fin de la seconde guerre mondiale, des sous-marins qui ont été torpillés et coulés avec 60 tonnes de mercure, et vous avez un tableau incomplet de la situation de la pollution des mers. Après cet inventaire incomplet, les abonnés de la revue « Que Choisir » pourrons demander des enquêtes par exemple sur la qualité des poissons et autres pêchés dans la Méditerrannée, dans la Manche, ou l'Atlantique. Je ne préfère pas parler de l'océan Pacifique, tout le monde devine pourquoi.

 

Il est impossible d'avoir une vue globale, il faut pour cela recoupers les informations de plusieurs pays, ce qui est bien pratique pour minimiser le tonnage et l'activité des poubelles sous-marines radioactifs. Ainsi au large des côtes françaises et anglaises dans l'océan Atlantique jusqu'en 1982, vous avez plusieurs pays qui ont balancé leur déchets radioactifs à la mer :

    • L'Angleterre 80 % - La Hollande 01%

    • La Belgique 05 % - La Suisse 10%

Ah il manque 4%. Pourquoi l'Allemagne n'est pas citée, parce qu'elle jette ses déchets au fond des mines de sel d'ASSE, une affaires qui est en train de touner à la catastrophe, suite à des infiltrations d'eau, des fissures, des poutrelles d'acier qui se tordent, des conteneur et des fûts qui se corrodent avec le sel. En prime, cette mine risque de s'effondre vers 2020. On comprend pourquoi certains sont intervenus pour faire censurer une vidéo sur cette mine qui existait sur internet sur depuis 2010. Dix jour après la publication du lien sur mon site, le compte a été fermé. Pourquoi ? Parce qu'il y a en france un projet d'enfouissement qui est étudié à Bure, mais dans des galeries en argile, donc moins nocifs en théorie pour les conteneurs. Quant à d'autres pays ils sont passés par la mafia italienne, ou ils expédient leurs déchets dans les pays de l'Est.

 

Suite à un inventaire partiel de l'AIEA, Il y a dans la vallée sous-marine de la Manche connue sous le nom de Hurd Deep, juste au nord de l'île d'Aurigny, près de 17.224 tonnes de déchets de faible activité radioactive en fûts, qui risquent ou se sont déjà éventrés.

Les fûts britanniques sont estimées à 58 trillions de becquerels ,

Les fûts belges sont estimés à 2,4 trillions de becquerels.

La limite de l'Union européenne pour l'eau potable est de 10 becquerels par litre.

 

Au moins l'article de M. Erwan Seznec de la revue « « Que Choisir » » aura servi à quelques chose, puisqu'il permet une remise à jour d'un article vieux de 14 ans sur la pollution des mers par des déchets nucléaires, un nouveau « désastre nucléaire sous-marin », avec tous les fûts qui rouillent depuis des dizaines d'années, et qui finissent éventrés.

Les combinaisons ci-dessous deviendront peut être un jour nos futures tenues de plage. Et peut être que dans les zones portuaires les travailleurs seront aussi obligés d'utiliser ce type de combinaison comme au Japon. Les ouvriers des ports ne savent pas toujours ce que contiennent les conteneurs.

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combinaison tenues de plage NBC contre les cargos déchets radioactifs et toxiques coulés en mer, réponse de Marc Filterman à la revue QueChoisir
pollution radioactive plage de Camargue, Espiguette, combinaisons de protection NBC, tenues de plage contre les cargos déchets radioactifs et toxiques coulés en mer, réponse de Marc Filterman à la revue QueChoisir, Thorium, Césium, Monazite, tritium, etc...

 

6) Conclusion.

Je suis curieux de voir combien de députés, sénateurs et autres élus vont réagir suite à cet article. Les complotistes au service de l'industrie sont les adeptes des des termes « peur irraisonnée » et de « la psychoses » qui sont utilisé pour railler cex qui dénoncent des vérités gênantes bien évidemment. Les techniques sont toujours les mêmes et très bien rôdées. Ils vous traite de menteur, de parano, de conspirationniste, ils ridiculisent, ils dénigrent, ils insultent, ils jouent sur les mots, ils critiquent votre orthographe, et si cela ne marche toujours pas, ils vous menacent pour vous faire taire. Ces techniques bien connues sont utilisées par des officines de l'intelligence économique qui travaillent pour l'industrie, comme je l'expliquais sur le forum d'un précédent article. Je pense avoir bien résumé la situation de l'omerta d'une certaines presse qui bénéficie en plus de budgets publicitaires.

Nous sommes en 2015, mais toutes ces opérations de blanchiment ont continué à s'étendre dans plusieurs pays d'Europe, en raison du laxisme des Etats, mais aussi de la corruption et des complicités politiques bien placées dans divers pays. Après cette mise au point, j'attends de voir si des enquêtes seront menées sur la qualité des poissons en Méditerranée, ou des coquillages. On peut se dire que les membres de notre gouvernement mangent aussi les mêmes poissons que nous. Est-ce que vous pensez que les cuisiniers des ministères et de l'Elysée vont faire leur marché à Rungis avec un détecteur de radioactivité, ou que leurs poissons passent par un détecteur de radionucléïdes ? Les individus comme les experts, les scientifiques, et les politiques qui savent que certains produits sont dangereux et qui affirment le contraire, sont des véritables psychopathes. Quand on apprend que des députés européens pouvaient avoir dans leurs analyses de sang jusqu'à 43 composants toxiques en moyenne, et même jusqu'à 70 subtances, on peut se dire qu'ils ne sont pas mieux protégés que nous, idem pour les journalistes. Un très bon appétit à tous nos élus de la république, qui sont tous contaminés par un minimum de 40 substances toxiques, comme la population française.

Vous trouverez 26 vidéos sur le sujet 314 de mon site Filterman, en réponse à la revue « Que Choisir » de janvier 2015, qui en apprendront beaucoup aux internautes et aussi aux adhérents de cette revue.

Marc Filterman


Moyenne des avis sur cet article :  4.57/5   (28 votes)




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16 réactions à cet article    


  • Le p’tit Charles 31 janvier 2015 10:56

    ++++++++L’humanité lobotomisée regarde (comme les vaches) passer les trains sans réactions même quand elles vont à l’abattoir... !


    • lsga lsga 1er février 2015 12:48

      Quel dommage que l’article soit si brouillon, fouilli, illisible. On ne comprend rien. Surtout les premiers paragraphes. 

       
      Ensuite, au lieu d’une approche écolo et scientifique sur la question du nucléaire, on a le droit à une approche financière et donc pseudo-scientifique... Qu’est-ce qu’on en a à faire de savoir si Bilderberg (pour rappel : une réunion dans un hôtel), « la » Franc Maçonnerie ou le Gladio est lié directement ou indirectement à tout cela ? On s’en fou complètement. 
       
       
      IL FAUT SORTIR DU NUCLÉAIRE. 
       
      C’est de cela dont l’auteur devrait nous parler, au lieu de tergiverser sur des réseaux de financement occultes, et la corruption de la justice italienne. 
       
      Enfin, on remarquera que dans cet article qui cherche à nous expliquer que l’épandage de produits radiocatifs est le fait d’un complot judéo-américano-maçonique, les mots « AREVA » et « EDF » n’apparaissent pas une seule fois. Encore une preuve, si il en est, que l’objectif de la pensée complotiste est de dédouaner la haute bourgeoisie nationale de ses responsabilités. 
       


    • Marc Filterman Filterman 1er février 2015 18:02

      @ p’tit Charles - Très très bonne réponse !!
      y compris pour nos politiques dont le sang est contaminé par un minimum de 3 substances toxiques


    • Marc Filterman Filterman 1er février 2015 18:09

      Pour comprendre déjà il faut lire. Visiblement cela vous dérange que j’ose répondre à la revue « Que Choisir », vous devez donc être membre d’une façon ou d’une autre de cette association.

      < Qui finance ? ON S’EN FOU ! Qui complote ? ON S’EN FOU !
      Ouuuhhh, là j’ai visiblement touché une corde très, très, très sensible. Voilà un monsieur qui se fout de tout en matière de finance, sauf que s’il n’y avait pas de corruption, compromissions, conflits d’intérêts, il n’y aurait pas non plus de pollution de la terre et de la mer, par complicités politiques, et par mafia interposée. A vous lire on pourrait penser d’ailleurs que vous vivez de la corruption et de la compromission.

      < le fait d’un complot judéo-américano-maçonique,
      Ah MERCI de me rappeler cet argument, que j’avais oublié dans ma liste, car c’est un des préférés des officines « d’intelligence économique » à la solde de l’industrie, comme avec le terme conspirationniste d’ailleurs , je penserai à la rajouter la prochaine fois.
       
      Déjà commencez par lire l’article, car 1) vous faites un amalgame volontairement et 2) vous m’attribuez comme M Seznec des propos qui ne m’appartiennent, mais qui sont ont pour origine des procureurs anti-mafia.

      Donc si j’ai bien compris, c’est la justice que vous accusez de complot JAM. 
      Ensuite dites nous carrément que vous voulez formellement interdire de parler et d’écrire que des francs maçons ont été arrêtés par des procureurs, par la justice. Dites nous carrément que ces informations doivent être totalement censurées.
       
      Vous seriez bien le seul internaute a ne pas comprendre qui sont les principaux fournisseurs de déchets nucléaires, quant à la bourgeoisie, je savais pas qu’elle existait encore en France, car çà fait longtemps qu’elle a été ratiboisée. Il n’y a plus que des SDF, des endettés, des smicards, et la classe des PDG et politiques et hauts fonctionnaires qui sont les plus riches de France. Alors parlez plutôt des PDG de l’industrie qui financent les parties politiques de tous les bords en échange d’avantages.

      En plus ce qui m’intéresse moi, c’est de diffuser une carte des zones qui ont été polluées, et par quoi. Et encore, à 4H du matin j’ai jugé utile de mettre un terme à mon article, raison pour laquelle il reste quelques fautes. J’ai pas assez parlé non plus, et en détail, des millions de tonnes de munitions chimiques qui ont été balancés à la mer, ni même publié la carte, j’avais envie d’aller dormir.


    • christophe nicolas christophe nicolas 31 janvier 2015 14:42

      Je suis d’accord, il est difficile de quantifier toutes les radioactivités ne serait-ce qu’à cause des moyens techniques.


      Il y a un jeu de chat et de souris à faire de la pollution puis à s’arranger avec les normes, le mieux étant de ne pas polluer à la source.

      Pour cette raison, la fière doit muter du nucléaire chaud au nucléaire froid qui ne comporte pas de danger à la source et permet de dépoluer, L’ICCF19 devrait mettre tout le monde d’accord.

      • christophe nicolas christophe nicolas 31 janvier 2015 14:43

        Pardon, « la filière doit muter »


      • Marc Filterman Filterman 1er février 2015 23:39

        Ce qui est comique c’est que la fusion froide n’a jamais fonctionné dans les pays qui avait déjà le nucléaire, mais bizarrement elle marchait dans les pays qui n’avaient pas de nucléaire.
        C’est comme le moteur à air comprimé, le moteur à eau, les moteurs surnuméraires, etc...
        çà marche ailleurs mais jamais en France.


      • philoxera philoxera 31 janvier 2015 19:08

        Ca me gave ces videos BFNTV qui se lancent toute seules


        • sirocco sirocco 1er février 2015 00:26

          Avant que Thalassa (France 3) ne devienne, comme beaucoup d’autres émissions, un magazine touristique pour agence de voyages, il abordait autrefois des sujets plus polémiques soulevant des questions de société.

          Je me rappelle avoir vu un numéro courageux de Thalassa traitant des rejets radioactifs effectués dans les mers et les océans. La France n’était évidemment pas le seul pays à pratiquer cela. Les dépôts sous-marins étaient bien répertoriés.


          • Marc Filterman Filterman 1er février 2015 18:20

            @Sirocco - Vous trouverez le lien de la retranscription de ce documentaire ci-dessous.
            http://filterman.comlu.com/corruption-05-industrie-nucleaire-pollution-radioactive-mer.htm
            J’espère que ce très bon documentaire de 1998 de Thalassa sera remis à jour et rediffusé


          • joletaxi 1er février 2015 18:40

            l’augmentation des décès par cancer, et on a environ 800 à 1000 nouveaux cas de cancer par jour, y compris liés aux champs électromagnétiques.

            toujours la même rengaine, vous n’êtes jamais fatigué ?

            l’augmentation des cancers est liée à l’âge, une population plus vieille est plus exposée à ce risque

            concernant les ondes par contre , le lien est évident
            le jeune skieur enseveli sous une avalanche ne portait pas d’arva, contrairement à ses camarades qui ont eux été retrouvés et sauvés.Il se méfiait des ondes maléfiques, et il en est mort.

            Concernant les plages de Camargue, le fait qu’elles soient entre Rhone et petit Rhone n’a sans doute pas d’importance, les résidus trouvés sur les plages viennent sans aucun doute des fosses à des centaines de kms

            des enclumes
            l


            • Marc Filterman Filterman 1er février 2015 20:51


              @joletaxi - oui c’est vrai que la vérité ne peut que déranger !!
              Mais c’est aussi vrai que depuis Fukushima une étude US révélait que
              le taux de cancer a augmenté aux USA mais aussi en europe,
              la durée de vie ne progresse plus, et que le taux de mortalité a augmenté
              et que sur les côtes de Californie on pêche aussi des thons contaminés,
              ah, c’est vrai que la presse TV officielle a oublié de nous le dire, et que d’autres ont affirmé que c’est un HOAX, en France c’est toujours un hoax quand cela dérange l’industrie.

              < Il se méfiait des ondes maléfiques, et il en est mort.
              C’est écrit où, dans le dossier de procédure ?
              ou c’est un argument d’un cabinet de com ?
              Déjà aucun site ne parle des balises d’avalanche, et personne ne déconseille leur utilisation.
              C’est une méthode de culpabilisation de ceux qui parlent des risques avérés des micro-ondes.
              Ensuite les balises DVA fonctionne en 457 KHz pour une portée de 100 m max, avec une puissance inférieure à 100mW, quand elles ne sont pas à 10 mW


              viennent sans aucun doute des fosses à des centaines de kms
              Oui ok, c’est ce que j’ai d’ailleurs écrit en 5) §1, « fûts éventrés lors des tempêtes ».


            • joletaxi 1er février 2015 22:02

              quand je dis des enclumes, c’est pour être poli

              la mortalité qui augmente aux USA par cancers,alors qu’il ne se passe rien au japon, faut croire que les bequerels ont pris des forces en nageant jusque là
              la longfévité qui diminue
              une seule étude très controversée a émis cette éventualité, pas les chiffres officiels, mais le plus gros problème sanitaire ,c’est l’obésité

              bref comme toujours du n’importe quoi

              concernant le jeune en question, tous les médias ont répercuté l’info:le jeune avait refusé de porter la balise, car il se méfiait de ses émissions, le moniteur l’ignorait.Son copain, qui le savait a tardé à dénoncé les faits ce qui a induit les sauveteurs en erreur.
              donc c’est bien une victime des ondes maléfiques

              concernant les plages de camargue, je connais bien le problème qui avait été soulevé à grand renfort de cris outragés par les zozos verts qui pensaient accuser les centrales sur le Rhône.L’examen des résidus a prouvé l’origine naturelle de ceux-ci, provenant d’un affluent du rhone.
              Ces résidus ,facilement identifiables le long du trait de plage, ont toujours existé, de mémoire des habitants.Les zoso verts, qui voulaient fermer les plages ont été reprendre leurs exploits ailleurs, comme dernièrement pour les renoncules 


            • Marc Filterman Filterman 1er février 2015 23:14


              Oui, c’est pas un argument scientifique, c’est par contre d’une très faible intelligence.

              Oui là on est dans la mauvaise foi flagrante au service du lobby nucléaire, parce que venir affirmer qu’il ne se passe rien au japon, il ne faut être très bien dans sa tête.

              < faut croire que les bequerels ont pris des forces en nageant jusque là

              ça fait longtemps que nous savons que des radioéléments sont arrivés sur les côtes US, mais pas vous.

              Je repose ma question, c’est par ce que les ondes sont maléfiques qu’il a refusé de porter cette balise, C’est écrit dans le dossier de procédure ? ou vous faites cette affirmation dans un autre but, par intérêt.

              Oui l’origine est naturelle, c’est sûr, surtout avec l’industrie qui longe aussi le Rhone.

              Il ne faut quand même pas prendre les gens pour des imbéciles ce que font nos super-diplômés par habitude. Vous n’avez pas beaucoup de chance, car j’ai les quantités importées année par année pour la France, jusqu’à 16.200 tonnes de monazite pour une année venant d’Australie, Burundi, Malaisie, Madagascar, et le résidu RBS a été utilisé en remblai et pour les matériaux du BTP. Et on a importé jusqu’à 64.500 tonnes de zircons pour une année. Toutes les usines de traitement de terres rares étaient ou sont sur les berges des fleuves, en cas de forte inondation, on sait ce qui se passe là aussi. En gros nos super-ingénieurs ont tout pollué partout, tous les fleuves, et donc les estuaires qui donne sur la mer.


            • JulienT 3 février 2015 10:13

              Bonjour,

              Je travaille pour l’Andra et j’ai donc lu avec intérêt votre article. Vous indiquez que « depuis 1960 au moins, l’industrie nucléaire internationale utilise la mer comme poubelle, en utilisant des fosses sous-marines appelées officiellement « zone d’immersion ». Elles étaient référencées dans le rapport de 2002 de l’ANDRA qui a été créé en 1979, mais dans celui de 2012, oh surprises, elles ont disparu. »

              Le rapport dont vous parlez est l’inventaire national des matières et déchets radioactifs. Dans l’édition de 2012, disponible à l’adresse http://www.andra.fr/inventaire2012, les déchets immergés font l’objet d’un dossier thématique complet qui précise où et quand des déchets ont été immergés (p.106 à 118 du rapport de synthèse). Je ne pense donc pas qu’on puisse parler de disparition. Pour ce qui est du reste, n’étant pas spécialiste des points évoqués, je ne m’exprimerai pas ici.

              Cordialement,

              Julien



              • Marc Filterman Filterman 3 février 2015 12:57

                Bonjour, heureux de voir que l’ANDRA a pris connaissance de mon article, j’espère que ce qui touche aux zones clandestines ont attiré votre attention.
                Dans les rapports de 2000 et 2002 page 469 avant on trouvait les zones d’immersion, j’ai donc pensé tout naturellement qu’il en aurait été de même dans votre rapport de 482 pages de 2012.
                Il ne m’est pas venu à l’idée d’aller voir votre rapport de synthèse, Merci pour votre précision et je confirme que les zones d’immersion y sont bien représentées dans ce doc de 212 pages. 
                Pour le reste, comme vous dites, tout passe par le biais de mafia, et redescend de divers pays d’Europe par le train jusqu’en bas de l’Italie, pas seulement le nucléaire, mais aussi le pharmaceutique ou chimique, raison pour laquelle j’ai précisé dans mon article aussi « navires toxiques ».

                Certains navires ont été déclarés détruits dans les pays d’Asie, sauf qu’aune trace n’a été trouvée dans les registres selon les magistrats, et on ne sait pas où ils sont passés, ni dans quelles eaux. Suites aux dernières infos, toutes les enquêtes ont été bouclées de « force ». De plus de nombreuses zones côtière, mais je n’ai mis la carte, sont aussi polluées par des munitions chimiques dont l’ypérite neurotoxique, qui reste aussi actif pendant plusieurs centaines d’années, et quand les obus sont persés, ils contaminent aussi les poissons que nous mangeons. 
                Cordialement

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