Le climat se réchauffe-t-il ? L’avis d’un scientifique naïf
Documents joints à cet article
59 réactions à cet article
-
Sans pousser le vice jusqu’à l’étude des données de base, j’arrive à la même conclusion que l’auteur. Il y a effectivement une influence humaine sur le climat, vraisemblablement un rechauffement global. Ce qui me derange, c’est la facon dont ils essaient de « vendre » ce rechauffement, en forcant singulièrement le trait. Comme s’ils ne nous estimaient pas suffisament mûrs pour comprendre cette verité ; ils nous prennent pour des enfants incapables de raisonnement logique. La gestion de ressources planetaires aussi se fait hélas de cette manière, en adoptant la démagogie religieuse : je vous mens, je vous fatigue, je vous fais ch..., mais c’est pour votre bien !
-
Je ne parle pas de l’influence humaine ici, simplement du réchauffement. Avant de trouver la cause de ce réchauffement il faut déjà être sûr qu’il y en a effectivement un. Sinon je suis assez d’accord avec vous.
-
Vous en parlez pas, mais il me semble assez clair dans le premier graphique, même en prenant compte les écarts et le manque de précision que vous fustigez, que le comportement du climat commence à changer à partir du fin-19ème, ce qui coincide avec l’essor de l’industrie. Vu la vitesse avec laquelle on brule les fossiles, cela n’a rien d’etonnant.
-
@ Deneb
Vu la vitesse avec laquelle on brule les fossiles, cela n’a rien d’etonnant.
La loi de l’effet de serre en fonction de la concentration en CO2 est une loi logarithmique. Une grande part du débat est sur l’augmentation de température due au doublement de la concentration : est-on proches du début de la courbe en logarithme (ou un doublement augmente terriblement la température) ou est-on plus loin (ou un doublement amène un pouillème : on est à saturation, l’effet ne peut presque plus augmenter).
Non vraiment le débat sur l’effet de serre réel du au CO2 est loin d’être clos.
Et je pense que cela c’est une « grande » découverte pour un grand nombre d’entre nous ! Surtout si nous sommes nés avec...
-
Reste à expliquer pourquoi les glaciers reculent depuis 30 ans ? Il est indéniable que localement (montagnes et pôles au moins) les températures ont augmenté ces dernières décennies.
Mais il est fort possible que les causes soient parfaitement naturelles. Faut-il rappeler qu’au XII siècle, en Europe les températures étaient bien plus élevées qu’aujourd’hui et que l’Angleterre produisait un très bon vin ?
Pourquoi la thèse du réchauffement climatique du à l’activité solaire est t-elle minorée ?
En outre, il faut aussi rappeler que le CO2 n’est pas un polluant et que son augmentation dans l’atmosphère suit toujours une augmentation des températures et non l’inverse.
Il est fort dommageable que ce débat du climat ait quitté la sphère du scientifique pour pénétrer la sphère viciée du politique avec tout ce que cela implique en terme de manipulation, d’intérêt particulier et de désinformation.-
Et les danois faisaient les foins et élevaient des vaches au Groenland !!!
Véridique.
-
Ah oui, tiens, pourquoi ils reculent depuis trente ans, les glaciers ? Peut-être parce qu’avant, ils avançaient, non ? Je me souviens qu’à l’époque, certaines routes des Alpes menaçaient d’être coupées par l’avancée des glaciers, et qu’on se lamentait de l’inexorable glaciation qui nous pendait au nez. Avec des arguments scientifiques tout aussi convaincants que ceux avancés aujourd’hui pour démontrer l’inverse. Et les doctes professeurs de climatologie du GIEC sont très exactement les mêmes qui ont fait leurs thèses de doctorat sur le refroidissement global.
-
Tout à fait, d’ailleurs, le nom de Groënland veut dire « pays vert »...
-
effectivement je me souviens des cartes postales de la mer de glace en 1875 environ qui etait encore plus reculée qu aujourd’hui. hier jai lu aussi que la banquise avait regagné sa surface normale ?? alors al gore ou gore ...
-
Bonjour
Il me paraît évident que la température dans les villes augmente, c’est une évidence et c’est du à plusieurs facteurs n’ayant rien à voir avec un réchauffement global. Par exemple le macadam absorbe de la chaleur le jour et la restitue la nuit comme le béton.
Tout le monde peut constater qu’il fait en moyenne 1° de plus dans une ville que dans la campagne environnante.Le problème des stations météo où sont relevés ces températures sont situées quasiment toutes dans les banlieues de ces villes, alors que si l’on veut mesurer réellement la température il faut les situer en pleine campagne.
Je pense que le GIEC était parfaitement au courant de ces anomalies mais comme elles allaient dans leur sens...
Radix
-
C’est vrai que ce n’est pas l’idéal d’avoir ces stations en villes (je ne sais pas ou elles sont situées exactement d’ailleurs). Cela dit je crois que les villes étaient déjà goudronnées (et polluée) en 1995, ce facteur ne devraient donc pas entre en jeu.
-
Bonjour Bouzeux
1995-2005 10 ans est une période trop faible pour tirer des conclusions dans le domaine du climat. Je pensais plutôt à une comparaison des températures entre le début du siècle dernier et maintenant où l’augmentation « constatée » est due essentiellement à la chaleur urbaine.
On chauffe plus, la circulation a augmenté et les stations météo ont été rattrapées par l’urbanisation : le voila le réchauffement !
Radix
-
Ici, quelques chiffres sur l’accroissement de la population urbaine
Est donné un tableau qui permet de voir que l’augmentation de la population urbaine entre 1975 et 2000 est entre 2% et 4%. Il y a probablement un effet de la superficie de la ville sur la chaleur qu’elle génère et la conservation de sa chaleur propre.
Cela dit, si l’on n’est pas capable de décorreller le réchauffement global du réchauffement local des villes, cela signifierait que la température des villes seraient la borne supérieure de l’acroissement de température et que celui-ci, globalement serait inférieur.
-
Erreur de ma part :
l’accroissement de la population urbaine sur l’ensemble du monde entre 1975 et 2000 est bien de 9%.
Il est entre 2% et 4% pour chacune des catégories (villes < 1 million d’hab, entre 1 et 5 millions, >5 millions)
-
Cela dit une bonne manière de se donner quelques idées sur le réchauffement local serait de correler l’augmentation de température à la démographique :
* taille des villes, augmentation de leur population
* localisation géographique (lattitude, continent)* Héléna (augmentation) : aux USA (Montana, si c’est bien elle) : estimée à 295000 hab. en 2008 (augmentation +13% depuis 2000), moyenne environ 5°C (40°F), 800 km de l’océan pacifique
* Monterrey (baisse) : au Mexique : agglomération 3.8 million d’habitants en 2005 (augmentation estimée de +25% depuis 2000). moyenne environ 20°C (70°F), 200 km de la baie des caraïbesla grosse ville, avec une très forte augmentation de population, dans un endroit chaud, se refroidit
la petite ville, avec une forte augmentation de population, dans un endroit froid, se réchauffeles choses ne paraissent pas simple pour corréler température et croissance urbaine
-
encore une erreur :
*Helena : estimée à 29500 hab. en 2008
-
...et à dos d’éléphant à Bruxelles, une fois !
-
citation : Je propose que l’on demande à un collège de scientifiques de faire un rapport sur le réchauffement de la planète et l’augmentation du C02 ...Ensuite nous pourrions envisager un sommet pour envisager les mesures à prendre au niveau mondial pour éviter la catastrophe climatique... ;
D’accord à 100% : une commission et surtout des sous-commissions, avec des tâches bien précises, qu’on sache enfin où nous en sommes...
-
Vous vous présentez comme scientifique. Très bien. Mais alors comportez vous en scientifique, et n’induisez pas les gens en erreur en leur proposant un raisonnement biasé. En effet, la première courbe que vous nous présentez va de 1865 à 2004-2005. On constate sur cette courbe d’ailleurs un tassement dans la moyenne vers la fin.
Puis gentiment, vous nous présentez des courbes de villes à partir de 1996 jusquà aujourd’hui
Voici votre raisonnement appliqué à l’exemple suivant.
Certains prétendent que un être humain grandit entre 0 et 22 ans. Mais voilà, grâce à plusieurs courbes de croissance sur différentes personnes, entre 20 et 24 ans, je démontre que c’est faux, l’être humain ne grandit, ou si peu.-
Ce n’est pas tout à fait exact, l’hypothèse de départ est que le climat se réchauffe depuis un moment et que ce processus va continuer dans l’avenir, dans votre exemple cela revient à dire qu’un un être humain grandit entre 0 et 22 ans et continu de grandir par la suite. Donc mesurer entre 0 et 22 ou 20 et 24 revient au même. Plus la durée de la mesure est longue plus la précision est grande cependant. Cela dit il est vrai que l’échelle de temps considérée ici n’est pas exactement la bonne, 10 ans c’est un peu court, cela dit on observe bien un réchauffement.
-
Ok, je vois ce que vous voulez dire. Cependant, la période proposée de temps est trop courte, et ne peux être qu’un élément de démonstration. En effet, il est très difficile de distinguer une augmentation significative, d’une part, de savoir si elle est localisée dans le temps, d’autre part, et encore moins d’en connaître les causes.
Attention, je ne consteste pas un réchauffement d’origine antropique, j’en suis moi-même convaincu, mais il est important d’apporter des raisonnements solides. -
la création d’un modele mathematique a priori, utile dans de nombreux domaines scientifiques, pose quand meme un gros probleme : l’introduction de ses a prioris ou de ses hypotheses dans le modele. C’est tres souvent pour cela que les modeles donnent raison a leur createur.
dans votre cas, vous dites « ... s’ajoute une dérive linéaire de la température dans le temps donnée par le coefficient D ». Pourquoi lineaire ? par facilite de calcul ? pour mieux assurer une conclusion ? et si la dérive n’est pas lineaire quid du resultat ?
Pour finir, voici la maxime d’un « grand » patron de labo :
Quand les donnees brutes ne te donnes pas raison fais un modèle : tu trouveras toujours un ensemble de coefficients ad hoc scientifiquement valables qui valideront ton hypothese au moins pour le temps d’une publication !
Joyeux Noel
-
C’est justement l’intérêt de ce genre de modèle : rendre les hypothèses explicites. Tout travail scientifique implique un modèle mental du phénomène étudié, avec des hypothèses parfois implicite (non-dites). Ce genre de formulation mathématique permet justement de mettre le modèle sur papier dans un formalisme rigoureux et de mettre les hypothèses au grand jour (pour éventuellement les critiquer).
« Pourquoi lineaire ? »
Parce que je m’intéressait uniquement à répondre à la question « est-ce que ça monte ou ça descend ? » Et pas à la question « A quelle vitesse ça monte/descend ? Linéairement ?, exponentiellement ? » La « vrai » dérive n’est certainement pas linéaire, si elle est exponentielle par exemple le modèle va sous-estimer le réchauffement. Mais le signe (si ça augmente ou diminue) ne devrait pas être affecté par ce genre d’effets. L’échelle de temps assez courte justifie également l’utilisation d’un modèle linéaire.
-
@ etonné
on utilise un modèle « intuité », on en ajuste les paramètres, et ensuite on vérifie que le modèle colle bien à la réalité.
Tant qu’il ajuste bien les point, et qu’il utilise le modèle entre ses bornes...
Là où le travail de l’auteur aurait pu être critiquable, c’est s’il avait extrapolé ces données pour avant 96 ou après les derniers relevés ; en ce cas il aurait dû justifier ses approximations. Mais comme il ne le fait pas...
@ l’auteur
merci pour cet article technique, peut-être que petit à petit, tout un chacun pourra récolter ces données, et proposer et débattre de ses interprétation, pour comparer aux conclusions du GIEC.
-
« Pourquoi lineaire ? »
De mémoire, une approximation linéaire, entre deux bornes bien définies, est souvent très performante.
De plus pour le sujet qui nous préoccupe, j’ai de la peine à imaginer des variations exponentielles de température : le climat est tout de même un système régulé.Par ailleurs la plupart du temps, le coût d’un calcul exponentiel, voire pire, la résolution d’équa-diff, ne justifie même pas la précision d’une meilleure approximation.
-
Mouais... je suis d’accord, cet article n’est pas convainquant... Je veux bien croire qu’il y ait un léger réchauffement, mais ce qui m’embête c’est le « GLOBAL »... Les mesures de par le monde sont toutes faites en ville, là ou on a de plus en plus de bagnoles et de pollution industrielle. Ou est l’intégration des mesures ? Parce que moi je suis certain que si il faut prouver ca avec des chiffres, en choisissant bien je vais vous trouver quantité de valeur de températures qui montent... sans prendre le problème dans sa globalité ! En gros, ma question est la suivante : Ou est passé l’intégration des mesures à l’échelle planétaire dans le raisonnement ????) Parce que se contenter de relever les endroits ou ca chauffe ca nous fait une belle jambe si d’autres endroits voient leur température se refroidire en parallèle ! Quid de la température interne de la terre ? de l’air, de l’atmosphère dans son ensemble, des mers ? Ca me ferait bien rire de faire un bilan énergétique pour comparer la puissance émise par le soleil pour réchauffer les mers et celle que pourrait apporter tout le pétrole de la terre s’il brulait tel un chauffage géant !!! hihihi, on se rendrait compte de la bétise complète de ces théories fumeuses...
On entend toujours les mêmes bêtises sur les glaciers qui se réchauffent... Comme si les géologues n’avaient jamais vu ça au cours des millénaires... des phases de glaciations et de réchauffement... super.
On nous montre tjrs les mêmes images de banquise qui fond sans rappeler que la banquise se reconstitue CHAQUE hiver ! (ok en ce moment un peu moins mais pour combien de temps ? :)L’histoire du modèle bricolé, c’est exactement ce qu’a fait la commission d’enquête du 11/9 pour expliquer l’effondrement des tours jumelles... au début y’avait rien qui s’effondrait, et puis ils ont « créé » des déformations abérentes sur les planchers comme conditions initiales, augmenté les T°, diminué les seuils de résistances de l’acier.. en gros bricolé le tout pour apporter une caution scientifique à l’histoire et faire gober au peuple que c’était normal que 400 000 tonnes d’acier et béton de construction se rétalle comme une crêpe jusqu’au sous-sol en deux fois 10 secondes dans le sens de leur plus grande résistance.
-
Pourquoi ça nous plaisait pas les conclusions sur le réchauffement. ?
C’est qu’il manquait les barres d’erreur !C’est kro mignon. :)
-
Jojo 24 décembre 2009 18:52Flagrant délit de vilénie et vous faites quoi de la minimisation des résidus au carré hein ? Mais par-dessus tout, que faites-vous de ça :
A cos (Ω+β) ¥ x sin (£-µ) ± ∑ a²… Est-ce une impression, ou vous faites moins le malin depuis quelques secondes ?
Joyeuses fêtes et meilleurs vœux
-
La ville d’Helena a disparu du site des données.
La ville a apparement un record de froid le 7 avril 2007 dans le cache de google mais a disparu du site des records du NOAA.
http://www.ncdc.noaa.gov/extremes/records.phpIl faut probablement enlever la serie d’Helena des calculs.
Joyeux Noel
-
L’article est intéressant. Il donne à réfléchir sur la façon de présenter les observations et sur la prudence avec laquelle nous devons toujours les interpréter.
Que l’on constate un réchauffement climatique depuis le début de l’ère industrielle ne semble pas remis en cause dans le milieu scientifique.
Que l’activité humaine en soit en partie responsable, c’est tout à fait probable.
La controverse existe quand on invoque les effets des émissions de CO2.
Personnellement, mes connaissances en ce domaine ne m’autorisent pas à avoir un avis tranché.
Par contre, réduire nos émissions de CO2 en réduisant notre consommation d’énergies fossiles semble être un pari gagnant à deux titres.
Si le GIEC a raison, nous aurons contribué à réduire les effets du réchauffement climatique.
Par ailleurs, cette démarche nous permet d’économiser le capital d’énergies fossiles et nous donne un peu plus de temps pour nous préparer à une société où le pétrole se fera rare et donc très cher.
Continuer à nous comporter comme si nous devions indéfiniment disposer du pétrole bon marché serait à coup sûr une erreur.
Il suffit de rapprocher quelques courbes incontestées pour en prendre conscience.
- courbe de l’évolution de la population mondiale
- courbe des découvertes de gisements de pétroles de toutes natures
- courbe de la consommation mondiale de pétrole
- courbes des capacités de production (extraction) du pétrole
L’observation des deux dernières, met en évidence l’apparition d’un déficit entre l’offre et la demande dès la prochaine décennie.
Nous constatons que le problème n’est pas celui de générations futures ; il est déjà le nôtre.
Ce qui est inquiétant, c’est la formidable inconscience avec laquelle l’humanité continue à tout miser sur une croissance irraisonnée.
Pour ceux qui, par manque d’informations, restent sceptiques, voici quelques adresses utiles pour se faire une opinion valide sur les enjeux auxquels nous sommes confrontés :
WIKIPEDIA Pic pétrolier
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pic_p%C3%A9trolier
Site de ASPO
ASPO Bulletin N°8
http://aspofrance.org/news/bulletin-aspo-france-n-8
ENCYCLO TOTAL
http://www.planete-energies.com/site/fr/homepage.html
Entretien avec Jean Laherrère (Texte)
http://www.terredebrut.org/article-13713345.html
Entretien avec Jean Laherrère (Vidéo)
Wolf at the Door
http://www.wolfatthedoor.org.uk/francais
Peak Oil, Matt Savinar, Life After the Oil Crash
http://www.lifeaftertheoilcrash.net/
JOYEUSES FETES A TOUS !
Profitez en bien !
-
Par ailleurs, cette démarche nous permet d’économiser le capital d’énergies fossiles et nous donne un peu plus de temps pour nous préparer à une société où le pétrole se fera rare et donc très cher.
Vous avez raison, mais je n’aimerai pas que le GIEC ait raison par accident sur un sujet qui le concerne pas. De toute façon, à mon avis, tout ce bruit sur le CO2 est juste une manière de, statégiquement, commencer à se passer de pétrole, et en termes diplomatiques.
C’est juste que gouvernement par l’erreur, le mensonge et la peur, ca peut conduire à faire des conneries...
-
Pour Eloi
De toute façon, à mon avis, tout ce bruit sur le CO2 est juste une manière de, stratégiquement, commencer à se passer de pétrole, et en termes diplomatiques.
Votre remarque est sûrement juste.
La peur est un levier détestable utilisé par les dirigeants de ce monde pour parvenir à leurs fins.
Toutes ces controverses créent un climat extrêmement malsain pour aborder le problème majeur du pétrole en déplétion connu depuis plusieurs dizaines d’années dans ces milieux et celui des compagnies pétrolières qui s’efforcent de le cacher à seule fin de préserver leurs intérêts à très court terme.
-
De toute façon, il semble quand même admis que la période faste qui consistait à « se baisser » pour ramasser le fantastique source et vecteur d’énergie qu’est le pétrole. Maintenant, l’énergie sera plus chère, et on devra s’y faire...
Je pense qu’on est suffisamment adultes pour le comprendre.
Reste maintenant à faire le moins mauvais choix, c’est -à-dire le « moins mauvais » cocktail entre économies d’énergies, nucléaire et énergies alternatives.
Et tout cela en attendant la prochaine période faste, quand on sera capables de faire de la surgénération et recyclage des déchets nucléaire (enfin quand on en sera à nouveau capables), fusion thermonucléaire, ou de placer des panneaux solaires à 1 millions de kilomètres du soleil.
Cela dit, je me demande quel serait le tollé mondial et la catastophe diplomatique d’annoncer à la cantonnade (et surtout aux pays du Golfe, richissimes partenaires commerciaux) qu’on va se passer de pétrole. Le cirque de Copenhague est probablement un moyen de le dire, sans risquer les contreparties économiques...
-
Depuis 2 siècles,
la population croît,
l’industrialisation croît,
l’urbanisation croît,
la température croît,conclusion immédiate :
l’espèce humaine est responsable de la croissance de la température.Cependant,
Les stations météo n’ont pas bougés et personne ne sait quelles températures donneraient ces stations en absence de l’urbanisation de leurs environnements.
Depuis une dizaine d’années des satellites mesurent la température du globe.
Il me semblerait plus juste d’étudier l’évolution des températures à partir de ces données satellites.-
Essayer de prouver le réchauffement climatique avec des chiffres est évidemment une tache très ardue , car déjà parler de réchauffement global , il faut disposer non seulement des températures des centaines de stations météo sur plusieurs siècles , mais aussi des températures à d’autres endroits , au dessus des oceans qui composent les 4/5 du globe mais aussi à des endroits quasiment désert .
. On dispose certes de bouées maritimes mais elles sont très inégalement réparties sur la surface des mers et plutot à proximité des cotes . L’autre moyen de mesure sont les satellites , mais ceux ci ne mesurent les températures que depuis une ou deux décennies .
La meilleure manière d’évaluer le réchauffement climatique sans trop de constestation , et d’observer la nature , et là il est difficile de nier que celui ci n’existe pas . Les périodes de maturation de la vigne depuis 100 ans a été largement avancé d’au moins 15 jours en moyenne . l’arrivée du printemps par exemple au canada , est avancé d’au moins 15 jours .
Les glaciers des principaux massifs montagneux reculent .... ( le réchauffement du groenland et de l’antartique sont évidemment discutables , car disposant d’une trop grande inertie pour prouver quoique ce soit , sur l’échelle d’un ou deux siècles )Le réchauffement est donc indéniable , probablement lié à l’activité humaine mais ce n’est peut-etre pas la seule explication .
Que cela soit catastrophique , certainement pas . En revanche , la pollution lié à l’émission des carburants fossiles , ainsi que les autres pollutions chimiques et nucléaires , elles le sont sans équivoque
Donc on nous présente un problème sous une fausse apparence , peut-etre pour mieux cacher que notre société capitaliste se voilent la face pour ne pas voir que ce modéle de société est condamné à très court terme .
Joyeux noel .
-
Attention aux mesures de chaleur en ville. En fonction de l’urbanisation autour du point de mesure, la température peut fortement s’échauffer.
Exemple : Vous partez de paris intra muros en voiture (relevez bien la température) et foncez vers la banlieue (moins urbanisée). La chute de température est sensible dès que la densité urbaine décroit. Vous pouvez perdre certains jours près de 2 degrès en allant de Paris vers la grande couronne. Et cela n’a rien à voir avec l’effet de serre.
Pour plus d’infos, voir ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Elot_de_chaleur_urbainIl suffit donc que l’endroit ou est la station de mesure soit en train de se densifier pour que vos mesures soient fausses.
-
Bonjour Max
Il n’est pas inutile de lire les réponses avant de poster, cela évite les redites !
Radix
-
« Lire les réponses »
Radix , tu serais gentil de t’appliquer à toi même les règles que tu dictes aux autres ...
Et donc, d’éviter d’appeler Max un interlocuteur qui s’appelle Marc . !!!
-
Bonjour Fantôme
Tu disait ?
Radix
-
peut-être que c’est vrai, peut-être que c’est faux, j’ai mon avis là-dessus :
oui le climat est en train de changer peu à peu !
mais est-ce la faute à l’Homme ? je ne suis pas un scientifique, et même si j’en étais un, la connaissance que demande cette questionest très complexe : climatologie, astrologie, geographie, histoire, etc....
bref, je pense que les puissants veulent nous TAXER l’air que nous respirons, nous pondre des lois qui vont pour des raisons environnementale obliger à accepter un certain nombres de fortes contraintes...
l’angleterre a déjà commencé le sale boulot, elle prévoit de sortir une loi qui taxera tous ses citoyens s’ils polluent bcp : comment ? en instaurant une surveillance de ceux-ci !
big brother is watching U-
Il y a quelque chose qui m’échappe dans la démarche de l’auteur ?Il nous présente des séries de relevés de t° dans des stations connues,relevés sans discontinuités,sans apparemment de ruptures.Il est donc facile de tracer une courbe de ces t°.La recherche d’un signal quelconque dans ces mesures est sans objet:on a des données certaines.Tracer une courbe d’anomalies est une démarche trompeuse.
Pour ce qui est de la mesure des t° ,et la complexité de les ajuster dans le temps, et de prendre en compte les multiples facteurs pouvant affecter ce calcul,voyez cette intéressante discussion :Cette méthode, généralement utilisée,peut conduire à des aberrations,comme démontré dans l’article.En limitant artificiellement le nombre de données par la sélection de points de références, dans lesquels on introduit fatalement un biais dont on ne connaît ni le signe ni l’ampleur, on risque de perdre le signal.Ne vaudrait-il pas mieux tenter de déterminer le signal à partir de toutes les données disponibles,dans le même esprit de la méthode utilisée par le moyen de proxis, sauf qu’en l’espèce ici, l’on connaît de façon certaine la relation t° /mesure ?-
Personne ne nie le réchauffement climatique du siècle dernier, mais seulement son origine anthropique !!!
Cet article ne fait donc qu’enfoncer une porte ouverte.
Dans dix on pourra refaire cette étude, simple et claire, et vous constater le refroidissement climatique qui s’augure au vue de l’activité solaire qui ressemble peut-être au coup de 1645 : le minimum de Maunder.
Affaire à suivre.-
Tu es donc un ami Rider ! Tu peux me MP sur W33 si tu veux.
Pendant le minimum de Maunder, la tamise et la seine ont gelé fermement pendant plusieurs jours.
Ça fera désordre quand cela se reproduira, plus qu’à l’étang de Berre ... -
@ Waldganger
On peut objecter que certaines stations ont pu être influencées par une urbanisation de leur environnement proche sur 10 ans, mais sur une durée aussi courte, cela ne me parait pas significatif. Il aurait fallu des périodes plus longues.
Je ne comprends pas vraiment votre remarque : les ilôts de chaleur citadins sont justement ceux qui peuvent être suspectés de changer le plus rapidement : urbanisation (regardez la rapidité de l’extension Monterrey là haut), isolations des villes, économies d’énergies...
Quand au climat global, étant donné les énormes inerties thermiques, le changement (et d’autant plus l’incrément de changement qui peut être dû à l’homme) peut être suspecté d’être beaucoup plus lent, non ?
Une échelle de temps de l’ordre de la décennies semble justement plus adapté à l’étude du changement de climats locaux qu’une échelle plus grande, qui risque alors de prendre en compte des changements globaux...
-
beuhrète 2 24 décembre 2009 16:30De plus, une bonne part des émissions pour lesquelles les pays pauvres sont tenus responsables devraient en toute justice être attribuée aux nations développées. Par exemple, les torchères des compagnies pétrolières exportatrices du Nigéria ont produit plus de gaz à effet de serre que toutes les autres sources de l’Afrique sub-saharienne réunies. La déforestation dans les pays pauvres est principalement causée par l’exploitation commerciale du bois, de la viande et des aliments pour animaux destinés aux consommateurs des pays riches. Les paysans pauvres font bien moins de dégâts.
David Satterthwaite, l’auteur de cette étude, souligne que la vieille formule enseignée aux étudiants en développement, selon laquelle l’impact total (sur l’environnement) est égal à la population multipliée par la richesse et la technologie (I=PRT) est fausse. L’impact total doit être mesuré ainsi : Consommateurs x Richesse x Technologie. La majorité de la population mondiale consomme si peu qu’elle ne figure même pas dans cette équation. Et c’est elle qui a le plus d’enfants.
Alors qu’il n’y a qu’une très faible corrélation entre réchauffement global et croissance démographique, il y a par contre une forte corrélation entre réchauffement global et richesse.
Mais pourquoi s’intéresser tant au soleil ? Pour une raison simple : si les meilleurs scientifiques de la planète sont incapables de nous expliquer ce réchauffement de l’espace, allons à l’autre extrême et intéressons-nous à cette apparition de la Vierge qui a justement eu le soleil comme centre.
Et les scientifiques ne savent pas pourquoi, mais en octobre et en novembre 2003, notre soleil a connu des explosions phénoménales, jamais vues depuis qu’ils savent mesurer avec précision son activité, c’est-à-dire depuis 400 ans. Sachant qu’un dessin vaut toutes les explications, le graphique précédent, appelé le Butterfly Diagram à cause de sa forme en ailes de papillon, a été établi par le Marshall Space Center de la NASA et montre clairement l’augmentation régulière et progressive de l’activité du soleil et du nombre de ses taches.
http://life-in-the-dead.over-blog.com/article-apocalypse—38175184.html
Bonnes fêtes a tous et à toutes.
-
bon tout cela est un probleme de packaging , alors ?
il est vrai que le probleme est complexe et en particulier incertain, or notre société n’aime pas l’incertain.
Donc si les choses sont incertaines , leurs implications encore plus , alors allez expliquer des choses complexes dont les effets sont incertains a une population mondiale surtout gorgée de presse people, de real TV , de jeux du cirque sportifs.
Les sociétés humaines vivent de plus en plus en flux tendu et donc gerent les contraintes au plus juste alors que jusque la l’environnement physique etait assez stable, ainsi que le contexte geostrategique..
La moindre perturbation de cette stabilité risque donc avoir des effets gigantesques (voir les tempetes sur les toits francais)
Or on remarque sans trop savoir d’ou cela vient, qu’il y a des desordres météos qui bousculent les limites de contraintes que nous nous sommes données.
d’autre part d’autres desordres comme les problemes de ressources , nourriture et bien sur d’energie apparaissent du fait que la demographie a atteint le seuil ou nous rencontrons les limites que peut offrir la planete.
Donc quel que soit le cheminement pour présenter la chose , quelque soit meme, le desordre de l’information presentée, il convient rapidement de prsenter quelque chose pour pousser les etats et populations a se preparer a un futur incertain mais qui POURRAIT etre terrible selon les échéances et circonstances.-
@ l’auteur.
Votre raisonnement scientifique est complètement biaisé. Déolé.
Tout d’abord seul les média parle de réchauffement climatique car c’est plus simple.
En réalité nous sommes face à un changement climatique et surtout un affaiblissement grave des ecosystêmes.
Des zones se refroidissent d’autre reste stable, d’autres se réchauffe... Ce qui explqique que dans de nombreux endroit du monde les glaciers disparaissent, dans quelques autres ils s’agrandissent.Ne prendre que 3,4 ville sur 12 ans ne peux en aucun cas servir de base pour une analyse global.
Au cas ou vous douteriez encore du changement climatique, je vous invite à observer les images des clarathes de méthane... Cela fait toujours son petit effet de voir des flammes sortir en pleine mer d’une eau bouillonante.
Et si vous pensez que l’homme n’as pas sa part d’influence dans tout cela vous êtes soit aveugle, soit un idiot. Vous avez vu les chiffres de l’écart thermal le 12 septembre 2001 lorsque les avions ne volaient pas. L’homme influ de nombreuses façons. Qui pour certaines refroidissent la planète pour d’autre la réchauffent, mais dans l’ensemble modifient la terre vers une instabilité climatique dangereuse.
-
clathrates et non clarathes !!
Et ces belles images ont les trouve où ??
-
J’ai remarqué dans mon jardin que certains escargots meurent debouts ! Pourquoi le ciel est bleu ? 8 milliards d’êtres humains qui se multipilient comme des lapins sur un monde clos , c’est grave docteur ?
-
1- Prendre les villes pour voir s’il y a réchauffement est une mauvaise idée car non seulement la population augmente, mais l’environnement y change à très grande vitesse, notamment via le goudronnage et l’érection de bâtiments, tout cela conduisant inéluctablement à une augmentation de température (corps plus noir, absence de transpiration, etc...)
2- La seule mesure qui serait valable serait une mesure globale, typiquement vue d’un satellite de météo. Or, nous savons que depuis les années 70, la température globale donnée par les satellites donne une augmentation totale de +0,075°C, autrement dit rien et même pas de quoi en parler.Mais l’intérêt de certains lobbies amène toutes les turpitudes...
-
Depuis des milliars d’années la Terre à connu des périodes de rechauffement et de refroidissement et à l’époque,l’industrie n’existait pas
C’est donc un cycle,comme le soleil qui connait un cycle de tache solaire
D’ailleurs ,le soleil pourrait-il avoir une influence sur le cycle de réchauffement actuel ?
-
La climatologie est du temps de cerveau gaspillé au profit des assureurs et autre capitalistes avides de la vérité scientifique révélée et pas trop chère.
-
Une chose est sûre, réchauffement ou pas, on va se prendre une bonne taxe carbone ....
-
Arriver aussi tard, et un soir de noël qui plus est, n’attirera certainement aucune réponse mais je m’y risque tout de même.
Je ne suis pas un spécialiste en climat ni un passionné convaincu de l’une ou l’autre des thèses émises depuis quelques temps mais voila ma question : n’est il pas possible d’envisager qu’un sur-réchauffement local (une mégapole, un continent ...) puisse provoquer, par sur-évaporation par exemple, un dessèchement du lieu des surproductions et des pluies surabondantes ailleurs ? Ou encore une accélération, un ralentissement, des grands courants marins (Gulf-Stream et autres Labrador) qui ont une certaine influence sur les régions du monde qu’ils côtoient... ? Il y aurait donc, si ma supposition est retenue par le jury, réchauffement par ci et refroidissement par la, modification donc, due à l’activité humaine, non ?
-
Monsieur vous me semblez bien catégorique.
A propos aucune indication sur votre fiche sur vos compétences particulières.
La seule indication valable à mes yeux est le choix de votre vignette !
Une remarque : vos trois remarques ont eu un vote positif simultané ( c’est vous ? )-
@L’auteur,
Vous êtes « scientifique ». Biologiste. Pas climatologue.
Je jette un oeil à Bouzeux et à son votre « A propos ».
Rien, nada, donc on doit croire qui en fonction de quoi.
Voyons une peu de sérieux. SVP-
Avez proposer votre théorie à l’académie des sciences, à « Nature » ou à Science et Vie ?
Vous ont-ils appelé Bouzeux ? -
Oui le climat se réchauffe, comme sur bon nombre de planètes de notre système solaire.
Le soleil y est sans doute pour quelque chose, mais pas exclusivement.
Est ce que l’homme est responsable du réchauffement planétaire ?
Non !Que signifie la fonte de la périphérie des glaciers ? Que le climat se réchauffe assurément, mais paradoxalement aussi, que le cœur des glaciers se durcit, et que donc, la Terre s’oriente vers un nouvel âge glaciaire.
A quoi va servir la taxe carbone ? A enrichir plus encore les grandes banques internationales. Elle n’a pas d’autre dessein.
L’humanité ne pollue la planète que depuis quelques dizaines d’années, et n’a pas les moyens pétroliers (entre autre), de polluer au delà de la centaine d’années à venir.
Ces deux siècles maximum de pollution ne représentent rien dans la vie de la Terre et seront instantanément oubliés.Ce qui est à craindre réellement, c’est de savoir par quoi le pétrole sera t-il remplacé ? Un carburant plus polluant encore, ou quelque chose de plus propre ?
-
Diva,
2 remarques :
- Vous pouvez constater que l’auteur n’a pas réagi aux deux commentaires qui lui demandaient de se découvrir un peu plus dans son « A propos ». Ce qui prouve que ce n’est pas une personne mais bien un « groupe de soi-disant scientifiques qui sont sensés de nous vouloir du bien !!! ».
- Du côté du climat, c’est la tempérance qui disparait. Vous devez vous souvenir des tempêtes de 1999.
La tempérance, c’est assurer la vie aux meilleures conditions. Regardez le globe et là où les développements se sont développées au mieux.
La taxe carbone est un moyen d’équilibrer les déséquilibres dans le monde. Déséquilibres de productions et de consommations. Aucun moyen de solidarité n’a été suffisant entre les pays riches et pauvres pour renverser le mouvement de ségrégation entre riches et pauvres.
Je rappelle que c’est Wall Street qui donne les prix des matières premières et pas les pays producteurs et utilisateurs.
Que les banques privées soient les intermédiaires, possible. Tout dépend si les pays on garder des banques nationales ou non.
-« L’humanité ne pollue la planète que depuis quelques dizaines d’années, »
En fait, cela l’a été suite à la révolution industrielle Cela fait quelques bonnes dizaines d’années. Le pétrole a été le push qui a fait exploser les pays industrialisés.
Alors, que cette période de développement s’essouffle, le développement du durable que l’on appelle vert ou non, est le virage à ne pas rater.
Regardez ce qui se passe dans les pays en développements et vous comprendrez.
L’électricité est la seule énergie propre. Son seul défaut c’est qu’elle n’a pas encore de moyens de se conserver comme le pétrole pouvait le faire dans son bidon.
Le solaire et encore le solaire.
Le projet ITER va être réévaluer en coût et en temps. Mais c’est la solution au niveau mondial.
Fusion du deuterium et du tritium.
Le choix du confinement magnétique du Tokamak date de 1991.
Cadarache en fin 2006.
Projet qui dépasse les frontières.
Alors, la pollution dans les deux dernières centaines d’années seront oubliées. C’est vrai, si les matières composites parviennent à éviter la disparition des matières premières.
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON