Comme l’écrit l’auteur, l’UE dont la Commission est le bras armé, est l’outil des multinationales contre les citoyens, tout comme la BCE est l’arme de destruction des économies durement acquises, en diminuant leur valeur par l’inflation monétaire massive.
De la même manière que les banquiers centraux qui ne sont pas élus mais nommés, les ministres se réunissent pour prendre des décisions qui deviendront des Directives puis des lois nationales ratifiée obligatoirement par nos « représentants élus ».
Des Commissaires qui ne sont pas élus mais nommés, prennent des initiatives et des décisions en s’appuyant sur des rapports d’experts souvent rémunérés par les multinationales.
L’UE n’est pas démocratique, c’est le moins que l’on puisse écrire.
D’un autre côté, la France, sous régime présidentiel, n’est pas non plus une démocratie mais une dictature au sens littérale. Il est révélateur que des députés, élus nominativement par le peuple pour le représenter, soient qualifiés de « frondeurs » lorsqu’ils s’opposent à la dictature du gouvernement.
Sans même évoquer le fameux article 49.3 qui glisse un couteau sous la gorge des parlementaires.
« De l’argent ou du plomb ? » Quelle différence entre ceux qui gouvernent et la Mafia ?
Le projet de rendre obligatoire 11 vaccins contre des maladies infantiles en est un exemple.
Les citoyens doivent se défendre contre le totalitarisme, qu’il vienne de la l’UE ou d’ailleurs.
Rien n’empêche les labels « bio » indépendant de faire connaître aux consommateurs leurs propres exigences. Au consommateur de choisir s’il leur fait confiance ou non.
A moins qu’une directive ou une loi interdise bientôt les labels indépendants au nom du « terrorisme », heu.. je voulais écrire « de la concurrence » !