L’immigration, oui, mais jusqu’où est-elle assimilable ?
De tout temps, aussi loin que l'on remonte dans l'histoire, les peuples se sont déplacés, cherchant tous un Eldorado en lieu et place de leur terre de naissance, pensant, à tort ou à raison, que l'herbe y serait plus verte.
Si la volonté de découvrir d'autres monde permis aux grands explorateurs du 15ème et du 16ème siècle de découvrir de nouvelles contrées, les guerres et les colonisations qui s'en sont suivies, ont favorisé l'implantation de ces conquistadors venus d'ailleurs, drainant avec eux leurs connaissances mais également leurs mauvais penchants.
Des populations autochtones, faibles en population, furent vite soit décimées, soit vassalisées, ce qui eut pour conséquences des extinctions pures et simples et, encore aujourd'hui, certaines d'entre elles sont menacées, commes les Pygmés ou encore des tribues d'Amazonie.
En Europe, les phénomènes migratoires remontent à la nuit des temps car, même en des périodes reculées, les hommes avaient la possibilité de rejoindre l'extrême pointe de la Sibérie en partant du sud de l'Afrique, ce qui explique la diversité des populations actuelles sur le vieux continent.
Aujourd'hui, l'histoire a fait se créer des états, avec des limites de territoires en deçà desquelles, des lois propres aux habitants, ont été crées et s'appliquent. Cependant, chaque contrée est habitée de gens différents, aux us et coutumes qui leur sont propres, crées par leurs ancêtres au fil des siècles.
Qui peut se prévaloir aujourd'hui de remettre ces acquis en question, de les renier, de vouloir les faire disparaître par le simple fait d'une transposition de population parce qu'une poignée de personnes inconnue du grand public, effectue une partie d'échec avec les peuples comme simples pions ?
De tout temps, chaque pays a vu son intégrité menacée soit par des envahisseurs sanguinaires venus pour y chercher fortune à bon compte, soit par des transhumances organisées afin d'instaurer un état dans l'état, par communautarisme interposé.
Aujourd'hui, c'est cet état de fait que connaît l'Europe en général et la France en particulier, et ce qui en découle tende bien à démontrer les limites qui sont admissibles par les peuples concernés, comme en témoigne la dernière enquête IPSOS, dont les éléments recueillis sont sans appel.
Extraits :
Grande première, il est maintenant prouvé que les sentiments négatifs vis à vis de l’immigration ne sont pas du tout le fait des extrémistes de droite et des populistes, comme aiment à le répéter les tenants du politiquement correct et les censeurs.
Cela n’empêchera pas nos élites de service de continuer à le soutenir, ou de contester les résultats, mais au moins, vous êtes maintenant informé que vous n’êtes ni un pestiféré, ni un xénophobe honteux.
Si vous êtes d’extrême droite ou identitaire, sachez que la majorité de la population, qui n’a pas d’attirance pour le Front National, pense comme vous : « il y a trop d’immigrants en Europe ». Toute la question revient alors à ne pas franchir la ligne rouge du racisme.
Trop d’immigrants ne veut pas dire qu’ils doivent être traités comme une sous-race, mais absolument pas comme des privilégiés sociaux.
Question : « pensez-vous qu’il y a trop d’immigrants dans votre pays ? »
77% de la population belge affirment fortement que oui, ainsi que,
71% des anglais
67% des italiens
67% des espagnols
53% des allemands
52% des français
50% des hongrois
46% des suédois
Et, en confirmation de ce qui précède, seulement 29% des polonais, qui n’ont que 0.1% d’immigrés.
Premier constat : les immigrés sont majoritairement vécus comme une mauvaise nouvelle, la moyenne européenne étant 56%.
Second constat : ce n’est pas tant leur nombre que leur niveau d’intégration qui dérange. En France, il y a deux fois plus de musulmans que partout ailleurs en Europe. Pourtant c’est en Belgique et en Grande Bretagne, là où ils refusent le plus vigoureusement l’intégration, qu’ils sont le moins bien perçus.
Je me contenterai des quelques phrases ci-dessus pour étayer mes dires, laissant le soin à ceux que cela inéressera, d'ouvrir le lien cité en annexe.
"Qui trop embrasse, mal étreint", dit-on et l'immigration c'est comme les bonnes choses, "il ne faut pas en abuser sans quoi on risque de s'en lasser"...
Je n'entrais pas dans la polémique de savoir ce que coûte une immigration incontrôlée car incontrôlable, non, je ne veux que faire prendre conscience à ceux qui réfutent les évidences qu'il arrive un moment où il faut savoir dire " STOP"... !!!
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