Référendum sur le Traité de Lisbonne : les Irlandais sur la voie du Non !
Selon les derniers sondages publiés en Irlande, le "non" au Traité de Lisbonne serait en passe de l’emporter par 35 %, contre 30 % au "oui". 28 % des personnes interrogées continueraient à se montrer indécis dans une campagne très suivie puisque 7 % seulement des électeurs auraient l’intention de ne pas participer au vote.
Les raisons du Non
Ce n’est pas l’unique raison, mais ce refus agrège un grand nombre de mécontents qui s’inquiètent par ailleurs que s’ils votent oui, "l’UE pourra acquérir de nouvelles compétences sans négocier un nouveau traité", ce qui est comparé à un "chèque en blanc".
Du Sinn Fein à l’extrême droite en passant par certains écologistes
Les autres raisons seraient le rejet des taxes sur les entreprises, la défense d’une Europe des Etats nations indépendants ou encore la perte de pouvoir puisque "l’Irlande ne pourra plus décider qui sera le commissaire irlandais". Enfin, ils craignent l’abandon du principe de subsidiarité qui ferait que toute la législation européenne primerait sur la constitution irlandaise. Parmi les soutiens du "non", Touteleurope.fr note "la présence du parti nationaliste Sinn Féin (’Nous-mêmes’). Mais d’autres groupes se sont rangés à cette cause : l’extrême droite anti-avortement, certains Verts, et ceux qui affirment que le traité est trop difficile à comprendre, mais qui donnent des arguments contre".
Des deux côtés, la campagne de communication bat son plein, maniant alternativement les sentiments de peur et l’humour. A moins d’une semaine du vote, les partisans du traité tentent de refaire le chemin perdu. Il leur reste une marge de manœuvre : partir à la conquête des indécis. En France, les tenants du Non se prennent à espérer une gifle pour ceux qui ont voulu passer outre les référendums français et hollandais. Si l’Irlande vote Non dimanche, il ne restera plus aux dirigeants des pays qu’à imaginer un hypothétique plan B.
LYonenEurope
36 réactions à cet article
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Article intéressant.
Nous avons cru que notre vote aurait une influence, au moins certains. Les irlandais ne peuvent pas se faire d’illusions : ils ne sont consultés que pour la forme et parce qu’il était certain qu’ils allaient dire oui.
Ce TCE devient vraiment rigolo. Pour construire l’UE, on devrait interdire de consulter les peuples, ce serait plus simple. Elle n’est pas faite pour eux.
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... le dernier autorisé donne le OUI devant, mais il y a tellement d’indécis que ça ne veut rien dire...
Mais au final, est-ce qu’un NON changera quelque chose ???
Référendum en Irlande - Le "non" passe en tête. Et alors ? -
... d’autant plus que ne pas être d’accord avec le contenu du traité de Lisbonne ne peut être qu’une preuve d’ignorance, de "méconnaissance du traité"...
Pas de doute : on fera notre bonheur malgrès nous, de force s’il le faut !
Quand à trouver celà amusant ... Il faut sans doute beaucoup de détachement pour trouver de l’amusement à se voir soi-même dans un miroir, en train de se faire empaffer.
Cordialement Thierry
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Un rejet par l’Irlande polariserait tous les opposants partout dans l’UE. Ne serait-il pas singulier de voir arriver à l’Assemblé europenne une majorité de députés s’opposant à l’Europe telle que planifiée. Il faut repenser l’Europe et mettre la BCE sous contrôle politique.
Pierre JC Allard
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Si nous voulons que les peuples d’Europe aient autre chose pour les diriger qu’une espèce de nouvelle URSS (pour l’administration et l’opacité) ultra-libérale, il faudra commencer par exiger le contrôle de la banque européenne par des représentants ELUS du peuple.
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Le PS et l’UMP, par la voix de Kouchner ont déjà fait savoir qu’il se fichaient du vote des irlandais et qu’ils les feraient revoter jusqu’à ce qu’ils votent oui. C’est cela la nouvelle URSS vers laquelle nous avançons à grands pas.
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Bonjour,
Exactement, on peut parler de néo-URSS. Et je le pense très franchement depuis un moment...
Ah et je félicite le formidable travail de suggestion de nos élus : faire passer un amas de presque 300 pages pour un mini traité simplifié, c’est de l’houdinisme politique
Cordialement
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Bonjour Roman
Vous n’allez pas me croire, le pourcentage, à l’heure où j’écris, après avoir voté ( 0% contre, 100% pour ) est sensiblement le même que celui auquel correspond le poids de l’Irlande sur l’Europe entière . Cinq millions d’Irlandais ne représentent qu’un petit % des quatre cent quatre vingt quinze millions d’européens qui représentent l’ensemble des quatre vingt dix neuf autres % de l’Union Européenne...Ce grain de sable populaire, qui suffit à enrayer la machine infernale de la Puissante Autorité.
Un autre chiffre semblable, quatre vingt dix neuf % des tibétains refuseraient la colonisation chinoise.
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Afin de mettre un terme à cette "fuite en avant" insensée que nous proposent gouvernements et institutions européennes, il ne reste guère que l’espoir d’un vote NON des Irlandais.
Quelle erreur de leur part ! Demander leur avis aux citoyens ..... Les autres gouvernements ont été plus "sages", ils ont passé outre leurs opinions publiques et fait voter les "élites". Evidemment, celles ci se rappellent toujours qui les engraisse.
Dernière chance, donc ;
Please, vote NO !
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http://leweb2zero.tv/video/amilton_22483acb2e5a0c8
Les promesses ou déclarations politiques n’engagent que ceux qui les écoutent. Quand je pense que ce guignol corrompu va devenir le président de l’Europe... Les Français ont voté NON pour le traité (qui est identique sur le fond au Traité de Lisbonne) mais $arkozy préfère passer outre la démocratie ou la volonté du peuple, et imposer un peu plus le néo-libéralisme désiré par les traîtres au pouvoir qui nous avilissent, nous rétrogradent au rang de simples entités biologiques qui travaillent, consomment et payent leurs taxes. Nous n’avons plus notre mot à dire ! $arko ne voulait pas être Président de l’Europe et incarner aussi le Président d’un pays qui a refusé le traité. Notre situation, notre qualité de vie, nos conditions se dégradent ; réveillons-nous et levons-nous avant le point de non retour...
PEACE
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@ Gilles Roman
Sachant que le prétendu " traité simplifié " ou traité de Lisbonne , est quasiment le même que le TCE , un Non irlandais ferait que 100 % des peuples consultés sur le TCE auront dit non !
C’est là qu’on voit l’immense fossé qui existe entre les peuples et ceux qui sont censés les représenter !
Allez , citoyens de la République d’Irlande ! Dites non à cette infamie eurofasciste et ploutocratique , contre laquelle vous êtes le dernier rempart ! Montrez le chemin à tous les peuples d’Europe , et défendez magnifiquement la liberté , comme vous avez toujours su le faire ! Sinon , le 13 juin , il sera trop tard ...
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Euh... les Espagnols et les Luxembourgeois ont voté Oui au TCE. OK, "On" avait oublié de signaler la partie 3 aux Espagnols et il y a eu une abstention record mais ils ont bel et bien voté oui. Et suite aux non français et hollandais et malgré le oui luxembourgeois, nos amis eurocrates ont préféré arrêter le bal des référendums où ils risquaient de se prendre d’autres non. Le mot risquer n’est d’ailleurs peut-être pas adéquat : en Grande-Bretagne, cela aurait été stupéfiant qu’ils votent oui.
Par contre, concernant le traité de Lisbonne, les Irlandais constituent bien 100% des citoyens qui auront leur mot à dire. Mais ne vous faites pas d’illusion, le Parlement européen a déjà voté une résolution indiquant qu’il ne respecterait pas un non irlandais. C’est vous dire à quel point l’UE a une culture démocratique...
Que faut-il faire pour sortir de cette situation ?
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J’ai pas répondu au commentaire
5 pays ont votés :
3 contre France Pays Bas et Irlande
2 pour L’Espagne et le Luxembourg
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L’URSS était gouvernée par 15 personnes non élues qui se cooptaient et n’avaient à répondre de leurs actes à personne.
- L’UE est gouvernée par deux douzaines de personnes qui se cooptent, se réunissent en secrêt, ne répondent de leurs actes à personne et ne sont pas limogeables
- L’URSS avait une espèce de parlement, le Soviet Suprême, qui avalisait les décisions du Politburo
- L’UE a un parlement élu où le temps de parole est rationné à une minute par intervenant et qui ne fait qu’avaliser les décisions du Conseil
- L’URSS avait une Nomenklatura de privilégiés
- L’UE possède des centaines d’Eurocrates avec des salaires énormes, du personnel, des larbins, des bonus et des privilèges, une immunité à vie et qui sont transférés d’un poste à l’autre sans tenir aucun compte de la qualité de leur action et de leur travail
- L’URSS fut créée par la contrainte et généralement avec le concours des forces armées
- L’UE est créée par la contrainte, certes pas avec le concours de forces armées, mais par la terreur économique
- L’URSS pour continuer d’exister pronait la révolution mondiale et tentait de s’étendre toujours plus loin. Lorsqu’elle a cessé de s’étendre, elle a commencé à s’écrouler
- L’UE prone la révolution mondiale du libéralisme et tente de s’étendre le plus loin possible jusqu’en Turquie même et peut être au-delà (Israel ?) et on peut espérer que lorsqu’elle ne s’étendra plus, elle s’écroulera sur elle-même
- Le but de l’URSS était de créer une nouvelle entité historique, le peuple soviétique. Il fallait oublier les nationalités, les traditions et les coutûmes
- L’UE prêche que vous abandonniez votre nationalité, que vous ne soyez plus français, ni allemands, ni anglais, elle veut créer une nouvelle entité, les européens, réprimer vos sentiments nationalistes et vous forcer à vivre en communauté multinationale. C’est le but suprême de l’immigration incontrôlée.
- Un des buts grandioses de l’URSS était la destruction des états-nations.
- L’un des buts grandioses de l’UE est la destruction des Etats-nations
- L’URSS était connu pour être un régime antidémocratique
- L’UE est un régime antidémocratique et ceux qui s’y opposent ou le dénoncent sont baillonés, diabolisés ou punis
- En URSS, il y avait le Goulag
- En UE aussi mais il s’agit d’un goulag intellectuel nommé politiquement correct. Essayez de dire ce que vous pensez sur la race ou la sexualité ou la tribalisation de la société ou l’instrumentalisation des mass-médias (édition, presse, télévision, cinéma, etc..) par un groupe ethnico-religieux ou si vos opinions divergent du cadre défini et admis comme correct et vous serez ostracisés. C’est en cela qu’existe le goulag intellectuel dont les exemples les plus connus, C’est le commencement de la perte de votre liberté.
- En URSS, ils considéraient que seul un Etat fédéral éviterait la guerre.
- En UE, ils nous disent exactement la même chose. alors que ce n’est pas l’europe qui a fait la paix mais la paix qui a fait l’europe.
- C’est la même idéologie qui prime dans les deux systèmes. L’UE est le vieux modèle soviétique habillée à l’occidental.-
Tout à fait juste, et en plus l’UE a à subir l’OMC, elle...
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Illustration :
Voilà l’« économie communiste de marché »
Article paru dans l’édition du 25.01.08, le MondePrenez le pire du capitalisme et le pire du communisme, vous comprendrez quel cours est en train de prendre la globalisationLa Cour de justice européenne détient une part essentielle du pouvoir législatif dans l’Union. A la différence de nos juridictions, elle statue pour l’avenir par disposition générale et à l’égard de tous, comme la loi elle-même. Par deux arrêts, capitaux pour le devenir de « l’Europe sociale », elle vient de trancher la question de savoir si les syndicats ont le droit d’agir contre des entreprises qui utilisent les libertés économiques garanties par le traité de Rome pour abaisser les salaires ou les conditions de travail.Dans l’affaire Viking, une compagnie finlandaise de navigation souhaitait faire passer l’un de ses ferrys sous pavillon de complaisance estonien, afin de le soustraire à la convention collective finlandaise. L’affaire Laval concernait une société de construction lettonne, qui employait en Suède des salariés lettons et refusait d’adhérer à la convention collective suédoise. Dans les deux cas, les syndicats avaient recouru à la grève pour obtenir le respect de ces conventions, et la Cour était interrogée sur la licéité de ces grèves.Le droit de grève étant explicitement exclu du champ des compétences sociales communautaires, un juge européen respectueux de la lettre des traités se serait déclaré incompétent. Mais la Cour juge depuis longtemps que rien en droit interne ne doit échapper à l’empire des libertés économiques dont elle est la gardienne. Elle s’est donc reconnue compétente. L’arrêt Laval interdit aux syndicats d’agir contre les entreprises qui refusent d’appliquer à leurs salariés détachés dans un autre pays les conventions collectives applicables dans ce pays. Au motif qu’une directive de 1996 accorde à ces salariés une protection sociale minimale, la Cour décide qu’une action collective visant à obtenir, non pas seulement le respect de ce minimum, mais l’égalité de traitement avec les travailleurs de cet Etat, constitue une entrave injustifiée à la libre prestation de services.L’arrêt Viking affirme que le droit de recourir à des pavillons de complaisance procède de la liberté d’établissement garantie par le droit communautaire. Il en déduit que la lutte des syndicats contre ces pavillons est de nature à porter atteinte à cette liberté fondamentale. La Cour reconnaît certes que le droit de grève fait « partie intégrante des principes généraux du droit communautaire ». Mais elle interdit de s’en servir pour obliger les entreprises d’un pays A qui opèrent dans un pays B à respecter l’intégralité des lois et conventions collectives de ce pays B. Sauf « raison impérieuse d’intérêt général », dont la Cour se déclare seule juge, les syndicats ne doivent rien faire qui serait « susceptible de rendre moins attrayant, voire plus difficile » le recours aux délocalisations ou aux pavillons de complaisance.Cette jurisprudence jette une lumière crue sur le cours pris par le droit communautaire. Il échappait déjà à peu près complètement aux citoyens, tant en raison de l’absence de véritable scrutin à l’échelle européenne que de la capacité des Etats à contourner les résistances électorales lorsqu’elles s’expriment dans des référendums nationaux. L’apport des arrêts Laval et Viking est de le mettre également à l’abri de l’action syndicale. A cette fin, les règles du commerce sont déclarées applicables aux syndicats, au mépris du principe de « libre exercice du droit syndical », tel que garanti par la convention 87 de l’Organisation internationale du travail (OIT).Le droit de grève et la liberté syndicale sont le propre des vraies démocraties, dans lesquelles l’évolution du droit n’est pas seulement imposée d’en haut, mais vient aussi d’en bas, de la confrontation des intérêts des employeurs et des salariés. Le blocage progressif de tous les mécanismes politiques et sociaux susceptibles de métaboliser les ressources de la violence sociale ne pourra bien sûr engendrer à terme que de la violence, mais ce sont les Etats membres et non les institutions communautaires qui devront y faire face.L’Europe est ainsi en passe de réaliser les projets constitutionnels de l’un des pères du fondamentalisme économique contemporain : Friedrich Hayek. Hayek a développé dans son oeuvre le projet d’une « démocratie limitée », dans laquelle la répartition du travail et des richesses, de même que la monnaie, seraient soustraites à la décision politique et aux aléas électoraux. Il vouait une véritable haine au syndicalisme et plus généralement à toutes les institutions fondées sur la solidarité, car il y voyait la résurgence de « l’idée atavique de justice distributive », qui ne peut conduire qu’à la ruine de « l’ordre spontané du marché » fondé sur la vérité des prix et la recherche du gain individuel. Ne croyant pas à « l’acteur rationnel » en économie, il se fiait à la sélection naturelle des règles et pratiques, par la mise en concurrence des droits et des cultures à l’échelle internationale. Cette faveur pour le darwinisme normatif et cette défiance pour les solidarités syndicales se retrouvent dans les arrêts Laval et Viking.Le succès des idées de « démocratie limitée » et de « marché des produits législatifs » doit moins toutefois aux théories économiques, qu’à la conversion de l’Europe de l’Est et de la Chine à l’économie de marché. Avec leur arrogance habituelle, les Occidentaux ont vu dans ces événements, et l’élargissement de l’Union qui en a résulté, la victoire finale de leur modèle de société, alors qu’ils ont donné le jour à ce que les dirigeants chinois appellent aujourd’hui « l’économie communiste de marché ».On aurait tort de ne pas prendre au sérieux cette notion d’allure baroque, car elle éclaire le cours pris par la globalisation. Edifié sur la base de ce que le capitalisme et le communisme avaient en commun (l’économisme et l’universalisme abstrait), ce système hybride emprunte au marché la compétition de tous contre tous, le libre-échange et la maximisation des utilités individuelles, et au communisme la « démocratie limitée », l’instrumentalisation du droit, l’obsession de la quantification et la déconnection totale du sort des dirigeants et des dirigés. Il offre aux classes dirigeantes la possibilité de s’enrichir de façon colossale (ce que ne permettait pas le communisme) tout en se désolidarisant du sort des classes moyennes et populaires (ce que ne permettait pas la démocratie politique ou sociale des Etats-providence). Une nouvelle nomenklatura, qui doit une bonne part de sa fortune soudaine à la privatisation des biens publics, use ainsi de la libéralisation des marchés pour s’exonérer du financement des systèmes de solidarité nationaux.Cette « sécession des élites » (selon l’heureuse expression de Christopher Lasch) est conduite par un nouveau type de dirigeants (hauts fonctionnaires, anciens responsables communistes, militants maoïstes reconvertis dans les affaires) qui n’ont plus grand-chose à voir avec l’entrepreneur capitaliste traditionnel. Leur ligne de conduite a été exprimée il y a peu avec beaucoup de franchise et de clarté par l’un d’entre eux : il faut « défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance ». En tête de ce programme figuraient « l’établissement de la démocratie la plus large (...), la liberté de la presse et son indépendance à l’égard des puissances d’argent, (...) l’instauration d’une véritable démocratie économique et sociale, impliquant l’éviction des grandes féodalités économiques et financières de la direction de l’économie, (...) la reconstitution, dans ses libertés traditionnelles, d’un syndicalisme indépendant ». Rien de tout cela n’est en effet compatible avec l’économie communiste de marché.Alain Supiot
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Voici ce que dit de l’UE Vladimir Boukovsky, ancien dissident soviétique, qui a fait des années de Goulag :
http://fr.youtube.com/watch?v=rNj5iCU5mLg&eurl=http://eso-news.blogspot.com/
Malqp l’a a peu près retranscrit dans son commentaire plus haut. Je résume : l’UE imite l’URSS. Boukovsky finit par cet avertissement : "J’ai vécu dans votre futur et ça ne marchait pas."
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Si les Irlandais votent NON se sera un NON pour préserver leur statut concernant le dumping fiscal des entreprises, plus simplement pour une UE libérale.
Les Français ont voter NON contre l’Europe libérale.
Tout le monde est d’accord pour voter NON, et uniquement ça.
Y a un truc de pourri en UE et pas seulement à Bruxelle.
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Je suis allé en Irlande, j’avais quinze ans. L’on m’a appris à dire : bonjour, quelle heure est il, s’il vous plait... ...merci. Je n’ai bien sûr pas appris à l’écrire, mais en texto ça donnerait : Goménechkel, ken tao mé, moshéda halé... ...goref mahagott... ! Evidemment, les irlandais me répondaient sans que j’en apprenne plus sur l’heure qu’il était, mais me comprenaient très bien. Je voudrais leur dire aujourd’hui, à l’heure d’accrocher le dernier wagon au train de la mondialisation qui ne dit pas son nom, mais tente de se faire appeler " traité modifié européen " ô combien je les encourage à dire " NON " . Merci.
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Sauvé par les Irlandais ? (même pour de mauvaises raisons)
Briits out of Ireland ! ...
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Pardon : britts ouf of Ireland !
De toutes façons, un peuple qui n’a cessé de lutter contre les anglais, ne peut pas être mauvais.....
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c’est la zizanie chez les lutins si ceux d’irlande qui enterrent les chaudrons remplis d’euros au pied des arcs en ciel veulent pas faire plaisir à notre nabot !
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En voilà un qui n’a pas vendu son âme au Diable. Et qui n’a pas obtenu les 500 signatures pour la Présidentielle 2007. Bizarre... Ses idées pragmatiques dérangeraient-elles ?
http://www.youtube.com/watch?v=41gbfnYHZzE
http://www.youtube.com/watch?v=ehYUxe2usOY
http://www.youtube.com/watch?v=hHmYpD6Mc0c
Ici la déontologie face à la censure et l’omerta...
http://www.youtube.com/watch?v=NHVVrer1Xa0
Version non censurée :
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C’est simplement que personne n’a le droit de faire de l’ombre au Grand Timonnier de l’UMP, et maintenant de la France, sous peine de mort politique. Nicolas Dupont-Aignan, Azouz Begag ou même Dominique de Villepin en font l’amère expérience.
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Et nous, c’est quand qu’on vote pour le traité européen ?...
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Tiens bon fière peuple Irlandais !
Ta culture n’est pas la mienne mais cette difference est toute sa richesse et je l’admire justement pour cela.
Mort au rouleau compresseur Bruxellois
Mort a la dictature oligarchique de la CEE
Mort aux dictateurs qui ont crachés sur notre vote de 2005
Cela se payera ! Et cela pourrait commencer grace aux Irlandais !
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Gül 13 juin 2008 21:37Slancha Va(Slainte Mhath) ! *
Que la Guinness, la Kilkenny et le Jameson coulent à flots !
* : (autrement dit pour les non initiés : A votre santé !)
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Bon, ils ont déjà dit que en cas de NON, Ils se passeraient de leur avis....
Certes ...
mais ça va quand même en perçer un deuxième trou du cul à quelques uns, et au ciseau de brodeuse !
L’europe des élites contre le peuple, qui ne votent non "que pour des mauvaises raisons que parce qu’ils ont pas compris la chance magnifique de ce TCE2" - ils vont sortir les rames pour expliquer ça encore une fois !
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A l’ex "Dany le rouge" VRP de l’Europe sarkosiene ?
On ne présente plus Daniel Cohn-Bendit le personnage qui s’est fait connaître comme l’un des animateurs du soulèvement de mai 68 à Paris.
J’ai eu c’est vrai de la sympathie pour ce Dany pourtant présenté comme très sulfureux durant toute la période troublée de mai 68 ou il joua un rôle important ! Sans aucun doute le fait qu’il soit né montalbanais a joué en sa faveur pour la bonne raison que je suis moi-même né non loin de là en Quercy, mais un paquet d’années avant lui ! Autre détail important, ses parents juifs allemands avaient trouvé refuge à Montauban lors de l’arrivée du nazisme.
A 14 ans il a choisi la nationalité allemande et il faisait ses études en France lors des événements de 1968. Jugé dangereux il fut interdit de séjour en France par le pouvoir de l’époque quant à son parcours il peut être qualifié de limpide ! Le révolutionnaire après avoir sommeillé en crèche s’est finalement trouvé un cocon confortable offert par le système capitaliste européen... Mais voila que récemment il s’agite dans le quotidien "le Monde " il fustige nos voisins irlandais qui menacent de dire non à l’Europe sarkosiene appelée aussi l’Europe du fric ! Et nous prenant pour des crétins il en remet une couche avec une affirmation choc qui tombe un peu à plat :
" On est dans des sociétés à logique égoïste"
Quelle belle découverte monsieur de la Palisse ! Il faudrait vivre avec des lunettes en cuir pour ne pas s’en apercevoir ou alors fumer de la moquette et être totalement déconnectés, ou encore vivre bien loin des tracas, supplémentaires, que nous apporte cette Europe bancale et bancaire qui génère une nouvelle aristocratie pléthorique en plus de tous nos hobereaux nationaux. Mais il se peut fort bien que depuis les instances européennes votre appréciation de la situation ne soit pas la même que celle des peuples que l’on n’a pas eu le courage de consulter
Pensez-vous sincèrement que l’on puisse vivre heureux et confiants dans la boutique Europe actuelle ou tout risque d’être nivelé par le bas ?
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j’approuve le commentaire d’autant plus que le monsieur s’est contenté de ne pas nous répondre quand nous l’avons prié de nous inviter au parlement de Strasbourg pour une demande citoyenne...
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Et voilà, c’est non... et visiblement dans les grandes largeurs !
Cette Europe là, son peuple n’en veut pas.
Etonnant non !
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Je suis content du non irlandais bien que je sois pour une europe donc pour un traité.
Pourquoi car il n’y a pas eu de référendume en France ! On voulait nous imposer un traité que les politiciens trouvaient tous bien ( pour eux ) mais il y a tellement de différence entre ce que le peuple veut.
Le parlement dit OUI
Le peuple dit NON
Pour obliger à dire OUI on dit au peuple Tait toi ! Ne vote pas ! Tu n’es pas assez intelligent ! C’est ce qu’a fait Sarko le démocrate.
Heureusement que l’Irelande a fait un référendum ! Bravo C’est elle qui sauve l’europe.
Peut être le prochain traité sera plus simple : Type on vote les décideur et on on décide par décisions qui tombe par les copains des politiciens pour leur bien être. Je dit n’importe quoi mais est ce si loin de la vérité.
Il faut que le peuple se réapproprie le pouvoir il faut que la démocratie reviennent en europe !
Merci IRLANDE tu sauve la démocratie
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5 peuple ont votés :
3 contre France Pays Bas et Irlande
2 pour L’Espagne et le Luxembourg
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