Anomalie Baltique, un Stonehenge sous-marin ?
Eté 2011, mer Baltique
Une équipe de recherche menée par le chasseur de trésor Peter Lindberg tombe sur une étrange trace sonar : un objet d’une soixantaine de mètres de diamètre gît par 90m de fond.
Il a tout du Millenium Falcon de Han Solo dans Star Wars… et l’image sonar semble en plus montrer une sorte de traînée longue de 300m partant sur la droite de l’objet, comme la trace d’un atterrissage forcé…
Printemps 2012, même endroit
Une expédition est montée pour explorer cet objet de plus près. Dès le 1 juin, l’équipe de Lindberg sur le navire Ocean Xplorer a passé 12 jours à observer l’objet avec plongeurs et robots sous-marins. Nous n’avons pas encore accès aux photos et vidéos tournée sur place, qui sont actuellement analysée par les chercheurs. Mais Lindberg a néanmoins dévoilé quelques informations à la chaîne Fox News.
Selon lui, l’objet n’est pas en métal mais constitué de roc. Cela pourrait donc tout simplement être une formation naturelle, apparue sur place ou amenée là par d’anciens processus géologiques ou glaciaires. – d’autant que gisent à proximité de l’objet plusieurs autres pierres de même nature que l’objet principal.
Mais.
L’objet n’est pas recouvert de sédiments. A moins de courants forts balayant cet endroit, cela est difficilement explicable pour une formation rocheuse posée là depuis des milliers ou millions d’années. Ou alors la formation est en fait très récente, peut être les prémisses d’un nouveau volcan surgissant du fond marin. Ou une météorite.
Lindberg ajoute un détail surprenant : la surface de l’objet est constituée de lignes et de rectangles, avec également des arêtes rectilignes. Encore plus surprenant, l’objet semble reposer sur un pilier d’environ huit mètres de haut. Pourrait-il s’agir d’une forme d’éruption “gelée” en plein essor, par exemple par une calotte glaciaire ? Mais cela n’expliquerait pas les éléments géométriques entrevus par les chercheurs. Les conditions d’exploration semblent par ailleurs très difficiles, avec une visibilité de seulement un mètre au fond et la nécessite de se mouvoir très lentement afin de ne pas créer de nuages de sédiments qui réduiraient encore le champ de vision, des plongeurs comme des caméras.
Toujours selon Lindberg, des échantillons de roche ont été remontés. La surface de l’objet est craquelée et les interstices remplis d’une matière noire qui reste à identifier.
Evidemment les spéculations vont bon train. Est-il envisageable, par exemple, qu’un vaisseau E.T. soit fait de pierre plutôt que de métal ? Un ancien site de type Stonehenge recouvert par la mer ? L’attente est grande des résultats de cette exploration, qui ne devraient pas tarder à être publiés. Sauf si l’information s’avère trop explosive…
Le blog Truthfall.com semble avoir accès à des informations un peu plus complètes, et publie notamment ces images : une vue sonar 3D, et une impression d’artiste de ce qui se trouve au fond de la Baltique :
Tourjours selon Truthfall, l’objet auraient en outres les caractéristiques suivantes :
- 180 m de circonférence
- Surface externe circulaire composée de plaques
- Objet en forme de champignon avec un pied de 8m et une corolle de 4m d’épaisseur
- Des cavités internes qui pourrait être des couloirs
- Par endroit, des surfaces droite et sans aspérités, avec de nombreux angles droits
- Des formations géométriques à la surface de l’objet
- Des petites “perles” de pierre noire, comme carbonisée, d’une dizaine de centimètres de diamètre
- Un objet circulaire de 4 m de diamètre situé en haut du “massif”, surnommé “la meringue”
- Un trou de 25 cm de diamètre en haut du massif, semblant pénétrer à l’intérieur
- Le massif est positionné dans la partie basse d’une pente douce longue d’un kilomètre, dont la nature semble différente (plus friable) que l’objet lui-même. Pente qui, comme l’objet, ressemblent beaucoup plus à une réalisation intelligente qu’à un artéfact naturel.
Un second objet à été identifié à 200 m du premier, encore inexploré mais ayant, au sonar, la forme d’une ouverture gothique. Une troisième expédition est désormais prévue pour la fin juillet, comme quoi Lindberg et ses sponsors pensent vraiment être tombés sur quelque chose d’assez extraordinaire.
Vu la masse de “l’anomalie Baltique” et ses caractéristiques visibles, une structure volante semble très peu probable mais l’hypothèse d’un Stonehenge sous-marin est certainement consolidée. D’autant que l’endroit semble doté de propriétés magnétiques bizarres : les chercheurs ont connus de nombreuses pannes d’équipement à proximité immédiate de l’objet. En surface, au-dessus du massif le téléphone satellite ne fonctionnait plus, pour se remettre à fonctionner normalement à quelques mètres de distance.
On trouve quelques images supplémentaires et une interview de Lindberg sur le site http://www.oceanexplorer.se ainsi que ce teaser :
Suspense…
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