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Darfour, vers la nouvelle Arche d’Obama ? 2/3

Politique du Soudan

Les politiques soudanaises sont d’une complexité quasi inextricable même pour les soudanais. Les derniers développements n’en facilitent pas la lecture.

Les pouvoirs successifs à Khartoum subissent historiquement des rivalités chroniques sur fond ethnique et affairiste, situation peu favorable à la cohérence politique. Omar el Béchir a hérité d’une situation complexe aux racines ethniques, économiques et culturelles bien antérieures à son arrivée au pouvoir.

Y interviennent des liens familiaux, des alliances politiques éphémères entre tous les principaux leaders soudanais depuis des décennies, alliances souvent dénoncées parfois dans la violence et le coup d’état. Liens entre Islam traditionnel et progressiste, partenariats économiques locaux et finance internationale. Bref une variété telle qu’il serait simpliste de coller toute la responsabilité actuelle des conflits soudanais sur les seules épaules de son président plus opportuniste qu’islamiste.

Les forces en présence

Le Mouvement pour la Justice et l’Egalité (JEM en anglais) de Khalil Ibrahim est un mouvement rebelle islamiste né au sein de la tribu des Zaghawas. Ses hommes sont majoritairement issus de cette ethnie, mais comme le mouvement se veut islamiste, il ratisse plus large et attire d’autres membres. Malgré son démenti au kidnapping et à l’exécution des otages chinois le 18 octobre 2008, le porte parole du mouvement Taher-el Faki depuis Londres, reconnaît : "Nous avons des forces dans la région, nous avons le soutien des gens là-bas. Certains parmi les Messiria nous sont affiliés. Certains d’entre eux peuvent entreprendre des actions, mais pas au nom du JEM". Selon Sudan Tribune du 19 décembre 2008, lors de leur arrestation par les forces soudanaises les kidnappeurs des Chinois et leur chef se sont réclamés du JEM. 

Cela sous-entend la collaboration entre le mouvement rebelle islamiste du Darfour à majorité noire et des membres de la tribu arabe du Kordofan soupçonnée d’être à l’origine de la mort des Chinois. Rien d’étonnant que se tissent des liens entre islamistes sans connotation ethnique, la communauté des croyants, l’umma, prévaut aux différences tribales.  

Qui arme ce mouvement islamiste ? Et peut-il organiser seul la logistique du raid sur Khartoum en mai 2008, avec un nombre considérable de véhicules, le carburant, les armes et les munitions ? Hassan al Tourabi, qui dément tout lien effectif avec le JEM, mais seulement une concordance d’objectifs, malgré sa fortune personnelle, ne peut en aucun cas être l’unique financier de ce coup d’éclat.

Si quelques membres de la tribu des Messirias du Centre Kordofan ont pu agir pour leur propre compte afin d’obtenir une rançon, ou des bénéfices secondaires des Chinois ou de Khartoum lors d’une opération légère, le commando sur Khartoum a demandé une logistique et une organisation telle qu’un support extérieur semble probable.

Le Mouvement de Libération du Soudan MLS est le second mouvement rebelle du Darfour par son importance. Son principal leader Abdel Wahed Mohammad Ahmed Nour réside actuellement en France. Il y jouit de l’asile politique. La laïcité dont il s’affuble est discutable et répond à une posture composée sur mesure pour l’Occident. La présence d’enfants en grand nombre dans ses troupes n’incite pas à considérer le MSL comme un mouvement d’opposition idéale.  

Il est aisé de remarquer dans les déclarations de ce leader « indépendant » une très forte inspiration quasi dictée par les responsables du collectif Urgence Darfour allant jusqu’à employer mot à mot leur dialectique. La rencontre d’homme à homme entre Obama et Abdel Wahed ne manquera pas de sel. Face au petit homme isolé sans programme ni troupes ; le charismatique éloquent, l’intellectuel stratège de haut vol risque vite de faire le choix des islamistes organisés du JEM plutôt que des rebelles désunis.

Enfin, son refus de négocier avec le « génocidaire » de Khartoum risque vite de le mettre en porte-à-faux avec les autorités françaises qui l’hébergent.

Le SPLA/M et le Sud Soudan. Il faut souligner le peu d’empressement du deuxième homme du Soudan, Salva Kir, un sudiste, à soutenir la rébellion de l’ouest du fait du contentieux qui opposa les Dinkas, son ethnie, aux milices venues du Darfour et du Kordofan lors des guerres entre le Nord et le Sud Soudan. Les sudistes partagent le pouvoir à 50/50 depuis quatre ans avec Khartoum et n’entendent pas le sous-partager avec leurs ennemis héréditaires.

Dans ce conflit, Salva Kir joue pleinement son rôle de vice-président malgré les nombreux points qui l’opposent au gouvernement. C’est même lui qui a organisé la défense de Khartoum lors de l’attaque du JEM en mai 2008, suppléant l’armée régulière, peu motivée, par des forces spéciales plus fidèles au pouvoir. Les milices. Tous les Arabes du Darfour ne sont pas jenjawids et tous les jenjawids ne sont pas arabes. L’opinion internationale commit une erreur en exploitant l’expression sexy : « jenjawid » et sa traduction : les cavaliers du diable. Les vrais jenjawids ne s’apparentent à aucune tribu, ils viennent de tous horizons avec autant de couleurs de peaux. Khartoum eut beau jeu de réfuter des liens effectivement nuls avec ces criminels sans foi ni loi qui vivent d’un banditisme sanguinaire et séculaire dans la région, d’authentiques barbares que rien ne lie ethniquement ni culturellement à la vallée du Nil. Les principaux auteurs de massacres sont des milices militaires et para-militaires intégrées depuis peu. L’armée y a soudoyé par obligation et intérêt de nombreux nomades arabes pauvres gavés de promesses aujourd’hui déçues.
Les Arabes ont aussi des familles et ne vivent pas dans l’opulence des émirats comme le suggèrent les tribunes de Save Darfur. Comme leurs voisins éleveurs ou paysans, ils ne connaissent ni l’école, ni l’eau saine, la médecine et la démocratie. Le milicien de base, souvent sans terres, n’a pour seule propriété que son cheval et son arme. Le premier facteur de leur faiblesse reste le sous-développement régional.

 

Acteurs internationaux

La France

Quel rôle joue la France en soutenant le président tchadien, et quel est son intérêt à rivaliser avec les Etats-Unis dans leur croisade contre le gouvernement soudanais ? Au temps de Mitterrand et de Chirac, Paris affichait plutôt une neutralité bienveillante, nourrie de contrats commerciaux et de coopération policière.

La convergence de vue entre Nicolas Sarkozy et les Etats-Unis pourrait cependant atteindre ses limites si les intérêts de Total la plus grande concession pétrolière du pays, et d’autres importantes sociétés françaises comme Alsthom, le BRGM etc.…déjà bien implantées au Soudan, étaient menacés par les pétroliers américains. Total a reçu du gouvernement soudanais une immense concession et espère bien en tirer des profits.

Le fiasco de l’opération de rapatriement de 103 enfants par l’Arche de Zoé en octobre 2007 résulte d’une initiative brouillonne de la part d’individus aux connaissances primaires du conflit du Darfour. Cette aventure n’aurait jamais eu lieu sans le battage médiatique orchestré par Urgence Darfour et son collectif. L’incompétence d’Eric Breteau et de son égérie Emilie Lelouch est évidente, ils ont entraîné avec eux un petit groupe de braves gens peu informés, mus par de la bonne volonté. Cette opération n’a été condamnée qu’après son échec. Les soutiens se sont immédiatement transformés en lâchage. Cette entreprise aurait été saluée au plus haut niveau en cas de réussite. Car ils étaient sympathiques ces « humanitaires » avant leur débandade. Ils oeuvraient dans la droite ligne de la pensée unique médiatisée les mois précédant le projet. 

« Il faut sauver les enfants du Darfour pendant qu’il est encore temps. Dans quelques mois, ils seront morts ! », cette déclaration des membres de l’Arche résonne en parfaite cohérence avec les propos tenus pendant des mois par les lobbys, avec à leur tête Urgence Darfour et son président Jacky Mamou ; propos repris par un quarteron de pseudos intellectuels, Bernard-Henri Lévy en tête.

Cette association française tout comme Vigilance Soudan, ou Occidentalis, Vox Dei et les mouvements chrétiens américains et français n’ont eu de cesse d’imposer un plaidoyer à sens unique alors que les humanitaires de terrain tels MSF ou MDM refusaient ce lobbysme politico-médiatique, seule référence pour beaucoup de ceux qui veulent s’informer.

Aucun gouvernement islamiste ni milices de musulmans ne sévissent dans l’Est du Congo, où le nombre de victimes est dix fois supérieur à l’évaluation la plus élevée pour le Darfour. Ce conflit mobilise bien moins ces défenseurs de l’humanité. Pourquoi l’engouement pour le Darfour, rend-il subalternes tant de crises africaines malgré les massacres, le tribalisme, les famines, les déplacements forcés et les viols ?

Outre sa démarche calquée sur le modèle américain de Save Darfur, Urgence Darfour draine également de nombreuses associations et personnalités militantes[1]. 

L’extrême droite française dans Rivarol, Le Choc du Mois et Minute tente d’enfermer Obama dans la même incontournable appartenance à l’Islam, brandie par la droite évangéliste américaine. Une telle coalition hétéroclite, allant du sionisme à l’extrême droite en passant par une certaine gauche, ne pouvait qu’encourager l’Arche de Zoé, persuadée d’agir pour la bonne cause, d’aller sauver des enfants condamnés par la barbarie arabo-islamiste.

Tout le monde connaît le résultat. Les dirigeants de l’Arche sont pleinement responsables de leurs actes mais ils ont commis leur opération dans un contexte et un environnement qui les encourageaient à agir.

L’attitude de gamine impolie de Rama Yade Le 23 octobre 2007, lors de son voyage éclair au Soudan déclarant dans un caprice : « On est là pour les victimes et les déplacés, pas pour le spectacle ! Ça suffit les tam-tams ! Où sont les victimes ? 75 enfants meurent chaque jour au Darfour » entrait dans la même ligne émotionnelle, teintée d’amateurisme.

Un comportement bien léger de la part d’un membre du gouvernement, et sûrement le pire moyen d’amener Khartoum à la table des négociations. À moins qu’il ne s’agisse d’une indignation en trompe l’œil, destinée aux médias et à l’opinion publique, masquant la realpolitik des corridors anonymes, tel l’entretien Sarkozy/El Béchir au Qatar le 29 novembre 2008, à l’écart des tambours.

Les propos peu amènes de Bernard Kouchner concernant l’opportunité d’un secrétariat aux droits de l’homme prennent tout leur sel à l’aune de cet incident. Avant sa promotion au Quai ce dernier lançait à la Mutualité la nécessité d’une intervention militaire, il déclame désormais aux « affaires » que les droits de l’homme ne sont pas compatibles avec la diplomatie.

Le Tchad

Le principal résultat du fiasco de l’opération de rapatriement d’enfants fut finalement le renforcement des liens de défense entre la France et le Tchad et le sauvetage in-extremis du régime d’Idris Deby.

Pour garder cet allié prêt à changer son fusil d’épaule pour l’ami américain, la France a du faire allégeance à Déby qui menaçait de sortir du pré-carré français s’il n’était aidé militairement.

Idris Deby Itno, est un Zaghawa aux attaches familiales des deux côtés de la frontière. Ce lien familial (au sens de la famille élargie africaine) l’apparente à Khalil Ibrahim le leader du JEM. 

S’il n’est pas prouvé que Deby ait organisé le raid sur Khartoum en mai 2008, il en a au moins autorisé le départ à partir de son territoire. Mais s’il est suffisamment riche pour financer un tel projet et qu’il montre une certaine animosité vis-à-vis de Khartoum qui le lui rend bien, est-il convenablement entouré pour l’organiser ? Qui peut avoir incité Deby à agir ou l’a laissé faire ? Payer ne suffit pas. Une telle expédition militaire nécessite une organisation, une logistique des approvisionnements et un entraînement militaire très efficace. Deby en est-il capable, seul avec les forces du JEM ? Cela est plus que douteux.

Il est donc légitime de penser que le Tchad interfère autant si ce n’est plus dans le conflit du Darfour qu’inversement. Les plus farouches opposants à Deby sont des Zaghawas réfugiés à l’ouest du Soudan, beaucoup plus impliqués dans le conflit tchadien que dans celui du Darfour. 

Idris Deby présenté souvent comme un alcoolique notoire qui soigne sa cirrhose en France mène grande vie loin de l’utopie démocratique et droit-de-l’hommiste. Il a su brillamment, à l’occasion de l’attaque de sa capitale par des assaillants venus du Soudan, faire disparaître ses opposants et leurs sympathisants. Il vit loin de l’image d’un démocrate mais est pourtant nettement moins conspué qu’Omar el Béchir, qui sans vivre dans la totale austérité, ne se permet pas de telles errances. La vie dissolue du président tchadien crée de fait le doute sur d’éventuelles affinités religieuses entre Deby et le JEM islamiste.

Rien ne peut se faire secrètement au Tchad sans que la France soit au courant. La France entretient un contingent militaire impressionnant sur place, encadre les forces tchadiennes et de ce fait doit obligatoirement être capable de repérer des mouvements de troupes sur le territoire. Ses services de renseignement l’informent précisément de ce qui s’y passe. Si les Etats-Unis ont supporté l’offensive du JEM pour déloger Béchir, ils n’ont pu le faire sans en informer la Paris. Alors, complicité, incitation ou passivité ? Tout simplement, peut-être un moyen de faire pression sur Khartoum avant de réinitialiser des négociations bien au-delà des droits de l’homme.

De fait, l’hypothèse d’une nouvelle politique de Sarkozy vis-à-vis du Soudan, apparemment moins conciliante que celle de ses prédécesseurs entre dans une logique de double jeu : préserver les intérêts français et montrer sa capacité potentielle de nuisance vis-à-vis du régime soudanais. Cela permet de garder des contacts étroits et fructueux avec Khartoum, à condition qu’ils soient discrets.

Le pétrole et l’Asie

Quelle est la place des pétroliers et de la compétition chinoise dans le pays ?

La rivalité pétrolière fait rage dans la région. La Malaisie, pays musulman peu cité dans la presse, est le premier partenaire commercial du Soudan et sa compagnie Petronas, le premier opérateur étranger dans le pays. Bien que la baisse des cours due à la crise économique temporise la confrontation entre grands pétroliers ; éliminer ou concurrencer les Chinois, les Malaisiens et les Indiens reste au centre du débat occidental. Le pétrole actuellement exploité se situe plus au sud-est du Darfour, il est certain qu’un jour pas si lointain il sera aussi extrait dans la région.

Quant à Exxon Mobil, Chevron, Shell BP, ces compagnies verraient probablement d’un bon œil le remplacement du gouvernement soudanais par un régime plus favorable aux américains même s’il est aussi teinté d’islamisme et ne respecte que modérément les droits de l’homme.

Le Monde arabe

Les voisins du Soudan ont aussi leur mot à dire, n’en déplaise à l’administration américaine et aux mouvements de soutien de la rébellion.

Complexité d’autant plus ardue, qu’entre en jeu les intérêts d’autres pays musulmans et voisins (Libye, Arabie Saoudite, Egypte, et Tchad) ainsi que ceux des Etats-Unis, de la France, de la Chine et des compagnies pétrolières souvent multinationales.

L’Egypte de Moubarak dont la principale préoccupation est le contrôle de l’eau du Nil avec son voisin du sud, verrait d’un très mauvais œil l’arrivée au pouvoir à Khartoum d’un gouvernement aux mains des Frères Musulmans, avec la participation d’Hassan al Tourabi et de Khalil Ibrahim. La principale crainte de Moubarak étant l’influence des Frères Musulmans sur la population. La prise de pouvoir de ce parti à Khartoum serait un camouflet pour le régime égyptien.

La Libye qui a toujours des velléités d’interventionnisme au Tchad, même s’il n’est pas forcément militaire comme jadis, n’a pas encore totalement oublié la vieille lune de Kadhafi concernant un Sahara indépendant allant de la Mauritanie aux bords de la Mer Rouge. L’indépendance du Darfour, ou tout au moins sa large autonomie pourrait servir de base arrière et de point de départ à la résurgence de l’utopie du leader libyen.

(A suivre)

 

Georges Yang, écrit en collaboration avec Claude Iverné

Photographies : Claude Iverné, son site www.elnour.net 


[1]  : L’Association Nationale Judaïsme et Liberté, l’Association Amitié Judéo-Noire, l’Association des Juifs des Grandes Ecoles le Centre Simon Wiesenthal -Europe, l’Union des étudiants juifs de France, la LICRA St Mandé, Vincennes, Fontenay sous Bois, Nogent sur Marne Boulogne-Billancourt, la Loge B’nai B’rith Erets Itzhak Rabin de Créteil entre autres, à côté de quelques associations africaines et arabes laïques, de Ni Putes ni Soumises Nord Essonne, France Terre d’Asile, du Parti Radical de Gauche et du Parti Socialiste.


Moyenne des avis sur cet article :  4.11/5   (9 votes)




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9 réactions à cet article    


  • Georges Yang 13 mars 2009 11:29

    Photo : Affiche à demi arrachée du candidat Omar el Béchir aux dernières élections présidentielles

     
    ©Claude Iverné/Elnour


    • Ahlen Ahlen 13 mars 2009 11:48

      C’est un article ou des titres de ses paragraphes ?


      • Marsupilami Marsupilami 13 mars 2009 11:52

         @ Georges

        Encore bravo et merci ! Tu arrives magistralement à dépeindre la sombre complexité de ce conflit infernal où tout s’entremêle pour le pire : races, ethnies, religions, politique, mafias, économie, pesanteurs historiques loin, très loin des schémas simplistes que les Occidentaux en mal de mauvaise conscience plaquent sur cette région maudite. C’est vraiment pas un cadeau de naître et vivre dans ce coin infernal. Le genre de combat qui ne semble pouvoir cesser que faute de combattants. Atroce.


        • Georges Yang 13 mars 2009 14:26

          Le pire est peut-être à venir.
          Heureusement, la crise économique limite pour l’instant les visées bellicistes, mais pour combien de temps ?


        • Jojo 13 mars 2009 12:00

          Excellente série merci infiniment.
          Ça nous change du prêt- à- penser habituel et des insultes permanentes à l’intelligence et aux faits.
          PS : Une suggestion si vous permettez, ne perdez pas un temps précieux à répondre à Mcm. Laissez le se ridiculiser tout seul, il est passé maître en la matière.


          • worf worf 13 mars 2009 15:48

            même chose, je lis quelques lignes, l’image de l’affiche puis le titre :"les forces en présence" puis plus rien. Où est le reste du texte ?


            • Georges Yang 13 mars 2009 17:44

              @Agoravox
              Le texte qui était en entier ce matin a mystérieusement disparu
              Il ne reste que l’intro et la photo


              • Georges Yang 13 mars 2009 18:45

                @Agoravox
                J’ai signalé le bug depuis une heure et rien ne se passe


                • Ahlen Ahlen 13 mars 2009 19:53

                  Il y a quand même des gens qui votent sur n’importe quoi : Ils ne sont pas contents qu’on on signale que l’article de l’auteur n’est pas développé ! Il s’avère effectivement qu’il a été coupé.

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