De l’Arabie Saoudite, la Russie, l’Iran, la Syrie, Cuba et de l’orwellisation du monde
« Ce fut plutôt un choc pour Winston de découvrir, à propos d’une remarque faite par hasard, qu’elle ne se souvenait pas que l’Océania, il y avait quatre ans, était en guerre contre l’Estasia et en paix avec l’Eurasia. Il est vrai qu’elle considérait toute la guerre comme une comédie. Mais elle n’avait apparemment même pas remarqué que le nom de l’ennemi avait changé », 1984, Georges Orwell (merci au blog d’Olivier Berruyer pour la retranscription)
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En réalité, j’ai surtout l’impression que nos dirigeants, à force de vouloir réagir, sans prendre le temps de réfléchir et d’agir, finissent par être balottés par les évènements, sans prendre la moindre perspective. D’où sans doute les revirements effarants de nos diplomaties depuis deux ans…
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