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Accueil du site > Actualités > International > Des Indignés palestiniens existent aussi ! Face à une autorité (...)

Des Indignés palestiniens existent aussi ! Face à une autorité palestinienne divisée, incertaine et donc autoritaire envers son propre peuple !

Les révoltes arabes de 2011, ont un écho chez les palestiniens, et des protestations palestiniennes ont lieu. Celles-ci touchent tout le territoire palestinien, et sont réprimées à la fois par les partis palestiniens et par Israël.

En janvier et février, des manifestations ont lieu, mais elles sont interdites par l'Autorité palestinienne. Comme dans les autres pays, ce mouvement est fortement nationaliste et unitaire. Cela permet un rebond de la contestation en mars, sur le thème de l'unité nationale et de la fin de la division entre Gaza (contrôlé par le Hamas) et la Cisjordanie, contrôlée par le Fatah, avec une manifestation le 15 mars. Les manifestations du 16 mars ont lieu à Gaza, Naplouse et Hébron. Les manifestants sont 3000 place Manara, à Ramallah. La popularité des thèmes des manifestations, annoncées des semaines à l'avance sur Internet, a permis de réunir des dizaines de milliers de supporters virtuels, et empêcher leur interdiction. Ensuite, des places sont occupées dans toute la Palestine, les revendications portant sur la fin de la division de la Palestine entre Cisjordanie et Gaza et une Palestine démocratique. Plusieurs fois détruits, ces campements de jeunes sont à chaque fois remontés, notamment sur la place Manara de Ramallah. (Source Wilkipédia )

Il faut savoir que la vie au quotidien est rhytmé par une oppression aux contours multiple, à cause, de ce statut-quo infernal ! Dans les territoires que contrôle le Hamas, les libraires ont reçu la mission de n’exposer que les exemplaires du Coran ou les recueils de discours des dirigeants du Hamas. Quant aux salles de cinéma, elles sont encouragées à choisir uniquement parmi les productions iraniennes. Le voile pour les femmes est devenu une obligation dans la rue alors que cette tenue n’entrait pas dans la tradition palestinienne telle qu’elle s’affiche actuellement à Ramallah. Les groupes de rap sont définitivement interdits de concert parce qu’ils ne véhiculent pas les préceptes édictées par le Coran. Les scènes, qui voyaient les adolescents se défouler au son d’une musique « barbare » occidentale tout en scandant pourtant des paroles nationalistes s’en prenant à « l’occupant israélien », sont remisées dans les souvenirs. Les jeunes, ne trouvant plus les moyens de s’exprimer, finissent par tromper leur oisiveté dans les arrières salles des cafés où ils chantent leurs textes en acceptant les risques encourus. Ils n’ont plus le droit de se produire en public et la sanction tombe immédiatement s’ils poussent les gamines, jadis en jeans, à s’écarter du droit chemin défini par les islamistes. Ces jeunes, qui ont perdu jusqu’au goût de vivre, osaient se plaindre devant la caméra et avouaient considérer le Hamas comme le nouvel ennemi de l’intérieur : « c’était notre vie et quand on parle ils nous condamnent. Ils disent du mal de nous mais ils ont un cœur de pierre et leur mode de pensée est archaïque ». Il ne restait plus qu’à jouer avec leur vie à défaut de jouer avec les mots et les notes : « la peur et la terreur sont partout ». Ismaël Radwane, porte-parole du Hamas, s’efforçait de justifier une pression qui mène au mal-être des jeunes de Gaza : « nous sommes modérés et nous respectons les libertés mais nous voulons préserver la culture palestinienne et nous voulons que nos jeunes soient de bons patriotes. C’est pourquoi on les guide sur ce qui est conforme ou non à la religion ». Et tandis qu’il s’imagine convaincant, les jeunes filles, qui se trémoussaient quelques mois auparavant dans les salles de concert, se plaignent qu’à présent elles doivent revêtir le voile et s’éloigner des garçons. La tristesse des regards trahissait l’émotion de ceux qui égrenaient les souvenirs des jours heureux. Les jeunes s’enfoncent alors dans le désespoir et n’ont plus que le choix du célibat, du renoncement, de l’extrémisme ou, cas plus révoltant, de l’action kamikaze. La répression s’abat systématiquement en empruntant les chemins iraniens. Ainsi les dirigeants du Hamas viennent de décider de réintroduire une loi datant de l'époque de l'occupation égyptienne qui permet de condamner à mort les dealers. Le procureur général du Hamas, Mohamed Abed, a annoncé que « Le gouvernement a approuvé cette décision qui annule la loi israélienne ». On risque ainsi de voir le spectacle de corps pendus en pleine ville.

De fait ce statut-quo développe une asphyxie culturelle des palestiniens qui vivent sous la contrainte , tandis qu’on brise leurs velléités et qu’on enchaine leurs pensées. Les islamistes s’attaquent d’abord à la culture pour ensuite bafouer les Droits de l’Homme. Les jeunes, les amoureux de la musique et les adeptes d’internet regrettent ouvertement leur mauvais bulletin de vote inséré dans l’urne et ils prennent aujourd’hui le courage de l’exprimer.

 

Le Manifeste de la jeunesse de Gaza !!!

"Merde au Hamas. Merde à Israël. Merde au Fatah. Merde à l’ONU. Merde à l’Amérique ! Nous, les jeunes de Gaza, on en a marre d’Israël, du Hamas, de l’occupation, des violations permanentes des droits de l’homme et de l’indifférence de la communauté internationale. Il y a une révolution qui bouillonne en nous, une énorme indignation qui finira par nous démolir si nous ne trouvons pas le moyen de canaliser cette immense énergie pour remettre en cause le statu quo et nous donner un peu d’espoir. Le dernier coup qui a encore aggravé notre frustration et notre désespoir s’est produit le 30 novembre, quand des miliciens du Hamas ont débarqué au siège du Sharek Youth Forum (www.sharek.ps, une organisation de jeunesse très active à Gaza) avec leurs fusils, leurs mensonges et leur agressivité. Ils ont jeté tout le monde dehors, arrêté et emprisonné plusieurs personnes, empêché Sharek de poursuivre ses activités ; quelques jours plus tard, des manifestants regroupés devant le siège de Sharek ont été agressés, battus et pour certains emprisonnés. C’est vraiment un cauchemar au sein d’un autre cauchemar que nous vivons. Il n’est pas facile de trouver les mots pour décrire la pression qui s’exerce sur nous. Nous sommes une jeunesse au cœur lourd. Nous portons en nous un poids tellement accablant qu’il nous empêche d’admirer le coucher de soleil : comment pourrait-on, alors que des nuages menaçants bouchent l’horizon et que des souvenirs effrayants passent dans nos yeux à chaque fois que nous les fermons ? Nous sourions pour cacher la douleur, nous rions pour oublier la guerre, nous gardons l’espoir pour ne pas nous suicider tout de suite.

Au cours des dernières années, Hamas a tout fait pour prendre le contrôle de nos pensées, de notre comportement et de nos attentes. Nous sommes une génération de jeunes qui se sont déjà habitués à évoluer sous la menace des missiles, à poursuivre la mission apparemment impossible qui consiste à mener une existence normale et saine, et nous sommes à peine tolérés par une organisation tentaculaire qui s’est étendue à travers notre société, tel un cancer malveillant déterminé à détruire dans sa propagation jusqu’à la dernière cellule vivante, la dernière opinion divergente, le dernier rêve possible, à paralyser chacun de nous en faisant régner la terreur. Et tout ça arrive dans la prison qu’est devenu Gaza, une prison imposée par un pays qui se prétend démocratique.

A nouveau l’histoire se répète dans toute sa cruauté et tout le monde a l’air de s’en moquer. Nous vivons dans la peur. Ici, à Gaza, nous avons peur d’être incarcérés, interrogés, battus, torturés, bombardés, tués. Nous avons peur de vivre parce que chaque pas que nous faisons doit être sérieusement considéré et préparé, parce qu’il y a des obstacles et des interdits partout, parce qu’on nous empêche d’aller où nous voulons, de parler et d’agir comme nous le voulons et même parfois de penser ce que nous voulons, parce que l’occupation colonise nos cerveaux et nos cœurs, et c’est tellement affreux que c’est une souffrance physique, que nous voulons verser des larmes de révolte et de colère intarissables.

Nous ne voulons pas avoir de haine, ressentir toute cette rage, et nous ne voulons pas être encore une fois des victimes. Assez ! Nous en avons assez de la douleur, des larmes, de la souffrance, des contrôles, des limites, des justifications injustifiées, de la terreur, de la torture, des fausses excuses, des bombes, des nuits sans sommeil, des civils tués aveuglément, des souvenirs amers, d’un avenir bouché, d’un présent désespérant, des politiques insensées, des politiciens fanatiques, du baratin religieux, de l’emprisonnement. Nous disons : ASSEZ ! Ce n’est pas le futur que nous voulons !

Nous avons trois exigences : nous voulons être libres, nous voulons être en mesure de vivre normalement et nous voulons la paix. Est-ce que c’est trop demander ? Nous sommes un mouvement pacifiste formé par des jeunes de Gaza et des sympathisants de partout ailleurs, un mouvement qui continuera tant que la vérité sur ce qui se passe chez nous ne sera pas connue du monde entier, et à tel point que la complicité tacite et la tonitruante indifférence ne seront plus acceptables.

Ceci est le manifeste pour le changement de la jeunesse de Gaza !

Nous allons commencer par rompre l’occupation qui nous étouffe, par nous libérer de l’enfermement mental, par retrouver la dignité et le respect de soi. Nous garderons la tête haute même si nous rencontrons le refus. Nous allons travailler nuit et jour pour changer la situation lamentable dans laquelle nous nous débattons. Là où nous nous heurtons à des murs, nous construirons des rêves.

Nous espérons que vous qui lisez maintenant ces lignes, oui, vous, vous nous apporterez votre soutien. Pour savoir sous quelle forme c’est possible, écrivez sur notre mur ou contactez-nous directement à [email protected]

Nous voulons être libres, nous voulons vivre, nous voulons la paix.”


 

L’intolérance et le fanatisme ont enchainé dans le désespoir une partie du peuple palestinien jadis considéré comme le plus évolué et le plus démocratique parmi les pays arabes. Le Manifeste de la jeunesse de Gaza, interpelle tous les humanistes et démocrates, réellement progressistes et attachés aux valeurs universelles communes, sans sectarisme, haine envers quiconque, tout comme les révoltes arabes contre leurs dictatures monarchistes et l'ensemble des mouvements récents des indignés à travers le monde, contre l'asservissement Libéral. Soutenons demain en Palestine une propable révolution citoyenne pour mettre un terme définitif, à la fois, à l'oppression culturelle, politique, sociale et économique de l'autorité palestinienne et du Hamas, et au conflit israélo-palestinien, pour une vie comme elle est réclamé par ces jeunes, dans la paix, la liberté et la Justice sociale, seules valeurs émancipatrices des peuples !

Mais, aujourd'hui de nouveau le Hamas et le Fatah, divisé sur la question palestinienne à l'ONU, mette leur peuple dans l'impasse, dans un conflit sans fin avec Israël.

Et ce qui attent le peuple palestinien ces prochaines semaines et mois, à voir certaines déclarations importantes, ci-dessous, est des plus incertains, pour leur devenir. Nous leurs souhaitons d'être à la hauteur des enjeux.

 

 

Mahmoud Abbas, au cours d’une réunion de la Ligue Arabe, en mai 2011, a déclaré vouloir une Palestine « purifiée de la présence juive ». Sans commentaire ! ! !

Depuis la Mouqata’a, à Ramallah, Mahmoud Abbas évoque le droit légitime des Palestiniens. Il veut “mettre fin à une injustice historique en accédant à la liberté et à l’indépendance comme tous les autres peuples de la Terre, dans un Etat palestinien sur les lignes du 4 juin 1967”.

Les frontières de 1967 n’ont rien de sacré Sic !!!

dimanche 14 février 2010 – 07h:58 Info-Palestine.net
Proche-orient.net
Mobile.Info-Palestine.net : Hasan Abu Nimah L’idée selon laquelle la ligne de démarcation du 4 juin 1967 est la frontière légitime d’Israël et devrait être la base d’un règlement du conflit, est une idée fausse, écrit Hasan Abu Nimah. re-sic !!!

L'Ambassadeur Abdullah, représentant palestinien au Liban : “les réfugiés palestiniens ne seront pas des citoyens de l’Etat” Rédigé le 16/09/2011

Pensiez-vous que 63 ans d’utilisation, par les Arabes, des “réfugiés comme des pions politiques”, pourraient finir en un claquement de doigt avec la déclaration unilatérale d’un État Palestinien ?

« Les réfugiés palestiniens ne deviendront pas les citoyens d’un nouvel État palestinien », selon l’ambassadeur des territoires palestiniens au Liban, « Ils sont des Palestiniens, c’est leur identité », dit-il. « Mais … ils ne seront pas automatiquement citoyens ». « Même les réfugiés palestiniens vivant dans [les camps de réfugiés] à l’intérieur de l’État [palestinien] seront encore considérés comme réfugiés. Ils ne seront pas considérés comme des citoyens. » re-re-sic !!!

L’ambassadeur explique aussi que le nouvel État palestinien ne donnera « absolument pas » de passeport palestinien aux réfugiés. Pour l’ambassadeur Abdullah, « l’État et les frontières de 1967 ne suffisent pas. Les réfugiés sont de toute la Palestine. Lorsque nous serons acceptés en tant qu’État à l’ONU, ce ne sera pas la fin du conflit. Ce ne sera pas une solution au conflit. Ce sera un nouveau cadre pour changer les règles du jeu. » re-sic !!!

Que dire de plus ? Si ce n'est bon courage au peuple palestinien dans leur lutte !


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11 réactions à cet article    


  • enréfléchissant 19 septembre 2011 17:35

    L’mancipation démocratique de l’humanité arrive, doucement mais sûrement !


    • Ouallonsnous ? 19 septembre 2011 18:59

      « Mahmoud Abbas, au cours d’une réunion de la Ligue Arabe, en mai 2011, a déclaré vouloir une Palestine « purifiée de la présence juive ». »

      N’auriez vous pas modifié les propos de ABBAS, en remplaçant sioniste par juive ?


      • Théodore Six Théodore Six 19 septembre 2011 20:07

        Pour qui me prenez-vous...internet vous permettra de retrouver ses authentiques propos fascisant !


      • Manumission Manumission 20 septembre 2011 11:33

        Toute colonisation sioniste, aussi limitée soit-elle, devra être soit abandonnée soit poursuivie contre la volonté de la population autochtone. Pour cette raison, notre colonisation ne peut se développer que sous la protection d’une grande puissance qui ne se préoccupe pas de la volonté de la population locale afin qu’il soit possible de nous séparer de cette population par un mur de fer infranchissable.
        Un accord entre eux et nous, sur une base volontaire est impossible. Tant qu’ils auront la moindre lueur d’espoir de se débarrasser de nous, ils n’abandonneront pas cet espoir et rien ne pourra les convaincre, ni les belles paroles, ni l’argent. Car ils ne sont pas un mélange indéfini, mais une nation, une nation opprimée mais une nation vivante. Aucun peuple ne peut faire les concessions que nous leur demandons tant qu’ils ont l’espoir de pouvoir se débarrasser de nous. Ce n’est que lorsqu’ils constateront que le Rideau de Fer entre eux et nous est infranchissable, que les extrémistes parmi eux abandonneront et que les plus modérés apparaîtront pour nous demander des concessions sur certains éléments pratiques.
        Ils nous demanderont de leur garantir que nous ne les chasserons pas ou d’avoir la bonté de leur accorder des droits égaux

        Vladimir Jabotynski, fondateur du courant sioniste « révisionniste » et ancêtre du parti de sharon

        Ceci est effectivement la situation actuelle, la plus grande supercherie etant egalement de nous faire croire que le Hamas serait le principal obstacle à la paix !!!

        Cela finira mal, tres mal....


      • Ptetmai 20 septembre 2011 07:43
        Qu’on le considère ou non comme un collabo, Abbas, depuis le 9 janvier 2009, n’est plus constitutionnellement que l’ex-président de la non-Autorité palestinienne. Et l’OLP actuelle n’est guère plus représentative des forces vives du pays. 
         C’est bien pourquoi éthiquement ce serait à l’ensemble du peuple palestinien en âge de voter de toute la planète qu’il fau(drai)t poser par référendum trois questions sur trois frontières possibles, même s’il n’y en a qu’une d’éthique et de juste.
         Frontières de Janvier 1946 ? Frontières du 29 novembre 1947 ? Frontières du 31 décembre 1949. 
         Alors qu’on pourrait comprendre que, par lassitude et épuisement psychique, certains Palestiniens préfèrent voter « D’accord pour quatre bantoustans et un gouvernement fantoche obéissant à Tel Aviv, du moment qu’on me donne du boulot ainsi qu’à mes enfants, y compris ceux actuellement emprisonnés sans avoir jamais touché une arme » 

        • Théodore Six Théodore Six 20 septembre 2011 08:47

          Oui, la tristesse de cette situation il est vrai peut conduire à l’abandon par une partie du peuple palestinien de toute revendication autonome. Cela ne serait pas une bonne chose. Je pense qu’il faut que la « révolution palestinienne » ose aujourd’hui dépassé « ses vieux démons », en rejetant toute cette autorité islamiste et de l’OLP,sur leur territoire, cette autorité et ces islamistes du Hamas trop dangereusement rangé aux côtés de Hassan Nasrallah du Hezbollah libanais, pro-syriens et pro-iranien, donc hostile aux révolutions arabes, et ne pouvant conduire ainsi que le peuple palestinien dans l’impasse. Souhaitons-leur d’écouter davantage, leur jeunesse et de rejoindre ainsi, grâce à un soulèvement, des urnes et de la rue, l’ensemble des révolutions en cours, qu’elles soient arabes, des indignés, ou encore tout simplement, anti-fascistes, anti-islamistes, anti-globalisation Libérale. L’avenir des peuples ne s’inscrira que dans l’émancipation économique, sociale et culturelle avec des politiques ou le respect de chaque homme doit être sauvegardé, dans la liberté de tous !


        • James James 20 septembre 2011 10:03

          @L’auteur
          L’impasse ce sont vos urnes et vos négociations de pacotille qui ne sont qu’un marché de dupe permettant la poursuite sans fin d’un colonialisme sanglant .
          Le peuple palestinien souffre d’une interminable situation coloniale, tout le reste c’est de la littérature pour enfants !
          Le Hezbollah Libanais est un mouvement de résistance et ce qui vous emmerde vous et vos amis, c’est que c’est la seule force arabe à avoir causé de multiples revers militaire à vos petits protégés sionistes .
          Cette organisation est certainement la plus populaire dans le monde arabe et cette popularité va bien au delà des clivages confessionnels , devenu acteur incontournable de la scène moyen orientale, il est intégré au jeu politique Libanais et dispose d’un réseau social très dense permettant de venir en aide aux communautés chiites (mais pas seulement) longtemps marginalisées dans ce pays.
          Bref, votre papier,c’est : rien de nouveau sous le soleil de la désinformation .


          • Théodore Six Théodore Six 20 septembre 2011 11:09

            Monsieur le donneur de leçons trompeuses et falsificatrices de l’Histoire...savez-vous que le Hezbollah « si intégré au jeu politique Libanais » sic ! refuse de livrer à la Justice les assassins d’Hariri ? Savez-vous qu’ils sont contre les révolutions arabes et soutien fervent du massacreur de son propre peuple de Syrie Bachar el-Assad  ? Savez-vous que le Hezbollah a envoyé 15 000 de ses hommes en Iran, contre le soulèvement populaire ? SVP, ne polluez pas davantage le débat, il est déjà si difficile et dans l’impasse pour l’heure, à cause de votre fanatisme et de votre haine historique aveugle. Et si de plus l’on y met des mensonges....la discussion ne peut que se terminer. Quant au peuple palestinien si éprouvé, je vous invite à aller vivre avec ces jeunes de Gaza, pour votre formation politique, c’est l’idéal qu’il vous reste !


          • James James 20 septembre 2011 12:02

            Le saltimbanque auteur de ce torchon devrait aller vendre ses légendes ailleurs !
            Une enquête, quelle enquête ? Le TSL n’est qu’une vaste farce !
            Une enquête qui désigne d’abord la Syrie comme commanditaire ,des pseudo enquêteurs qui n’hésitent pas à manipuler des témoins, à produire de faux témoignages ,quelle valeur peut donc avoir cette escroquerie  ?
            Vous n’êtes un vulgaire charlatan, un petit propagandiste, vos procédés malhonnêtes ne trompent plus personne .


            • Théodore Six Théodore Six 20 septembre 2011 12:21

              "Mais, il faut être inquiet des déclarations de Mahmoud Abbas, au cours d’une réunion de la Ligue Arabe, en mai 2011. Abbas avait déclaré vouloir une Palestine « purifiée de la présence juive ».
              - Israël se veut être l’Etat du peuple Juif. Il est bien normal que le peuple juif puisse disposer d’un Etat, l’un des 193 États membres de l’Organisation des Nations Unies. Israël de ce point de vue doit être considéré comme l’Etat du peuple Juif.
              - D’ailleurs, dans sa résolution 181 du 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations Unies a voté en faveur de l’existence d’un « Etat Juif » et d’un « Etat arabe »
              M. Alain JUPPE Ministre des Affaires Étrangère de France.


              • James James 20 septembre 2011 12:29

                On s’en tape des discours du servile Juppé !
                800 000 palestiniens chassés de leur terre en 1948 ça s’appelle comment ? une œuvre de pacifisme déguisé ?
                L’état du peuple juif fruit de la spoliation du peuple palestinien, d’un vol constant de terres, de la destruction de la société palestinienne ,telle est la réalité de l’entreprise de spoliation sioniste.

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