Expulsion et harcèlement de Novak Djokovic : un complot politico-sanitaire qui dépasse de loin la simple non-vaccination d’un tennisman
Comme à leur habitude, les médias ne font pas leur travail d'information du public et ne relaient que la propagande d'Etat tout en cherchant à façonner l'opinion publique, comme l'expliquait Noam Chomsky dans "La fabrication du consentement". De nouvelles révélations sur les engagements de Novak Djokovic en-dehors des courts de tennis et dérangeant des intérêts industriels associés au gouvernement australien, montrent qu'aujourd'hui, les personnes en bonne santé et non vaccinées sont considérées comme de véritables boucs émissaires, voire des dangers face aux politiques et industries ne cherchant que le profit, au détriment de la santé des populations et de l'environnement.
"Nous parlons de la santé. Nous parlons, premièrement, d'être conscient du pouvoir et du contrôle que nous avons entre nos propres mains, dans nos têtes et dans nos coeurs pour notre santé, mais aussi de ce que nous pouvons vraiment faire pour nous-mêmes, pour l'environnement, pour nos proches, pour nos communautés, nos pays, dans nos professions, dans notre vie privée, de sorte que nous puissions être un example positif et être nous-mêmes le changement que nous voulons dans le monde."
Novak Djokovic, 24 mai 2020
Novak Djokovic n'a pas été simplement harcelé et expulsé parce qu'il n'aurait pas respecté des règles sanitaires en vigueur en Australie. Il a été puni pour son engagement pour la protection des populations, la compassion envers tous les êtres vivants, la santé globale, l'environnement et même la volonté de résolution médicale de la crise COVID-19, aujourd'hui face au lobby vaccinal, de par sa participation financière à la recherche d'un traitement contre les formes graves de COVID-19, nombreux engagements allant à l'encontre de politiciens et de leur collusion à certains intérêts industriels.
Novak Djokovic a été détenu dans un hôtel délabré pour clandestins illégaux et ses frais de justice se seraient élevés à un demi-million de dollars... signe de l'intense harcèlement, violence et disproportion de l'attaque du gouvernement australien envers une simple personne civile pourtant tout-à-fait dans ses droits. Il envisagerait notamment de contre-attaquer le gouvernement australien en justice pour traitement humiliant.
La vaccination COVID n'est pas obligatoire en Australie et Djokovic disposait de plus d'une exemption médicale à la vaccination, compte tenu notamment du fait qu'il était déjà au moins doublement immunisé naturellement contre le SARS-CoV-2, après une infection asymptomatique au mois de juin 2020 et une autre infection asymptomatique toute récente au mois de décembre 2021. Insensible au SARS-CoV-2, quel que soit le variant, du fait d'une excellente condition physique, mentale et d'une alimentation strictement végétale exemplaire, montrée dans plusieurs études réduire la sévérité et les risques de la maladie, il est depuis le début de la pandémie pointé du doigt, harcelé même, par des médias et des politiciens, notamment l'ancien Ministre français de l'Intérieur Christophe Castaner, souhaitant l'empêcher de jouer à Roland-Garros.
L'ancien Ministre de l'Intérieur, non soumis lui-même à un pass vaccinal à l'Assemblée en tant que député et président du parti gouvernemental à l'hémicycle, est pourtant quant à lui responsable de violences, d'éborgnements, de blessures et de nombreux traumatismes physiques et psychologiques sur la population civile en France. Il a également éhonteusement menti, comme l'ensemble du gouvernement français, incluant la Ministre de la Santé Agnès Buzyn (récemment récompensée d'une légion d'honneur...), sur les conséquences pour la santé de la catastrophe de Lubrizol en 2019, entre autres méfaits sanitaires.
Le gouvernement australien a voulu punir Djokovic car il représente un danger pour l'ensemble des réseaux de corruption qui sévissent à son niveau mais également de celui de l'ensemble des gouvernements occidentaux dans cette crise sanitaire. C'est pourquoi sa simple présence était trop sulfureuse et qualifiée de "trouble à l'ordre public", en fait, un trouble au désordre public, au chaos généré par des politiciens corrompus par des intérêts contraires à ceux des populations, de la santé, de l'environnement et de la planète.
En décembre dernier, il s'était exprimé, aux côtés de la population civile, contre l'installation d'une mine de lithium en Serbie par une multinationale anglo-australienne, allant directement à l'encontre des intérêts industriels australiens, en défendant la protection de l'environnement et le bien-être des populations face à la corruption des gouvernements en place.
"De l'air, de l'eau et de la nourriture propres sont essentielles à la santé. Sans cela, parler de 'santé' ne veut rien dire."
Novak Djokovic, 4 décembre 2021
Novak Djokovich est également cofondateur et actionnaire à 80% depuis juin 2020 d'une société de biotechnologie développant un traitement pour les formes graves de COVID-19.
La collusion d'intérêts entre politiciens, gouvernements et industriels, en défaveur de l'environnement, de la santé et des êtres vivants, est ce qui explique aujourd'hui l'expulsion et le harcèlement de Novak Djokovic, soutenus par la plupart des politiciens et une partie de la population, totalement endoctrinée voire même fanatisée par les propagandes étatiques et/ou idéologiques corrompues par l'argent, la finance et les intérêts industriels.
Image : Djokovic contre Char Abrams, Open d'Australie (YouTube)
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