Gaza : trêve, libération d’otages israéliens et propagande du Hamas
« J'ai du mal à imaginer que la libération des camps d'Auschwitz et de Bergen-Belsen ait été accompagnée de cris de victoire et d'appels à exterminer tous les Allemands. » (Sophia Aram, le 19 janvier 2025 dans "Le Parisien").
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Encore une fois, l'humoriste Sophia Aram a été percutante et a soulevé les vrais enjeux dans sa chronique publiée le 19 janvier 2025 dans "Le Parisien". En évoquant la libération du camp d'extermination d'Auschwitz dont on va commémorer le 80e anniversaire dans quelques jours, elle voulait d'abord parler de la situation à Gaza. Elle reprenait l'accusation portée un peu légèrement contre l'État d'Israël de génocide dès le 15 octobre 2023, principalement « pour masquer le pogrom du 7 octobre et les multiples appels du Hamas et des islamistes du monde entier à éradiquer toute présence juive au Proche-Orient ».
Ce dimanche 19 janvier 2025 à 10 heures 15 est d'abord un jour important pour de nombreuses familles israéliennes : c'est le début d'une (en principe longue) trêve entre le Hamas et Israël dont la première phase, de quarante-deux jours, devrait permettre la libération d'une trentaine d'otages israéliens (il semblerait notamment que les deux otages franco-israéliens devraient être libérés bientôt), et en parallèle, ce qui n'a rien à voir, la libération de Palestiniens condamnés parfois à des peines très lourdes en raison de leurs crimes (assassinats, terrorisme, etc.).
Cet accord a été validé par Benjamin Netanyahou, le Premier Ministre israélien, le 18 janvier 2025. Sa mise en œuvre dès le lendemain constitue une petite victoire, l'ultime, du Président américain Joe Biden qui quitte la Maison-Blanche le lendemain. L'accord a été négocié avec les deux Présidents américains, y compris Donald Trump, et la libération d'otages encore sous le mandat Biden est très symbolique. On se rappelle l'humiliation qu'avait subie Jimmy Carter qui a dû attendre son départ de la Maison-Blanche pour voir libérer les otages américains de Téhéran en janvier 1981.
Dimanche après-midi, donc, les trois premières otages israéliennes ont été libérées, dans des conditions très difficiles, à Gaza : Romi Gonen, Emily Damari et Doron Steinbrecher qui ont été détenues pendant 471 jours d'horreur. Elles étaient escortées par des terroristes cagoulés du Hamas, puis recueillies par la Croix-Rouge (on se demande bien le degré de neutralité de cette organisation humanitaire), enfin "livrées" à l'armée israélienne qui les ont reconduites en Israël. Pendant ce transfert, les ont accompagnées une foule palestinienne surexcitée qui criait et qui, parfois, tirait en l'air. Atmosphère très électrique. Ce "voyage" des trois otages a dû être très éprouvant car des fusillades pouvaient avoir lieu à tout moment.
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Certains otages n'ont plus rien et le choc sera dur à leur libération : leur famille a été massacrée, leur maison détruite. Pour Emily Damari, l'horreur est heureusement terminée. Elle a survécu à plus de quinze mois de traitement difficile et surtout, à sa grave blessure, car elle a perdu deux doigts à cause de ses ravisseurs terroristes. C'est une battante !
Malgré ces trois premières libérations, non, la joie n'était pas sur les visages des citoyens israéliens. Trop d'otages sont encore restés aux mains des tortionnaires du Hamas.
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Par exemple, Kfir Bibas, qui a fêté son 2e anniversaire le 18 janvier 2025, il a déjà vécu deux tiers de son existence dans une prison du Hamas, et il n'est toujours pas libéré, tandis que l'accord a permis à Mohammad Abu Warda, condamné car il est l'auteur d'un attentat qui a tué 44 personnes en faisant exploser un bus en 1996, d'être libéré par l'État d'Israël. Quel parallèle ! On ne sait même pas si Kfir Bibas est encore en vie, et dans tous les cas, quelle barbarie de s'en prendre à des bébés de 9 mois !
Mais pour les otages encore retenus, l'espoir reste possible, mais on pense aussi à ceux qui ont été massacrés par les terroristes du Hamas le 7 octobre 2023. Ainsi, Jonathan, petit bonhomme qui a été assassiné avec son père, ne grandira pas alors que leur assassin sera libéré dans le cadre de l'accord entre Israël et le Hamas.
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Ainsi, cette famille entière ne rigolera plus pacifiquement parce qu'elle a été brûlée vive lors du pogrom perpétré par le Hamas.
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Ainsi, ces trois enfants, Arbel, Shachar et Omer, massacrés dans leur lit le 7 octobre, ne feront plus de grimace pendant leur goûter. La liste est tellement longue...
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Certains auteurs de tweets (comme Jérémy Benhaïm) se posaient quand même la question, en regardant ce triste spectacle, sur la réalité de ce qu'on dit généralement sur la situation à Gaza. Par exemple, dans la foule, de nombreux Gazaouis filmaient la scène avec des smartphones « visiblement bien chargés ». Famine, coupure d'électricité depuis de mois, vraiment ? « On nous aurait donc menti ? ».
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Revient toujours la question : y a-t-il eu vraiment un génocide à Gaza ? Existe-t-il une notion de pause de génocide ? Sophia Aram est revenue sur cette question pour asséner quelques évidences et remettre des points sur les i : « L'indécence de ceux qui braillent leurs certitudes sur le "génocide-en-cours-à-Gaza" depuis des mois m'autorise à émettre quelques doutes sur ces accusations et sur la sincérité de ceux qui les professent. ».
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Et de poser les bonnes questions : « Parce qu'au fond, comment ne pas douter lorsqu'il faudrait admettre sans ciller que nous serions devant la première trêve négociée de l'histoire des génocides ? Une trêve mise à profit par les représentants des "génocidaires" et des "génocidés" pour s'accorder sur le nombre d'otages et de prisonniers à échanger avant de poursuivre vers la paix ou de reprendre le cours du supposé génocide. Comment ne pas s'interroger face à l'idée que nous serions devant le tout premier cas de génocide dans lequel les "génocidés" détiendraient encore des otages issus du "camp génocidaire" et ce, à l'issue de son "extermination" ? Comment ne pas douter devant ce cas très particulier de génocide démarrant par un pogrom perpétré sur le sol des "génocidaires" par les "génocidés", et qui se termine par les appels triomphants de ces derniers à en reproduire de nouveaux ? Combien de rescapés ont-il célébré et revendiqué la victoire au terme de leur propre génocide ? ».
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Fustigeant « une guerre qui aura vu les "résistants" du Hamas se mettre aux abris en laissant à découvert la population civile qu'ils sont censés défendre » (les dirigeants de l'organisation terroriste étaient planqués bien au chaud dans des hôtels de luxe au Qatar), l'humoriste éditorialiste a souligné « l'insincérité de ceux qui tirent un bénéfice politique à porter de telles accusations contre Israël et contre tous ceux qui ont le mauvais goût de douter ».
Elle conclut : « Je pense qu'il serait temps pour ceux qui n'ont eu de cesse de relayer la propagande du Hamas en France de déposer les armes. ». Suivez mon regard...
Aussi sur le blog.
Sylvain Rakotoarison (19 janvier 2025)
http://www.rakotoarison.eu
Pour aller plus loin :
Gaza : trêve, libération d'otages israéliens et propagande du Hamas.
7 octobre 2023 : un an qu'Israël se bat pour sa survie.
Laura Blajman-Kadar.
7 octobre 2023 : l'hommage aux victimes françaises.
Discours du Président Emmanuel Macron en hommage aux victimes du 7 octobre 2023 aux Invalides le 7 février 2024 (texte intégral et vidéo).
L'avenir de la France se joue aussi à Gaza !
La naissance de l’État d’Israël.
David Ben Gourion.
Eden Golan.
Walid Daqqa.
Gaza : quel est l'accord entre Israël et le Hamas ?
Le rappel très ferme d'Emmanuel Macron contre l'antisémitisme.
Conflit israélo-palestinien : la France est-elle concernée ?
Dominique de Villepin toujours pro-palestinien ?
Emmanuel Macron participera-t-il à la grande marche contre l'antisémitisme du 12 novembre 2023 ?
Gaza, victime avant tout du Hamas ?
Quel est le bilan de la visite d'Emmanuel Macron au Proche-Orient ?
Proche-Orient : l'analyse crue de Jean-Louis Bourlanges.
Pourquoi Emmanuel Macron se rend-il en Israël ce mardi 24 octobre 2023 ?
Hôpital à Gaza : la vérité aveuglée par la colère ?
Hamas : tirs groupés contre les insoumis.
Horreur en Israël : les points sur les i de Gérard Larcher et Emmanuel Macron.
Allocution télévisée du Président Emmanuel Macron le 12 octobre 2023 (vidéo et texte intégral).
Allocution du Président du Sénat Gérard Larcher le 11 octobre 2023 (texte intégral).
Horreur totale en Israël ; émotion et clarification politique en France.
Israël en guerre contre son agresseur terroriste, le Hamas.
Les Accords d'Oslo.
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18 réactions à cet article
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Le « sombre fils de... » (Trump dixit) a cédé. Au suivant !
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@rogal
Il avait intérêt a le faire avant l’ultimatum fixé à ce jour, par l’agent orange s’apprêtant officiellement à traiter le grouillement du « stay behind » ou « deep state » aux « U$A great again ».
Cela se passe comme ça chez un Donald ayant déjà réservé un chien de sa chienne pour « bibi » le génocidaire.
Va savoir si le trou « dans son zoreille » n’a pas aggravé la situation dudit criminel contre l’humanité et sa bande de fanatiques assoiffés de sang ?
En tout cas j’ai l’impression, peut être infondée, que tous les amateurs de tragicomédie et farces à échelle historique, comme votre serviteur, vont se bidonner à chaudes larmes en 2025. . .
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@AmonBra
C’est sûr, avec ce qu’on est payés, au moins qu’on rigole un peu !
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Quand Israël garde un palestinien de Cisjordanie en prison sans jugement, pendant un temps indéterminé, en quoi est-ce différent d’une prise d’otage ?
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@Gégène
’’Quand Israël garde un palestinien de Cisjordanie en prison sans jugement, pendant un temps indéterminé, en quoi est-ce différent d’une prise d’otage ? ’’
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Bien vu. -
@tous
Quand on parle de terrorisme, l’armée la plus morale du monde gagne largement.
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Le massacre de milliers d’enfants par des bombardement n’est pas un acte de légitime défense.
Rappel de bon sens à ceux qui pensent que Tsahal est ‘’l’armée la plus morale du monde’’.
18 juillet 2024
’’L’analyse d’Oxfam révèle également que :
- Les attaques israéliennes ont endommagé ou détruit cinq sites d’assainissement et d’approvisionnement en eau tous les trois jours depuis le début de la guerre ;
- La destruction des infrastructures d’alimentation en eau et en électricité, ainsi que les restrictions imposées à l’entrée de pièces de rechange et de carburant (en moyenne un cinquième des quantités requises sont autorisées) ont fait chuter la production d’eau de 84 % à Gaza. L’approvisionnement externe par la compagnie israélienne des eaux Mekorot a diminué de 78 % ;
- Israël a détruit 70 % des pompes à eaux usées et 100 % des usines de traitement des eaux usées, ainsi que les principaux laboratoires d’analyse de la qualité de l’eau à Gaza. Il a aussi restreint l’entrée du matériel d’analyse de l’eau d’Oxfam ;
- La ville de Gaza est privée de la quasi-totalité de sa capacité de production d’eau, 88 % de ses puits et 100 % de ses usines de dessalement ayant été endommagés ou détruits.’’ ................ https://www.oxfamfrance.org/communiques-de-presse/israel-utilise-leau-comme-arme-de-guerre-a-lheure-ou-lapprovisionnement-de-gaza-seffondre-de-94-provoquant-une-catastrophe-sanitaire-mortelle/
Quand on prive volontairement une population civile de son accès à l’eau, oui, c’est une tentative de génocide.
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@Garibaldi2
Le simple fait d’être palestinien et de se revendiquer comme tel, fait systématiquement de vous un terroriste pour les fous de Yahweh sévissant impunément, à ce jour, en Palestine.
En tuant vos enfants, ils tuent votre futur sur ce qu’ils considèrent comme la terre promise à eux seuls, par une obscure divinité aussi exclusive qu’archaïque.
Le message est on peut plus clair, mais même en croyant avoir son dieu comme droit, il est quelque fois l’éternité entre la coupe et les lèvres !
Il n’est d’ailleurs qu’a voir à quel point ils « patinent dans la semoule » avec la résistance armée palestinienne, sur un territoire aussi minuscule que verrouillé comme Gaza ou la Cisjordanie, pour se demander comment vont ils s’en sortir, avec ou sans aide occidentale, sur une terre ayant le Nil et l’Euphrate comme frontières, comme leur a promis leur « ségrégationnissime » divinité. . .
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Pendant le transfert des otages vers les véhicules de La Croix Rouge, sur une place bondé de « génocidés » assoiffés de sang brandissant leur Iphone dernière génération et éructant des « allah akbar », démontre que négocier avec une culture qui engendre de tels comportements n’est ni possible ni souhaitable.
La dissuasion israélienne reste la seule voie crédible vers la paix.
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@Boaz
Alors Boaz, pas trop mal au cul après que Bibi ait été obligé de négocier avec le Hamas, organisation démantelée d’après le même ; Bibi ?! -
@Garibaldi2
« Mal au cul » !? Moi je dirais que les $ionnards n’ont plus d’anus, c’est à présent diarrhée chronique, couche-culotte étanche et permanente à la vue de tous ces combattants palestiniens équipés, non faméliques et armés jusqu’au dents, apparus subitement comme les escargots après la pluie de printemps, des ruines et décombres de ce qui reste de Gaza la re-belle.
Chapeau très bas Peuple palestinien, respect et remerciements infinis pour cette divine leçon de courage, de combativité, de résilience et d’esprit de sacrifice !
Si j’étais, que yahweh m’en garde, un $ionnard ou n’importe quelle engeance colonialiste, même des plus fanatisé, j’en aurais froid jusqu’au fond de ce qui me resterais d’âme. . . -
Cela reste ébouriffant, comment un Rakoto,Bidule, peut tirer, à lui, la carpette qui sent bon, et s’essuyer les pieds, sur celle dont la couleur verte, ,le fait gerber sur commande !
C’est juste un pâté de plus, pour se congratuler les miches, et faire croire à la gloriole pacifique d’un édito qui, comme d ’hab, mets les saloperies pour tous dans le même sac à crades, sans poubelle de tri moral !
Mais comment pouvez vous croire à une parodie pareille de cesser le feu ?
La situation est encore plus instable, dangereuse, définitive, actuellement sous couvert de pourparlers et de trêve, que si le génocide était acté.
A la moindre entourloupe, ou égratignure de ces minces accords en surdité, ce qui vas se passer, vas cumuler l’excuse la plus crade, avec la volonté mise en stand by, d’éradiquer UN PEUPLE,en son entier, simplement justifié avec la petite étiquette
« terroriste ».
Rakoto....
Où sont les photos des innocents enfants palestiniens déchiquetés ?
Ils ne semblent pas peser beaucoup, à la vue de votre monocle, tenu par tellement de mains, que vous devriez vous méfier de celles qui vous font les poches....Sous les yeux !
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Israël libère 871 prisonniers palestiniens, principalement des femmes et des enfants. Voilà qui ne suscite pas une once de pitié à l’auteur pour ces êtres humains emprisonnés, croyant sans doute qu’ils et elles étaient logés comme des touristes au Sofitel du coin. La propagande sioniste de l’article à ce niveau est contre-productive pour tout lecteur éclairé.
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Le perdant dans cette histoire de libération c´est la Palestine, les fous furieux sionistes israeliens vont bientôt tous les tuer par des bombardements.
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Ce que l’on passe sous silence, vis à vis des résidents israeliens libérez, c’est ce qu’il doit se passer dans leurs têtes. Retrouver pour quelques uns
ce qui est nommé liberté, au prix de l’assassinat de dizaines de milliers d’autres êtres humains, parmi lesquels des dizaines de milliers d’enfants, doit être si la conscience fait un minimum son travaille en sous main, un véritable cauchemar pour le futur. A moins que pour ce qui est de la conscience, elle soit empêchée d’affleurer par tout un travail de « rééducation », pour que jamais ne puisse arriver dans leurs cerveaux la moindre question dérangeante.
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@Phil
Oups : « résidents israeliens libérés » -
Même si la résistance palestinienne ne dispose pas de million$ a investir en « budget de communication », ainsi que tous ces merdias sous contrôle comme en bénéficie l’apartheid génocidaire, il n’est qu’a voir dans quel état les $ionnards libèrent les otages palestiniens et les comparer aux israéliens, pour constater, comme le nez sur le visage, quelle est la véritable nature du prétendu « seul état démocratique de la région » et autres publicités mensongères.
Mais pour l’auteur heureusement non censeur, il ne manquerait plus que ça ! Seul compte le sort d’européens judaïsés et endoctrinés, voire fanatisés, colonisant depuis trop longtemps la Palestine !
Apitoiement et indignation sélectifs encore et toujours ?
Ou/et positionnement ségrégationniste de racialisme colonial, ce qui serait un comble pour un auteur aux origines sémantiquement malgaches !? . . .
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