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Accueil du site > Actualités > International > La guerre de Corée n’aura pas lieu

La guerre de Corée n’aura pas lieu

La peur des États-Unis a rapproché les deux Corée.

Contrairement aux deux Soudan (voire dans une moindre mesure aux deux Yémen) les deux États de Corée relèvent d'un même pays administrativement divisé, comme les deux Allemagne (voire les deux Vietnam). Même la séparation idéologique n'est plus très prégnante puisque la Corée du Nord est tentée par le développement économique qu'affichent les pays frères plus ou moins officiellement sortis du communisme comme la Chine, le Vietnam et le Cambodge. Le président actuel, loin de l'autisme politique de ses prédécesseurs, est ouvert et intelligent, et a vu que la rigidité dogmatique ne paie plus même vis-à-vis de la Chine pragmatiquement capitaliste. Pour sa part la Corée du Sud devinait qu'à terme les nécessités économiques lui ouvriraient l'accès au Nord, de même que tous les pays autrefois communistes, Angola et Cuba compris, ont fini par mettre du vin dans leur eau. Mais elle n'a pas vraiment en ce moment les moyens de moderniser le Nord, et donc aucune des deux moitiés du pays n'était pressée.

Mais le 9 mars 2002 la presse étatsunienne a révélé que le gouvernement avait préparé des plans précis (présentés au parlement le 8 janvier) de frappes nucléaires offensives contre plusieurs pays nominativement cités, dont cinq ne disposant pas d'armes nucléaires, parmi lesquels la Corée du Nord. Les deux pays (Arabie Séoudite et Bosnie et Herzégovine) ayant détruit quelques mois plus tôt, prétendument au moyen d'avions dont deux invisibles, les trois tours de New York et la façade du Pentagone pour faciliter la redéfinition stratégique, n'étaient d'ailleurs pas sur la liste, ni bien sûr le Pakistan devenu la première puissance nucléaire islamique grâce à l'aide des États-Unis. Puis la révision de la doctrine stratégique a effectivement confirmé que les États-Unis considéraient de nouveau l'arme nucléaire comme une arme normale susceptible d'être utilisée même contre des pays qui en sont dépourvus, pulvérisant de facto le traité de non-prolifération nucléaire qui l'interdisait. Dès avril des négociations commencèrent pour tenter de sauver le traité de non-prolifération, et après trois ans de discussions infructueuses, devant l'obstination des États-Unis à vouloir utiliser des armes nucléaires contre des pays qui en sont dépourvus, la conférence de révision du traité constata son échec en mai 2005, ce dont l'Assemblée Générale de l'ONU prit acte en septembre.

Suite à la révélation en mars 2002 du projet étatsunien d'attaque nucléaire, et aux accusations étatsuniennes en fin d'année d'enrichir clandestinement de l'uranium, la Corée du Nord expulsa les inspecteurs de l'Agence Internationale de l'Énergie Atomique fin 2002 et se retira du traité de non-prolifération en janvier 2003. La Chine invita la Corée du Sud, le Japon, la Russie et les États-Unis à se joindre à elle pour négocier avec la Corée du Nord un arrêt de son programme militaire, ce qu'elle fut prête à accepter en septembre 2005 contre l'acceptation de son programme énergétique nucléaire civil et la fin des menaces de frappes nucléaires étatsuniennes, deux conditions revenant à lui appliquer le traité de non-prolifération que les États-Unis rejetaient et dont la conférence de révision et l'ONU venaient de constater la caducité. Elle exigeait aussi le retrait des armes nucléaires étatsuniennes de Corée du Sud, ce à quoi les États-Unis répondaient qu'elles avaient été retirées vingt ans plus tôt. Surtout, pour confirmer que le traité n'avait plus de valeur à leurs yeux et que seule comptait désormais la loi du plus fort, les États-Unis prirent unilatéralement des mesures illicites de coercition contre la Corée du Nord, notamment (mais pas exclusivement) économiques, et obtinrent même la saisie (le vol) de fonds nord-coréens dans une banque chinoise.

En juillet 2006 la Corée du Nord procéda à plusieurs "essais" (démonstrations parfaitement au point) de missiles balistiques, dont l'un d'une portée de plusieurs milliers de kilomètres capable d'atteindre toute l'Asie, l'Europe jusqu'aux Alpes et l'Amérique du Nord jusqu'à la frontière canado-étatsunienne. Puis elle procéda à son premier essai nucléaire le 9 octobre 2006. Compte tenu de sa capacité balistique, récemment démontrée, de toucher le territoire étatsunien, elle fut immédiatement respectée, ce qui confirma la pertinence de ce programme. Un accord fut signé à peine quatre mois plus tard, le 13 février 2007, et le 27 février le renseignement étatsunien avoua au parlement avoir toujours su, en dépit des accusations proférées par son gouvernement, que la Corée du Nord disait la vérité en déclarant n'avoir pas de programme d'enrichissement d'uranium. Comme elle l'avait déclaré ses premières bombes étaient au plutonium, qu'elle n'avait jamais nié extraire de ses réacteurs nucléaires, en conformité avec le traité de non-prolifération. L'accord de février 2007 consistait essentiellement à un retour aux clauses du traité, comme demandé par la Corée du Nord, assorti de fournitures d'énergie (électricité et pétrole). Elle s'engagea aussi à fermer son réacteur nucléaire expérimental, et les États-Unis s'engagèrent à rendre les fonds confisqués, rétablir des relations interétatiques normales et retirer le pays de leur liste d'États "terroristes".

Il ne le firent cependant pas, tardèrent à restituer les fonds nord-coréens (ne pouvant toutefois les voler complètement puisqu'ils étaient en Chine), s'abstinrent de rétablir la normalité diplomatique et maintinrent certaines mesures de coercition. Aussi deux ans plus tard la Corée du Nord constata la caducité de l'accord, rouvrit sa centrale nucléaire fermée, annonça qu'elle allait désormais enrichir de l'uranium comme elle avait été si longuement et mensongèrement accusée de le faire, et procéda à un nouvel essai nucléaire le 25 mai 2009. Elle avait certainement déjà plus d'ogives nucléaires que l'Afrique du Sud a jamais possédé. À partir de là la Corée du Nord s'est engagée dans un sérieux programme d'armement nucléaire, et à partir de la fin 2012 dans une surenchère de déclarations réciproques d'intransigeance avec les États-Unis, mais aussi avec la Corée du Sud (révocation de l'armistice de 1953). La tension parut être à son comble en avril 2013, obligeant même la Chine à prendre des mesures contre la Corée du Nord pour retarder l'agression étatsunienne. Tandis que la politique nord-coréenne est restée constante grâce à la continuité dynastique et l'inébranlabilité institutionnelle, la politique étatsunienne est restée constante grâce à la permanence des fonctionnaires "faucons" par-delà l'alternance présidentielle de l'idiot à l'imprévisible en passant par le fourbe. La Corée du Nord a également testé avec succès au moins une bombe thermonucléaire, et les États-Unis ont annoncé en septembre 2016 qu'ils envisageaient de l'attaquer.

En septembre 2017 les États-Unis ont annoncé à l'Assemblée Générale de l'ONU (qui avait exclu la Yougoslavie pour bien moins que ça) qu'ils était prêts à détruire totalement la Corée du Nord, puis ils ont commencé à déployer en Corée du Sud leur système antimissiles balistiques capable d'abattre en phase terminale d'approche une riposte de quelques ogives (contre plusieurs dizaines il aurait fallu un système russe), et bien sûr à acheminer d'autres groupes aéronavals porteurs d'armes nucléaires. En fin d'année l'opinion sud-coréenne a subitement réalisé que les États-Unis ne bluffaient pas, qu'ils allaient attaquer la Corée du Nord avec des armes nucléaires comme annoncé depuis quinze ans. Le Japon proche aussi, connaisseur des États-Unis et des effets des bombardements atomiques, commença à s'y préparer. Il y eut alors une grande fébrilité médiatique et diplomatique sur l'ensemble de la péninsule coréenne, à l'initiative de la partie sud-coréenne soudain paniquée. Une ligne téléphonique rouge interprésidentielle fut mise en place entre Séoul et Pyongyang pour désamorcer d'éventuelles méprises militaires. Politiquement séparés, les deux États regroupent une seule nation artificiellement coupée. Fait remarquable, la Corée du Sud a instamment prié les États-Unis de surseoir à l'agression contre la Corée du Nord.

Le 28 novembre 2017 la Corée du Nord a testé avec succès un missile balistique de 13000 kilomètres de portée, donc pouvant toucher tout point du territoire étatsunien (en fait du monde entier moins l'Amérique du Sud), puis a déclaré être par conséquent une puissance nucléaire accomplie capable de dissuader ses ennemis. Elle a alors déclaré démanteler son site d'essais nucléaires. Le 1er janvier 2018 la Corée du Nord a annoncé qu'elle participerait aux Jeux Olympiques d'hiver en Corée du Sud, et effectivement en février les contingents des deux États ont défilé conjointement, sous un drapeau nouveau unique. Le président nord-coréen a souhaité rencontrer rapidement son homologue sud-coréen, et une commission intergouvernementale a préparé leur rencontre. En mars 2018 la Corée du Nord a arrêté le réacteur qui produisait son plutonium. Inquiète de perdre son rôle de médiateur et seul garant possible, la Chine a invité le président nord-coréen pour une première visite officielle de trois jours, fin mars. Finalement le 27 avril les présidents Kim Jong-Un et Moon Jae-In se sont rencontrés à Panmunjom, sur la frontière, ont signé une déclaration commune d'intentions pacifiques, abandonné immédiatement les actions hostiles réciproques, promis aux familles divisées l'ouverture du rideau de fer pour le 15 août, et annoncé un traité définitif de paix cette année pour clore la guerre de 1950-53. Oralement, Kim Jong-Un a même déclaré sa croyance en une réunification future. Une semaine plus tôt la Corée du Nord avait annoncé la fin de ses essais nucléaires, et confirmé sa conformité unilatérale (abandonnant l'exigence de réciproque étatsunienne) à feu le traité de non-prolifération, à savoir n'utiliser ses armes nucléaires qu'en réponse à une attaque nucléaire, et ne pas en communiquer la technologie à des pays tiers.

La Corée du Nord a fini par accéder au statut de puissance nucléaire qui devait la protéger des États-Unis, et qui s'avère surtout obliger les pays voisins à choisir leur camp, même le Japon pourtant ennemi immémorial de la Chine. En l'occurrence l'Asie retire son support à la lointaine deuxième puissance économique mondiale en déclin stratégique, et se rallie à à la première puissance économique (et bientôt monétaire) mondiale voisine. Quant aux États-Unis, toujours en besoin (mais jamais en manque) d'ennemi, ils se préparent à asséner leur ultime argument ailleurs.


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25 réactions à cet article    


  • zygzornifle zygzornifle 22 juillet 2018 08:25

    Mince alors les pharmacie avait commencé a stocker de l’iode en cas de radiations .....


    • Eric F Eric F 22 juillet 2018 09:59

      "Quant aux États-Unis, toujours en besoin (mais jamais en manque) d’ennemi, ils se préparent à asséner leur ultime argument ailleurs." En effet, dégel avec la Corée du Nord, et regel avec l’Iran


      • Dom66 Dom66 22 juillet 2018 12:52

        @Eric F

        Exact les USA en général frappe ceux qui n’ont pas la bombe nucléaire, ou les plus faibles.

        Si Kadaf avait eu la bombe, il serait encore là.


      • Stratediplo 22 juillet 2018 13:27

        @Eric F
        Et dégelée en préparation avec la Russie.


      • Stratediplo 22 juillet 2018 13:28

        @Dom66
        Avec une exception, la Russie qu’ils se préparent à frapper en dépit et même partiellement en raison de ses capacités nucléaires.


      • zygzornifle zygzornifle 22 juillet 2018 13:52

        @Dom66


        Si Kadaf avait eu la bombe, il serait encore là.

        Bien vu, il a été Kadafric pendant la campagne de Sarko ....

      • zygzornifle zygzornifle 22 juillet 2018 13:54

        @Stratediplo


        Tous ceux qui s’en sont pris a la Russie ont pris une dégelée , peut t’être qu’avec avec le réchauffement climatique les dés sont pipés ....

      • Dom66 Dom66 22 juillet 2018 21:08

        @Stratediplo

        Si ils veulent prendre la branlée de leurs existence, alors qu’ils essaient de frapper la Russie.


        Si votre pseudo est un amalgame de Stratégie et Diplomatique… !!! Il faudra changer, car je suis étonné de cet écris.


      • Stratediplo 22 juillet 2018 22:53

        @Dom66
        Votre étonnement ne me fera pas changer mon pseudonyme constant depuis vingt ans. Et si vous croyez qu’il n’y a qu’un seul centre de pouvoir aux Etats-Unis, que leur politique est toujours cohérente, qu’ils ne sont pas convaincus de pouvoir gagner un échange nucléaire, que leur renseignement stratégique est fiable, et qu’en cas de défaite assurée ils n’attaqueraient pas, c’est vous qui connaissez mal ce pays.


      • Dom66 Dom66 22 juillet 2018 23:14

        @Stratediplo

        Vous croyez que les amers loques (humaine) sont assez cons (ce qui est vrai dans un sens) pour penser que leurs beau pays ne serait pas vitrifié, par les missiles nucléaires Russes

        Je pense en espérant ne pas me tromper qu’une petite (très petite) quantités de tètes pensantes stopperont les va-t-en-guerre américons.

        Qu’ils prennent des bombes sur la tronche, eux qui en ont distribué sur les autres, ne me dérangerait pas trop, sauf pour mes amis Natives Amérindiens.

        Vous savez où se trouvent tous les sous marins russes ?



      • Dom66 Dom66 22 juillet 2018 23:25

        @zygzornifle


        « Tous ceux qui s’en sont pris a la Russie ont pris une dégelée »

        C’est exact mais chez eux la russophobie est à un niveau tellement haut qu’ils deviennent complètement fous et inconscients

        Le plus triste avec eux (les Ricains) c’est qu’ils aimeraient faire la guerres avec le sang des autres

        (Otan)


      • Eric F Eric F 23 juillet 2018 17:17

        @Stratediplo
        Il n’y a pas jamais eu de conflit militaire direct entre USA et Russie mais sur un autre terrain (Corée, Vietnam, Cuba...), s’il y a confrontation, reste à savoir où. Mais rien n’est certain, probablement Trump préférerait une détente, mais il est isolé dans son pays sur ce point (il doit démentir chez lui les propos qu’il tient devant Poutine) ; mais versatile et caractériel comme il est il peut aussi durcir les relations.


      • Stratediplo 23 juillet 2018 19:43

        @Eric F
        Non, il s’agissait de confrontations entre les Etats-Unis et l’URSS. La Russie n’a rien à voir sur le plan politique, de même que l’Italie n’est pas l’empire romain.

        Pour le lieu de la confrontation il n’y a déjà que l’embarras du choix parmi tous les théâtres où l’OTAN l’annonce, notamment Crimée, ex-Ukraine et surtout pays baltes. Cela n’exclut ni la Syrie ni le Caucase évidemment, les intentions comptent plus que le lieu...


      • Eric F Eric F 23 juillet 2018 21:41

        @Stratediplo
        Dans l’inconscient étasunien, la Russie poutinienne est en continuité avec l’URSS pour ce qui est de la géopolitique. Une confrontation en Crimée est inenvisageable, la population locale est favorable à l’annexion et l’accès militaire est difficile, l’occident proteste pour la forme mais a en réalité digéré le fait accompli. L’Ukraine est le terrain de conflit « de proximité » le plus probable, mais les russes on l’avantage du voisinage. Après ça, en Syrie ou ailleurs, on retombe dans les conflits à distance.


      • Oceane 22 juillet 2018 14:09

        @l’auteur

        « Le Pakistan première puissance nucléaire islamique »

        Les États-Unis, puissance nucléaire chrétienne ?

        La France, puissance nucléaire chrétienne ?

        Israël, puissance nucléaire juive ?


        • Stratediplo 22 juillet 2018 20:25

          @Oceane
          Qu’y a-t-il de chrétien aux Etats-Unis, hormis une minorité de la population ?

          D’autre part, la stratégie nucléaire anticités de bombardement des populations civiles ennemies à titre de représailles après défaite et sans espoir de changer le cours des choses est contraire au christianisme (doctrine de la guerre juste développée notamment depuis saint Augustin), ainsi évidemment qu’au droit coutumier de la guerre (jus in bello) qui en est issu, et au droit conventionnel contemporain (système ONU) qui est issu de ce dernier.

          En ce qui concerne le Pakistan, pour obtenir le financement séoudien de son programme nucléaire il l’appelait la bombe nucléaire islamique. Et l’islam n’a évidemment pas les retenues éthiques de la chrétienté ou du droit international moderne puisqu’il continue de prôner l’extermination, en particulier, des peuples qui refusent le tribut qu’il prévoit pour les « infidèles ».


        • Dom66 Dom66 22 juillet 2018 21:21

          @Stratediplo

          Tiens c’est curieux, moi qui connais bien les USA je peux vous dire que c’est partout

          « God bless » machin truc, et dans tous les tiroirs des motel il y a une bible…

          à par ça vous écrivez.

          « Qu’y a-t-il de chrétien aux Etats-Unis, hormis une minorité de la population » smiley


          Pas plus de cul béni que chez eux, et pourtant le 1er massacreur de la planète.

          Sachez que chrétiens englobe beaucoup d’églises de différente religions dites chrétiennes


        • Stratediplo 22 juillet 2018 22:48

          @Dom66

          Effectivement beaucoup d’Etatsuniens invoquent Dieu sans arrêt et à toutes les sauces, en lui demandant de bénir leur monnaie, leurs expéditions guerrières etc. ce qui montre justement qu’ils ne sont pas chrétiens. Qu’il y ait dans les tiroirs des motels le livre commun aux religions israélite, chrétienne et musulmane mais aussi adopté par tout un tas de sectes fondées par n’importe quel illuminé ne signifie rien. Quant au christianisme, c’est la doctrine enseignée par le Christ à ses apôtres et perpétuée depuis lors par la succession apostolique au sein de l’Eglise qu’il a fondée, qui a certes connu des divisions organiques restées en communion (tous les patriarcats d’origine apostolique) mais dont toute déviance doctrinale est excommuniée, c’est-à-dire exclue de la communauté. Un illuminé qui se déclare pasteur et professe, sans être intronisé par l’un des successeurs des apôtres, sa propre philosophie d’inspiration christique, fonde une secte, une religion ou ce que vous voulez mais pas une nouvelle branche de l’Eglise. Contrairement à ce que vous écrivez il n’y a qu’une seule religion chrétienne, même si un certain nombre d’autres obédiences disent l’être alors qu’elles ne sont pas issues de la continuité de l’Eglise.


        • Dom66 Dom66 22 juillet 2018 23:17

          @Stratediplo

          « Contrairement à ce que vous écrivez il n’y a qu’une seule religion chrétienne », ??

          Amen

        • Eric F Eric F 23 juillet 2018 17:20

          @Oceane
          Les institutions étasuniennes -et moins encore françaises- n’ont pas de références religieuses ...et le Vatican n’a pas l’arme nucléaire


        • Eric F Eric F 23 juillet 2018 17:22

          ceci dit on peut dire que les Etats Unis sont déistes, et la France a-religieuse.


        • mmbbb 22 juillet 2018 17:25

          «  La guerre de Coree n aura pas lieu » de Jean Giraudoux 


          • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 22 juillet 2018 19:27
            «  »La guerre de Corée n’aura pas lieu«  »... En effet, mais elle aura quand-même lieu sur d’autres territoires. Je vous rappelle que le président TRUMP est un authentique Visage Pale américain qui n’entend pas poursuivre le chemin de ses prédécesseurs, il s’éloigne des « sentiers obscurs de la Vieille Europe » et veut bien émanciper les populations américaines de la Sorcellerie mariannesque !
            Dès le début de la fausse crise entre les USA et la Corée du Nord, j’avais dit dans un message à monsieur Donald TRUMP « d’aller jusqu’à la réunification des deux Corée, ce qui est légitime et ce qui est le mieux pour le monde entier ». 

            • Dom66 Dom66 22 juillet 2018 21:24

              @Mohammed MADJOUR


              Putain je suis sur cul !!! Vous aviez dit à Trump !! il vous a répondu quoi au juste ???

              "Dès le début de la fausse crise entre les USA et la Corée du Nord, j’avais dit dans un message à monsieur Donald TRUMP « d’aller jusqu’à la réunification des deux Corée, ce qui est légitime et ce qui est le mieux pour le monde entier ».  smiley  smiley  smiley  smiley

            • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 23 juillet 2018 17:19

              @Dom66

              Il a fait exactement comme j’ai dit : Il va aider les deux Corée jusqu’à leur réunification ! 

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