« La science et la pratique écologiques » n’est pas « La comédie française »
Un sujet d’actualité qui montre une grave érosion de l’esprit de responsabilité, individuel, collectif, national et international. J’ai suffisamment expliqué dans mes articles de 2009 et 2010 :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/adieu-la-banquise-vive-le-66430
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/retrospective-future-voici-un-67493
… à l’occasion et après le « sommet de Copenhague » que la France avait déjà voulu piloter, mais aujourd’hui je sens encore la nécessité de dire les choses autrement en voyant les responsables français faire du porte- à-porte, en plus de leurs activités souterraines habituelles, afin de « sensibiliser » les pays sur la supercherie politicienne du « danger du réchauffement climatique », en prévision de la tenue de la « conférence de Paris en décembre 2015 » que je conteste avec l’énergie la plus propre et avec des arguments les plus écologiques.
J’ai, par le passé redéfini ce qui est appelé « démocratie » en insistant sur tout ce qui enrobe ce terme rendu bâtard par son abusive utilisation, j’ai notamment déblayé tout ce qui s’y rattache comme la « liberté », les « devoirs » et les « droits » qui en découlent et par conséquent la « nature du pouvoir politique ». L’humanité étant à ses limites du désordre acceptable, une refondation s’impose et elle se fera en abandonnant la fausse histoire, la fausse culture et bien évidemment l’idéologie de domination qu’elles avaient véhiculée par le passé, afin d’assoir solidement la conscience humaine sur des valeurs plus saines et plus intelligentes, celles qui sont conformes au niveau intellectuel de l’humanité du XXIe siècle. Je développe dans ce qui suit la Science et la nécessaire pratique écologiques qui seront désormais la culture et le développement des sociétés humaines et non pas le sujet de dissertations des responsable politiques et de leur entourage ignorant. « L’écologie » est la reforme nécessaire d’une « économie » dépassée ; elle préconise d’abord l’évaluation intelligente des richesses humaines et naturelles, elle contraint ensuite à l’utilisation rationnelle de ces richesses dans chaque pays en les protégeant des prédateurs hors la loi et en investissant pour le bien collectif ; ce qui permettra une coopération internationale sereine et intelligente.
S’agit-il de la « faute », elle est bien définie et le « coupable » qui l’a commise est assurément identifié, mais qu’un pays comme la France puisse prétendre proposer la « réparation » en culpabilisant les peuples du monde au lieu de se remettre en cause elle-même, voilà qui devient réellement problématique quant à la suite même des événements planétaires à venir. « L’approche du problème » est déjà trompeuse, car il ne s’agit pas uniquement du chamboulement du « climat naturel » forcément subi par la Planète et par les humains, il est surtout question du « climat des affaires noires » créé par une minorité humaine hors la loi et qui menace la majorité humaine qui ne sait plus quoi faire ! Voyons d’abord la supercherie politicienne de plus près : soixante réacteurs nucléaires pour 65 millions d’habitants voilà qui fait une moyenne d’un réacteur pour un million d’individus. Respecter cet ordre des choses dicté par la France, serait d’affecter 300 réacteurs nucléaires (300) aux USA mais ils en ont 104 ; il faudrait 1400 réacteurs pour la Chine mais elle en a seulement 13 et sensiblement le même nombre de réacteurs (1400) pour l’Inde lorsqu’elle n’en possède que 16 ! Sans évoquer d’autres chiffres (à quoi bon ?), la France est actuellement le troisième consommateur-utilisateur de pesticides au monde pour un territoire minuscule à côté de la Russie, de l’Amérique du Nord USA et Canada, de la Chine, de l’Inde, de l’Australie et de bon nombre d’autres espaces géographiques plus vastes et plus peuplés ! De la surproduction de l’énergie et de son utilisation abusive, de la politique agricole irresponsable et polluante à l’industrie agroalimentaire de l’apocalypse on retient de « l’exemple français » tout ce qui peut expliquer l’échec humain global, c’est-à-dire tous les fléaux qui menacent la Planète Terre : L’égoïsme, la surproduction, la frénésie à la consommation sans modération, la non-retenue, le gaspillage criminel, les comportements hors la loi et irresponsables, le manque de solidarité et la volonté de domination.
La Terre n’en peut plus, il est vrai, mais elle n’en peut plus à cause de la culture européenne répandue depuis plusieurs siècles par l’Europe occidentale et ensuite par le « Bloc occidental » qu’elle a formé avec tous les pays qui lui sont assimilés politiquement et culturellement. Plusieurs siècles d’industrialisation et de développement infernal ont dévasté la Nature, provoqué la monstrueuse pollution, desséché les réserves d’eau douce, dénudé les forets, chamboulé la configuration géographique et détruit tous les écosystèmes. Le ciel n’en peut plus, mais c’est aussi à cause de la folie et à cause de la folle ambition de l’Occident qui a déposé toutes sortes de carcasses métalliques au dessus de nos têtes en effectuant avec ses fusées les allers et les allers-retours les plus polluants. En homogénéisant la culture, en imposant le seul « modèle économique occidental » à l’ensemble des pays, l’Occident a provoqué en deux siècles la disparation de richesses naturelles qui pourtant devaient rester inépuisables si leur utilisation était rationnelle ! La France est l’exemple dans tout cela, mais c’est aux humains de voir si elle est « le meilleur exemple à suivre » ! Le danger nucléaire permanent ; la pollution chimique et radioactive des terre, des mers, des océans ainsi que du ciel ; la destruction irréversible des écosystèmes et donc enfin de compte, la remise en question du devenir de l’humanité est « l’œuvre de l’Occident » ! La France à elle seule, compte tenu de sa singularité historique, endosse entièrement la responsabilité d’avoir pollué les esprits en interprétant faussement des cultures et des religions, ce qui évidemment à contribué à la dispersion et à la destruction de sociétés ! Il s’agit de reconstruire la conscience humaine avant même de songer à « sauver la Terre »…
En basculant vers la mondialisation sauvage de l’argent au début de ce siècle de tous les complots, les humains ne se doutaient pas qu’ils allaient perdre des acquis qu’ils avaient arrachés au temps où « la science économique » avait encore un sens et une réalité. Si l’humanité avait su éviter le piège de cette mondialisation bâtarde et opté pour l’universalité du savoir et des valeurs, elle aurait du coup abandonné l’archaïque économie et initié une plus intelligente écologie ! Si l’économie consistait en la gestion et l’administration des biens pour un meilleur investissement et dans le but d’une meilleure prévision, le passé l’avait bien permis parce qu’il y avait encore de l’abondance, un peu de discipline collective et peu de gourmandise ; aujourd’hui que la Terre parait surpeuplée et surchargée à cause des comportements hors la loi à tous les niveaux des sociétés et à l’échelle mondiale, à cause notamment des individualismes et des égoïsmes effrénés, l’écologie devient nécessairement la science de la conscience et de la responsabilité ; elle ne se contentera pas de gérer de manière domestique les dernières richesses terrestres qui font l’objet de tous les calculs et de toutes les convoitises et ce qui provoquent des conflits, elle le fera dans toute la rigueur de la législation. L’écologie doit être l’essence du pouvoir politique d’aujourd’hui et de l’avenir parce qu’il faut redéfinir et gérer en permanence les relations des individus avec leur milieu dans le seul but de produire et de consommer avec le maximum d’intelligence et avec un esprit de responsabilité individuel et collectif. Le développement est un droit pour chaque individu et pour chaque peuple, le bien être individuel et collectif est une aspiration légitime et indiscutable, mais dans le monde d’aujourd’hui où la malice décide à la place de l’intelligence, la paix au sein des nations et dans l’ensemble des Continents ne sera jamais durable si on ne procède pas dans l’urgence à une transition du désordre et de l’anarchie, vers les comportements rationnels et la culture écologique : Le monde entier qui aujourd’hui fabrique tout et consomme tout, doit admettre cette définition que je colle à la science et à la pratique écologiques nécessairement universelles : je dis que la liberté humaine (qui est un désordre utile) doit être permise mais doit évoluer avec un minimum de désordre, c’est-à-dire pour les scientifiques les plus pointus, avec une consommation d’énergie raisonnable ! Cela doit se traduire dans chaque pays par des décisions concrètes qui privilégieront des services publics suffisants et efficaces afin de limiter les initiatives individuelles et dévastatrices. Pas d’affolement, commençons d’abord par les précisions qui s’imposent : Le bien-être (la santé, l’habitat, l’alimentation, l’habillement, la mobilité, la liberté et les loisirs et l’inévitable superflu) n’est plus le seul privilège occidental, sept milliards d’individus en demandent aujourd’hui. Mais le bien-être exige le travail individuel et collectif, c’est-à-dire la permanente boucle de la production de l’énergie et sa consommation. Or jamais le monde n’a été aussi injuste parce que l’énergie produite par tout un peuple est généralement consommée ou gaspillée par une seule infime minorité pour la seule raison que les responsables politiques sont en désertion ! Dés lors que tous les équilibres sont rompus, la société fonctionne de manière aléatoire et souvent dans tous les excès et les dépassements, ce qui revient à dire que le monde est devenu une véritable aberration ! Scientifiquement parlant pour compléter la définition ci-dessus : Le désordre social incontrôlé, à la place d’une organisation sociale harmonieuse, est synonyme de gaspillage de l’énergie, autrement dit de faillite mondiale. Ne pensez surtout pas qu’il y a de la naïveté dans ce que j’énonce et dans ce que je dénonce. Les pays les plus développés le sont par un bien-être individuel et collectif, par le sentiment d’être gouvernés par l’application des lois, par une solidarité nationale effective, par l’assurance qu’ils ont leur part dans leur Patrimoine national, par une santé publique efficace, par les services publics qui s’adaptent et se modernisent, par une culture accessible à tous, par une liberté réelle de faire ce que l’on veut tant que l’on ne porte pas préjudice à autrui… Mais ces pays n’ont pas empêché les dérives idéologiques, politiques ou occasionnellement stratégiques qui les empêchent aujourd’hui de progresser. Rattrapés par leurs histoires, les pays occidentaux qui ont amassés des patrimoines illégitimes en dévalisant les Continents comprennent aujourd’hui qu’ils avaient tout le temps vécu au dessus de leurs moyens en même temps qu’ils se rendent compte que les cornes d’abondance ont disparu comme ont disparu les dinosaures… D’un autre côté, les pays les plus médiocres le sont à cause de la misère qui ne s’explique pas parce qu’ils sont des réservoirs de richesses naturelles, à cause des régimes politiques irresponsables qui n’évoluent pas, à cause des mentalités et des comportement hors la loi qui empêchent la solidarité et la construction nationale mais aussi à cause des ingérences étrangères venant des pays qui aiment vivre de la détresse humaine. Les plus développés et les plus misérables naturellement bien distincts, sont pour autant noyés dans une même mondialisation qui les incommode indistinctement en épargnant la seule catégorie de grands malades milliardaires apatrides qui ont la manie et la patience de se donner au vol et au détournement des richesses nationales qu’ils transforment en fortunes personnelles avec la puanteur qui les embaume et avec la totale complaisance des pays qui les hébergent ! Les économies nationales traditionnelles, du niveau de l’intelligence des grand-mères, en tolérant par faiblesse et par ignorance l’intrusion du privé dans les affaires nationales, n’avaient pas alors senti le danger qui allait produire la faillite humaine dont le constat réel d’aujourd’hui est celui-ci : Le pouvoir de l’argent qui n’endosse aucune responsabilité politique, a réussi à détruire le pouvoir politique qui se retrouve aujourd’hui sans argent et ainsi les milliardaires du « monde libre » décident à la place des Etats-nationaux épouvantails dans une ambiance nauséabonde d’un leurre démocratique retentissant. Il n a pas fallu longtemps pour voir se produire la collusion et la complémentarité entre les riches occidentaux et les riches du monde idiot, ce qui a donné naissance au paradis fiscaux où se concentrent les fortunes diaboliques qui puent la sueur et le sacrifice du prolétariat mondial ; les conséquences ici et là sont naturellement proportionnelles au degré du désordre et de l’anarchie de chaque pays considéré, mais une « uniformisation » est en cours… La démocratie occidentale est un « leurre démocratique », elle n’a tenu que parce que les nations européennes avaient longtemps drainé toutes les richesses planétaires vers leurs territoires qui ont ainsi bénéficié d’un développement rapide et durable… Le leurre démocratique n’a servi finalement que les intérêts obscurs d’un « Empire clandestin » qui est aujourd’hui démasqué par l’anarchie et les remous de la mondialisation ! Les populations jadis assoupies par une consommation abondante et à moindre frais, finiront par se poser des questions lorsque le besoin sera leur quotidien, et nous y sommes déjà ! Tout le monde comprend alors que la mondialisation admise et assumée appelle au partage de la médiocrité par tous et non pas seulement au détournement et à l’investissement des richesses planétaires par quelques pays intelligents au détriment des pays qui ne comprennent rien, si toutefois « sauver la Terre » devrait avoir un sens acceptable et un but légitime !
Voilà pourquoi il n’est pas permis de parler « d’écologie » avec une légèreté toute française qui veut (encore une fois) rassembler le monde entier à Paris non pas dans le but de « sauver la planète » mais juste de soigner « l’image de la France » !
« Le combat écologique » est un combat éminemment scientifique, il est celui des individus honnêtes soucieux de reconstruire une conscience humaine aujourd’hui fortement polluée suite au passage du « monde ancien » vers la « mondialisation » du superflu et de l’extravagance et du gaspillage ; il est certainement du ressort de l’ensemble de l’humanité, mais il relève automatiquement de la responsabilité des Nations Unies ; ce combat n’est pas celui qu’on veut faire croire et qui accuse le seul « effet de serre » qui n’a pas un fondement scientifique solide et qui dit-on, réchaufferait dangereusement la Planète, non, il est au contraire un combat pour la légitimité juridique à l’échelle mondiale qui doit réhabiliter la plus noble des valeurs qui a permis et qui permet encore aujourd’hui assez difficilement la cohésion sociale, je veux dire la justice, c’est-à-dire le respect et l’application des lois justes ! Ce combat, s’il veut « sauver l’humanité » n’est pas celui de la seule France et ne se fera pas seulement en France et pour la France, il doit se dérouler au sein de toutes les sociétés avec les mêmes méthodes et pour le même objectif : « Appliquer les lois pour assurer une meilleure justice sociale » !
Il est tout à fait opportun aujourd’hui de poser la question et le devenir de l’ONU qui pourrait même retrouver son origine de « Société des Nations », parce qu’il convient aussi d’abandonner les rêves de domination planétaire et les utopies coûteuses afin de réhabiliter les Nations dans leur totale souveraineté, avant même de chanter hypocritement à « sauver la Terre » ! Ce faisant, il est impératif de renommer et de redéfinir la responsabilité et les prérogatives de la « Société des Nations » en rappelant le fait que puisque les pays adhérent, cotisent et participent à son fonctionnement, ils doivent aussi bénéficier de « ses services » : Aujourd’hui, l’ONU et l’ensemble des ses succursales appelées pompeusement « institutions internationales » ne sont que des administrations occidentales qui travaillent pour les seuls intérêts occidentaux ! Les jeux sont faussés dès l’origine c’est-à-dire, tout à commencé par l’implantation stratégique des différentes « administrations » dans les pays « soigneusement choisis » et ensuite par la désignation ou par l’élection périodique de chaque « secrétaire général » ou de chaque « directeur » qui est « nécessairement », dans la plus part de cas, un « sous-développé », (Une malice qui a fini par atteindre même le Vatican). Ceci n’est pas parce que les voix de ceux qui sont constamment en voie de développement mais n’y arrivent jamais, sont plus nombreuses, mais c’est parce qu’il est plus facile de contrôler et d’influencer un « fonctionnaire tiers-mondiste » par les fonctionnaires occidentaux ! Toutes les résolutions accouchées à l’ONU sont à l’encontre des pays tiers-mondistes, à croire que l’Empire du véto ne commet jamais de fautes !!!
Quelques exemples suffisent : « Interpol » peut bien pourchasser des voleurs a la tire à Villeurbanne parce qu’elle est confortablement installée dans la tranquillité de la « Tête d’or », mais elle ne se soucie pas des « hémorragies économiques » provoquées dans les pays lointains par des hors loi qui remplissent les caves d’Ali Baba suisses avec les milliards volés aux misérables peuples. « L’Unesco » parisienne s’empresse de classer au « patrimoine mondial » tout ce qui est proposé au classement par la France parce que des fonds sont récoltés et utilisés pour la restauration, l’entretien et l’utilisation touristique de tout ce qui est « classé ». Des fonds qui proviennent notamment des pays qui ignorent ce qu’est un patrimoine national, qui n’ont pas d’activités culturelles à proprement parler, qui ignorent ce qu’est un vestige historique, qui ne cherchent pas à savoir ce que veulent dire et raconter des sites archéologiques abandonnés et volontairement utilisés comme des toilettes publiques ou comme des dépotoirs d’ordures… « L’Unesco » parisienne, par ailleurs ne s’émeut jamais des échecs de l’éducation mis en place et conduits par des régimes obscurs … Et que dire de ces « TPI » ou des ces « CPI » qui, dès leur naissance ont accordé l’immunité aux criminels occidentaux !
Quand des millions d’individus constatent chaque jour qu’il devient de plus en plus difficile de sauver leur vie, de sauver leur bien, de sauver leur travail ; qu’il est de plus en plus problématique de songer à leur avenir qui leur a été volé par des hors la loi qui sont sous la protection de la France et de l’Occident, je doute qu’ils aient l’envie de « sauver la Planète » pour qu’elle devienne dans peu de temps le paradis fiscal d’une minorité de la « Nouvelle noblesse d’argent » qui exploitera une majorité de la « Nouvelle humanité de l’esclavage moderne » !
C’est parce que l’écologie est une science et qu’elle n’a pas de frontières qu’il ne faut pas la laisser s’interpréter par des malhonnêtes ou par des ignorants d’autant plus qu’aujourd’hui elle doit dicter toute sa rigueur afin de ramener à la raison non pas un pays mais le monde entier. Un seul pays qui « balaie devant sa porte » doit comprendre que la « propreté physique et mentale » consiste non pas à jeter sa saleté au loin, car aujourd’hui il n’existe pas « d’espaces lointains », mais à ne pas en produire de manière irresponsable ! J’avais déjà dit par le passé à l’intention de ces intellectuels français qui ne comprennent pas : « Vive la république, mais changeons d’abord les comportements ». Un seul pays qui gaspille les richesses et refuse de se conformer aux lois et aux valeurs humaines doit comprendre qu’il entrave la marche du monde et nuit à l’ensemble de l’humanité ! J’avais rappelé des milliers de fois à l’intention des intellectuels algériens les plus absents de la Terre : « un pays hors la loi ne peut rien concrétiser » !
A l’État français qui pollue les esprits et emploie la Science humaine à des fins peu honorables et au régime algérien hors la loi qui développe la seule activité de la corruption généralisée et transforme les richesses naturelles en montagnes de saleté, j’explique ceci : L’écologie préconise à chacun un comportement responsable pour que les sociétés puissent vivre et se développer avec un minimum de dégâts, or ces deux points de nuisance, à Paris et à Alger, ont produit à eux seuls plus d’entraves à l’amélioration de la condition humaine et à la paix que l’ensemble de l’humanité ! Est-ce difficile à comprendre qu’il ne peut y avoir un meilleur rapport des individus et des peuples avec leur milieu, sans d’abord qu’il y ait de meilleures relations humaines et sociales au sein des Nations et au niveau international ? Ce qui m’amène à accuser les États perfides et les régimes hors la loi : PEUT–IL Y AVOIR UNE « SCIENCE ET UNE PRATIQUE ÉCOLOGIQUES » SANS L’INCONTOURNABLE « JUSTICE SOCIALE » ET SANS LE RESPECT DU « DROIT HUMAIN ET INTERNATIONAL ».
Tout ceci constitue « Mon combat » qui n’est pas et ne sera pas celui de la France ; il est écrit, détaillé, expliqué et publié sur le Web depuis 2001 à ce jour, suite au mépris des journalistes qui refusent sa publication ; j’ai voulu amener les États à accepter la « TRANSITION » et à décider le « REDRESSEMENT NATIONAL » afin de « RÉHABILITER LES LOIS ET LA JUSTICE » dans tous les pays et ainsi sauver ce qui peut l’être dans un monde anarchique et non pas « sauver la Planète »… Cette ridicule expression qui reflète le grave symptôme de la plus grande maladie humaine qui est l’orgueil et donc l’ignorance. La transition de l’état d’un monde plus que délabré à un autre plus serein, plus riche, plus juste et plus prospère, passe obligatoirement par la récupération des richesses nationales et des patrimoines accaparés par les hors la loi et qui constituent aujourd’hui un « monde parallèle » de l’argent sale qui empêche le monde réel des travailleurs terrorisés de vivre décemment et paisiblement.
Peuples d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et de partout, refusez de participer et de cautionner la supercherie politicienne de la "comédie française", jouée en plein tragédie mondiale dans le but malsain de protéger les pollueurs et les destructeurs de la Nature et de la nature humaine.
Mohammed MADJOUR.
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