Les femmes africaines et les « coups d’État » en ménage
C'est un phénomène qui devient de plus en plus une catastrophe sociale dans les couples d'origine africaine en Europe. Un jeune homme, par idéalisme africain, fait le choix d'épouser une fille du pays et se saigne financièrement allant de petit boulot à petit boulot, parfois pendant des années, pour faire venir son âme sœur en Europe. Il croit enfin réaliser son rêve de vivre avec sa princesse africaine jusqu'à la mort sans se douter que la jeune dame a ses propres objectifs. Le couple vit un, deux, trois ans, même plus sans que le jeune homme ne se doute de rien. Puis un jour, Madame décide de réaliser son rêve de "vivre libre". Elle va se débarrasser de son naïf de mari qui n'a rien vu venir.
Le scénario est généralement en trois phases, et c'est devenu un classique.
1. Première phase, la ruse pour obtenir les papiers de la maison
Tout d'un coup, Madame se montre d'une inhabituelle gentillesse. Ce qui lui permet d'obtenir de son mari à peu près tout : le contrat de location ou le titre de propriété du logement, les coordonnées bancaires, les coordonnées des caisses d'allocation familiale, des administrations fiscales (impôts et taxes), de l'assurance maladie ; les documents d'identité des enfants, les actes d'état civil (acte de mariage, acte de naissance,...), les documents scolaires des enfants,...
2. Deuxième phase : créer le pourrissement
Le mari, qui n'a toujours rien vu venir se retrouve face à une épouse invivable : crises de colère injustifiées, sorties inexpliquées, refus de faire les tâches ménagères, disputes à répétition, refus de sexe,... bref, un climat qui va obliger le mari à "sévir pour remettre de l'ordre". Et c'est là le piège !
Un soir, Monsieur revient à la maison, au besoin, après avoir pris quelques verres pour essayer d'oublier un peu ce climat familial devenu invivable. Madame saisit l'occasion pour provoquer une dispute sur n'importe quel sujet et pousse le « pigeon » à la colère. L'homme est tellement à bout qu'il va essayer de "secouer" cette dame. Un coup malheureux est vite parti et Madame saigne du nez.
C'est le jackpot !
Vite la police et des pleurs dans l'immeuble. "Mari violent, il me maltraite, j'ai peur pour ma vie,..." et toutes ces histoires. La police, par précaution, menotte le bonhomme qui n'a toujours rien compris en ce qui lui arrive. Destination commissariat de police. Tout de suite Madame se précipite au tribunal, et c'est la troisième phase.
3. Troisième phase : une ordonnance de protection
Les avocats, le procureur, les assistantes sociales, le médecin pour constater les lésions,... tout y passe. Et puis boom ! Une ordonnance de protection interdisant au mari d'approcher le domicile familial et d'avoir le moindre contact avec sa femme.
Du jour au lendemain, le pauvre mari « pigeonné », depuis le début, se retrouve dehors, dans la rue, squattant par-ci par-là. Madame, qui a rondement mené cette machiavélique opération durant des mois exulte !
Victoire !
Elle a gagné l'appartement/maison, les prestations sociales, l'autorité exclusive sur les enfants et la "liberté" !
La prochaine fois que quelqu'un vous parle d'aller épouser une femme en Afrique, dites-lui de se renseigner sur la mentalité de sa future épouse et de bien méditer "la perspective d'un Coup d'Etat", une fois cette femme en Europe.
Sur le fond et tout en veillant à éviter des généralisations abusives, on peut faire le constat que l'Afrique est dans un tel état de désordre socioculturel et de désorientation politique qu'il est difficile de trouver beaucoup de familles avec de solides valeurs morales et traditionnelles dans lesquelles les filles sont élevées pour devenir des "épouses de qualité".
Il faut du temps et de la patience... sur place.
Boniface Musavuli
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