• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > International > Maroc : Mostafa Terrab, un homme en or pour le Maroc

Maroc : Mostafa Terrab, un homme en or pour le Maroc

Au Maroc, il n’y a pas que des responsables laxistes ou corrompus, des juges véreux ou politiciens préoccupées plus par leur réélection que par l’avenir du pays et dont les élucubrations sont rapportées quotidiennement par la presse ; il y aussi des hommes compétents et intègres dans tous les secteurs et qui font avancer ce pays.

 Je présente donc, à travers cet article aux lecteurs d’Agora un homme que je considère comme une icône dans le pays qui allie, la compétence, la rigueur et l’intégrité morale parmi ceux qui font le Maroc d’aujourd’hui et prépare celui de demain. J’espère ne pas trahir la modestie de M Mostafa Terrab en lui consacrant cet article sur Agoravox. Je sais que partout dans le monde, des hommes d’affaires, des directeurs d’organismes publics parfois avec des parcours et des profils modestes, « entretiennent » comme on dit leur image avec des interviews souvent commandés ou des portraits dans la presse plus ou moins inspirés. M Mostafa Terrab lui, travaille pour son pays dans la discrétion. Que la modestie de l’homme excuse donc mon intrusion car je considère que son exemple mérite d’être relaté. Cet article est donc en phase avec mes participations sur ce site et qui « visent à donner un autre regard sur le pays, ses hommes, ses femmes et ses institutions ».Parler de cet homme est d’autant plus pertinent que le pays est atteint lui aussi par le populisme ; ce travers de la démocratie qui commence à imprégner la vie politique de notre pays. 

En effet, le Maroc n’échappe pas aux dérives démocratiques et ses travers populistes qui ont conduit par exemple des pays d’Europe à une grave crise économique. En effet, d’une part les partis au pouvoir sont obnubilés par leur réélections et font tout -surtout du populisme- en essayant de satisfaire autant que possible les revendications catégorielles et en retardant ou en se passant des réformes nécessaires avec notamment l’élimination des recours massifs à la dette pour financer l’économie mettant ainsi en otage l’avenir des générations futures ; quant aux partis de l’opposition, ils sont là pour applaudir tout échec du gouvernement donc du pays d’autre part.

Au Maroc, ce travers démocratique est atténué cependant par le pouvoir royal qui continue à garder la main sur le choix des dirigeants d’entreprises nationales et d’établissement publics stratégiques comme l’Office Chérifien des Phosphates. Un profil tel que celui de Mouhsine Terrab n’aurait peut-être jamais pu éclore dans un régime de partis qui de par sa nature privilégie plus l’affiliation partisane à la compétence.

Un solide itinéraire universitaire, académique :

 Né en 1955 Mostafa Terrab est titulaire en 1990 d'un doctorat d'État en Recherche Opérationnelle du Massachusetts Institute of Technology (MIT, Cambridge, USA), d'un master en ingénierie dans le même institut (1982), M. Mostafa Terrab est également titulaire d'un diplôme d'ingénieur de l'École nationale des Ponts et Chaussées de Paris (1979). Il a été professeur assistant et chercheur au MIT de septembre 1986 à août 1989 et consultant au laboratoire Draper de Cambridge au Massachusetts de septembre 1989 à juillet 1993.

Il a été professeur assistant au Rensselaer Polytechnic Institute, Troy à New-York, dans les départements des sciences de la décision et des systèmes d'ingénierie et d'ingénierie civile et environnementale.

En 1992, M.Mostafa Terrab a été chargé de mission au Cabinet Royal, il a été nommé, le 9 février 1998, Directeur Général de l'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT) avant de diriger le programme “Information pour le Développement” (Info Dev) et d'occuper la fonction de Principal spécialiste de la Régulation à la Banque Mondiale d'avril 2002 à février 2006 date à laquelle il a été nommé par le Roi MohammedVI, Directeur Général de l'OCP l’Office Chérifien des phosphates le 15 février 2006.

Ses empreintes sur les télécoms et les phosphates :

Dans les télécoms :

Au Maroc, il a mis en place et a dirigé l’Agence National de Réglementation des Télécommunications. D’après une analyse du journal  TELQUEL en tant que « directeur de l’ANRT a toujours préféré convaincre de sa vision en usant d’arguments implacables, plutôt que de provoquer des ordres qui “viennent d’en haut”. Même s’il jouissait de la confiance de Hassan II, il n’a eu recours à son arbitrage qu’une seule fois. “On ne pouvait pas le déranger à tout-va, mais là l’intervention royale était nécessaire”, explique un ancien cadre de l’ANRT. A l’époque, le ministre des Finances, Fathallah Oualalou, budgétise la future licence pour un montant de 100 millions de dirhams. Un chiffre ridicule qui, inscrit dans une Loi de Finances, enverrait un message négatif aux soumissionnaires. “Suite à l’intervention de Hassan II, la ligne budgétaire a été augmentée à 400 millions de dirhams”, poursuit notre source. Au final, la deuxième licence est payée 1,1 milliard de dollars, grâce à la transparence d’un processus conduit habilement par Terrab qui crée une surenchère parmi les candidats à l’aide d’un système de notation ingénieux (bonus de 10% accordé à la meilleure offre financière). Le montant surprend tout le monde. Y compris le directeur de l’ANRT, qui s’attendait à obtenir 700 à 800 millions de dollars. »

Il a pu ainsi jeter les bases de la régulation économique et juridique du secteur des télécommunications au Maroc. Une étude réalisée par l'UIT( l’union Internationale des télécommunications) a présenté l'agence l’ANRT comme « un modèle réussi de régulation dans un pays en développement ».

 Quand il a constaté que le processus de libéralisation tel qu’il l’a été conçu est dévié quelques années plus tard et suite à un diffèrent d’appréciation avec le gouvernement de l’époque, il n’a pas hésité à démissionner et repartir ensuite aux USA. Il a créé de ce fait, un précèdent dans le pays car les responsables nommés par Dahir par le Roi ne peuvent présenter leur démission mais seulement demander à être déchargés de leurs fonctions. Il rejoint ensuite, la Banque Mondiale qui voulait faire de l’expérience marocaine en matière de libéralisation des télécoms un exemple à suivre par d’autres pays en voie de développement.

A la direction de l’Office Chérifien des Phosphates :

Dans un ouvrage intitulé « L’ambition au cœur de la transformation : une leçon de management venue du Sud » écrit par Pascal Croset (consultant) et édité chez Dunod il est fait état du fait que sous l’impulsion de Mostafa Terrab, l’OCP est passé « d’une entreprise sclérosée, endettée et largement déficitaire, elle va devenir un leader mondial en pleine expansion économiquement très rentable".

 Parlant de ce livre, le journal marocain L'Economiste précisait que « Oui, il est de fait particulièrement rare de trouver des travaux qui mettent en valeur des expériences managériales dans des entreprises du Sud susceptibles d’être une source d’inspiration et de diffusion des bonnes pratiques car, en matière de gestion, le verbe gérer est souvent conjugué à tort et à travers. Le plus souvent, dans ce domaine, passablement éculé et redondant du management, la « vérité », assénée par les médias, les organisations internationales, les consultants, les gourous, les chefs d’entreprises et les auteurs de best-sellers, vient du Nord et s’impose à tous comme idéal à atteindre et modèle à reproduire. Trop souvent le management a été réduit à des recettes de cuisine, des normes rigides et des schémas sophistiqués sur le papier et parfaitement incapables de remplir sa fonction primordiale qui est d'aider à produire de la richesse créatrice d'emplois et d'opportunités pour servir les hommes. De là, ma méfiance vis-à-vis des donneurs de leçons de management, surtout quand ils oublient le contexte, la culture, les finalités et le sens. »

En fait, l’auteur évoque l’incroyable transformation de la première entreprise du Maroc, l’Office chérifien des phosphates (OCP), acteur stratégique et mondial dans une activité industrielle hautement concurrentielle et sensible. L’ouvrage est le récit d’une aventure managériale, avec ses difficultés, ses heurts et ses rebondissements. Mais il nous donne aussi les clés de compréhension d’un processus d’une extraordinaire complexité : celui de la transformation radicale, improbable et réussie d’une entreprise pourtant figée et sans marge de manœuvre apparente. Pour l’éditeur « Cette leçon de management, techniquement audacieuse et conceptuellement novatrice, saura parler aux dirigeants et aux managers animés de la volonté de peser sur le cours des événements. Elle vient d’un de ces pays dits « émergents », pays qui ouvrent des voies nouvelles, y compris dans le management, jusqu’ici dominé par des standards anglo-saxons ».

Concrètement, M Terrab a réalisé une mutation en profondeur, avec une réduction massive des coûts, entre 30 et 40 %, et l'augmentation des capacités de production de 30 à 50 millions de tonnes à l’horizon 2017 afin de répondre au déséquilibre entre l'offre et la demande faisant de l’OCP le troisième pourvoyeur du pays. Et contrairement à ce qu’avance la presse algérienne les phosphates extraits de la seule mine qui existe au Sahara ; celle de Boucraa à Layaoune ne représente en tonnage que 2% de la production marocaine et 6% des ventes. Disposant actuellement de plus de 50% de réserves mondiales et avec le déclin des réserves mondiales, le Maroc est appelé à disposer de 80% des réserves mondiales vers 2020.

La construction à Jarf Ksfar de quatre nouvelles usines de fertilisants DAP (le plus courant) et MAP (phosphate mono-ammoniaque), d'une capacité de 1 million de tonnes par an chacune, permettra par ailleurs au Maroc de tripler sa capacité de production d'engrais. Celle-ci devrait atteindre 9 millions de tonnes d'ici à 2020. Avec les augmentations des tonnages exportés, les exportations des phosphates et dérivées qui représentent déjà plus 20% de l’ensemble des exportations marocaines sont susceptibles d’atteindre plus de 30% à l’horizon 2020. Voir sur cet article récent la stratégie gagnante de l'OCP.


Moyenne des avis sur cet article :  3.67/5   (9 votes)




Réagissez à l'article

14 réactions à cet article    


  • claude-michel claude-michel 18 mars 2014 10:16

    Il ne peut exister que par la volonté du roi.. ?

    Alors en quoi (dans ce système corrompu) serait il un exemple pour le peuple marocain.. ?
    J’ai des doutes... !

    •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 18 mars 2014 10:57

       C’est sa formation académique et sa compétence qui ont pérmis aux chasseurs de tétes du Cabinet Royal de faire appel à lui. Des marocains enseignents chercheurs aux MIT aux USA ne courent pas les rues.

      D’autres comme lui, se sont révélés performants mais certains heuresement pas nombreux non et meme en prison pour mauvaise gestion et corruption.  

    • claude-michel claude-michel 18 mars 2014 11:23

      Par M Takadoum alias Bouliq....N’avez vous pas peur que ses compétences ne servent en réalité que le roi..Peut être avez vous un miroir déformant.. ?


    • popov 18 mars 2014 13:00
      @Bouliq

      Des gens compétents comme Mostafa Terrab et en plus honnête et désintéressé, c’est rare dans ce monde.

      Chapeau.

      • FYI FYI 18 mars 2014 17:07

        Cette entreprise publique, L’OCP n’est pas basé sur la méritocratie, y compris avec votre gourou (vous auriez du au moins parler de l’influence de sa famille).

        En effet, il y a eu un mouvement consistant à l’amélioration de l’appareil productif, et en particulier du système d’information (l’informatique).

        A ce titre des recrutements de cadres de haut niveau ce sont vite fait ressentir, mais malheureusement à part des « français de souches » qui et c’est le plus drôle ne sont pas acceptés à Paris même, et on la particularité d’avoir « les yeux bleus » (NDLR je reprends les termes des marocains autochtones), or les vraies experts ont comme à l’habitude dans ce pays de bras cassé eut la possibilité de participer à cette évolution de façade, car il faut être clair, l’OCP a un monopole de faite, ce que les clients internationaux exigeaient (et quelle obligeance) de devenir une entreprise productive et de qualité en améliorant leur rendement et de fluidifier leur système d’échange et l’automatiser au maximum afin d’en diminuer les frais de structures. Cette exigence a été la même pour la Banque du Maroc (Bank Al Magrib), l’ONA (la vache à lait du palais) etc ...

        Que vous soyez béa devant ce faux modeste me laisse à penser en lisant votre fiche de présentation que vous en attendez peut-être une lettre de mission si j’avais l’esprit mal tourné, mais c’est très coutumier dans ce bled de clientéliste.

        A part Paris, New-York, La Californie et Londres, il est très difficile d’être retenu pour ses seules compétences, donc la méritocratie, y compris à Casablanca, mais qui c’est, elle se prétend être le Paris Blanc ...


        •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 18 mars 2014 18:12

           Vous etes libre de penser ce que vous voulez de mon article mais je ne vous permets aucune insinuation.

           
          Je suis sur ce site pour prendre le contre-peids des dénigreurs de ce pays (présenter, ses défis ses hommes et femmes ; voir mes differents articles et mon profil). Pour ce, je suis réguliérement traité de« makhzanien » du palais entre autres.
           
          Des managers de moindre envergure sont mis réguliérement en valeur par la presse locale, pas M Terrab. C’est ce que j’ai éssayé de corriger à travers cet article.

        • popov 18 mars 2014 17:15

          @FYI


          Je ne sais pas s’il a été nommé à son poste à cause de ses compétences ou de ses relations familiales.
          Mais il faut reconnaître qu’il a un CV académique et professionnel impeccable.

          •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 18 mars 2014 19:10

            @Omar33,


            Je te rappelle que cet article traite de l’étinéraire d’un manager et non de la politique phosphatiére du pays, je ne suis donc pas le ministre marocain de l’agriculture qui a certainement ses arguments pour répondre à ta preméire question.

            Concernant la transformation des phosphates ; le pays en fransforme ce qu’il peut en fonction de ses capacités fianciéres et techniques.Cette transforamtion est en train de tripler.

            Pour les phosphtes du Sahara il ne représente que 2% en tonnage et 6% des ventes comme je l’ai signalé dans l’article avec un lien.

            Contrairement à ce que tu pense, le peuple profite des phosphates à travers les versements des revenus au budget de l’etat et le fait que l’OCP le troisiéme pourvoyaeur de devises du pays.

            Enfin il faut signaler que les phosphtes ne représentent qu’ un peu plus de20% des exportations marocaines alors que pour les pays arabes exportateurs de petrole celui-ci représente 95% voire 98% des exportations. 

            • Werner Laferier Werner Laferier 18 mars 2014 21:55

              Bon courage au Maroc, état progressiste qui va dans le bon sens, il faut cependant que les marocains contribuent à la lutte contre le terrorisme, de nombreux terroristes et fugitifs venant du Maghreb menace la sécurité des États Unis d’Amérique, j’invite le Maroc à les combattre.


              • Werner Laferier Werner Laferier 19 mars 2014 15:24

                Commentaire risible, les drones par leur efficacité tue davantage de terroristes et font moin de bavures. Les drones sont une réussite technologique.
                On ne peut guère considérer les bavures comme des crimes ou du terrorisme, l’intention des USA et de ses alliées n’est pas de tuer, mais de protéger et d’aider les gens à vivre plus librement.
                Inquiétez vous des victimes en Syrie, en Crimée, en Iran, ect...


              • popov 19 mars 2014 17:42
                @Werner Laferier 

                les drones par leur efficacité tue davantage de terroristes et font moin de bavures. Les drones sont une réussite technologique.

                Oui, c’est bien les drones. Pour le moment c’est uniquement la CIA qui les utilise. Mais la technologie n’est pas ultra-compliquées et des drones assez efficaces pourraient facilement être fabriqués par des bricoleurs. On peut donc envisager un avenir où un grand nombre de mécontents maîtriseront la technologie et sauront sur qui l’utiliser. Le minuscule petit nombre d’oligarques qui sucent le sang de l’humanité devra vivre dans des souterrains comme les rats.

              • popov 19 mars 2014 18:04
                A qui profite le phosphate du Maroc. Vaste question.

                L’Indonésie est en train de mettre en place une politique qui interdit l’exportation de matières premières. Le but est évidemment de mieux redistribuer le bénéfice des richesses minières en donnant du travail sur place à un plus grand nombre d’habitants.

                D’un point de vue économique c’est logique : il vaut mieux transporter à grande distance le métal extrait du minerai plutôt que la masse beaucoup plus importante du minerai lui-même.

                Dans le cas du Maroc, ce serait encore plus logique, car actuellement on transporte non seulement le minerai vers les pays d’Europe où il est raffiné, mais en plus il faut fait venir la main d’œuvre qui va bosser dans ces usines.

                Mais comme c’est bizarre, on n’entend guère parler de cette décision du gouvernement indonésien dans nos médias, ni même sur AV.

                Et pourtant, il suffit de taper « Indonesia Raw Minerals Export Ban » sur google pour trouver environ un million d’articles.

                • smilodon smilodon 19 mars 2014 21:41

                  @ l’auteur : Je ne sais pas ce qui se passe au « Maroc » !.. Pays que je ne connais pas et que je ne connaitrais jamais !. Pas besoin, vu que je suis né ici et que m’y sens chez moi !.. A tous les « marocains » désolé, mais si vous vivez en France, c’est votre choix, et que, tous comptes faits, c’est mieux que chez vous !.. Sinon, vous auriez fait comme moi !.. Vous seriez restés chez vous !.. Non ??!!.... Donc, pour ceux qui sont venus ici, leurs enfants, forcément nés ici, leurs petits-enfants et leurs descendants qui vivent « ici », si vraiment votre pays ( pour les 1ers) ou le pays de vos ancêtres (pour les générations suivantes), vous manquent plus que la France ne vous donne, repartez vers votre « chez vous » !.. Si vraiment c’est mieux qu’ici, ce pays, cette « france » où je suis né et où je ne demande qu’à être enterré, si ici c’est pas mieux que chez vous, amis marocains, tunisiens et algériens....Repartez vite chez vous, ou au pays de vos ancêtres !... Moi, à titre « personnel », je ne vous ai rien demandé !.. Vous êtes venus parce que vous le vouliez, non ???... Arrêtons vous et moi de chercher des coupables qui n’existent plus !... A nous, vivants, de décider de nos vies !.. Moi de rester car c’est mon pays et vous autres des rester pour un pays qui est devenu le vôtre, ou de repartir pour un autre pays qui vous semble plus en phase avec votre pensée, vos acquis, votre vie !... Ayez le courage de résister !.. Pas qu’avec des mots !... Renoncez à cette « france », si elle ne ressemble que si peu à votre « maison » !.. Y’a pas de honte, au contraire !.. Les sous de la sécu, du RSA, des allocs... C’est une chose !.. Mais sa véritable identité,sa religion, sa terre... C’en est une autre !.. Non ??... Choisissez !...? Moi, mon pays, c’est celui-là !.. Il s’appelle FRANCE, en lettres Majuscules !... Dans ma tête, mon sang et mon coeur !... Adishatz.


                  •  Mohamed Takadoum M Takadoum alias Bouliq. 19 mars 2014 22:43

                     Je vous réponds parceque vous m’interpeller pour vous dire d’abord que votre intervention n’a rien à voir avec le contenu de cet article, donc hors sujet.

                    Moi aussi j’aime mon beau pays le Maroc comme vous dans lequel je suis né et vit depuis toujours et je n’ai rien à voir avec la France. 
                    Je m’exprime comme vous sur ce site francophone (fondation Agoravox) dont le siége social se trouve etre en Bélgique. 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès