Trois coups d’Etat au profit des Banquiers Internationaux
Condensé du journal "Vers Demain" N°916 - Janvier/Février 2012 - Page 10 & 11
Nous espérons une vive réaction des modérateurs et lecteurs d'Agora-vox.
.... " Ce sont de véritables coups d'Etat au profit des banquiers internationaux. Coups d'Etat qui entraîneront à coup sûr soit une guerre des plus sanglantes, soit un esclavage moderne dont nous n'avons pas encore idée.
Trois pions de la banque américaine Goldman Sachs viennent d'atteindre des positions stratégiques : Mario Draghi, Loukas Papademos et Mario Monti.
L'italien Mario Draghi est diplômé d'économie du Massachussets Institute of Technology. Il a été chargé des privatisations intaliennes de 1993 à 2001. Il est devenu gouverneur de la Banque d'Italie en 2006. De 2002 à 2006 il a été vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs, la sulfureuse banque d'affaires américaine. Pendant cette période, la banque d'affaire a touché 300 millions pour aider la Grèce à camoufler son déficit, pour être admise dans l'Union européenne. Le 1er novembre 2011, Draghi est nommé président de la Banque centrale européenne. Il est aussi membre de la Commission trilatérale et du groupe Bilderberg.
Le Grec Loukas Papademos, lui aussi diplômé du Massachussets of Technology. Devient conseiller économique de la Bnaque de réserve fédérale de Boston. De 1994 à 2002, il a été gouverneur de la Banque de Grèce, poste qu'il occupait quand la Grèce s'est "qualifiée" pour l'euro, grâce à des comptes falsifiés par Goldan Sach. Puis il a été vice-président de la Banque centrale européenne.
Le nouveau premier ministre de Grèce Loukas Papademos.
Le 10 novembre 2011, sur pression de l'Union européenne et du G20 il est nommé premier ministre de Grèce avec le soutien des deux partis dominants. Il est membre de la Commission trilatérale.
Le premier ministre sortant, Georges Papandréou avait déclaré qu'il demanderait à la population par référendum si elle était d'accord avec les mesures d'austérité imposées par l'Union européenne et le FMI ce qui, bien qu'étant démocratique, était inacceptable par les financiers internationaux. Deux jour après l'annonce du référendum, Papandréou était forcé de démissionner (La Grèce étant le berceau de la démocratie !)
Le 16 novembre 2011, sans élection, l'Italien Mario Monti devenait le premier ministre d'Italie, en remplacement de Sivio Berlusconi.
Monti est diplômé de l'Université de Yale aux USA. Il a étudié le comportement des banques en régime de monopole. Puis il a été durant dix ans, commissaire européen de 1994 à 2004. Membre de la Trilatérale et du groupe Bilderberg. Nommé conseiller international de Goldman Sachs en 2005.
En plus du poste de premier ministre, M. Monti assume aussi la fonction de ministre de l'Economie.
Le gouvernement Monti est composé exclusivement de technocrates. Corrado Passera, patron de la banque Intesa Paolo, devient ministre du développement économique et des infrastructures. Aucun politicien n'est entré au gouvernement. Ainsi ne seront-ils pas responsables ni embarrassés devant le peuple.
Qui peut mieux faire dans le mépris de la démocratie"....... .
Pour notre modeste part, nous nous apercevons que de plus en plus de dirigeants, tant européens que nationaux ne sont plus élus, mais désignés par les banquiers.
Que la dette grecque, italienne, espagnole, française ... les autres pays sont dans le même merdier, ne pourront jamais rembourser la dette qui prend, année par année des proportions phénoménales. Voir l'intérêt sur http://depute-daudon-2012.com, rubrique économie.
Nous finirons tôt ou tard complètement ruinés et à la merci des banquiers américains. Il est impossible, même avec des résultats marchands extraordinaires de sortir de l'impasse, puisque produisant plus (est-ce possible) il faudra emprunter plus, donc devoir encore plus d'intérêts et capitaux.
Les citoyens européens, n'ont plus qu'à attendre l'heure où ces profiteurs malhonnêtes décideront de nous rendre complètement esclaves.
Nous rappelons que ce chaos vient du fait que nos gouvernements ont abandonné leur droit régalien, empruntant aux banques privées avec intérêts. Ceci ne s'était jamais vu du temps des royautés.
Tout ceci ne présage rien de bon. Nous espérons que nous saurons nous unir et refuser d'être gouvernés par des traîtres.
J. Daudon - Vice-Président de l'ADEH.
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