Vénézuéla, la vie sans papier toilette....
Le Venezuela est tombé fin mai en rupture du plus fondamental des besoins primaires, du papier toilette. Une crise sans précédent dans le pays.
Même les médias pro-gouvernementaux du pays en remplissent leurs colonnes. Les consommateurs Vénézuéliens luttent pour trouver du papier toilette depuis plusieurs semaines. Des queues importantes se font sur les produits de base. Les magasins sont en rupture de tout. C'est une catastrophe d'approvisionnement. Quand un magasin est livré d'un camion complet, les gens se ruent, parfois cela donne lieu a des batailles rangées et deux heure après approvisionnement il n'y a plus rien.
La patience s'amenuise chez les consommateurs qui sont confrontés à ces pénuries et ces longues files d'attente dans les supermarchés et les pharmacies.
Le mois dernier, l'indice de rareté du Venezuela a atteint son plus haut niveau depuis 2009, tandis que le taux d'inflation sur 12 mois a augmenté de près de 30%. Les consommateurs passent plusieurs jours la recherche de simples produits de base, et le s achètent en quantité quand ils les trouvent.
Et s'il n'y avait que le papier toilette, les églises ne donnent plus d'offrande, le vin, le blé le pain, les fruits les légumes viennent à manquer. C'est une catastrophe d'approvisionnement, et c'est pas près de s’arrêter.....
Mais pourquoi en sont ils arrivés là ?
Il leur arrive exactement la même chose que dans tous les pays d'économie administrée. Ils sont en train de connaître ce qu'on connu l'ex-URSS et que connaît Cuba depuis Castro. Des magasins vides. Des queues importantes devant les magasins. Et le refus de comprendre la règle de base économique, connue de tous : l’interventionnisme étatique dérégule le marché et crèe la pénurie.
1-Distribution
La distribution au Venezuela a été nationalisé sous Chavez. Le gouvernement a exproprié des compagnies de distribution ostracisées et les a taxées de spéculatrices, comme les hypermarchés Exito, filiale du français Casino, ou le groupe alimentaire Monaca, appartenant au mexicain Gruma.
Ces groupes spoliés sont partis avec leur savoir faire, leurs carnets de fournisseurs, leur centrale d’achat internationale, leurs référencements et leurs méthode de gestion au cordeau.
La concurrence agissait comme un frein contre l'inflation, mais nationalisé les prix montent en flèche. Certain prix sont « contrôlés » par l'état, mais l'état ne peut contrôler les largeurs de gamme. Les postes dans les magasins devenus étatiques ont été donnés aux « amis de la révolution » en priorité. Mais un « ami de la révolution » fonctionnarisé ne fait pas un commerçant avisé ou un gestionnaire de stock prévoyant.
2-Contrôle des changes.
Chavez a renforcé la mainmise d’état sur l’allocation de dollars US. En Amérique latine, l'utilisation de dollars permet de se procurer des importations. Il en a interdit la procession. Les PME ne peuvent accéder aux importations, les magasins éprouvent des difficultés pour se fournir en devises et donc de marchandise à l'importation. Comme le gouvernement Vénézuélien est incontrôlable, et peu décréter une nationalisation sur un coup de tête d'un dirigeant, la solvabilité des entreprises du Venezuela est faible, et les fournisseurs étranger exigent un paiement d'avance.
3-Inflation
Le Bolivar ne vaut rien. Les étatistes au pouvoir n'ont pas compris que créer de la monnaie pour payer les factures créait de l'inflation. L'inflation c'est la baisse de la valeur de la monnaie au fur et a mesure qu'il y a production de billets. Le Vénézuela produit tellement de Bolivar qu'il est le premier pays inflationniste du monde. Le prix du baril de lessive du lundi, vaut 10% de plus en fin de semaine et c'est comme cela toutes les semaines. Celui qui a les moyens achète des stocks et alimente un marché noir florissant en écoulant ses stock plus tard. Par contre les unités de production ne produisent plus rien. La matière première avec de telles variation de cours n'a plus de valeur réelle, les prix de vente ne peuvent se gérer correctement. Les usines ferment les unes derrière les autres.
4-Produits agricoles
La nationalisation des terres a engendré un désastre sans précédent dans la production. Il ne suffit pas de prendre la place et le tracteur du paysan pour faire du fonctionnaire qui le remplace un agriculteur avisé. Le Venezuela c'est une grande partie contiguë à la foret Amazonienne. Un sol très fertile, un climat tropical avec des températures chaudes, une hydrométrie importante accentué par des précipitations violentes.
L'agriculture produit beaucoup, mais nécessite du travail important par des défrichages réguliers. La nationalisation a engendré un abandon de l'entretien des sols que réalisait auparavant les propriétaires agricoles privés, et en peu de temps, les champs sont redevenus des jungles tropicales. Le Venezuela ancien pays producteur aujourd'hui importe son café. Les légumes et fruits ont disparus des supermarchés et s'achètent qu'au noir sur les marchés privés.
5-Le contrôle des prix
La mainmise de l'état sur toute l'économie a rendu la population dépendante, bien que de l'autre émergence de profiteurs d'un marché noir que cette politique a engendré, ou de serviteurs zélés qui elle seule a le droit d’ouvrir des comptes à l’étranger en dollars.
C'est toujours ce qui est arrivé et arrive toujours avec ces politiques étatistes, le contrôle des prix, génère des « faux prix » qui n'ont pas de corrélation avec l'économie réelle.
Quand les prix qui sont fixés en dessous ou au dessus du prix d'équilibre du marché. C'est une loi économique de base, cela donne toujours lieu à des pénuries.
Le problème de la pénurie au Venezuela ne fera que s'aggraver, comme il l'a fait au fil des ans dans l'Union soviétique », et dans tous les pays à économie administrée.
Le gouvernement a annoncé cette semaine qu'il importera 760.000 tonnes de nourriture en plus de 50 millions de rouleaux de papier hygiénique, sans imaginer que la cause de cette pénurie c'est lui.
Nicolas Maduro, qui a été choisi par la mort Hugo Chávez à poursuivre sa "révolution bolivarienne", se contente de crier au loup sur l'opposition ou la CIA. Il semble plus occupé a créer une « milice armée » pour empêcher un changement démocratique prévisible inévitable.
Pour en savoir plus sur la pénurie de papier toilette au Vénézuéla :
http://www.guardian.co.uk/world/2013/may/16/venezuela-toilet-paper-shortage-50m
http://gawker.com/venezuela-has-run-out-of-toilet-paper-507454510
http://news.sky.com/story/1092140/venezuela-hit-by-toilet-paper-shortage-crisis
93 réactions à cet article
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Quand c’ est l’ Etat c ’est le caca .
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Bonne idée Monsieur Dupont , je vais essayer avec mon jet dentaire .
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perso j’imprime sur ago des n’articles à plusieurs épisodes mais bon depuis quelques jours la pénurie s’installe
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Certaines mauvaises langues iraient jusqu’à insinuer que d’AUCUNS seraient partis résister en Syrie.
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« Retransmission téléphonée où Régine erre »
.
Laissez parler
Les p´tits papiers
A l´occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p´tits papiers
Papier de riz
Ou d´Arménie
Qu´un soir ils puissent
Papier maïs
Vous réchauffer
Un peu d´amour
Papier velours
Et d´esthétique
Papier musique
C´est du chagrin
Papier dessin
Avant longtemps
Laissez glisser
Papier glacé
Les sentiments
Papier collant
Ça impressionne
Papier carbone
Mais c´est du vent
Machin Machine
Papier machine
Faut pas s´leurrer
Papier doré
Celui qu´y touche
Papier tue-mouches
Est moitié fou
C´est pas brillant
Papier d´argent
C´est pas donné
Papier-monnaie
Ou l´on en meurt
Papier à fleurs
Ou l´on s´en fout
Laissez parler
Les p´tits papiers
A l´occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p´tits papiers
Papier de riz
Ou d´Arménie
Qu´un soir ils puissent
Papier maïs
Vous réchauffer-
Spartacus a encore frappé.. en dessous de la ceinture cette fois. Evidemment la bonne question n’est pas posée. Comment se fait-il que dans un pays exportateur de pétrole depuis un siècle on ne produise même pas du PQ et que l’approvisionnement soit monopolisé par un seul importateur privé ?
Reste qu’au Vénézuela, il y a toujours de l’eau et assez de végétation pour utiliser la méthode naturelle (et bio) qui prévaut encore sur l’essentiel de la planète....
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L’autre question est de savoir pourquoi, en dix ans de présidence, Chavez n’a pas été foutu de créer une industrie nationale afin de diminuer les importations.
Ce sera encore de la faute de la CIA, vous verrez...Et puis franchement, conseiller de s’essuyer avec des feuilles alors qu’à Caracas l’arbre le plus proche du centre-ville est à dix bornes... -
Démosthène,
mis à part insulter Spartacus, je ne vois pas ce que tu démontres, à part un manque d’ouverture d’esprit terrible et des idées fascisantes.
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Démonte-sten, sombre inutile id ..
T’as pris ta quétiapine et ta dramamine ? -
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L’état n’a pas intégralement nationalisé, l’état a partiellement nationalisé.
N’oubliez pas le népotisme institutionnalisé. Chavez a placé toute sa petite famille à des postes importants ou ils ont fait fortune, à défaut de faire preuve de compétence.En dix ans, la mafia chaviste a mis à terre tout le réseau de distribution de biens matériels et est en train de ruiner l’industrie pétrolière.Le bilan est glorieux.C’est à dire que des fumiers comme toi ont été contraints par l’état de ne plus pouvoir décider directement des prix.Le résultat est glorieux là encore : avant, il y avait des produits en vente, aujourd’hui, la pénurie s’installe. Les pauvres pourraient acheter pas cher, mais il n’y a plus rien à acheter.Un progrès essentiel, en effet.Que l’état Vénézuélien est majoritaire dans les entreprises qu’il a jugé indigne du peuple, tout en incitant ces mêmes entreprises à continuer à travailler au Venezuela...Ces mêmes entreprises sont incapables désormais de faire leur travail, à savoir organiser la production, la distribution et la vente.Merci de montrer par l’exemple l’incapacité du gouvernement actuel. -
Dios mio !
Au Venezuela, pays où 73 % de la population est catholique, la nouvelle en dit long : l’Église est confrontée à une pénurie de vin de messe et d’hosties. « La réserve de vin que nous avons à Merida est de deux ou trois mois », explique Baltazar Porras, évêque de l’État de Merida, dans l’ouest du pays....
dit le Figaro
Mais adonde vamos ?
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Chaque pays a ses problèmes
La Turquie a son PKK
Le Venezuela à son PQQ...Bon, je sors...
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a la place du BdB sparagus voici le point de vue de l’historien Richard GOTT, ex-rédacteur en chef du Guardian :
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Oui, c’est amusant, la pénurie de PQ.
C’est bien, pour le Figaro, de faire dans la dérision sur le sujet, au risque de choquer son lectorat (Marie-Chantal et Charles-Edouard* ne font jamais caca).
Il reste que, depuis des années, les oligarques vénézuéliens organisent les pénuries sur tout ce qu’ils peuvent, y compris sur des denrées de première nécessité.
D’où la création par l’Etat de boutiques où ces produits, souvent alimentaires, sont mis en vente, en quantité limitées par client.* Ailleurs il est expliqué qu’ils forment des liasses du Figaro, percent un coin , y font passer une ficelle et l’accrochent au clou à côté du trou.
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Le Figaro, dont la pagination est conséquente, est d’un exellent rapport pour le coup, bien meilleur que l’Huma, mais à peine supérieu à Libé...
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Il ne nous reste plus qu’à tirer la chasse d’eau !
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Bien aimé ce billet.
Oui, cela ne m’étonne pas.Il n’y a pas qu’au Vénézuéla d’ailleurs. J’ai des souvenirs très précis sur le sujet.
@CN46400,« il y a toujours de l’eau et assez de végétation pour utiliser la méthode naturelle (et bio) qui prévaut encore sur l’essentiel de la planète... »Là, vous m’amusez aussi.Je voudrais vous y voir, quand vous entrez dans une toilette, avec votre eau et la végétation.Je vous assure c’est sublime -
Je vous conseille les doigts, c’est divin.
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On peut constater que vous êtes un artiste pour l’utilisation des virgules !
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Oh, vous savez...
Dans mon internat, en prépa, il y avait un pote magrébin qui venait de je ne sais plus quelle région isolée montagneuse, qui nous racontait sans broncher qu’il s’essuyait à la main et avec de l’eau et se lavait les mains après. Donc, question culturelle de relation au corps sans doute, il y a d’autres moyens que le papier hygiénique pour se garder propre sans forcément diaboliser la merde qui est somme toute naturelle. Nous refusons de la toucher en mettant du papier au milieu, comme parait il certaines japonaises refuseraient de l’entendre en tirant la chasse tout le temps qu’elles passent au toilettes pour cacher les bruits. Certains mettent des vaporisateurs bien chimiques et donc probablement moins hygiéniques pour supprimer l’odeur.
Sinon... comme étudiant sans le sou, j’ai essayé les journaux gratuits, c’est pas terrible, aucune absorbance ; et les feuilles d’arbres quand on est en pleine randonnée, c’est pas très pratique non plus non plus pour la même raison, et elles flottent donc moyen aux WC. L’eau et la main c’est efficace, c’est pas adapté aux toilettes standard mais possible dans les toilettes-douches qui se généralisent ; des savantes études comparatives sont à faire pour vérifier quelle méthode est la plus eco-friendly.
Hmm... autre piste, demandons nous ce qui signifie, originellement, un torchon ? -
Tiens, un commentaire intéressant !
Pas trop tôt. Merci.Quant à moi, j’ai arrêté la lecture après cette phrase.
« l’interventionnisme étatique dérégule le marché »
Celle-là, nous sommes en 2013, au coeur d’une crise où nous a planté la dérégulation, et l’autre, il nous écrit ça. Fallait l’oser...
Ca en devient comique le niveau du Spartiate, lol !
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« Tiens, un commentaire intéressant ! »
Je ne sais si c’est de l’humour qui m’est destiné.Vous comprendrez que je ne peux pas vous en dire plus... sans virgule, bien entendu... -
Tres bon exemple. C’était pareil en Russie. Il y a deux facteur d’aggravation que vous ne signalez pas. Ayant épousé une famille d’apparatchik, j’étais évidement a l’abri du besoin. En Russie, dans les appart, il y a un truc qui s’appelle entresol. Une sorte de faux plafond pour stocker les trucs déficitaires. Les caciques de ces régimes ayant accès a des sources d’approvisionnement privilégiées stockent ( ce qui aggrave évidemment les déficit et prend de de la place dans des logement exigus que produisent ces régimes), le mien était bourre de PQ et de bocaux de trois litre en verre ( autre article a l’époque déficitaire et indispensable pour faire ses propres conserves issues de la Datcha et nécessaire pour passer l’hiver). Avec la libéralisation, le PQ a refait son apparition. Second problème, la très très faible qualité du PQ soviétique.
C’est égal, cela faisait un peu mal au cœur de jeter ces stocks, symbole historique de tant de compromissions, passe droits, heures d’attente malgré tout et a certains égard, symbole de statut social dans le socialisme avance.-
Spartacus : j’ai voté contre votre article en modé, et mon commentaire était : « il nous fait chier spartacus avec son PQ, na ! »
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Par contre moi j’ai voté pour les vôtres.... Faire chier n’est pas un critère.
Question de point de vue. -
Merci pour votre humour, et la tolérance au mien !
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Bonjour, méchant Spartacus !
Ton article traînait en modération depuis au moins 10 jours. Toujours le pouvoir d’informer que se réserve une certaine opinion qui n’admet que la publication de la sienne.
Je ne suis absolument pas d’accord avec ta position et l’article consacré hier au Venezuela par un confrère était nettement plus intéressant. Mais il se fait qu’en modération, j’ai voté pour. Non pas par conviction, loin de là, mais parce que toute opinion, même sans nuance comme la tienne a le droit de cité.
Ils me font chier, ceux qui pensent l’inverse. Na ! -
Asterix, j’ai fait comme vous.
Les articles pathétiques de Spartacus ont le mérite de faire réagir. C’est ça le débat et la démocratie.
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Au moins il reste des gens qui acceptent la contradiction.
Bien a vous. -
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Ce qui est naze ce sont les gochos qui n’acceptent pas les contradictions et qui ont trop souvent torts mais qui en plus se permettent de donner des leçons aux autres
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ce qui fait chier avec sparagus, ce n’est pas tant son PQ que son QI ! Chez lui, avec le premier il peut sans doute essuyer le second...
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C’est une constante avec les gochos
quand ils sont à court d’arguments ils passent aux insultesune preuve de plus d’une certaine limite de l’ intelligence -
Asterix,J’ai eu mon temps pour modérer les articles, il y a bien longtemps.Désolé, je ne vais plus voir les articles qui se trouvent en modération.Sinon, j’aurais voté Ok,A quand une révision du modus vivendi, d’un cahier des charges du modérateur honnête et non pas partisan ? -
Pu de PQ ? qu’on distribue des petits oiseaux ..
Comme faisait Rabelais, pour se torcher le culNB : de la main gauche .. toujours ..-
donc, ton importateur ne peut plus se goinfrer
il ne peut multiplier les prix comme avant, il est pâs content le crassus
crassus achète un tee shirt chinois 0,10 et le revend 1€-
La solution ?
le recyclage des journaux dans les toilettes !
gratos et écolo ! ! ! !-
Dans les chiottes au fond du jardin, à cheval sur le ruisseau, c’était la Liberté de l’Est qui faisait autrefois office de pq, après dernière lecture des faits divers, le derrière au vent...
Aujourd’hui, je prendrais le Figaro ou le canard de Barbier (quoique le papier glacé soit moins adapté)
Les canards (les vrais !) venaient terminer le travail à la sortie. On les mangeait bien gras.
120% recyclage ! -
Il leur reste les ouvrages de Marx
livres complètement inutileset qu’on peut trouver facilement au Venezuelapour se torcher le derrière-
Et peut-être est-ce une bonne méthode pour assimiler plus complètement, page par page, jour après jour, le marxisme ?
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A l’auteur En « odeur de Sainteté » auprès de la droite Libérale :
En Niçois (Occitan) : « Va cagua la vigna » ! : Là tu auras du matériau Bio pour te torcher-
Ca prouve une de plus qu’une société assisté ne pas viable à plus ou moins long terme
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« Il n’y a plus de PQ ,qu’on leur donne du Sopalin ! » aurait déclarée Marie-Antoinette Maduro,femme de Nicolas .
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D’ailleurs ce Maduro ne sent pas très bon, est-il vraiment propre sur lui ? dixit Carla femme de Nicolas...
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Utilisons le bidet, ou alors comme chez moi, la bouteille d’eau, et ensuite tu te laves les mains au savon. C’est PLUS hygiènique ;)
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Il faut alors porter les ongles coupés court, et se les brosser après torchage... Sinon, bonjour l’hygiène ! Ceci dit la plupart des gens ne se lavent pas les mains en sortant des toilettes alors...
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Puisqu’on parle de PQ : un petit article superbe qui malheureusement n’a pas passé la modé et ne peut donc être lu que par les modérateurs !
http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=137254-
Alinea ,merci du tuyau (d’arrosage) je viens de le plusser c’est moins triste que cet article anti Venezuela.
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Attention ne nous trompons pas ce n’est pas un article anti Venezuela
mais bien un article anti le totalitarisme d’état qui met la population en danger avec sa politique qui amène des pénuries -
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Les toilettes : grave question géopolitique !
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Mettre en avant une rupture de stock sur un produit particulier et en déduire de là tout l’horreur d’une régime, voire d’une politique, c’était osé. L’auteur l’a fait, bravo !
Je lui signale donc, à l’auteur, que depuis un an, nous sommes en rupture de sotck constante sur certains antibiotiques et ajouts vitaminiques en France. C’est sans doute dû à l’arrivé de Flamby and Co au pouvoir, si je comprends bien ce que sous entend l’article pour le Vénézuela...
Plus sérieusement dans ce cas, cela est du au fait que nous ne fabriquons plus beaucoup de médocs en France. la plupart viennent de Chine, et ce pays sert d’abord sa demande intérieure. Idem pour les complément vitaminiques, que certains industriels européens préfèrent vendre en Chine qu’une France, pour s’implanter sur un marché émergent. Quant on reagrde de près, on voit bien dans ce cas que les dégats proviennent d’un laisé faire qui a conduit à délocalliser la production dans des pays à bas coût de main d’oeuvre et environnemental. Ces dégats proviennent aussi d’une concurrence féroce de gain de marchés émergents. Tout cela, cela n’a donc rien à voir avec l’économie capitaliste dans son ensemble...
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Le PQ, fondamental des besoins primaires ?
A part « asparagus » les besoins primaires de l’humanité restent quand même la nourriture, l’eau et l’énergie (dans les désordre).
Au fait « asparagus » vos aïeuls ils se sont démerdés comment ?
Sinon, les vénézuéliens n’ont qu’à faire comme les 3/4 de l’humanité qui du Bosphore au Timor Oriental se torche avec la main gauche (et se lave les mains ensuite).
Et puis la cellulose (qui sert de matière première au PQ), quel poison pour l’environnement... sans compter la quantité d’eau astronomique pour la fabriquer.-
Rupture de P.Q...ha, merde !
Reste plus qu’à adopter le méthode de Tarzan : avec la main droite !Bon appetit....-
Les délires scato de spartempafeur.....
Pitoyable..... !!-
Le guignolus là, ton idole aussi est dans une sacrée merde....
http://www.mediapart.fr/journal/international/200613/kadhafi-finance-sarkozy-la-confirmation
Sarko joe Dalton a reçu 20 millions d’euro de la part de Kadhafi ( pour acheter du PQ ?)
Et pour le remercier il l’a fait liquider....
Ya pas de doute, ton idole, c’est un mec bien, tout à fait fréquentable, et tout et tout....-
Mieux vaut importer du papier cul que des obus !
Quand à l’aide humanitaire qu’on pourrait leur adresserElle serait facile à trouverAvec tous ces journaux et ces articlesQu’on n’aurait même pas à recycler !-
Heureux les torcheurs de c.. ayant le PQ à la porté de main qui est le signe délicieux de la décadence façon capitaliste et qui est le contraire du communiste voir le socialiste qui se torche avec ce qu’il peut...
honte à lui-
Ne sachant plus par quel côté s’y prendre, pour dénoncer le scandaleux -pouah- interventionnisme de l’état, qui empêche, comme chacun sait, le dieu « marché » de régler tous les problèmes, en s’auto-régulant (le double effet qui s’coule), le brave Spartacucus s’émeut de la pénurie de PQ au Venezuela !
Une forte empathie compassionnelle pour ce pauvre peuple opprimé par son état, quand les peuples gouvernés par -loué soit son nom - le système libéral, eux, n’auront pas ce genre de problème : bientôt, n’ayant même plus de quoi manger, ils ne chieront même plus.
Le capitalisme libéral, c’est beau comme un rouleau de PQ pour manchots !
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Je ne connais pas les raisons de la pénurie et de la hausse de l’inflation au Vénézuela, mais je me pose deux ou trois autres questions :
1°] Lors de la crise économique Vénézuelienne de 1996-1997, où l’inflation a atteint le chiffre record de 125% sur un an (loin des 35% actuel), n’y avait-il pas également une pénurie d’approvisionnement ? L’économie n’était en tout cas pas administré, c’est un fait. C’est aussi un fait que le taux de pauvreté était deux fois supérieurs à celui d’aujourd’hui, et qu’il pouvait y’avoir des stocks dans les magasins ... puisqu’il n’y avait pas de clients au portefeuille suffisament garni pour les acheter.
2°] Je note également que la fermeture de la télévision publique grecque vous pose nettement moins de problèmse de « liberté de la presse » que les difficultés administratives des médias vénézueliens qui payent bien tardivement et somme toute bien peu cher leur participation active au coup d’état anti chavez de 2004
3°] Aguicher le lecteur sur un problème général de pénurie dans les magasins sous l’angle du PQ est assez représentatif du niveau de l’article : des chiottes.
Et je dirais que les vénézueliens n’ont qu’à se torcher le c... avec les journaux privés d’oppositions, dont malgré vos dénégations, ils ne manquent pas. Au moins, ils serviront à quelque chose d’utile ( malgré toute mon estime pour la liberté de la presse, je n’ai que peu de respect pour une presse qui participe activement à uncoup d’état, financée qui plus est par les services secrets d’un pays étranger (la CIA en l’occurence) ).-
yep , si j’ai bien compris s’il pleut mais que c’est Spartacus qui le dit : l’eau mouille pas !
ya plein de sujet ou je ne suis pas d’accord avec lui ,genre la main invisible du marché régulantmais pour qui connait l’histoire il prononce une évidence ;magasins d’états = pénuries , nomenklatura et mafia !Asinus : ne varietur-
Je pense que l’auteur est dans le vrai qu’on t ilen signale un problème récurant aux sociétés socialisantes voir communistes
C’est leur incapacités de gérer correctement un étatLes problèmes que connait le Venezuela est un parfait exemple de cet état de choses -
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Tiens, en parlant de pénurie...
Dans le pays le plus libéral du monde... -
Ce sont heureux car il s pouvaient trouver quelque chose car dans les pays communistes c’était la famine voir la mort
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La photo date d’avant la guerre mais je pense que si pouvais retourner dans le passé je n’aurais pas du mal à les convaincre tant ces gens à l’époque étaient anti communiste
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@Spartacus
Vous voulez nous prouver quoi exactement ?Que l’économie administrée c’est mal et que la loi du marché sans entrave (ou de la jungle) c’est génial ?Aux USA, l’économie n’est pas trop administrée, ça n’empêche pas le nombre de homeless d’exploser et le fait que plus de 50 millions de personnes (presque la population de la France) vivent avec des tickets alimentaires.La France de de Gaulle était à moitié administrée, ça ne l’empêchait pas d’être à l’époque le pays le plus performant d’Europe dans un grand nombre de domaines.L’état ne peut être partout mais il peut faire des choses.L’absence total d’administration c’est la garantie de donner le pouvoir aux mafias...-
En France il y a entre 8 à 11 millions de pauvres selon les sources soit autant qu’au E-U toute proportion gardée
A la différence près qu’au E-U le chômage est de 7,5 % (contre 11% chez nous ) donc on peut trouver du travail plus facilement et rester pauvre moins longtemps que chez nous -
@Antireac
D’où sortez-vous vos chiffres, de la FED ou de Goldman sachs ?50 ou 60 millions de personnes utilisant le food bonds sur 320 millions d’habitants ça fait tout même 15 à 18% de la population.A moins que pour un adorateur du libéralisme pur et dur, le fait de bénéficier de bonds alimentaires ne fasse pas de vous un pauvre !Dans ces cas là tout est possible.Après Tintin chez les Soviets pourquoi pas Tintin chez les capitalistes avec des réunions du G8 où on est obligé de peindre des trompes l’oeil sur les vitrines pour éviter de monter que les magasins sont fermés ?Vive le capitalisme et le libéralisme heureux ! -
Ce sont des chiffres de 2010
Aujourd’hui avec l’explosion de la pauvreté on est pas loin de 11 millins que je trouvais dans certains journaux de gauche -
Je ne vous parle pas de chiffres français mais des chiffres américains.
En matière de statistiques à prendre avec des pincettes, ils n’ont pas de leçons à nous donner.Le 7,5% de chômage ne correspond pas à grande chose, il est calculé sur une population active en baisse alors que la population du pays augmente. Cherchez l’erreur ! Je ne parle pas du fait que là-bas le nombre de petits jobs est plus élevé que chez nous et que ceux-ci ne suffisent souvent pas à mener une vie décente, à moins de cumuler plusieurs emplois.Mais je ne dis pas que la France tourne bien, très loin de là... -
Moralité, avec SpartaPQ, on ne se torche plus, on tire la chasse avant même de lire ses bouses.......
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Ma foi , au moment où ici en France et en Europe ,
-on casse nos retraites , ...- on rogne sur l’Education ,- on réduit le budget sur la Culture- on apprend chaque jour des scandales d’évasion fiscale ( 100 milliards par an en France et 1000 en Europe ) : Cahuzac et autres ...-on démantèle le système de santé....tandis qu’au Venezuela on le construit- où l’on licencie sans freinici l’Etat laisse faire , voyez le bel Etat non interventionnisme qui a choisi son camp , celui du MEDEF et du Diktat européen libéral qui sont les seuls maîtres de Hollande , qui ne soucie même plus de sa cote d’impopularité , mais seulement d’obéir .Alors ...alors on se consolera de savoir qu’il n’y a nulle espérance à attendre du socialisme , maintenant menant à une pénurie de PQ .. industrie pourtant pourtant privée : bizarre !Craignons la pénurie de PQ si nous nous rebiffons contre les puissants .Et bien sûr , cette histoire de PQ bizarrement apparue à la mort de Chavez ... une sorte de coup d’Etat lent .Mais le jour où Capriles le putschiste aura le pouvoir , ce qui manquera au peuple ce sera bien autre chose que du PQ .Le problème au Venezuela c’est que la classe aisée a encore tous les moyens et est prête à tout pour conserver ses prérogatives , y compris au sabotage .Il y a déjà eu des précédents .L’idée est aussi de faire accepter au monde par avance un coup d’Etat , comme on nous l’a fait accepter pour les guerres au Moyen Orient .L’idée est de nous faire accepter toutes les injustices et les crimes commis par nos gouvernants .On ne pourra pas revenir en arrière .-
Non les magasins ne sont pas privés
sinon il n’y aurait pas de pénurienon les magasins ont été nationalisésvoilà pourquoi il y a pénurie pardon des pénuries. -
Faudrait leur donner le mail de Cabanel, le roi de la virgule écologique et durable, sinon récup érable.
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Quand on me parle de « pénurie » , je pense aussitôt « embargo » et « blocus » .... comme celui que continue à subir Cuba, au point que l’on recommande aux touristes d’apporter avec le maximum de fournitures scolaires de base qu’ils le peuvent dans leurs bagages !...
De même qu’il est faux de prétendre que le gouvernement bolivarien est responsable du retour de la forêt vierge : les grands propriétaires ont laissé pourrir leurs immenses « haciendas » plutôt qu’accepter la faillite et redistribuer de nouvelles parcelles à des fermiers !... ( Ce qu’ont fait les maharadjahs, en Indes !) Eux préféraient mener leurs hardes de chevaux sur des territoires vides !... Agissant légalement , l’Etat n’a pu saisir toutes ces terres incultes et les paysans ne peuvent pas tout faire !...
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Cuba ayant un régime de gauche
était sensé être autosuffisanteet de ne commercer qu’avec des pays socialistesCes derniers ont disparu à jamaisCuba se retrouve dans la merde le plus totaleDes milliers des cubains se sont barrésvers l’ennemi honnit la très capitaliste América -
(anty)réac :Actualisez vos renseignements : Maintenant le mouvement s’inverse et de nombreux exilés cubains retournent dans leur pays car ils commencent à sentir leur « douleur » aux USA.
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Si cela arrivait en France, ce serait ennuyeux, on ne pourrait plus imprimer nos journaux.
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Pénurie organisée, mais par qui exactement ?
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l’interventionnisme étatique dérégule le marché et crèe la pénurie
C’est vrai que la crise de 2008 prend racine dans un interventionnisme d’état excessif dans les affaires financières.
Non mais il se fout de la gueule de qui, l’auteur, là ?-
Il vous manque l’antithèse et la synthèse...
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Propagande, pression du libéralisme, coup d’état du capitalisme... Chavez est mort, la porte est-elle ouverte pour autant ?
Le cul-sparta peux se torcher avec son figaro et autre presse de même valeur.-
Quand je manque de PQ, j’imprime le dernier article de Spartacus et... je vous laisse terminer la phrase
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