Affaire Sarkozy / Paul Bismuth : Le syndrome de la Morano-ïte !
Il y a des signes qui ne trompent pas, le mal a encore frappé...
Alors qu’une énième fois, l’ex président de la république, Nicolas Sarkozy, fait face à des juges, il se trouve des « agités » pour venir défendre l’indéfendable.
Ces gens là, sont en fait de grands malades qui s’ignorent, souffrant de ce qu’on appelle en terme médical, le syndrome de la Morano-ïte.
C’est une affection sévère, persistante, qui perturbe, de manière irréversible, la partie droite du cerveau et qui touche plus particulièrement les femmes et hommes politiques. Les personnes qui en souffrent, perdent toute lucidité ainsi que le contrôle de leurs nerfs.
Elle peut, par exemple, faire dire à certaine : la France est « manipulée par ce pouvoir socialiste sans vergogne ». Nicolas Sarkozy « a été extrêmement convaincant, il a parlé du fond » (Nadine Morano )
Ou à d’autre : 'Et j’ai vu alors les nasaux frémissant de ceux qui aiment humer l’odeur fétide des égouts'. ( Henri Guaino) le même "Sans Nicolas Sarkozy il n’y aurait plus de démocratie"
Comme souvent, ces troubles se manifestent au lendemain de toutes mises en cause, dans une affaire de justice, de Nicolas Sarkozy.
Beaucoup l’ont confondu, à tort, avec la Guaino-Ïte, autre maladie symptomatique, qui comme la Morano-ïte, survient dans le même contexte.
Ce qui les différencie est infime, à peine perceptible. Il s’agit du vocabulaire utilisé par ceux qui sont atteints. Le Guainotien utilise un verbiage plus schizophrénique, qui finit par l’emporter vers des délires linguistiques dont il est le seul à comprendre le sens.
Alors que celui du Moranotien est plus primaire, à la limite de l’ânonnement, très proche du langage SMS. Il répète sans cesse ce qu’on lui a dit de dire comme : « Innocent, innocent, innocent… ». Et il finit par le croire.
Risque-t-on une pandémie en France ? Oui et non, tout dépendra du comportement de nos concitoyens. Toutes expositions intensives aux programmes de TF1, et la lecture de certains journaux peuvent être, en effet, terriblement contagieuses. De simples gestes de bon sens comme d’appuyer sur la zapette, devraient permettre d’y échapper…
Peut-on en guérir ? Existe-t-il un médicament miracle ?
Certes, la recherche avance, mais les résultats ne sont pas encore convaincants. Il manque surtout des fonds pour pouvoir expérimenter de nouvelles thérapies. Un Sarkothon est envisagé pour en collecter, la société Bygmalion, sollicitée pour l’organiser, mais leur téléphone ne répond plus.
Peut-on révéler le nom d’hommes ou de femmes politiques touchés par ce mal ?
Non !
En vertu du secret médical, il est strictement interdit de communiquer le nom des malades en souffrance. A la limite, quelques prénoms, choisis au hasard, peuvent être dévoilés. Christian, Brice, Nadine, Henri, Etc.
La Morano-ïte est-elle une maladie ancienne ?
Là aussi, oui et non. Un temps, Michel Berger, le chanteur, l’a désignait sous un autre terme, « La groupie du pianiste ».
En fait, depuis bien longtemps, l’homme intelligent, a su s’entourer de bons apôtres pour répandre la bonne nouvelle. Certains parmi eux, allant même jusqu’à défendre, mortibus, les idées du maitre…
Verra-t-on un jour, des kamikazes Morano-Guainotien , se faire sauter le caisson, à coups de petits fours, sur la place Vendôme ?
Nul ne le sait, mais la police de Valls veille…
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