Mais nan ! Mais nan !
Je ne sais pas pourquoi, mais l'auteur de
la note d'hier me semble un peu désabusé : "Why ?"
Quant à moi, je vais essayer de me montrer un brin plus positif (et largement consensuel).
Parce que :
Si on y regarde d'un peu près : "Tenez vous bien !" ("Tenez vous mieux ! " disait l'autre).
D'un coup d'un seul : Jack Lang (tout seigneur tout honneur), Frédo Lefebvre, Nadine Morano, mais aussi la "folle du Poitou", Claude Guéant et (dans une moindre mesure) l'éternel "assis entre deux chaises" Bayrou.
Ca n'en fait du linge (et du beau).
Comme dit Philippe (Tesson) et je partage ("toutafé") : "c'est bien fait pour leur gueule."
Il fallait que cela soit dit, c'est fait.
Pour le reste, tout le reste (et j'en passe), si vous croyez "tertous" qu'il suffira de changer d'interprète pour faire aussi changer la musique, "monavis", "vous vous gourez grave".
Comme disait un ancien copain : "Ché gosses y z'ont l'père Noël et nous les z'élections".
Celles ci ne sont pas (du tout) faites pour que les choses changent vraiment (si vous en doutez, relisez l'Histoire), elles sont juste là pour faire retomber la pression un moment et gagner du temps sur le temps.
De plus en plus d'électeurs finissent par s'en rendre compte et (visiblement) ne plus s'en préoccuper plus que ça.
Ils ont tort ?
C'est possible (tout cas je le crois).
Quand même, ils sont largement plus nombreux que les autres (ceux qui y croient encore) et contre ce phénomène, on ne peut rien. En France (et sans doute ailleurs), aucun parti (aucune coalition), n'est capable de rassembler plus du tiers des "inscrits" et donc de mettre en oeuvre aucune mesure efficace avec l'assentiment d'aucune majorité.
Voilà ! Voilà !
Jusqu'à où ? Jusqu'à quand ?
Je ne vais pas une fois de plus "jouer les Cassandre" (à force, je fatigue).
La "criiise" n'est pas encore tout à fait là, mais elle se profile (inexorablement), quand les salaires auront été baissés de 50 pour cent et que les retraites (et diverses pensions) ne seront plus payées, on en reparlera, ou plutôt non : on verra (car il ne sera plus temps de "causer").
Cordialement.