Covid 19 : l’arme absolue de l’oligarchie capitaliste
Au moment où le covid a achevé sa course épidémique, se propage une autre espèce de virus qui menace autrement les peuples que ce qui n’aura été qu’une mauvaise grippe. Le débat n’en est plus à pour ou contre la chloroquine. Les tout puissants ont compris l’aubaine en or que constitue pour leur appétit hégémonique, la perpétuation de la coronapsychose, pour le meilleur des mondes…
INTRO
Allons droit au cœur du sujet. De façon troublante, un avatar du corona virus annoncé comme un fléau qui devait causer des millions de victimes n’aura pas été plus nocif qu’une grippe classique. Cependant, à considérer la gestion sanitaire calamiteuse, il est à s’interroger si tout n’a pas été fait pour en maximiser les effets. Mais bien pis que ça, les conséquences économiques de cette crise sont sur le point d’atteindre le degré de gravité de celui d’une guerre mondiale ; ce qui dépasse l’entendement. De surcroît, comme jamais lors d’une guerre ou sous occupation par une puissance ennemi, les droits fondamentaux n’ont été et continuent d’être bafoués. Et voici que les choses s’éclairent quand on nous annonce la reprise de l’épidémie, en contradiction avec les propres chiffres des autorités de santé.
- Vraie fausse reprise de la pandémie
En février, une véritable pandémie s’est déclarée. Le degré du péril a été amplifié par un bombardement médiatique et, objectivement, par de telles erreurs et retards dans la gestion sanitaire, qu’au lieu d’éradiquer rapidement le mal, on a laissé celui-ci produire le maximum de dégâts, humains et économiques.
Alors que depuis mai, toutes les courbes attestent la fin de l’épidémie en tant que telle, diminution incessante des admissions à l’hôpital, en réanimation et au bout du compte, à ces jours, un nombre insignifiant de décès dus au virus. Et cependant, à l’unisson sur les ondes des médias « officiels », relayé par un film qui tourne en boucle dans les pharmacies, un message laboure les esprits : Le virus est toujours là, l’épidémie repart.
En réalité que se passe-t-il ?
Recourons à une métaphore. La fréquentation assidue de la nage en piscine induit l’apparition de champignons aux orteils. Imaginons qu’à la sortie des piscines, l’on interroge dix nageurs. Un répond qu’il a des champignons. L’infection présente donc un taux de 10%. La semaine suivante, ce sont cent nageurs que l’on sonde. Dix nageurs répondent affirmativement. Toujours donc 10%. La semaine suivante, ce sont dix mille nageurs à qui l’on pose la question et mille s’avèrent atteints. Que dit alors la presse ? Nombre très inquiétant d’infection aux orteils, plus de mille nageurs sont porteurs de champignons. Pour freiner cette épidémie, le gouvernement décide de fermer les piscines.
Pour le covid, le raisonnement est identique. Au pic de l’épidémie, alors que le dépistage s’imposait, en gros, seuls l’IHU de Marseille et quelques CHU « rebelles » y recouraient. Aujourd’hui, de jour en jour, le dépistage se développe, déjà plus de quatre millions de personnes testées, mais quasiment pas d’apparitions de symptômes, ni d’entrée en réanimation et encore moins de décès. Et cependant, que disent les médias et les gouvernements ? De plus en plus de cas sont dépistés, l’épidémie reprend de plus belle. Le procédé est fallacieux et de façon grotesque. L’on joue sur l’ambiguïté de la notion de « cas ». Une personne est dépistée, c’est un « cas ». Certes, mais pour autant, est-elle malade ? de quoi souffre-t-elle ? Faut-il l’hospitaliser, la réanimer, et craindre pour sa survie ? Les scientifiques qui n’ont pas de conflit d’intérêt, qui ne sont pas rémunérés par les grands labos, des gens comme le professeur Toussaint, les professeurs de l’IHU de Marseille, du CHU de Garches, la généticienne Caude et d’autres, nous expliquent que la force du virus a baissé et que les défenses immunitaires ont joué leur rôle. Les personnes porteuses du covid sont à l’abri de ses méfaits, grâce à ces deux facteurs. Restent les patients qui ont développé le mal et qui continuent d’être en soins car pour les plus faibles, il faut du temps pour guérir des conséquences de l’infection.
Ce dépistage massif n’a donc qu’un but, annoncer que le nombre de porteurs augmente, en se gardant bien de modérer le propos en ajoutant que la proportionnalité reste stable et que la maladie, le passage du potentiel à l’actualisation des symptômes, demeure à un stade désormais marginal. L’épidémie est terminée mais la comptabilisation des cas dépistés par les tests permet d’annoncer le contraire.
Une épidémie sans malade, il fallait y penser. Et le faire avaler aux deux tiers des Français, qui aurait pu y croire, il y a tout juste un an ? C’est dire combien les outils du marketing sont d’une efficacité redoutable. Il suffit qu’une information soit habilement relayée par les médias majeurs, lesquels, radio, télévision et presse, sont sous le contrôle de l’Etat et des milliardaires dont il est l’obligé. A partir d’un certain volume de spots et d’émissions de tous formats, l’on obtient ainsi un pourcentage considérable d’assentiment inconditionnel. Quelle que soit leur appartenance socio-culturelle, les personnes visées seront inaccessibles à toute remise en cause. Deux facteurs étayent ce dispositif :
- le mécanisme de peur collective ; on l’a connu lors de tous les conflits majeurs, depuis 1792 avec la crainte de l’invasion par les ennemis de la République à ceux récents du Golfe ;
- le supposé « complotisme » des médias alternatifs. Tout ce qui s’oppose au message officiel est taxé de complotisme, le matraquage marketing intégrant cette facette dans son programme de spots et d’émissions. Il est d’usage depuis le début de la crise sanitaire, que des tribunes relaient de média à média, les supposées fake news qu’il convient de désamorcer. Les personnes ciblées sont, d’une certaine façon, flattées. Elles ont le sentiment d’être mises dans la confidence, de croire le message officiel pourtant faux d’autant qu’elles ont connaissance des tentatives supposées manipulatoires des médias alternatifs.
Heureusement, tirs d’artilleries et bombardements aériens ne tuent pas tout le monde. En marketing, le score actuel d’environ 70% demeure stable. Il reste donc 30% de sceptiques et de « rebelles ». Ce sont les gens qui écoutent et soutiennent l’IHU du pr Raoult et qui, antérieurement à la crise, n’avaient aucune confiance pour le gouvernement et les organes médiatiques détenus par les gros intérêts financiers. 30% c’est beaucoup et c’est peu. Beaucoup si ce tiers de la population se fédère dans un mouvement cohérent de contestation. Peu, et c’est le cas, s’il est composé de gens de tous horizons.
Ainsi, la remise en cause du mensonge d’Etat sur le covid n’épouse les contours d’aucun parti ou syndicat. Dans tous les mouvements organisés, l’on retrouve une forte majorité de Français masqués qui croient dur comme fer au terrible péril du covid et à son regain. C’est ce qui explique le silence des partis les plus contestataires comme le RN et les Insoumis. Leur angoisse ? perdre des électeurs en disant la vérité. Bien que conspuant la dérive dictatoriale du régime, les voici piégés par la démocratie dont ils se réclament.
En dépit de tout bon sens, en dépit des chiffres et des courbes, les gouvernements des pays de culture européenne sonnent de nouveau le tocsin. Le covid est toujours là, la pandémie va très probablement connaître cette deuxième vague dont il est sans cesse question depuis le déconfinement. Le tout sur fond de culpabilisation, jeunes en premier lieu, eux qui vont connaître les effets les plus calamiteux du confinement.
Alors la question se pose. S’il n’y a pas eu de réel fléau et qu’il n’y en a plus désormais, qu’ont à gagner les gros bonnets de la finance, ceux qui sont au sommet de cette pyramide effilée, formée de 1% de la population qui détient 50% du patrimoine mondial ? La pertinence de la question vient du poids politique considérable des super riches à l’échelon mondial et dans chaque zone où ils sont le plus présents. Il est en effet inconcevable que le gros argent, par la récession déclenchée sans nécessité par le confinement, ait accepté de perdre des marchés et des revenus. Si leur aval a été donné, voire leur décision prise en amont, un retour sur investissement gigantesque, tant monétaire que politique, a été calculé et estimé quasi certain car il ne saurait en être autrement selon la logique capitaliste.
- Coronapsychose et hyper puissance de l’argent
Les grands labos
La première chose qui vient à l’idée pour expliquer ce psychodrame collectif déclenché et entretenu par les gouvernements occidentaux ce sont les grands groupes pharmaceutiques. Grâce à la peur du covid, des sommes considérables sont détournées des budgets publics pour aider des labos déjà cousus d’or à mettre au point un ou des vaccins. De surcroît, pour accélérer la mise sur le marché de ces substances, décision a été prise qu’il serait dérogé aux précautions existantes, lesquelles prennent des années. Du seul fait d’annonce que le covid connaît un regain, des actions de ces labos ont fait l’objet de transactions telles, que des milliards de dollars ont enrichi en très peu de temps les plus rusés et/ou initiés. Ensuite, une fois un vaccin mis sur le marché, le potentiel de gain sera à l’échelle de la planète, de sorte qu’un ballet d’enveloppes pourra récompenser toute la chaîne des décideurs. Cependant…
Le vaccin, une motivation insuffisante
L’enjeu du vaccin ne suffit pas à expliquer comment les plus grosses fortunes de la Terre, dont on peut supposer qu’elles sont présentes dans de très nombreux secteurs, aient pu accepter d’un monde politique sur lequel elles ont forte emprise, une récession mondiale avec la possible faillite de banques et firmes dont le système a besoin pour fonctionner.
Il est très difficile d’aborder la question du dessous des cartes dans la mécanique des hauts pouvoirs tant politiques que financiers. D’abord car beaucoup de zones demeurent inconnues des historiens et journalistes d’investigation. Ensuite parce que toute théorie explicative se heurte à l’accusation brutale de conspirationnisme.
Que l’on parle comme jadis du gros argent, des grands argentiers, des puissances de l’argent, ou des grosses fortunes, c’est la même réalité qui est désignée.
Depuis l’embrasement mondialiste, cette globalisation démarrée dans les années 80 et qui a pris sa vitesse de croisière à la fin des années 90, tous les indices économiques désignent un phénomène de concentration des richesses corrélé à la disparition progressive des classes moyennes et à la montée de la grande pauvreté. Jamais dans l’histoire de l’humanité, les riches n’ont été aussi riches. Il suffit de songer que la fortune d’un Bill Gates équivaut à celle cumulée de cinq ou six pays d’Afrique noire. Mais si Bill Gates ou Bernard Arnaud sont des personnalités connues du public, comme en leurs pays, les autres milliardaires, rien n’est dit sur les chefs des grands clans mafieux : ils possèdent les fortunes gigantesques qu’engendrent leurs activités délictueuses ainsi que celles, parfaitement légales, qui résultent du blanchiment de l’argent du crime.
Par ailleurs, les calculs des magazines spécialisés comme Forbes, ne sauraient intégrer tout l’argent détourné dans des paradis fiscaux et dont il est quasi impossible d’identifier les propriétaires. Ainsi est-il permis de supposer qu’au-dessus des plus grandes fortunes officielles, se trouvent malfaiteurs et milliardaires discrets qui ont misé à fond sur le montage de sociétés off-shore. Cette remarque pour souligner que pour apparaître dans les médias comme hyper concentrée en peu de mains, la fortune des plus puissants milliardaires demeure cachée. La réalité dépasse ce qu’en dit la presse spécialisée
Une deuxième remarque concerne les leviers d’action dont disposent ces hyper-milliardaires. Loin de moi d’imaginer une conférence mondiale réunissant les cinquante ou cent personnes les plus riches qui se tiendrait périodiquement pour décider de la marche du monde. Pour autant, ces gens existent et outre leurs fortunes, disposent d’un authentique pouvoir occulte, par le biais de leurs innombrables obligés, des réseaux qu’ils contrôlent, du mécanisme mimétique, enfin, qui leur permet de donner le ton, de commander sans avoir à ordonner. Cela est un sujet en tant que tel que nous contentons d’évoquer ici.
Le calcul des hyper puissants
Qui a eu l’idée, comment s’est-elle formée ? Ce qui importe est son contenu puis qu’elle se soit imposée selon une réaction en chaîne dans la quasi-totalité des états de culture européenne.
La survenue du covid était prévue depuis des années. Bill Gates en a parlé il y a quelques années et le centre d’études prospectives de la CIA également, allant jusqu’à préciser avec justesse d’où partirait la pandémie. Toutes les conditions étaient réunies pour que de la consommation de chauve-souris infestées de microbes par des humains vivant dans une zone de forte activité industrielle et commerciale, un virus particulièrement contagieux finisse par survenir, embrasant très vite un monde globalisé. C’était une question d’années, il suffisait d’attendre.
Et le covid 19 vint ! Un malheureux petit virus de la famille corona, de faible létalité mais fortement contagieux. Au même moment, Microsoft en était aux derniers stades de la mise au point de la 5G. La 5G, il en a beaucoup été question, je ne m’étendrai pas sur la révolution numérique qu’elle représente, rappelant seulement que derrière une surpuissance communicationnelle séduisante, se cache un dispositif de tracking capable de contrôler comme jamais toute la population qui en fera usage…c’est-à-dire à terme, tous les acheteurs de smartphones.
Le contexte social dans les sociétés de culture européenne présentait des similarités inquiétantes du point de vue des hyper puissants et de leur credo libéral. Partout se sont manifestés des mouvements populistes, souverainistes, rejetant l’hégémonie financière et mondialiste et capables de renverser les pouvoirs en place. De surcroît, ces populations sont de plus en plus vieillissantes, générant des charges d’assurance vieillesse, des coûts médicaux et d’aide à la personne venant entraver le dynamisme incessant que réclame le système libéral-capitaliste.
L’exploitation d’une pandémie qui pouvait être éradiquée très rapidement, ce qui s’est vu dans nombre de pays d’extrême orient et d’Afrique, allait permettre d’instaurer la « solution finale » propre à l’idéologie libérale.
La « solution finale » du XXIe siècle
L’expression est terrible, rappelant l’organisation de l’extermination des Juifs par le régime nazi. Hélas, notait jadis St Paul, il n’est pas de faute qu’un homme ait commis qu’un autre homme ne puisse commettre.
A quelques nuances près, la similarité des gestions sanitaires des puissances de culture européenne, avec partout le silence, le laisser faire des grands réseaux financiers, ne peut s’expliquer autrement que par un programme, une succession d’actions délibérées visant à pousser au maximum les dégâts directs et indirects de la pandémie, à créer un état de psychose collective et de soumission aveugle à des mesures liberticides tant grotesques que largement disproportionnées. Le but était double.
- Grâce à une crise économique en quelque sorte fabriquée par les confinements, l’on allait pouvoir justifier des vagues considérables de licenciements compensés par des délocalisations juteuses ;
- Arguant de la persistance de l’épidémie, contre-vérité, et d’une reconstruction économique d’une ampleur comparable à celles des après-guerres mondiales, abolir cent ans de progrès social en imposant aux salariés, paupérisation et durcissement des conditions de travail. La peur ancrée dans le psychisme collectif serait ainsi l’arme la plus efficace pour dissoudre les résistances et faire taire le rejet d’un système jusqu’alors de moins en moins accepté par les masses populaires.
Concrètement, deux à trois mois ont été perdus pour réagir à la pandémie, la fermeture des frontières n’a pas eu lieu ou de façon sporadique et inefficace, tests et masques n’ont pas été fournis, au mépris des capacités logistiques des puissances concernées (l’on peut en 48h, expédier une armée à l’autre bout du monde, avec munitions et intendance), les vieux ont été privés de soins et soumis à un isolement catastrophique quand ils n’ont pas tout simplement été euthanasiés. Concrètement, le traitement efficace contre le virus a été conspué voire interdit et les médecins réfractaires au message unique des états dénoncés, ridiculisés, en attentant leur éviction par le conseil de l’ordre de l’Ordre.
Aujourd’hui, l’on impose un port du masque totalement inutile, moyen, à la suite du confinement, d’entretenir la crainte et d’entraver la marche de maints secteurs économiques.
Demain, un vaccin qui aura été conçu à la va vite, sans les garanties usuelles, sera probablement rendu obligatoire, bien que ses effets indésirables soient déjà connus.
Après demain, ce sera le tracking de tous les faits et gestes par le moyen de la 5G.
Les hyper-riches et les firmes qu’ils contrôlent ou influencent, jouent la carte de la disparition à terme des populations blanches, de culture européenne. Ils n’en conserveront que leurs majordomes, cadres supérieurs et geeks, et laisseront les autres dépérir, à l’image des scènes insupportables du film Soleil Vert, d’une préscience hallucinante, à l’image du Meilleur des Mondes.
Les consommateurs du capitalisme enfin libre des entraves morales du passé, seront les immenses populations d’Asie et d’Afrique, sans tradition révolutionnaire, sans expérience réellement démocratique et aux fondements religieux fatalistes, une aubaine incomparable pour la marche folle d’un libéralisme qui voit en ses principes, au fond nihilistes, sa divinité… aune espèce d’anti-Dieu.
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